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L’acteur-réalisateur belge Ismaël Saidi a posté sur Facebook : « Pourquoi les musulmans ne descendent pas en masse dans la rue pour condamner ? »
Voici son texte :
« Parce que nous sommes en train de conduire les taxis qui ramènent gratuitement la population chez elle depuis hier…
Parce que nous sommes en train de soigner les blessés dans les hôpitaux…
Parce que nous conduisons les ambulances qui filent comme des étoiles sur nos routes pour essayer de sauver ce qu’il reste de vie en nous…
Parce que nous sommes à la réception des hôtels qui accueillent les badauds gratuitement depuis hier…
Parce que nous conduisons les bus, les trams et les métros afin que la vie continue, même blessée…
Parce que nous sommes toujours à la recherche des criminels sous notre habit de policier, d’enquêteur, de magistrat…
Parce que nous pleurons nos disparus, aussi…
Parce que nous ne sommes pas plus épargnés…
Parce que nous sommes doublement, triplement meurtris…
Parce qu’une même croyance a engendré le bourreau et la victime…
Parce que nous sommes groggy, perdus et que nous essayons de comprendre…
Parce que nous avons passé la nuit sur le pas de notre porte à attendre un être qui ne reviendra plus…
Parce que nous comptons nos morts… »
Pour France TV Info, l’auteur a suscité un grand buzz avec son interrogation et sa réponse. Un grand buzz ? Mercredi, selon Le Huffington Post, il n’y avait que 6.800 personnes à avoir partagé son message. Nettement moins que pour bien des articles sur Boulevard Voltaire, mais là, le silence est de rigueur…
Mais revenons au texte : d’abord, Ismaël Saidi, par son titre, est dans l’obligation de reconnaître le peu de participants musulmans aux défilés ou rassemblements qui ont suivi les attentats, aussi bien ceux de Paris que de Bruxelles.
Ensuite, selon son exposé, c’est l’abnégation et l’assiduité au travail de ses compatriotes qui entraînerait leur absence : de qui se moque-t-on ?
Croyez-vous qu’aujourd’hui, un patron ou une administration refuserait à un musulman de participer à un rassemblement contre le terrorisme ? Bien évidemment non.
De plus, on peut manifester le dimanche ou les jours fériés, ou plus spécifiquement le vendredi à la sortie de la mosquée. Rien de plus facile, alors, que de se grouper devant les portes en brandissant des pancartes comme « Halte au terrorisme des fondamentalistes ». De manière identique, on n’a pas vu de musulmans disposer des bougies sur une place à Molenbeek ou à Saint-Denis. On ne nous a pas parlé lors des prières de rue encore nombreuses d’une minute de silence. Seuls certains imams médiatisés ont compati au drame des victimes.
Que ce soit par peur, par désintérêt ou par mansuétude envers les terroristes, jamais nous n’avons eu connaissance de foules originaires du Maghreb se rassemblant et criant leur haine du fanatisme. Votre belle rhétorique, M. Saidi, tombe à plat. En envoyant un écran de fumée, vous essayez d’escamoter les vrais problèmes que pose cette non-participation : le problème du communautarisme, le problème des bandes des cités, le problème de valeurs dissemblables et de règles de vie aux antipodes de celles d’une majorité de citoyens. C’est pour ne l’avoir pas compris qu’aujourd’hui les gouvernements français et belges en sont là.
J-P Fabre Bernadac
Source : http://www.bvoltaire.fr
Jeudi 24 mars, l'agent mondialiste Jorge Mario Bergoglio qui se fait appeler « pape François » a une nouvelle fois ridiculisé et outragé sa fonction en lavant les pieds de 12 clandestins. Lors de la messe du jeudi précédant Pâques, il est de coutume que le pape lave les pieds de 12 personnes, afin de rappeler ce geste que Jésus a fait pour ses 12 apôtres.
Complétement obsédé par l'invasion de l'Europe, qu'il souhaite de toutes ses forces, cet individu est clairement un ennemi des peuples européens et du catholicisme.
Commençons cette chronique par des images qui résument l’ampleur du naufrage des élites ouest-européennes. Ci-dessous, vous pouvez voir la “représentante de la diplomatie de l’Union Européenne”, Frederica Mogherini, fondre en larme après l’annonce des attentats de Bruxelles (voir ici).
Nous sommes donc passés de Napoléon et Bismarck à “ça”.
En premier lieu, c’est une démonstration caricaturale de ce que la féminisation du politique ne constitue pas un progrès en soi. Que le chef de la diplomatie d’une organisation représentant un demi milliard de personnes s’effondre publiquement après l’annonce de 30 morts, voilà qui dit tout de la psychologie du socialisme humanitaire.
Concrètement, le message envoyé à tous les acteurs politiques de la planète c’est l’extraordinaire faiblesse psychologique des Européens. Une faille exposée au grand jour qui, comme l’odeur du sang, ne manquera pas d’attirer les loups. Un tel degré de faiblesse individuelle disqualifie l’intéressée car elle a d’ores et déjà déclenché de futurs actions hostiles contre les pays de l’UE.
C’est une manifestation toute aussi caricaturale du degré d’aveuglement criminel dont sont capables les élites progressistes d’Europe de l’Ouest. En larmes, la “ministre des Affaires Etrangères” de l’UE répète son slogan multicuraliste sur cet “islam de paix” qui partout enflamme le monde.
Ces adeptes du “présentisme”, dépourvus de la mémoire longue des sages, ont oublié les 8 siècles de guerre en Espagne contre l’envahisseur musulman et les assauts ottomans au coeur de l’Europe. Ils sont devenus d’éternels apprenants, surpris à chaque soubresaut d’un ennemi que nous connaissons pourtant parfaitement bien.
Ici, il faut bien se dire une chose : ce ne sont pas tant les morts de Bruxelles qui ont fait pleurer la socialiste Mogherini que l’idée d’un possible échec de la capitulation pacifique de l’Europe face à l’envahisseur. C’est la panique face au retour du tragique en lieu et place de la chimère des “lendemains qui chantent”.
C’est en somme la réaction d’une petite fille qui vient d’apprendre que le Père Noël n’existe pas.
Retour à la normale
J’imagine aisément le spectacle des commentateurs défilant sur les chaînes d’information en continu. L’incontournable “ancien officier du GIGN” venu brasser de l’air précédant le brave imam de la mosquée Ben Couscous de Saint-Denis, encadré de deux braves fonctionnaires du ministère de l’intérieur qui lui auront remis une note, écrite en gros caractères et dans un français accessible.
Je présume que les grands feudataires du régime se seront bousculés pour dire que “évidemment” ces “ignobles et lâches attentats” n’ont “rien à voir avec l’islam”. Je suppose que les mots “immigration” ou “immigré” n’auront pas été prononcés une seule fois par de doctes journalistes au regard vissé sur le prompteur.
J’imagine enfin qu’un mot a été matraqué dans l’univers entier : “laïcité”. Celle-là même qui permet aujourd’hui, avec l’appui zélé des politiciens, la construction d’une à deux mosquées par semaine sur le territoire hexagonal.
Bref, rassurer la population et restaurer sa confiance dans le système et ses dirigeants dont les réalisations, en 50 ans, sont effectivement édifiantes.
Présenter la défaite en victoire
Je suppose que vous n’aurez pas eu la naïveté de croire que les mêmes élites qui vous vendent chaque jour à un monstre qu’ils ont nourri et choyé, ne nourrissent l’idée d’une forme quelconque de résistance.
La grande réflexion, la solennelle inquiétude de la haute fonction publique, des politiciens, des journalistes stipendiés, des “intellectuels” et autres artistes à cachets, c’est de régler cette épineuse question : comment procéder à une reddition la moins indolore possible ?
Parmi les options étudiées par ces élites, l’opportunité d’une défaite présentée en victoire est largement privilégiée. Tout repose sur cette approche : ménager les apparences. Ce qui est une invasion objective est désormais présentée comme une forme de “libération”.
Vous ne vous en rendez peut-être pas compte, car ce n’est pas formulé explicitement mais implicitement. La dépréciation de la culture occidentale comme de ses réalisations, la démoralisation des masses de souche par la promotion d’une identité négative s’accompagnent d’une célébration de l’immigration, du multiculturalisme, de l’expansion de l’islam, des qualités des races allogènes, etc.
Il s’agit d’une explication et d’une légitimation constante de la défaite. Une défaite qui, du coup, devient une victoire.
Pour la gauche occidentale, mieux vaut avoir tort avec Mahomet
Ces gens ont peur, ils sont terrorisés. Terrorisés à l’idée de devoir se battre, terrorisés par l’idée du conflit, produit pourtant indépassable de l’histoire.
Passe encore de se rendre une fois l’an au pied du monument aux morts pour rendre hommage “à la résistance” et de pontifier en évoquant le souvenir des maquisards. De là à effectivement prendre des risques politiques, voire physiques, pour défendre quoique ce soit, ce serait basculer dans ce que le progressisme radicalisé nomme “l’extrême-droite”.
C’est ici qu’intervient le processus de capitulation. Vous aurez relevé que les élites dominantes tentent, par tous les moyens, de créditer l’idée qu’il n’y a pas de causalité ni de déterminisme quand on évoque l’islamisme radical.
Dans le discours politique et médiatique dominant, le djihadisme est réduit à son expression violente. Pire à son moyen militaire : le “terrorisme”. Le seul déterminisme que ces élites acceptent d’évoquer est celui qui n’est pas de nature à rompre leur vision du monde : le déterminisme social.
Vous aurez remarqué cependant que si l’on aime sortir les violons sur les origines sociales des djihadistes – des “paumés” – on ne peut pas dire que les socialo-communistes s’étaient attardés jusqu’à présent sur l’enfance malheureuse d’Adolf Hitler.
Le système tente désespérément d’empêcher une analyse objective de la situation afin de ne pas devoir admettre que la réalité dément en pratique les fondements même du progressisme. Ne pas évoquer les causes et focaliser l’attention sur les conséquences, en l’occurrence l’usage du terrorisme par les musulmans en Europe.
Culture de la capitulation
Je vais faire une analogie à caractère pédagogique. Lorsque les agriculteurs sèment le chaos lors de leurs actions, le gouvernement français a pour habitude de reculer et cède à un certain nombre de leurs revendications. Pour des raisons de crédit politique, le gouvernement arrête un peu plus tard quelques éléments isolés, accusés des actes violents les plus spectaculaires.
Pensez-vous qu’un gouvernement qui recule devant quelques centaines d’agriculteurs armés de tracteurs soit plus déterminé face à des millions d’afro-musulmans en état d’insurrection permanente ? Pour quelques palettes brûlées, la France compte 40.000 voitures incendiées chaque année sans que cela ne suscite de réaction des autorités (lire ici).
Nous avons à faire à la même approche dans le cadre de l’invasion islamique. Le système, face à un acte violent à caractère revendicatif, ne peut pas laisser la population penser que son monopole de la violence, base du droit commun, puisse être contesté. Il s’assure donc de capturer effectivement les djihadistes coupables d’attentats.
Mais ce n’est pas là que se situe le cœur de l’enjeu politique. C’est dans le rapport des élites à la progression démographique et culturelle des musulmans au sein de la société d’accueil.
Et comme lors des affrontements avec les paysans, le gouvernement cède largement. Pour justement éviter l’extension d’un conflit ouvert, jugé trop coûteux politiquement pour les dirigeants, ceux-ci préfèrent organiser leur capitulation après une victoire symbolique, i.e. une arrestation hyper médiatisée de djihadistes.
Mais si l’on prend le temps de regarder le tableau plus général, qu’observent les islamistes et les masses islamo-immigrées ? Plus il y a d’attentats, plus les élites répondent aux exigences des colons africains et orientaux.
N’est-ce pas après les attentats de Charlie Hebdo que le gouvernement français a mis en scène le “doublement des mosquées” en France (lire ici) ?
Le système sacrifie la jeunesse pour sa survie à court terme
La gauche radicalisée – à laquelle appartient le gouvernement – recherche donc par tous les moyens de “bons musulmans” qui leur offrent cette capitulation douce, progressive, exotique qui leur permet de sauver la face.
Des “musulmans républicains” – c’est-à-dire suffisamment patients – qui aideront à exonérer les idéologues de l’égalitarisme et du sans-frontiérisme de leurs responsabilités.
Vous pensez que je me joue de vous ?
Non. Cela va si loin que désormais les doctrinaires du pacifisme en viennent à se demander si les “salafistes non-violents” ne sont pas “des alliés contre le djihadisme”.
Je cite la journaliste gouvernementale Valérie Le Nigen (France Bleu), militante de gauche bon teint, qui écrit dans un article (lire ici) sur le prédicateur salafiste de Brest Rachid Abou Houdeyfa : « Certains imams radicaux sont-ils des remparts contre le terrorisme ? La question est sensible mais mérite d’être posée. »
Les élites au pouvoir posent uniquement la question de l’usage de la violence, pas celles de l’islam radical ou de la submersion culturelle de la société par la démographie islamique.
Comme je le disais, la bourgeoisie dominante est uniquement obsédée par sa survie et le maintien d’un semblant d’ordre légal. Pas par l’invasion victorieuse afro-musulmane.
Et je suis au regret de vous apprendre que la caste politico-médiatique est bien décidée à sacrifier vos enfants pour préserver son statut social. C’est son seul et unique objectif : survivre.
Dans ces conditions, ne doutez pas que nous n’en sommes encore qu’au début de l’horreur. Les mêmes causes engendrant les mêmes conséquences, il faudra encore de nombreux morts avant que les élites progressistes radicalisées ne tombent et que l’envahisseur soit repoussé.
Boris Le Lay
Source : http://borislelay.com
Huit personnes blessées, dont deux professeurs et deux surveillants : c’est le bilan de cette montée de violence survenue lundi matin au lycée Louis Blériot dans la ville colonisée Trappes. Vers 10h20, trois intrus sautent par-dessus les grilles du lycée après avoir été refoulés à l’entrée. Ils sont armés de bâtons et barres de fer et veulent visiblement en découdre avec des stagiaires de l’établissement.
Trois élèves, deux surveillants et deux professeurs écopent de coups de barre de fer en voulant arrêter la bagarre qui éclate. Deux heures plus tard, une quinzaine de racailles se rassemblent devant lycée avec l’intention de se venger. Une quinzaine d’autres voyous afro-maghrébins sortent du square Albert-Camus tout près pour en découdre avec eux.
Arrivés sur place, les policiers sont caillassés, mais parviennent à disperser les groupes hostiles à coups de grenades lacrymogènes et de tirs de flash-ball. Trois racailles, âgés de 17 ans, sont interpellées, dont celui qui a frappé un professeur à coup de barre de fer. Ils ont été placés en garde à vue au commissariat de Trappes.
Source : www.leparisien.fr
Six mois après le déchaînement médiatique en faveur des migrants clandestins, l’ambiance a radicalement changé en Europe. La Pologne vient de faire savoir que, pour ce qui la concernait, l’accueil des migrants n’était plus à l’ordre du jour. C’est le premier État-membre a mettre officiellement un terme à ce processus, largement imposé par l’Allemagne.
Aucun migrant accueilli
“Après ce qui s’est passé hier à Bruxelles, il n’est pas possible en ce moment de dire que nous sommes d’accord pour accepter un groupe quelconque de migrants”, a déclaré le Premier ministre Beata Szydlo à la télévision privée Superstacja.
Le gouvernement polonais précédent avait accepté, sous la pression d’Angela Merkel, d’accueillir environ 7.000 migrants clandestins.
La sécurité des Polonais d’abord
“Nous sommes obligés de veiller avant tout à la sécurité de nos concitoyens” a insisté le chef du gouvernement avant d’appeler l’Europe à refuser d’accueillir davantage de migrants “qui viennent ici seulement pour améliorer leurs conditions de vie”. Parmi ces migrants “il y a également des terroristes”, a-t-elle constaté.
Source : http://breizatao.com
A l'invitation du Parti de la France, dont il est le Président d'Honneur, et du NON (au changement de peuple et de civilisation), Roger Holeindre, Président du Cercle National des Combattants, militant historique de la droite nationale, sera, samedi 23 avril à 12h30, à Ailly-le-Haut-Clocher dans la Somme (entre Amiens et Abbeville) pour un déjeuner-débat où il dédicacera également ses livres.
La participation aux frais est de 25 € (payable sur place)
La réservation est obligatoire au 07.81.69.58.73 ou davidmartin280574@gmail.com
Vous perdez les pédales, Monsieur le Premier Ministre, vous valsez à l’envers, à contresens. Hier, vous avez fait « bêler » toute votre gauche en promettant la déchéance de nationalité et l’expulsion, à l’issue de leur condamnation, aux binationaux, et aujourd’hui, vous souhaitez les conserver en leur promettant la perpétuité… Faudrait savoir à quoi s’en tenir ?
Ne serait-ce pas plus facile de leur offrir le paradis ?
De mémoire d’homme, et depuis la création de notre monde, on n’a jamais vu un pays, une armée gagner une guerre sans tuer ses ennemis.
Il est vrai que la guerre, vous ne savez pas trop de quoi il s’agit.
Vous ne la connaissez qu’à travers les livres d’Histoire, et encore, car cela dépend des livres que vous avez lus et, bientôt, l’Indochine, l’Algérie ne feront même plus partie de notre Histoire.
Une guerre ne se gagne pas avec de belles phrases et des envolées lyriques, mais sur le terrain, avec des armes. Les renseignements ne se quémandent pas avec politesse.
Pouvez-vous m’expliquer à quoi servirait, à la société, d’enfermer à perpétuité un terroriste, un criminel ? Lui permettre de radicaliser d’autres faibles d’esprits et de vivre dans des conditions qu’envieraient nombre de nos « pauvres » : bonne alimentation, bon couchage, bon chauffage, bonne hygiène, médicalisation, sports, télévision, portable, drogue, religion, psychologue, et j’en passe.
Nos valeurs humanitaires ne sont pas compatibles avec la sauvagerie de nos ennemis.
Est-ce avec humanité que nous avons fait la guerre aux nazis ? Est-ce avec humanité que les USA ont mis fin à la guerre avec le Japon et se sont embourbés au Vietnam ? Est-ce avec humanité que nos jeunes soldats se sont fait massacrer en Indochine, à Điện Biên Phủ ? Est-ce avec humanité que l’ALN et le FLN ont fait la guerre à la France et aux Français, et est-ce avec humanité que nous avons gagné la « bataille d’Alger » ? Est-ce avec humanité que l’État islamique et ses satellites violent, décapitent, abattent, explosent ?
Vous voulez gagner cette guerre, alors faites-la.
Ils rêvent d’une vie meilleure au paradis… offrez-la-leur !
Manuel Gomez
Source : http://www.bvoltaire.fr
Dans un entretien accordé à un média américain, le candidat aux primaires du Parti Républicain, Donald Trump, n’a pas écarté l’usage de l’arme nucléaire contre l’État Islamique.
« Ils doivent nous respecter. Ils ne nous respectent pas du tout et franchement ils ne respectent pas beaucoup de choses qui se déroulent en ce moment – pas seulement notre pays, mais ils ne respectent pas d’autres choses… La première chose que vous devez faire c’est de les faire respecter l’Occident et de les faire nous respecter. Et s’ils ne nous respectent pas, cela ne marchera jamais. Cela se passe depuis très longtemps. Je ne pense pas que l’on puisse faire quoique ce soit et je ne pense que l’on aura du succès sans qu’ils ne nous respectent. Ils n’ont aucun respect pour notre président et ils n’ont pas de respect pour notre pays actuellement. »
Interrogé sur la possibilité d’utiliser l’arme nucléaire contre l’État Islamique, Donald Trump a répondu : « Je n’écarte jamais rien, je ne répondrai pas. Même si je ne voulais pas le faire, je ne vous le dirais pas parce qu’au minimum je veux qu’ils pensent que nous pourrions l’utiliser. Nous avons besoin d’imprévisibilité. Nous ne savons pas qui sont ces gens… Ceci étant dit, je n’écarte rien. »
Source : http://breizatao.com
Quelques heures après les attentats à Bruxelles mardi 22 mars, plusieurs centaines d'abrutis ont maculés le sol de la place de la Bourse de messages à la craie plus débiles les uns que les autres : « Islam is not terrorism », « Pis and Love », « Man Can Peace » (en référence à la célèbre statue belge du Mannenken-Pis), etc.
Face à une réaction aussi virile et guerrière, nul doute que Daech doit trembler de trouille.
A Paris ou à Bruxelles, les gauchistes ethnomasochistes sont les mêmes, des fiottes islamo-collabos déconnectées du monde réel, affligeant symbole d'une Europe décadente et agonisante qui se regarde mourir en trouvant des excuses à ses bourreaux.
Federica Mogherini, la chef de la diplomatie de l’Union européenne, a fondu en larmes lors d’un discours quand elle a évoqué les attaques terroristes belges à l’aéroport de Zaventem et dans la station de métro Maelbeek.
Pourtant, ces attaques répétées sont la résultante de la politique criminelle menée par les différents gouvernements européens, notamment en Libye, en Syrie et en Irak. C’est l’Union européenne et ses différents pays, principalement la France, l’Allemagne et l’Italie, qui ont ouvert grand les bras à un torrent migratoire qui charriait nécessairement des milliers de terroristes infiltrés.
L’Europe pleure quelques dizaines de morts. L’Orient en pleure des dizaines de milliers, par la faute de votre administration criminelle Mme Mogherini. Cachez donc vos larmes, elles sont une insulte pour les morts, leurs familles, et tous les citoyens.
Source : http://www.medias-presse.info
Xavier Raufer explique à Boulevard Voltaire pourquoi le système antiterroriste français est inefficace, et l’urgence à le simplifier. Édifiant !