Les militants identitaires qui ont occupé pacifiquement le siège de « SOS Méditerranée » toujours en garde à vue !

Génération Identitaire a occupé vendredi 5 octobre les locaux de « SOS Méditerranée » à Marseille où ses militants ont déployé une grande banderole « SOS Méditerranée complice du trafic d’êtres humains ». Réalisée de manière pacifique, cette action visait à dénoncer la complicité de cette ONG qui, sous couvert « d’humanitaire », collabore avec les passeurs de clandestins.
En effet, depuis 2015, le navire « Aquarius » affrété par SOS Méditerranée récupère les migrants abandonnés en mer par les passeurs pour les débarquer sur le sol européen. Véritable « taxi des mers », il constitue un maillon de la grande chaîne de tous ceux qui profitent de l’immigration massive, des mafias libyennes aux vendeurs de sommeil européens, en passant par la cohorte d’associations subventionnées qui ont fait de l’immigration leur fonds de commerce.
Interrogé sur ce rôle délétère joué par les ONG, Emmanuel Macron a concédé au mois de juin qu’on ne peut pas « accepter durablement cette situation car au nom de l’humanitaire cela veut dire qu’il n’y a plus aucun contrôle. À la fin on fait le jeu des passeurs en réduisant le coût du passage pour les passeurs. » (Le Parisien, 26/06/2018).
Les militants identitaires demandent au Président de la République de faire preuve de cohérence. L’Aquarius est actuellement à Marseille, privé de tout pavillon pour non-respect des "procédures juridiques internationales".
A l’instar du navire « Iuventa » de l’ONG « Jugend Rettet » placé sous séquestre par la justice italienne en août 2017, nous réclamons la saisie de l’Aquarius et la fin de toute forme de subvention à ces associations qui favorisent la submersion migratoire.
Interpellés par la police alors qu'ils n'ont commis aucune violence, les jeunes militants ont vu samedi leur garde à vue prolongée de 24 heures par un procureur zélé. "L'enquête se poursuit" pour "violences en réunion", "séquestration", "participation à un groupement en vue de commettre des violences" et "enregistrement et diffusion d'images violentes", a précisé le procureur dont la partialité politique ne fait guère de doute.
Commenter cet article