Nouveau numéro de claquettes d'Emmanuel Macron
Hier soir sur TF1, Emmanuel Macron s'est une nouvelle fois livré à un numéro de claquettes pour distraire les Français pendant qu'on leur fait les poches.
Tout d'abord, il a décidé une nouvelle fois, sans consultation du Parlement ni du peuple, de livrer des armes à l'Ukraine, impliquant encore un peu plus notre pays dans un conflit qui ne le concerne pas.
Ensuite, le Président s'est gargarisé d'une attractivité exceptionnelle de la France pour les investisseurs industriels, sûrement séduits par des taux de prélèvements obligatoires néo-communistes et la mafia syndicale qui met régulièrement le pays à l'arrêt. Quant aux salaires, il est formel : ils doivent augmenter, mais ce n'est pas de son ressort...
À propos des classes moyennes, celles-ci devraient être, selon lui, reconnaissantes de tout ce qu'il a fait pour elles depuis 2017 puisqu'il a soi-disant baissé leurs impôts. Sauf qu'il s'agit en fait d'un tour de passe-passe comme avec la taxe d'habitation supprimée mais entièrement compensée par une hausse équivalente de la taxe foncière un peu partout. Les classes moyennes, aujourd'hui en grande difficulté, ont besoin d'un choc fiscal, pas de mesurettes de bonimenteur de foire.
Concernant l'augmentation fulgurante des prix des produits alimentaires, il a tout de même avoué que les industriels de l'alimentation ne répercutent pas la baisse du coût des denrées sur le marché mondial pour continuer à se goinfrer sur le dos des consommateurs. Toutefois, il s'est bien gardé de reconnaître la moindre culpabilité dans le contexte inflationniste provoqué par la production d'argent magique de la part des Banques centrales.
Enfin, Emmanuel Macron a balayé d'un revers de main la contestation populaire contre la réforme des retraites : les Français travailleront plus pour vivre de moins en moins bien et ils devraient même être heureux de cela.
Le Parti de la France estime que ce régime, de plus en plus autoritaire avec ses vrais opposants, est en bout de course et qu'il tente d’anesthésier - par des mensonges - nos concitoyens menacés par un effondrement économique, monétaire, social, identitaire, sécuritaire et moral comme ils n'en ont jamais connu jusqu'alors.
Thomas Joly - Président du Parti de la France
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