La liste Vénissieux fait Front validée !
Toutefois, l'anti-nationaliste enragé Carenco, préfet de Rhône-Alpes, a saisi le procureur pour tenter de contester quand même la liste menée par Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac.
Président du Parti de la France
Résultat pour “carenco”
Toutefois, l'anti-nationaliste enragé Carenco, préfet de Rhône-Alpes, a saisi le procureur pour tenter de contester quand même la liste menée par Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac.
Après la répression, après la police politique, après les violences, après la dissolution, après les menaces d’invalidation de liste, le préfet socialiste du Rhône, Jean-François Carenco, s’est lancé dans une nouvelle bataille contre les nationalistes. Incapable d’empêcher les nationalistes de se présenter, il avait assisté surpris et haineux à l’élection de deux d’entre eux à la mairie de Vénissieux en mars dernier. Il veut désormais s’opposer au libre choix de la population vénissiane et empêcher Yvan Benedetti et sa colistière, élus avec plus de 10 % des voix, de siéger au conseil municipal. Il a saisi lui-même le tribunal administratif pour faire invalider leur élection.
a simplement commenté Yvan Benedetti.
La semaine dernière, lors d’une conférence de presse, Jean-François Carenco, Préfet de la région Île-de-France, a fait dans la grande classe républicaine. « Je vais installer des centres. Beaucoup gueulent (sic) pour la forme. Je m’en fous (sic). Les gens ont peur de tout. On verra qui râlera vraiment lorsque ce sera fait et combien de temps. »
L’avertissement semble bien valoir pour « ceux qui disent n’importe quoi, groupes de pression et d’influence », comme pour les maires. « Ils sont minoritaires », estime-t-il.
Il existe ou existera 79 centres d’hébergement dans toute l’Ile-de-France. Le département des Yvelines devrait en compter cinq ou six. Plus globalement pour le département, le préfet de région se dit prêt à « passer outre l’avis des maires. Les réunions qu’ils ont eues avec le préfet des Yvelines n’ayant pas abouti. » Nul n’en saura plus. Hors de question de livrer la liste des sites choisis. « Je veux que cela se fasse dans la sérénité. Arrêtons d’attiser les haines. Je ne veux pas que tout le monde aille les photographier, les filmer. »
Dans la méthode, Jean-François Carenco veut avancer « le plus vite possible. Je peux utiliser des anciens hôtels, des anciennes casernes de gendarmerie, faire installer des structures modulaires ». Le champ des possibles est presque sans limite pour une raison. « L’Europe va très mal, mais elle attire. Et si d’autres migrants arrivent, nous les prendrons. Le flux risque d’augmenter ? Ce n’est pas un problème. Le monde est comme ça. »
« Il s’agit de jeunes hommes plutôt en bonne santé. Ils apprennent vite et sont motivés. Beaucoup ont travaillé dans le bâtiment. Peut-être pourront-ils servir la construction du Grand Paris ? » ose-t-il dire alors que des millions de Français sont au chômage.
A noter que Monsieur Carenco est un serviteur zélé de l'État socialiste et surtout un adversaire acharné des nationalistes français, voir ici, ici ou ici
Source : http://www.78actu.fr/migrants-le-prefet-de-region-ils-gueulent-je-m-en-fous_42751/
Monsieur Jean-François Carenco a été nommé Président de la Commission de régulation de l’énergie par décret du Président de la République du 16 février 2017. Et il ne semble pas vraiment apprécier les Français amoureux de leurs paysages… Voici ce qu'il a rageusement déclaré : « Que ceux qui ne veulent pas d'éoliennes soient privés d'électricité ! »
Pour rappel, cet ancien préfet du Rhône, véritable militant anti-français, avait été en pointe dans la persécution des nationalistes dans son département (voir ici).
Source : http://lalettrepatriote.com
Malgré les centaines d’incendies criminels, d’agressions, de pillages, de dégradations commis en France lors du précédent match de l’Algérie pour la Coupe du monde, il n’y avait eu quasiment aucune interpellation. Un rassemblement antiracailles avait été annoncé à Lyon pour ce jeudi à 22 heures, place Gabriel Péri au Métro Guillotière, pour s’opposer aux agressions prévues des occupants lors d’un nouveau match de l’Algérie, pour éviter la survenue de crimes et délits.
Le groupe Lyon nationaliste avait annoncé sa participation, comme le fondateur des Jeunesses nationalistes (JN) Alexandre Gabriac. Le préfet antifasciste Jean-François Carenco, qui s’est déjà illustré dans le passé par son soutien aux racailles et sa haine de la France, a interdit le rassemblement hier.
Yvan Benedetti a été condamné mardi 15 décembre à 5.000 euros d’amende et 2.500 euros de dommages et intérêts par le tribunal correctionnel de Lyon.
C’est la somme astronomique de 7.500 euros que le directeur du site Jeune Nation doit débourser, reconnu coupable par la République socialiste « d’injures publiques », après avoir comparé dans un article Jean-François Carenco, alors préfet du Rhône, à « un agent officiel de l’anti-France à Lyon ».
Une simple critique sans insultes envers des agents du système est désormais passible d’une lourde amende pour les nationalistes !
Source : http://lorrainenationaliste.com
A très peu
Contre presque tous
Pour tous !
Le tribunal adminstratif de Lyon vient de rendre son verdict. Il va au-delà de la demande du rapporteur public.
Non seulement l'élection de Vénissieux est annulée et nos mandats suspendus mais il déclare notre inéligibilité pendant un an. D'ores et déjà nous ne pouvons plus siéger au conseil municipal de Vénissieux.
Après l'interdiction de l'Œuvre française, mouvement que je préside, par la dictature socialiste en place, ce jugement et l'invalidation de mon mandat de conseiller municipal bénévole constitue un nouvel acte de forfaiture. Il confirme que nous sommes, nous nationalistes, la seule alternative au Système. D'autant plus que, dans cette affaire, nous avions contre nous tout à la fois le pouvoir et son représentant servile le préfet Carenco, la fausse opposition UMP mais aussi la Le Pen qui s' était jointe au représentant du ministère de l'intérieur pour demander l'interdiction de notre liste.
Comme toujours nous sommes seuls contre tous. Là est notre honneur, là est notre fidélité.
Tout ceci n'est qu'une petite étape sur le long chemin de la délivrance. Chaque coup qu'ils nous portent renforce notre détermination. Nous sommes la France renaissante en marche. Inexorablement !
En avant la victoire ! Maîtres chez nous !
Yvan Benedetti
Sans surprise, les occupants ont multiplié les exactions hier soir, après la qualification de l’équipe d’Algérie face à la Russie pour les 8e de finale de la Coupe du monde de football. D’innombrables incendies criminels ont été signalés (voitures, poubelles) ainsi que de nombreuses dégradations, à Roubaix, en banlieue parisienne, à Lyon, Nantes, Grenoble, etc., par les témoins sur les réseaux sociaux, et même par quelques journalistes (Dauphiné Libéré, RTL). Comme dimanche dernier, les racailles ont interrompu la circulation automobile (voitures et transports en commun) et ferroviaire (SNCF et métro) dans de nombreuses villes, sans susciter de réaction des forces de police qui avaient ordre de laisser faire. Tard dans la nuit, les forces de l’ordre ont fait évacuer les centres-ville souillés, affrontant parfois la violence des racailles algériennes. Parmi les agressions, des motards de la police nationale ont été caillassés à Marseille, entraînant une charge de CRS.
Comme dimanche dernier et comme pour le prochain match, le gouvernement d’occupation et ses relais, comme l’ami des racailles le préfet Carenco à Lyon, ne diffuseront aucun communiqué officiel pour faire état des faits survenus dans la nuit et de leur coût pour la collectivité. Dans l’agglomération lyonnaise au moins quinze véhicules détruits avaient déjà été répertoriés hier.
Le préfet socialiste du Rhône, Jean-François Carenco, n’en finit plus de faire parler de lui. Obsédé par la lutte contre les nationalistes, il a dépassé les bornes dimanche en faisant pression sur des journalistes pour qu’ils arrêtent simplement de parler à des personnalités politiques.
Un journaliste de Lyon Info a ainsi rapporté que le préfet l’avait interpellé pour lui dire : « Je ne savais pas que vous fricotez avec Gabriac. Vous me décevez » avant de revenir et de lui jeter : « Je ne vous parle plus ». Ce comportement inadmissible de la part d’un haut fonctionnaire de l’État n’a pas été sanctionné par son maître, tout comme lui inféodé aux ennemis de la France, Manuel Valls.
Dimanche soir également, le préfet s’est invité dans la campagne à Vénissieux, affirmant qu’il ferait tout pour interdire la liste nationaliste et l’empêcher d’être au second tour malgré le vote des habitants. Après plusieurs semaines de mensonges, colportés par ses services et de nombreux médias, ce militant politique a dû reconnaître qu’aucun « délit pénal n’était constitué ». Malgré toute sa haine de marxiste fanatique, il a été contraint de valider la liste Benedetti-Gabriac pour le second tour.
Des racailles du quartier occupé des Minguettes à Vénissieux, près de Lyon, ont organisé deux nuits d’émeute durant les nuits de vendredi à samedi puis samedi à dimanche, nuit durant laquelle une quinzaine de véhicules ont notamment été incendiés. La situation a dégénéré après un accident entre une voiture sans permis conduite par un homme qui avait bu et un motard qui roulait sans permis. Ce dernier a été grièvement blessé dans la collision. Les familles des deux protagonistes se sont affrontées alors dans la rue et se sont retournées contre les policiers lorsque ces derniers sont intervenus. Quatre policiers ont été blessés.
La préfecture n’a mis en place qu’un dispositif « léger » pour tenter de « ne pas envenimer la situation ». L’homme qui laisse agir les racailles en toute impunité, le
préfet Jean-François Carenco, est celui qui a lancé les procédures de dissolution contre l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes (JN). C’est bien l’attitude des autorités qui est en
cause dans les violences, puisqu’il y a eu « durant la nuit deux vagues d’incidents, une première au milieu de la nuit durant laquelle des voitures ont commencé à brûler, puis une deuxième
lorsque le dispositif policier a été allégé » selon une source policière.
Le gouvernement n’a pas réagi à ces faits alors qu’il y a quelques jours, le sous-ministre François Lamy s’était justement rendu à Vénissieux pour commémorer la « marche pour l’égalité et
contre le racisme » de 1983.
Pour la troisième nuit en un mois, les occupants algériens ont organisé des émeutes à travers le pays. Les autorités avaient mobilisé un dispositif jamais vu pour ce type d’opération, avec plus de 25.000 membres des forces de l’ordre sur le terrain. Une partie des policiers et gendarmes avait pour mission d’empêcher les Français de s’opposer et de se protéger des dégradations, agressions, et autres crimes des occupants, comme à Lyon où plusieurs dizaines de personnes ont été arrêtées durant un rassemblement où se trouvait notamment le fondateur des Jeunesses nationalistes Alexandre Gabriac. Environ 300 personnes s’étaient retrouvées selon le témoignage de personnes présentes.
Plusieurs dizaines de nationalistes arrêtés, c’est beaucoup plus que le nombre de criminels algériens ces trois dernières nuits d’émeutes : Jean-François Carenco, le « préfet des racailles » tient à honorer son surnom.
Pendant ce temps-là, la racaille afro-maghrébine brûlait des voitures, comme à Vénissieux.
Personne n’en saura plus : le préfet aux ordres de Manuel Valls fait suivre les consignes pour cacher la vérité aux Français :
« Le permanent presse de la Police a eu instruction de ne plus communiquer à Lyon Capitale. Les pompiers signalent « une activité croissante » depuis la fin du match Algérie/Allemagne. Mais « des instructions » empêchent notre interlocuteur de donner plus d’informations. » a ainsi fait savoir Lyon Capitale.
Grâce à l’important dispositif policier, les incidents paraissent avoir été contenus hors des centres-ville, permettant de largement restreindre la diffusion des images de voitures brûlées, caillassages de pompiers, etc. Parmi les rares informations disponibles cette nuit : une dizaine de voitures ont été incendiées à Roubaix, une autre dizaine à Grenoble et aux alentours, ce qui laisse présager à l’échelle de la France un bilan comparable aux deux premières nuits d’émeutes. Des incidents ont été signalés partout en France, comme à Nantes.
Il est probable que les médiats étrangers notamment retiendront le calme qui a régné sur les Champs-Élysées où plusieurs centaines de policiers étaient présents, au détriment du reste de la capitale.
Se complaisant dans son rôle de président niais et incapable, François Hollande, alors que de désastreux chiffres du chômage, de la dette publique et de l’insécurité sont communiqués, passait son temps à regarder des matchs de football à la télévision.
L’inscription d’Alexandre Gabriac sur les listes électorales de Vénissieux avait suffit à mettre en branle une police lyonnaise aux ordres et abois. La Tribune de Lyon révélait alors que « l’affaire était suivie de près » par les représentants du ministère de l’intérieur.La seule inscription sur les listes était déjà en soi constitutive d’une « affaire »… Sa seule inscription suffisait déjà à faire trembler le système.
Le dépôt de la liste Vénissieux fait Front qui s’en suivit, dont la presse locale prédisait le rejet par le préfet, sous-entendant un défaut de conformité de la liste a priori, ou un défaut d’objectivité réputé du représentant de l’État, poussait la police politique à passer d’un simple suivi, à des actes de persécutions systématiques. Que le peuple se présente contre le système semble intolérable aux chantres de la démocratie. La liste étant conforme en tous points au code électoral, du propre aveu du préfet socialiste Carenco, ils ont alors fait pression sur nos colistiers afin de les retourner contre nous, et créer la faute qui n’existait pas, selon le bon vieux système socialo-communiste.
Après les appels téléphoniques passés par le Directeur du Préfet aux colistiers, succédèrent les convocations au poste de police. Les Vénissians apprécieront que rien ne paraisse plus urgent aux forces de police que de persécuter ceux qui ont le courage de s’engager pour le bien public, plutôt que de persécuter ceux qui le détériorent. Est-il tolérable que l’on traite avec des méthodes de voyous d’honnêtes gens ? Il s’agit là de toute évidence d’un usage à tout le moins contestable de l’autorité dont sont dépositaires les garants de l’ordre et de la sécurité publics afin d’exercer une pression psychologique dans le but précis d’interdire à Yvan Benedetti, élu conseiller municipal depuis six ans, de pouvoir se représenter.
Quelle ironie grossière que d’avoir ouvertement recours aux méthodes d’une dictature socialo-communiste, au nom de la démocratie ! Le masque tombe, le système se dévoile et fait démonstration de ce que nous dénonçons, démontrant de fait la nécessité de notre liste, contre leur système.
Le fondateur des Jeunesses nationalistes (JN) a été condamné ce jeudi à deux mois de prison et 4.000 euros d’amende pour une prétendue « manifestation interdite » le 29 septembre 2012 à Paris. Alors que tous les rassemblements du mouvement nationaliste s’étaient jusque-là déroulés dans le calme le plus parfait, le préfet antifrançais de Lyon Jean-François Carenco avait commencé à interdire arbitrairement les manifestations des Français, rapidement suivi par son congénère de Paris, sur les ordres directs de Manuel Valls et de lobbies étrangers.
La répression et les actes dictatoriaux ne faisaient que commencer : moins d’un an plus tard, prenant le prétexte d’une agression d’un gang antifasciste contre des patriotes, dont aucun n’était membre des Jeunesses nationalistes, Manuel Valls avait fait interdire le mouvement ainsi que l’Œuvre française.
Le jour et à l’heure dits de la manifestation interdite, Alexandre Gabriac se trouvait dans un bar éloigné du lieu de rassemblement prévu avant l’interdiction. C’est alors que d’importantes forces de leur police politique avaient surgi et avaient violemment agressé le chef des Jeunesses nationalistes. Interpellé, il avait été placé durant de longues heures en garde à vue.
À travers la capitale, la tchéka avait raflé tout ce qui ressemblait à des patriotes, soit 57 personnes en tout, sans raison, et aucune n’avait été poursuivie.
La manifestation interdite avait pour but de dénoncer les zones de non-droit et le racisme anti-blanc. Les nationalistes savent aujourd’hui qu’à la longue liste des cités occupées il faut ajouter les tribunaux qui devront eux aussi être délivrés d’une présence antifrançaise particulièrement nocive et désastreuse pour notre pays. Rappelons que ce sont des juges parisiens qui, il y a quelques jours, ont fait relâcher deux islamistes partis égorger des innocents en Syrie avec l’État islamique (ÉI).
Source
En bon technocrate, Cazeneuve pensait avoir résolu le problème de Calais… lors de sa huitième visite. Lui qui avait promis, lors de la septième, que la jungle, diminuée en surface de moitié, serait réduite à 2.000 clandestins… Manque de chance, quelques semaines plus tard, il y en avait 10.000, et le plus grand bidonville d’Europe était au bord de l’explosion.
Notre inimitable ministre de l’Intérieur avait donc décidé d’organiser, dans toute la France, un véritable coup d’État migratoire. Cela consistait à répartir 12.000 illégaux, en fixant un quota par régions : 1.484 pour la Nouvelle-Aquitaine, 1.006 pour les Hauts-de-France, 1.175 en PACA, etc. Charge aux préfets, qui avaient ordre de contourner les maires, de se débrouiller dans leur département pour répartir dans les villes et villages les nouveaux venus, en fonction des lieux disponibles : anciennes casernes, écoles fermées, lieux publics réquisitionnés, voire parfois châteaux !
Malheureusement, la propagande a beau raconter partout qu’en période de chômage de masse, de déficit qui s’aggrave et de risques extrêmes d’attentats islamistes, ces migrants – majoritairement hommes seuls musulmans — sont une chance pour la France, cela ne passe toujours pas dans l’opinion. Plus grave : la résistance s’organise, contre ce qui est considéré comme un coup de force socialiste contre le vivre ensemble à la française.
Ainsi, le 7 septembre, à Forges-les-Bains, petite ville de l’Essonne de 3.700 habitants, une réunion avec les autorités locales a regroupé 500 personnes, très en colère qu’on puisse leur imposer 91 Afghans et Soudanais, âgés de 18 à 40 ans.
À la grande fureur du préfet de l’Île-de-France Carenco, le lieu prévu pour accueillir ces nouveaux venus a même été partiellement incendié.
À Saint-Denis-de-Cabanne, petit village de 1.300 habitants situé près de Roanne, le sous-préfet venu expliquer aux habitants les bienfaits de l’accueil temporaire – ben voyons – de 80 migrants a été conspué et a vu un pétard exploser à ses pieds, lors de son départ précipité. Le procureur de la République ne pouvait laisser passer un tel affront. Il a décidé d’ouvrir une information judiciaire pour incitation à la haine raciale !
À Allex, petite ville de la Drôme de 2.000 habitants, c’est carrément dans le superbe château de Pergaud que les autorités ont décidé d’installer 50 clandestins. Devant la colère du Collectif pour la sauvegarde d’Allex (CSA), le maire a décidé, à la grande fureur du préfet, d’organiser un référendum local – que les gauchistes locaux disent illégal – le 2 octobre prochain.
Du vendredi 23 septembre – rassemblement parisien à 19 heures au Trocadéro – au samedi 8 octobre – manifestation dans les rues de Montpellier par la Ligue du Midi -, une Quinzaine « Sauvons notre pays, refusons l’invasion migratoire » est organisée, partout où cela est possible, par des gens aussi différents que le SIEL, la Ligue du Midi, Viviers Bleu Marine, Riposte laïque, Civitas, le Parti de la France, Résistance républicaine et d’autres associations plus locales. À ce jour, quinze initiatives sont programmées.
Partout s’exprime massivement, dans les réunions publiques et sur les marchés, le refus du coup d’État migratoire de Cazeneuve.
Abandonnés par un pouvoir dont la politique se résume à « Tout pour les migrants, rien pour les sans-dents », les Français des zones rurales commencent à comprendre que seule leur mobilisation leur permettra de préserver leur mode de vie.
Qu’ils s’organisent au plus vite, car ces 12.000 migrants de Cazeneuve ne sont que les premiers d’une longue série, et tous les villages sont menacés par la folie immigrationniste de nos dirigeants…
Pierre Cassen
Source : http://www.bvoltaire.fr