Le blog politique de Thomas JOLY

Au contraire, le mot défraîchi fait parti de l'historique de la langue Française, une langue très précise très loin de l'Anglais ou, autres langues plus exotiques dans lesquelles le même mot signifie dix choses .<br /> <br /> A plus de 60 ans, on ne peut pas jouer les jeunes premiers sans apparaître un "jeune premier défraîchi", la réalité a toujours été la limite du syndrome Peter Pan.<br /> Syndrome lui-même défraîchi puisque, vieux de 1968, soit cinquante et un an de bobos de gauche et de droite internationaliste apatride bien tassés...<br /> <br /> C'est que la bande su Splendid n'a plus rien de splendide, ils sont bien plus pathétiques encore, physiquement, moralement, intellectuellement, que ceux dont ils se moquaient en mètres étalon autoproclamés de la bien-pensance.<br /> <br /> Je vous invite à vous faire un bref historique pour vous convaincre de la pertinence du mot défraîchi : <br /> <br /> Josiane Balasko reconvertie en vieille pathétique LGBT de service <br /> <br /> Marie-Anne Chazel on ne peut plus marquée, extérieurement et intérieurement défraîchie, il lui faudrait un prompteur pour exprimer une idée claire<br /> <br /> Christian Clavier Mr merci au bistouri, ringard au possible, dépassé, trop vu, trop entendu, troop tout sauf trop fin .<br /> <br /> Gérard Jugnot, réduit à jouer François Pignon non-stop depuis 201 pour continuer à vivre dans ses propres yeux.<br /> <br /> Thierry Lhermitte fâné, ce grand militant gaucho-anarchiste anticapitaliste fût l'un des plus fervents défenseurs de la loi HADOPI <br /> (prolétarien oui, mais pas pas quand ça touche son portefeuille ni sa profession) <br /> <br /> Claire Magnin la moins pathétique de la petite bande a sur mûrir, contrairement à tous les autres, défraîchie mais pas pathétique. <br /> <br /> Bruno Moynot le grand gauchiste est plus défraîchi que mon arrière grand-père, qui pourtant est beaucoup plus vieux que lui. <br /> Nono tire dans le sens du vent, actuellement il tapine pour le multiculturalisme, attendons son prochain film sur la religion d'amour et de paix, au nom de l'opium des peuples, bien entendu. (sic)<br /> <br /> Anne Bourguignon, dite Anémone, défraîchie depuis toujours, la grande stalinienne a fini sa vie en ralliant le prolétarien millionaire "insoumis", ils avaient au moins Staline et les millions en commun.<br /> <br /> Martin Lamotte le millionaire est un mélange de Bruno Moynot et Claire Magnin. Beaucoup de tapinnage pour le sociétal, beaucoup de bienpensance, et un tantinet de classiques pour ne pas avoir l'air de ne plus être un troubadour. <br /> <br /> Dominique Lavanant la moins pathétique de tous les défraîchis moraliste gauchistes de profession de cette liste, souhaitons-lui un bon EHPAD multiculturel, ça l'éduquera !<br /> <br /> Michel Blanc lui aussi un très grand gauchiste très défraîchi très tôt.<br /> Un prolétarien millionaire qui n'a pas été sans faire la morale aux smicards malpensants. <br /> Lui aussi, entre les discours, SA morale et son mode de vie et comportement il y a un gouffre.<br /> A 20 ans il voulait virer tous les vieux au nom des soixante-huitards, il est désormais millionnaire ultra-bourgeois de 67 ans et s'accroche au milieu du peste-acle comme un véritable morpion... pathétique ultra-bourgeois marxiste.<br /> <br /> <br /> Point commun de tous ces satrapes avec Richard Gere : "Faites ce que je dis ne faites pas ce que je fais" (en suis de leur manque de fraîcheur évidente)<br /> <br /> Tous ces dégénérés représentent les rares cas dans lesquels je suis d'accord avec Jacques Attali (leur ami de l'époque 80, car socialiste) : <br /> -"A partir de 60 ans l'homme est improductif,l'euthanasie sera un outil essentiel de notre société future" <br /> (dans leur cas, ces vieux défraîchis sont pire qu'improductifs, ils sont contre-productifs et nombreux nous sommes à rêver de les mettre face à leurs dogmes, qu'ils ne meurent pas trop gentiment tout de même...) <br /> <br /> Je verrais bien ces vieux gauchistes défraîchis moralistes vivre dans un studio de 20 mètres carrés avec un RSA en plein centre de la Goutte d'OR.<br /> Le tout, affublés d'un co-locataire de la diversité, tous leurs biens saisis, pas le choix c'est cette vie prolétarien ou le goulag !<br /> <br /> Ho que oui le vieux sénile Richard est défraîchi, au moins tout autant q'un steak Mac Donald momifié.