En défendant les migrants, les syndicats trahissent les travailleurs

Ces connards de dirigeants syndicaux ont tous, sans exception, appelé à voter Macron. Puis ils ont tous défilé contre Macron, qui n’a fait qu’appliquer son programme sur le Code du travail. Puis ils ont entamé à la SNCF une épreuve de force qu’ils ont perdue.
Et ce jour, ils manifestaient tous contre ce qu’ils appellent la casse du modèle social. Les Insoumis et les communistes qui, eux aussi, ont appelé à voter Macron, accompagnaient les apparatchiks syndicaux, toute honte bue.
Bien évidemment, comme dans toutes les manifestations de gauche, il y a eu des incidents, des violences et des bagarres. Et sans doute y aura-t-il encore des vitrines brisées, comme à chaque dispersion.
Parmi les slogans : « Les migrants sont des travailleurs. Liberté de circulation ! » ; un mot d’ordre qui ne paraît pas avoir gêné les dirigeants syndicats de la CGT et de Sud, en première ligne dans la défense des clandestins.
Ils osent, dans un pays qui compte, selon leurs chiffres, 6 millions de chômeurs, affirmer que les migrants seraient des travailleurs comme les autres. C’est une véritable trahison du salariat, à tous les niveaux. Ces crapules se font les relais du patronat qui, en implantant de la main-d’œuvre immigrée, espère faire baisser les salaires et les conventions collectives. Ils trahissent les chômeurs à qui ils opposent d’autres travailleurs, prêts à accepter des emplois sous-payés, même si la majorité des clandestins ne sont venus pour travailler mais pour profiter du système social français.
Ces traîtres, d’autre part, sont complices de la casse du modèle social français qu’ils prétendent défendre. Tout l’argent qui est déversé pour les clandestins pourrait être utilisé pour aider les SDF français, pour améliorer nos hôpitaux et notre système de santé, pour embaucher, dans certains secteurs, des salariés indispensables aux Français. Ils sont, d’autre part, des partisans actifs de l’invasion de notre pays, du remplacement de notre population et de l’implantation forcée de dizaines de clandestins, souvent hommes seuls musulmans, dans des villages qui vont perdre leur mode de vie et leur tranquillité.
Et les comptes de la Sécu, ils y pensent ? Pendant que les dents et les yeux sont de moins en moins remboursés à des Français qui ont cotisé toute leur vie, des clandestins, des envahisseurs se voient soigner gratuitement avec notre argent et à notre détriment. Et ceux qui devraient défendre les salariés français sont les pires complices de ce détournement de leur argent.
Ces dirigeants syndicaux s’en foutent, ils n’ont plus que des syndiqués dans la fonction publique et n’ont pas besoin de recruter pour boucler les fins de mois : les subventions de l’État suffisent amplement.
Donc, totalement discrédités aux yeux des salariés français et des ouvriers (qui votent en majorité pour la droite nationale ), il ne leur reste, pour faire encore quelques adhésions, qu’à faire venir un maximum de ce que Marx appelait « l’armée de réserve du capital », à se battre pour leur régularisation, à les faire défiler dans les manifestations pour faire du nombre et à les syndiquer, même gratuitement, pour faire du chiffre. Ce sont les Français qui paient.
Martin Moisan
Source : http://ripostelaique.com
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