Calais : Manifestation identitaire contre la colonisation de peuplement
C’est un Yvan Benedetti passionné qui a harangué hier une foule d’habitants de Calais en colère. Le président de l’Œuvre Française, rejoint notamment par Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, a longuement appelé les Calaisiens présents à la résistance contre la colonisation de peuplement dont la cité nordique est devenu le malheureux symbole.
“Ne vous laissez pas agresser par l’extrême-gauche et la racaille étrangère” a tonné M. Benedetti devant un public nombreux et acquis à l’appel des chefs nationalistes présents, dont une part significative de jeunes gens. Etaient également présents des médiats internationaux dont The Guardian (gauche anglaise) ou Russia Today, ce qui a contribué à donner une visibilité accrue à la situation de crise que vit la ville sous l’afflux croissant de populations du Tiers-Monde aspirant au passage en Angleterre.
L’autorisation de manifestation a été accordée et maintenue, fait de plus en plus rare car il devient pour ainsi interdit aux organisations nationalistes et à leurs sympathisants de battre le pavé. La pression internationale et l’indignation de la population ayant sans doute contraint la préfecture du département et le gouvernement à laisser la colère s’exprimer.
Sans surprise, une poignée de nervis d’extrême-gauche et d’anarcho-nihilistes ont tenté d’empêcher la manifestation, sans succès, les forces de l’ordre de l’Etat ayant été déployées pour assurer le calme aux abords du rassemblement.
Les cas de viols, vols, meurtres, déprédations de toute sorte ont atteint un niveau délirant à Calais, prise d’assaut par des candidats au passage vers le Royaume-Uni originaires du Soudan, d’Afghanistan, du Pakistan ou d’ailleurs.
C’est donc une population largement acquise aux organisateurs qui a vu une des manifestations les plus engagées au plan nationaliste de ces dernières années.
Thomas Joly en a profité pour dénoncer l’explosion de la criminalité induite par la présence des colons extra-européens, rappelant qu’il s’agissait “d’un enjeu civilisationnel”, invitant à réagir avant que les populations autochtones ne deviennent “une minorité d’ici quelques décennies” dans leur propre pays.
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