Ma soirée à Ouistreham, au milieu des écolos pro-migrants et de Benbassa

Certains ont passé un week-end à Zuydcoote, je me suis contenté d’un mardi soir à Ouistreham.
Les lieux : un petit port de pêche, bourg très touristique, et un port d’où partent trois ferries par jour, avec de nombreux camions. Sur le canal, le fameux Pegasus Bridge, conquis à 0 h 20 le 6 juin 44 par… des Anglais. Le monde à l’envers, on va le voir.
Tout ce que le Calvados compte comme gauchiasses se mobilise pour faire pleurnicher dans les chaumières sur le sort des « migrants », en fait des clandestins, qui devraient être expulsés sur le champ selon les règles européennes vers le pays d’entrée dans l’espace Schengen, c’est la loi. Très peu d’entre eux sont entrés en France par nos frontières. Une réunion publique était donc organisée par EELV (4% aux législatives) ce mardi 16 janvier 2018, avec la présence du maire de Grande-Synthe et de l’inénarrable Esther Benbassa, dont la page Wikipedia est édifiante (https://fr.wikipedia.org/wiki/Esther_Benbassa).
Sa principale préoccupation semble être d’obtenir un abrogation du délit d’aide à l’entrée ou au séjour irrégulier, article 622-1 (et suivants) du code pénal, soit 30.000 euros de prune et cinq ans de gnouf. Le maire de Grande Synthe, un certain Damien Carême, a quant à lui défrayé la chronique en installant un camp de « cabanons » avec MSF, qui a brûlé pour cause de rivalités entre passeurs. Un cas d’école, un véritable hors la loi, qui devrait croupir dans les geôles de la République si le fameux article 622-1 était appliqué.
Calais étant devenue quasi impossible à franchir, passeurs et associations favorables à l’envahissement migratoire se sont reportés sur tous les autre ports d’où partent des bateaux pour la perfide Albion.
La petite salle (accordée par le maire qui est pourtant ferme sur les prix) a permis de sélectionner le public, on était donc dans l’entre-soi des bobos qui venaient se rassurer et se donner bonne conscience, sous la bonne garde des commissaires politiques antifas et anars. Il y avait vraiment foule à l’extérieur, j’estime, vu les difficultés de stationnement, que 200 à 300 personnes n’ont pas pu rentrer. Difficile dans ces conditions aux opposants de s’exprimer, le Normand étant de toute façon plutôt taiseux. Le tout sous l’œil des gendarmes locaux, qui ont dû tomber des nues. https://www.ouest-france.fr/normandie/caen-14000/ouistreham-salle-pleine-pour-defendre-les-migrants-5506258
J’ai donc fait mon petit reporter BFMacron, façon Jacques Martin dans l’école des fans.
Une première dame, infirmière à la retraite, 1.400 Euros (contrairement à ce qu’elle pense, elle va morfler sur la CSG) : « J’en héberge cinq dans mon garage et je leur paye le petit déjeuner ». Un autre, soixante-huitard attardé : « On a servi 50 repas hier » (nourriture détournée qui vient de la banque alimentaire ou d’officines type Restos du Cœur, voire Secours Catholique ?). A la question : « Avez vous conscience que l’augmentation de la CSG est destinée à financer le gouffre de l’AME ? », réponse : « c’est +1,7 », « Oui mais ça fait +21 % » (ducon la joie). Une autre : « J’habite à Luc-sur-Mer, j’en prends trois ou quatre ». « Mais il y a quand même un problème sanitaire, de parasites, je sais pas, des puces de lit par exemple ? ». Elle baisse la tête, la maison est donc contaminée, et ses visiteurs blancs vont bénéficier des joies de la gratouille. Une autre : « Oui, mais ils fuient la guerre et on les pille ». Réponse : « Ce sont soit des déserteurs, soit des droit commun, soit des criminels de guerre, le solde étant des migrants économiques ou environnementaux ». « Ils me disent qu’ils viennent du Darfour ». Et mon cul c’est du poulet.
Bref, sur une dizaine de personnes cuisinées, toutes sont des délinquantes selon la loi de la République.
En plus, les associations gauchistes, grassement entretenues par le contribuable, distribuent des autocollants aux habitants, à apposer sur leur porte, pour proposer, au choix, hébergement, douche, nourriture, café et la sacro-sainte prise de courant pour les portables dernier cri. Dis donc, mon petit Macron, ne serait il pas temps d’aller cueillir ces malfaiteurs aux aurores, les gendarmes peuvent faire une cueillette sans soucis ?

L’envahissement a été progressif, et donc les habitants ont cherché à se protéger individuellement, les marchands de cadenas et d’alarme font fortune et le pitbull a remplacé le chihuahua. Ce qui préoccupe le maire LR est l’effet déplorable sur le tourisme (plage, casino, touristes Anglais), les vols récurrents chez les commerçants, épiciers ou autres, les femmes pas rassurées, et les camionneurs qui font marcher le commerce local. Le maire s’oppose farouchement à la création d’un centre d’hébergement et a réussi à faire expulser un squat dans un bâtiment municipal. Il n’était ni présent, ni invité à la réunion.
Si 100 à 150 migrants errent dans les bois et rues, la même quantité vient de Caen, par le bus, en fonction de la marée, évidemment sans payer, à l’africaine côté niveau sonore et palier de Chirac, côté olfactif.
Il n’y a plus de feux rouges, tout est au jaune clignotant, pour éviter aux camions de devoir s’arrêter avant d’arriver sur le parking du camp retranché avec rouleaux de barbelés qu’est devenu ce port jadis si accueillant. Les toilettes des magasins d’un centre commercial face à un bois (en train d’être coupé par la mairie) sont fermées pour cause d’ablutions à la musulmane. La chasse au camping-car facile à fracturer fait partie du sport local.
En partant, petit tour aux abords du port, il est 19 h 30. Pas moins de quatre véhicules de gendarmerie tournaient en rond, dont de vielles épaves, avec deux à quatre gendarmes à bord. Les zombies, absorbés pour certains par leur portable, circulent en toute impunité. J’en ai vu une bonne trentaine, en groupes, en vingt minutes. Un véhicule de la gendarmerie fait la navette entre le rond point d’entrée côté Caen et le port pour escorter les camions. La brigade compte 48 gendarmes d’après la presse + des renforts.
Il y a également un souci avec les bateaux de pêche, tous éclairés ?
Ces heures de nuit coûtent la peau des fesses, épuisent et démoralisent le pandore. Et pendant ce temps là, les autres délinquants se marrent.
Avec leurs bons sentiments humanistes larmoyants, les irresponsables pro-migrants coûtent une blinde au contribuable, d’une part par leurs subventions, d’autre part par la sollicitation des gendarmes et de la police municipale et l’impact sur l’économie locale.
Si rien n’est fait, à commencer par empêcher les idiots utiles d’héberger et de nourrir, le cas ne peut que s’aggraver, et cet été, ce sera apocalypse now, bienvenue dans la France orange mécanique, classée 2 sur l’échelle des pays de merde par Donald.
Colonel Napoléon de Guerlasse
Source : http://ripostelaique.com
Rappel :

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