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Le blog politique de Thomas JOLY

Des agriculteurs font fuir une centaine de familles de gitans qui voulaient s'installer sur leurs terres

28 Juin 2017, 06:19am

Publié par Thomas Joly

Le face-à-face a parfois été tendu.  Des agriculteurs du département du Nord ont chassé près d'une centaine de familles de gens du voyage qui souhaitaient s'installer sur un champ, dimanche 25 juin, à Comines, a expliqué le journal La Voix du Nord. Si l'année dernière, la cohabitation s'était pourtant bien passée, cette année, il aura fallu l’intervention de la police et de la gendarmerie pour calmer les esprits.

Dimanche, environ 120 caravanes commencent à s'installer sur la ZA Schumann de Comines. Quelques-unes sont encore en chemin lorsque des agriculteurs "venus en nombre"  se mettent à barrer la route avec des tracteurs et des camionnettes. Certaines caravanes sont encerclées par les machines agricoles et l'affrontement commence à se tendre. Point culminant : lorsque les agriculteurs menacent de déverser une tonne de lisier devant le terrain occupé.

"On a voulu défendre nos terres. Et on a été menacé avec une batte de base-ball", a expliqué un agriculteur. Finalement, la tension est retombée après quelques heures de pourparlers et l’apparition de la police et de la gendarmerie. Un des agriculteurs, "très éprouvé, est resté en observation la nuit à l’hôpital de Dron" a toutefois expliqué La Voix du Nord, qui indique également que la circulation a été perturbée.  En fin d’après-midi, les caravanes ont quitté les terres de la discorde à la recherche d'un terrain à envahir, qu’elles ont finalement trouvé quelques kilomètres plus loin.
 
"On a voulu défendre nos terres. Et on a été menacé avec une batte de base-ball", a expliqué un agriculteur. Finalement, la tension est retombée après quelques heures de pourparlers et l’apparition de la police et de la gendarmerie. Un des agriculteurs, "très éprouvé, est resté en observation la nuit à l’hôpital de Dron" a toutefois expliqué La Voix du Nord, qui indique également que la circulation a été perturbée.  En fin d’après-midi, les caravanes ont quitté les terres de la discorde à la recherche d'un terrain disponible, qu’elles ont finalement trouvé quelques kilomètres plus loin.
"On a voulu défendre nos terres. Et on a été menacé avec une batte de base-ball", a expliqué un agriculteur. Finalement, la tension est retombée après quelques heures de pourparlers et l’apparition de la police et de la gendarmerie. Un des agriculteurs, "très éprouvé, est resté en observation la nuit à l’hôpital de Dron" a toutefois expliqué La Voix du Nord, qui indique également que la circulation a été perturbée.  En fin d’après-midi, les caravanes ont quitté les terres de la discorde à la recherche d'un terrain disponible, qu’elles ont finalement trouvé quelques kilomètres plus loin.
"On a voulu défendre nos terres. Et on a été menacé avec une batte de base-ball", a expliqué un agriculteur. Finalement, la tension est retombée après quelques heures de pourparlers et l’apparition de la police et de la gendarmerie. Un des agriculteurs, "très éprouvé, est resté en observation la nuit à l’hôpital de Dron" a toutefois expliqué La Voix du Nord, qui indique également que la circulation a été perturbée.  En fin d’après-midi, les caravanes ont quitté les terres de la discorde à la recherche d'un terrain disponible, qu’elles ont finalement trouvé quelques kilomètres plus loin.
"On a voulu défendre nos terres. Et on a été menacé avec une batte de base-ball", a expliqué un agriculteur. Finalement, la tension est retombée après quelques heures de pourparlers et l’apparition de la police et de la gendarmerie. Un des agriculteurs, "très éprouvé, est resté en observation la nuit à l’hôpital de Dron" a toutefois expliqué La Voix du Nord, qui indique également que la circulation a été perturbée.  En fin d’après-midi, les caravanes ont quitté les terres de la discorde à la recherche d'un terrain disponible, qu’elles ont finalement trouvé quelques kilomètres plus loin.
"On a voulu défendre nos terres. Et on a été menacé avec une batte de base-ball", a expliqué un agriculteur. Finalement, la tension est retombée après quelques heures de pourparlers et l’apparition de la police et de la gendarmerie. Un des agriculteurs, "très éprouvé, est resté en observation la nuit à l’hôpital de Dron" a toutefois expliqué La Voix du Nord, qui indique également que la circulation a été perturbée.  En fin d’après-midi, les caravanes ont quitté les terres de la discorde à la recherche d'un terrain disponible, qu’elles ont finalement trouvé quelques kilomètres plus loin.

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