« Quand on est incapable de réduire en bouillie 100 zadistes et d'expulser 50 gauchistes des facs, on évite d'envisager de frapper la Syrie »

Jean-François Touzé, membre du Bureau politique du Parti de la France, réagit aux menaces de frappes en Syrie brandies par Emmanuel Macron.
Quand on est incapable de réduire en bouillie 100 zadistes et d'expulser 50 gauchistes des facs, on évite d'envisager de frapper la Syrie. pic.twitter.com/QepjhRSbPG
— Jean-François Touzé (@jftndr) 11 avril 2018
Commenter cet article