Calais : l’antifa Jason Brebion, alias Mister Bim, condamné !

Jason Brebion, dit Mister Bim, activiste antifa notoire vient d’être condamné à quatre mois de prison avec sursis, deux ans de mise à l’épreuve pour avoir tagué une cinquantaine de bâtiments publics ; mais surtout, il a été condamné à verser 300 euros pour préjudice moral à la déléguée locale du Parti de la France, Marie-Jeanne Vincent, dont il n’avait pas hésité à dégrader la demeure.
À Calais, tout le monde connaît Jason Brebion qui se fait appeler Gazz parce que « Gaz à tous les étages ». Une chose est sûre, chez lui, il n’y a pas la lumière à tous les étages. Notre grand rebelle, la plupart du temps aviné ou sous l’influence de substances illicites qu’il se procure assez facilement auprès de ses camarades clandestins, est un habitué du Tribunal de grande instance de Boulogne-sur-mer : un jour pour violences conjugales, un autre jour pour bagarre ou bien encore pour dégradation de bien public ou privé sans oublier les violences en tous genres lors des manifestations pacifiques de nos glorieux combattants de l’antifascisme.
Che Guevara chez les Chtis
Jusqu’ici, le Che Guevara du Calaisis s’en était plutôt bien tiré mais voilà… C’était sans compter le ras-le-bol de l’administration calaisienne qui, lasse de faire repeindre pour la douzième fois les murs du collège attenant au domicile de Gazz et de voir la ville ravagée, avait réclamé une enquête exemplaire afin de confondre le responsable.
L’affaire fut rondement menée par la police nationale, le zozo ayant pour habitude de laisser traîner ses canettes de bière et donc son ADN à côté des lieux de ses forfaits, voire de faire des selfies devant ses tags et de les poster sur Facebook, c’est toujours un plus. Quand on vous dit qu’il n’a pas la lumière à tous les étages. Gazz a un abonnement au commissariat de police de Calais ; à ce rythme-là, il va finir par avoir une cellule à son nom.

De la thune aux fafs !
Non content d’avoir marqué son territoire à l’aide de tags stupides sur la moitié de la ville, le grand héros bolchévique s’était attaqué à Marie-Jeanne Vincent, ancienne candidate Civitas aux législatives de 2017 et actuellement déléguée du Parti de la France pour le Calaisis, en couvrant sa maison de tags haineux d’une rare finesse. Visiblement, pour ce héraut de l’humanisme, la tolérance est à géométrie variable et seules ses propres idées ont le droit de cité. Non content d’avoir tagué la maison de Mme Vincent, il avait poursuivi ses méfaits en dégradant son véhicule, acte pour lequel une nouvelle plainte a été déposée.
Il faut dire que le travail de la maréchaussée a été grandement facilité par le niveau intellectuel du délinquant qui, dans l’heure suivant son forfait, posait fièrement en photo devant le véhicule en question au cri de « Ni oubli, ni pardon ! »
Ni oubli, ni pardon, on se demande bien de quoi…
À entendre ce cher Gazz : « les fafs tuent, la police mutile, ni oubli ni pardon ». Nous ne savons pas si nous pouvons considérer Mme Vincent comme une « faf » et nous comprenons encore moins ce que recouvre ce vocable dans l’esprit brumeux de M. Brebion mais, en tous cas, celui-ci semble particulièrement furieux d’avoir à verser la somme astronomique de 300 € à sa victime au titre du préjudice moral, malgré une défense aussi loufoque qu’inefficace, arguant du fait que puisque dans les bâtiments tagués, il y avait la maison d’une personne de l’estrêêêême droâte, toutes les tracasseries judiciaires qu’il subissait n’était que le fait de l’acharnement d’un état totalitaire…
En attendant, le rebelle de caniveau n’a pas fini de travailler pour payer les dégâts sur les bâtiments de la ville. Pour cela il faudrait encore qu’il conserve son boulot.
Dura lex sed lex, Mister Bim !
Martin Moisan
Source : http://ripostelaique.com
Commenter cet article