Une vieille journaliste féministe prétend, 25 ans après, avoir été violée par Donald Trump !

Plus c'est gros, plus la presse de gauche française et internationale se précipite pour relayer la moindre désinformation anti-Trump, pourvu que ça puisse salir le président américain.
La mythomane du jour est la journaliste Elizabeth Jean Carroll, qui écrit depuis près de trente ans des chroniques pour le magazine féministe « Elle ».
Dans un récit publié par le magazine « New York », la gauchiste Elizabeth Jean Carroll, aujourd’hui âgée de 75 ans, rapporte une scène extravagante qui se serait produite à la fin de l’année 1995 ou début 1996 dans une cabine d'essayage d'un magasin.
« Elle essaye de vendre un nouveau livre. Cela devrait vous faire comprendre quelles sont ses motivations », a affirmé Donald Trump. « Cela devrait être vendu au rayon fiction ».
Le président s’en est aussi pris au magazine « New York », un titre « qui se meurt » et essaye « de se relever en publiant des fausses informations (fake news) », et s’est interrogé sur d’éventuels liens entre son accusatrice et ses adversaires démocrates.
Le magazine cite un haut responsable de la Maison Blanche qui affirme que l’accusation « a été créée de toutes pièces dans le but de dénigrer le président », qui vient de de se déclarer candidat à un second mandat. Et comme par hasard, c'est à ce moment précis que cette vieille folle se souvient avoir été violée par Donald Trump... Absolument grotesque !
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