Lola
Elle s’appelait Lola Daviet, c’était une fille de 12 ans vivant dans le douzième arrondissement de Paris. Ses parents sont concierges dans une résidence de cet endroit. C’était un collégienne qui entrait progressivement dans le monde des « grands ».
Sa vie s’est arrêtée un après-midi lorsqu’elle a croisé le sadisme d’une clandestine algérienne, une certaine Dahbia dont les médias dans leur habituelle pudeur xénophile ont tu le nom de famille.
Nous ne détaillerons pas ici la façon dont elle fut torturée, violée, puis tuée dans un paroxysme de violence par ce monstre et grâce à la complicité de plusieurs de ses compatriotes. Nous sommes meurtris par la souffrance de cette petite, par la peur insondable qu’elle a ressenti dans ces terribles moments, par la vie qui l’a quittée. Nous exprimons notre soutien et notre compassion à sa famille, à ses amis.
Des drames, depuis des décennies d’immigration folle, nous en avons appris au quotidien : prêtre décapité, fans de musique rock assassinés, jeunes femmes violées, jeunes hommes lynchés, voitures folles conduites par un barbu militant… Cette mort est celle de l’innocence, loin de dénier les autres tueries, elle ne passe pas, elle tort les tripes et bouleverse l’âme plus encore, elle nous emporte dans le chagrin et la colère, émotions normales et saines quoi qu’en disent les médias et politiques nous déniant les composants de notre humanité.
Déjà Pascale Clark nous demande de « fermer notre gueule », la très bruyante Zohra Bitan, celle qui a l’habitude d’hurler avec un accent du Maghreb marqué à d’autres qu’elle est plus française qu’eux dans l’émission « Les Grandes Gueules » a eu comme priorité d’appeler à ne pas faire d’amalgame afin de dédouaner ses vrais compatriotes, ses coreligionnaires. Elle aussi désire que les « fachos, les racistes » se taisent. Nous, les défenseurs de la France et des Français, des autres peuples européens ne nous sommes jamais tus et nous ne nous tairons jamais. Nous continuerons à porter la contestation de notre génocide, à combattre ces actes de guerre que d’autres appellent des faits divers, à se lever contre ce projet cosmopolite fou qui mènera à notre disparition s’il n’est abandonné.
L’indécent Macron n’a pas eu un mot pour cette fillette, pour sa famille. Il a même commis la provocation d’avoir une pensée pour des Algériens d’il y a soixante ans pile lors de la découverte de ce drame épouvantable. Comment humainement est-il possible d’agir ainsi ? Quelle sorte d’homme est ce pauvre type ? Est-ce un comportement acceptable pour le chef d’État ?
Un appel à la haine serait réprimandé par la justice, même s’il devient difficile de ne pas en faire. Nous appelons au rassemblement des Français, à l’union plutôt que la discorde, à nous relier sur nos ressemblances réelles plutôt que continuer de nous diviser pour la plus grande satisfaction de nos ennemis. Nous vous prions d’aider matériellement cette famille endeuillée, confrontée au pire de la souffrance morale par le biais de la cagnotte en ligne, d’aller déposer des fleurs devant chez elle. Nous vous appelons à vous mobiliser sur les réseaux sociaux, à vous joindre à toutes les manifestations de soutien possibles. Tenons-nous debout, soyons fermes pour la mémoire de cet enfant, par amour de nos enfants, ne nous laissons plus décimer !
Ludovic Lefebvre - Délégué du Parti de la France pour Paris
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