La cavalerie sauvera-t-elle Donald Trump et l’Amérique du coup d’État démocrate ?
/image%2F0931529%2F20210104%2Fob_975798_trump-cavalerie.png)
Tout le monde se souvient de ces fameux westerns américains où, quand la situation paraissait désespérée pour les héros, condamnés à une mort certaine quand ils étaient cernés et assiégés par les Indiens, on entendait le son de la trompette de la cavalerie qui venait les sauver !
Comment ne pas comparer la situation de Donald Trump et ses amis à celle de John Wayne et de tous ceux qui ont fait la légende du cinéma américain ? Depuis quatre années, le système a décidé d’éliminer par tous les moyens Donald Trump, à qui ils n’ont pas pardonné d’avoir gagné en 2016, avec un programme qui remettait en cause l’abolition des frontières et le libre-échangisme des mondialistes.
Pendant quatre ans, ce que Donald Trump appelle l’État Profond, ce que nous appelons l’appareil d’État, l’a harcelé par tous les moyens. Campagnes médiatiques incessantes, instruction de trois années menée par un procureur hostile, qui se faisait fort de prouver que le Président américain était un agent russe, mouvements antifas, campagnes des Black Lives Matter, et enfin cette histoire du Covid-19 qui, sous l’impulsion des gouverneurs démocrates, a torpillé une partie de son bilan économique exceptionnel.
Donald Trump avait rapatrié le travail, il avait baissé les charges des entreprises, il avait pratiqué un protectionnisme pour préserver l’économie américaine, il avait contrôlé l’immigration. Et surtout n’avait impulsé aucune de ces guerres que les démocrates, mais aussi les républicains, mettaient en place pour faire tourner le lobby militaro-industriel américain et jouer le rôle de gendarme du monde. Trump se contentait du mot d’ordre “America First”.
Bien que donné largement battu, il avait gagné l’élection, et de très loin, quand un hold-up électoral d’une ampleur jamais vue dans un pays occidental lui vola la victoire, avec la complicité des médias et des réseaux sociaux. Les premiers osèrent annoncer Biden vainqueur, les seconds se permirent de censurer le Président américain, qui dénonçait ces fraudes massives.
On sait que depuis, Donald Trump subit nombre de trahisons. Celle, prévisible, des juges, souvent des militants démocrates, qui refusèrent d’instruire ses nombreuses plaintes. Celle, plus surprenante, de la Cour Suprême américaine, où pourtant six des neufs juges ont été mis en place par des républicains. Celle de trop d’élus républicains, couards ou corrompus, ou les deux, qui viennent de lui infliger un camouflet, sur le vote du budget militaire, où le Président, à juste titre, avait mis son veto.
/image%2F0931529%2F20210104%2Fob_d06d95_eight-col-steal.jpg%3F1605379040)
Des milliers de témoignages attestent de l’ampleur de la fraude. Toutes les conditions sont réunies pour faire annuler les élections des six États déterminants et redonner la victoire qui lui a été volée à Donald Trump. Mais l’ampleur du coup d’État mondialiste est telle que le pire est possible, et que la couardise des juges de la Cour Suprême et les trahisons internes privent le Président sortant d’une victoire éclatante.
Les enjeux de société sont aujourd’hui très clairs. Si la première puissance occidentale du monde, et sa Constitution, ne sont pas capables de faire face au coup d’État mondialiste soigneusement mis en place depuis quatre années, c’est un message terrible, qui signifie la mort de la civilisation qu’incarnent nos sociétés. Les premiers messages des Démocrates sont très clairs : Nancy Pelosi, alors que Biden n’est même pas élu, réclame déjà qu’on interdise l’expression “Père” et “Mère”, et “Monsieur” et “Madame” au Congrès. Des députés démocrates remettent déjà en cause l’article 1 de la Constitution américaine sur la liberté d’expression, et l’article 2 de cette constitution sur la liberté d’armement. Comme cela se produit dans tous les pays occidentaux, la dictature des minorités se met en place. Celle des féministes, celles des homosexualistes, celle des milices antifas, celle des Black Lives Matter, celle de toutes les troupes de choc des Démocrates.
Il ne reste que deux solutions à Donald Trump pour faire face à son devoir de gardien de la Constitution, pour éviter que le peuple ne se voit voler sa victoire.
- Les solutions démocratiques. Si les États-Unis étaient encore le pays que nous avons connu, il n’y aurait aucun souci. Mais hélas, ils sont gangrenés par le cancer mondialiste, le multiculturalisme, et ce qu’on appelle la culture woke, sans oublier la réalité de l’État Profond. Donc, Donald Trump peut perdre en respectant les règles de la Constitution, car tout est biseauté, ce qu’il a compris depuis longtemps.
- Sinon, comme le dit le président du Comité Trump, la seule chance de l’Amérique, c’est son peuple. Celui qui a surpris la clique démocrate, en 2016, en amenant Donald Trump au pouvoir. Ce même peuple qui a de nouveau bousculé tous les pronostics en accordant 74 millions de bulletins de vote, authentiques, au Président sortant, lui accordant une victoire éclatante. C’est ce peuple qui sera massivement dans la rue, le 6 janvier, à Washington, pour défendre le Président sortant, et refuser le coup d’État électoral des démocrates et des mondialistes.
Comme dans toutes les situations révolutionnaires, il y aura une confrontation, avec un vainqueur et un perdant. Une partie capitale de l’avenir du monde se jouera entre ce 6 janvier et le 20 janvier. Quoi qu’il arrive, les États-Unis ne seront plus jamais le même pays après cette élection qu’avant. Tous les citoyens avides de libertés, amoureux de leur civilisation et de leur mode de vie, doivent, à leur modeste niveau, croiser les doigts pour que Donald Trump reste président des États-Unis, et défendre la légitimité et le bilan du Président américain.
Croisons tous les doigts pour que l’exceptionnel Donald Trump déjoue le complot mondialiste et soit encore, quatre années durant, le président des États-Unis.
Cyrano
Source : http://ripostelaique.com
Commenter cet article