Pas de gants pour les vegans ! Ni d’étals pour la came ! Défendons nos professions bouchères, l’ordre et la santé publics !

Non, les Vegans ne sont pas des habitants belliqueux du système stellaire de Vega, même s’ils portent en eux un côté extra-terrestre indéniable. Tout au plus les croyait-on, à l’image de leur gourou, le conventionnel Aymeric Caron, juste capables de pimenter les dîners des bobos en ville. Et bien non, leur fanatisme végétalien devient du délire : imposer à la société une égalité totale entre l’humain et l’animal. À quand la parité électorale ? En attendant, les militants de cette nouvelle secte ont décidé d’attaquer des boucheries et de les vandaliser. Je vous rassure tout de suite, ces petits snobs, que ce soit à Epinay sur Orge ou à Lille, n’ont pas osé s’en prendre à des boucheries Hallal, non c’eût été considéré comme un acte indigne et lâche tant les islamistes sont connus pour respecter les animaux et adoucir leurs souffrances ! Il était plus sûr de s’en prendre à des boucheries bien françaises, de nuit évidemment, pour saccager leurs vitrines. Précédemment, les « Vegans » s’étaient limités à des jets de litres de sang sur les étals, en apéritif en somme. Verrons-nous demain les boucheries françaises marquées d’anathèmes infamants pour obliger la population au boycott ? Il est quand même extraordinaire de constater la simultanéité des hystéries sociétales : pendant que bouchers, traiteurs et charcutiers sont en passe d’être stigmatisés alors qu’ils sont les vitrines de la gastronomie française, depuis quelques mois s’ouvrent ici et là des commerces genre « coffee-shop » où l’on propose ouvertement le joint « festif ». Et pour cela, jeunes et bobos vont faire la queue, marquant ainsi leur volonté de voir légalisée enfin la marijuana dans tous les domaines ! Alors, quand remplacera-t-on les boucheries par des débits de marijuana ? Cela n’a a priori aucun rapport, si ce n’est la marque d’un paradoxe de plus, véritable symptôme d’une dégénérescence. Car, il faut bien comprendre aussi que cela ne s’arrêtera pas là : les Végans ne s’attaqueront jamais aux Hallal car chacun restera compartimenté dans ses zones d’influence, de nuisances et de non-droit. Une anecdote à la ZAD de Notre Dame des Landes le prouve (oui, elle existe encore !) : un gauchiste qui s’était aventuré avec un sandwich au pâté à la main dans « l’espace Végan » de la Zad, a dû être rapidement exfiltré ce WE sous les crachats et les menaces physiques des ruminants, et cela en pleine fête censée être unitaire et fraternelle… Nous ne sommes donc pas en présence de simples écolos hyper-végétariens mais d’une secte en confluence avec le danger de la maçonnerie trans-humaniste.
De la même façon, côté drogues, lorsque Macron légalisera le cannabis au motif que son trafic n’a pu être jugulé (!) et qu’il est même désormais intégré au PIB (!!!), immédiatement une nouvelle croisade prendra le relais pour réclamer à son tour la dépénalisation de la cocaïne, baptisée « récréative » cette fois. Ensuite, les mêmes vanteront auprès des jeunes les mérites d’un « crack samba », sans doute aussi innocent que celui qui actuellement circule dans les rangs des migrants comme un virus de zombies. Tout est lié, tout relie toujours les facteurs de décadence, son épée s’avançant toujours plus loin dans le ventre mou du laxisme, car cela s’appelle un engrenage, et depuis 50 ans les trotskistes infiltrent le moindre groupuscule, la moindre secte, des FHAR aux Femen, du MLF aux LGBTXYZ, des EELV aux syndicats des juges et des médias, pour saper l’ordre occidental.
Franck Timmermans - Membre du Bureau politique du Parti de la France
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