Nous n'avons aucune solidarité à assumer avec les Afghans
Cinquième rotation aérienne de Kaboul vers la France avec désormais à chaque vol une centaine d'Afghans.
Dans le même temps, la Présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, exige que chaque pays membre prenne sa part de « réfugiés ».
Le ministre des Affaires Étrangères, Jean-Yves Le Drian assure quant à lui que « toutes les demandes d'évacuation et d'asile seront instruites ». Ce qui signifie qu'elles seront bien évidemment satisfaites.
Soyons clairs : nous n'avons aucune solidarité à assumer avec les Afghans et les Afghanes pas plus qu'avec n'importe quel autre peuple étranger à notre continent et notre civilisation.
Quand nos intérêts passent par une intervention économique ou militaire dans un pays lointain, la France doit certes s'y investir — mais uniquement dans le mesure où cela nous est utile sous quelque aspect que ce soit — puis protéger ceux qui nous ont servis et seulement eux.
Mais notre fraternité humaniste, nous la réservons aux Français et aux Européens.
Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France
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