Covid-19 : à quoi a bien pu servir le délire sanitaire depuis un an si la situation est soi-disant si grave ?
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Le gouvernement et ses sbires nous annoncent le même genre de prophéties apocalyptiques que l'année dernière. Les courbes remontent, les hôpitaux vont saturer, les contaminations augmentent, « le mois de mars sera extrêmement difficile » dit ici le président, « les semaines qui viennent vont être compliquées » confirme là une infectiologue au service de la tyrannie sanitaire, etc.
Nous sommes dans la situation de l'année dernière à la même période. Sauf que nous n'avions pas de tests donc nous n'avons pas le chiffre des contaminations quotidiennes pour janvier, février, mars 2020. Peut-être que l'année dernière nous avions les mêmes taux, sans doute même. Mais comment est-ce possible ? En ce moment nous voyons se mettre en place une dynamique épidémique similaire à celle de l'année dernière à la même période, alors qu'à la différence de l'année dernière à la même période :
- les gens se lavent les mains plus souvent,
- nous avons du gel,
- ils nous font porter les masques,
- il y a les gestes barrières,
- les restaurants, bars, salles de sport, etc. sont fermés,
- nous sortons d'un deuxième confinement,
- nous sommes sous couvre-feu.
Comment, avec tout ça, le virus peut-il reproduire le même schéma que l'année dernière à la même période ? Comment est-il possible que toutes ces mesures lorsqu'elles sont appliquées n'empêchent pas que le virus reproduise exactement le même schéma que l'année dernière à la même période ? Nous sommes obligés de repenser à ces mots du professeur Toubiana qui disait qu'une épidémie est un phénomène naturel qui a, qui aura toujours son histoire naturelle, elle arrivera, connaîtra un pic et disparaîtra, point. Tout ce que nous faisons qui nous donne l'illusion de déplacer des montages ou d'arrêter des épidémies paraît n'avoir que très peu d'incidence sur le déroulement naturel et obligatoire de l'épidémie.
Or, si ce que nous faisons n'arrête pas la progression épidémique, comment continuer de croire que c'est ce que nous faisons (couvre-feu, confinement, etc.) qui provoque le reflux et la fin de l'épidémie ? Manifestement nos gesticulations n'ont pas beaucoup d'effets sur ce que le virus a décidé qu'il ferait quoi qu'il en soit. Après tout, corrélation n'est pas causalité, et peut-être en effet que le confinement n'est pas ce qui a arrêté l'épidémie l'année dernière. Peut-être que sa dynamique aurait été la même sans confinement.
Se pourrait-il alors qu'ils aient mis le pays à genoux et persécuté les Français depuis un an pour des résultats marginaux ? (question rhétorique).
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