Le blog politique de Thomas JOLY
Président du Parti de la France
Un peu de poèsie
Justice !
Salut à toi catin, parée du mot « justice » !
Salut à tes suppôts par ton nom protégés !
Ta balance est aussi trompeuse que factice ;
Par sa faute ma plume en devient enragée.
Tu défends sans rougir ce vil écrivaillon
Dont la prose défie les cris de ses victimes !
Face à ce grand ministre, un bambin en haillons
Est certes peu puissant : qu’importe donc le crime ?
Il y a quelque temps, certain prédécesseur
Dut quitter des quartiers qu’on disait imposants,
Laissant là ses fonctions pour sauver son honneur.
Si un Gaymard l’a fait, qu’attends-tu Mitterrand ?
Qu’attends-tu pour entrer dans ta sombre cellule,
Profiter des bienfaits semés par ta largesse ?
Cette fois plus de gosses, mais de noirs hercules
Te feront oublier et Culture et richesse !
Entre donc, ne crains pas de prendre ainsi la place
De mes deux vieux amis enfermés sans raison !
Quoi, tu geins et tu cries, quand eux restent de glace ?
A ton avis lequel est chez lui en prison ?
Mais ma plume s’emporte, pardon grand ministre
De semer dans ces vers un ferment de discorde !
C’est que réflexion faite, une geôle sinistre
T’est bien moins nécessaire qu’un morceau de corde…
Il s'agit d'un débat sur le métissage national
Le débat sur l'identité nationale lancé par Eric Besson, sur ordre de Nicolas Sarkozy, n'est pas seulement une stratégie pour récupérer des voix au FN, mais est
surtout une opération de propagande sur le métissage. Le ministre l'a déclaré lui-même :
"La lettre de mission que j’ai reçue du président me dit : “Notre nation est métissée. L’immigration constitue une source d’enrichissement permanent de notre identité nationale”. On a un président de la République qui a dit : “Je suis un homme de sang mêlé à la tête d’une nation métissée"."
Polémia précise :
C’est là une constante de l’opinion de Nicolas Sarkozy, dont la seconde
femme, Cécilia, se flattait «de n’avoir pas une goutte de sang français». Dans son livre-programme de juillet 2006, Nicolas Sarkozy écrivait, lui (p. 280) : «Je pense que les
Français attendent une France d’après. (…) C’est une France où l’expression “Français de souche” aura disparu.» [...] Dans cette même veine, Nicolas Sarkozy a déclaré, le 17 décembre 2008, à
Polytechnique, temple du mérite républicain : «L'objectif, c'est relever le défi du métissage. (…) Ce n'est pas un choix, c'est une obligation.[...]»
François Fillon n’est pas en reste : à La Réunion, le 9 juillet 2009, il a parlé «d’une France unie, une France multicolore, qui n’a jamais eu d’autre drapeau que le drapeau tricolore [sic !] (…) Une France qui poursuit son travail millénaire de métissage.» [Re-sic !]. Quant à Jean-François Copé, il a précédé le grand débat annoncé sur l’identité nationale par cette déclaration au Monde, le 17 octobre 2009 : [...] «Que l’on arrête de faire croire à nos enfants que nos ancêtres étaient tous des Gaulois.»
Pour Polémia, ce grand débat est une façon d'enterrer ce qui fait l'identité de la France : son ethnie, sa catholicité, son histoire, sa culture, sa langue. Nicolas Sarkozy devrait se méfier, lui qui déclarait à Ryad, le 14 janvier 2008 :
"Mes chers amis d’Arabie Saoudite, il ne s’agit pas de chercher à imposer un modèle unique de civilisation. (…) Ce serait nier les identités. (…) Rien n’est plus dangereux qu’une identité blessée, une identité humiliée."
J'enfume les Picards : le site de Claude G.
Les petites combines de l'ambitieux Thibaud Viguier


A noter enfin que l'insatiable Viguier lorgne avidement sur le canton de Beauvais-Nord-Est , renouvelable en 2011, où il compte bien envoyer à la retraite le vieillissant Henri Bonan, conseiller général sortant. Enfin, d'ici à ce qu'il se débarrasse en prime de l'imbuvable Sylvie Houssin sur Beauvais, il n'y a pas loin non plus. Décidément on peut dire que cet alimentaire de la politique a les dents longues...
La Seine-Saint-Denis en chiffres

- Département de 1,5 million d'habitants
- Entre 1999 et 2006, le nombre d'étrangers y a progressé de 22,4% contre une augmentation de 3,7% de Français
- entre 1999 et 2006, la Seine-Saint-Denis a absorbé autant d'étrangers que tous les autres départements d'Ile-de-France réunis, en dehors de Paris
- Dans certaines villes, la proportion d'étrangers dépasse désormais les 30% : Clichy-sous-Bois (37,2 %) ou Aubervilliers (34,6 %).
- Entre 100 000 et 300 000 sans-papiers
- 1 472 agressions recensées en 2008 contre 1 137 en 2005
- 50 000 allocataires du RSA
- 12% de la population qui bénéficie de la couverture médicale universelle (CMU)
Enfin, voici une citation du Monde :
"à Aulnay-sous-Bois, Villetaneuse, Clichy, La Courneuve, Stains, Montfermeil, Aubervilliers, notamment, certains quartiers se ghettoïsent et ne comptent quasiment plus de "Blancs". Uniquement des Maghrébins ou des Noirs, parfois des Asiatiques."
On remarque que seul, le terme "blanc" est entre guillemets.
Eric Besson au pays imaginaire de l’identité nationale (par Patrick Parment)
Eric Besson, sous ministre de l’Immigration et non de la déportation, veut relancer
le débat sur l’identité nationale. On lui souhaite bien du plaisir avec les seuls arguments dont il dispose, vu l’encadrement du sujet par la Halde, la Licra, SOS-Racisme, la Ligue des droits de
l’homme, j’en passe et des meilleurs, à savoir tout le lobby immigrationniste qui a pignon sur rue sans que le ministre de l’Intérieur, Hortefeux, ne bouge le petit doigt. Ajoutez à cela la horde
de tous les naïfs qui s’imaginent que les immigrés vont payer nos retraites, eu égard au déficit démographique, et vous aurez, grosso modo fait le tour de la question.
Une réponse sérieuse à cette question irait inévitablement à l’encontre de toute
l’idéologie dominante. Et, depuis que l’on a substitué le droit du sol au droit du sang, l’identité française a perdu tout son sens. La France est un vaste no man’s land autant qu’une curiosité
gastronomique.
Donc, nous sommes curieux de voir ce qui va sortir des éprouvettes du sieur Besson, singulier personnage d’ailleurs, qui vient de larguer femme et enfant pour se mettre à la colle avec une fort jeune tunisienne qui de près ou de loin appartient au clan Bourguiba.
Monsieur Besson nous parlant d’identité nationale, c’est un peu comme Frédéric Mitterrand nous vantant les mérites de la Thaïlande et de ses boxeurs de 40 ans !
L'heure n'est pas au débat sur l'identité nationale mais à la défense de l'identité française
Communiqué du Parti de la France
Le ministre de l'immigration, monsieur Besson, prétend vouloir « un débat avec les parlementaires sur l'identité nationale ». Un tel débat revient à demander à une assemblée de pyromanes de débattre de la lutte contre les incendies de forêts.
Depuis 30 ans les partis du système mènent des politiques migratoires qui ont pour effet la destruction de notre identité nationale, la dissolution du peuple français, l'abandon de la souveraineté nationale, l'insécurité généralisée et la ruine de notre système de protection sociale.
Carl Lang et Le Parti de la France réaffirment les droits du peuple français à rester lui-même et à disposer de lui-même ainsi que le droit de la France à défendre ses valeurs de civilisation héléniques, latines, humanistes et chrétiennes et à préserver son héritage historique et culturel.
Pour le peuple français qui n'a pas besoin d'un débat pour savoir qui il est et d'où il vient, le temps est venu de la défense de son identité française et de la résistance à la colonisation et à la destruction de la France.
"Ma petite entreprise, elle connait pas la crise !" (Nicolas S.)
Six mois de présidence française de l’Union
européenne = 171 millions d’euros
La Cour des comptes vient de décortiquer l’ensemble des dépenses engagées lors de la présidence française de l’Union européenne, l’année dernière. Et il ressort selon quelques fuites du rapport qu’en six mois, la présidence française a dépensé la bagatelle de... 171 millions d’euros. Soit la modique somme d’un million par jour !
La Cour des comptes s’interroge dans son travail, avec ce langage technocratique
non dénué d’humour, sur certaines opérations comme par exemple « la multiplication et le coût parfois élevé des opérations » (sic), ou le caractère « parfois dérogatoire voire
irrégulier, des procédures suivies »… La Cour des comptes souligne notamment que la présidence française a organisé un peu trop de réceptions, et note « un coût parfois élevé »
(re-sic) des dites réceptions.
A titre d’exemple, l’institution cite le sommet pour la création de l’Union pour la Méditerranée (projet au demeurant très… européen), qui s’est déroulé en juillet dernier. La note est salée : 16,6 millions d’euros, qui auront été dépensés en… deux jours par l’Etat français. Donc par les contribuables.
Qui a parlé de déficit budgétaire chronique dans notre pays ? Pendant que Sarkozy trinque dans le grand monde, les Français boivent la note sociale et fiscale !
Réunion avec les jeunes Amiénois du Parti de la France

Après les avoir remercié pour leur participation active à la campagne pour l'élection cantonale partielle de Moyenneville, j'ai abordé les prochaines élections régionales où je compte bien laisser une large place aux jeunes sur la liste que je ménerai.
D'autres sujets ont été abordés comme le Congrès du 8 novembre auquel est attendu un nombre important de Picards qui se mobilisent fortement pour cet événement, le matériel de propagande (nouveaux autocollants, affiches, tracts), le camp d'été du Renouveau Français où quelques jeunes amiénois du PDF ont participé début septembre et enfin l'actualité politique tant locale que nationale.
C'est très déterminée et très motivée que la jeune garde amiénoise du Parti de la France s'investira dans les prochains combats politiques à venir afin d'insuffler un espoir de renouveau pour la droite nationale dans notre région.
Devoir de mémoire : la barbarie communiste
Métier d’avenir : médiateur en interculturalité et vivre-ensemble
Kadiatou Diabira est depuis 2006 « adulte relais » à
la Préfecture de Paris, « chargée de médiation et d’accompagnement » à « Entraide et Espoir », une association du XIXe arrondissement qui accueille à 80% des Noirs africains, et
à 20% des Maghrébins et des Antillais.
« Notre but est d’améliorer le lien social et le bien vivre ensemble, car nous avons constaté que beaucoup de gens sont isolés. Avec les jeunes ados de 12 à 18 ans, nous avons mis en place un projet intitulé « inter culturalité » dont le propos est « la culture de mon pays d’origine ». »
Madame Diabira est assistée de Madame Sako, traductrice, qui parle tous les dialectes de l’Afrique subsaharienne : le bambara, le malinké, le diaranké et le soninké. Elle est également conseillée par Monsieur Timera, actuellement à la recherche d’un emploi de médiateur formateur. «Il connaît les coutumes ancestrales de l’Afrique qu’il veut enseigner aux enfants africains ainsi qu’aux Européens de souche».
Conclusion de la journaliste™, Nadia Méhouri : « Kadiatou Diabira et son association Entraide et Espoir font partie des richesses du 19ème arrondissement ».
La tiers-mondisation de la France constituant un enrichissement, l’article de Nadia Méhouri ne précise toutefois pas le coût en subventions diverses de cet « enrichissement », ni si les Européens peuvent bénéficier des conseils de Madame Diabira en matière de logement, allocations et aides variées.
Économie sociale et solidaire : une fumisterie
Été présenté au vote à l'assemblée régionale, vendredi 23 octobre, le
plan régional de développement de l’économie sociale et solidaire, voici l'intervention que j'ai faite au nom du groupe Patrie et Liberté :
"On pourra dire que durant tout le mandat, l’exécutif socialo-communiste de notre région n’aura pas été avare de plans ou de schémas plus flous et verbeux les uns que les autres, bourrés de vœux
pieux et d’incantations censés camoufler le vide sidéral en matière de propositions et de réalisations concrètes.
Concernant la fameuse économie sociale et solidaire, le postulat de départ est tout de même édifiant puisque, de l’aveu même de votre document, il n’existe pas de définition satisfaisante de ce fourre-tout très tendance. Du kolkhoze soviétoïde à la libre entreprise en passant par l’inévitable développement durable (à la définition tout aussi obscure) ou encore les emplois-solidaires rossignolesques, tout y passe.
Le tout est bien sûr décrit avec un vocabulaire pompeux chargé d’étoffer un plan des
plus confus qui ressemble plus à un exercice d’autosatisfaction béate exagérément optimiste qu’à une réelle ébauche de solution pour sortir les Picards du marasme économique actuel. Une crise
économique et sociale, rappelons-le, dont les euro-mondialistes de l’UMPS et les altermondialistes excités d’extrême-gauche sont en grande partie complices voire responsables.
Alors que, dans notre région bientôt industriellement sinistrée, pas une semaine ne passe sans qu’une ou plusieurs entreprises ne ferment ou licencient massivement, plongeant des familles entières dans la précarité et de sombres perspectives, votre plan régional de développement de l’économie sociale et solidaire apparaît bien dérisoire et utopique. De plus, aucune étude macroéconomique sérieuse et complète ne prouve que l’économie sociale et solidaire, présentée comme la panacée et l’avenir radieux pour tous, crée véritablement de l’emploi. Je parle d’emplois réels, pas d’emplois associatifs bidons payés avec l’argent du contribuable.
Les 100 000, au bas mot, chômeurs picards attendent sûrement plus qu’un
énième plan destiné à ravir le bobo-gaucho privilégié qui s’émoustille dès qu’on prononce les mots « durable », « solidaire », « cohésion sociale », « citoyen », « éco-responsable » ou autre
formule vide de sens. Nous aurions évidemment aimé entendre des mots comme « national », « populaire », « social », « protectionnisme », « identité », mais il ne faut pas rêver non plus.
Votre éco-région solidaire repose sur du vent qui ne mérite même pas d’être brassé par une éolienne. Tout ceci n’est que poudre aux yeux et cache-misère de la part d’un exécutif de gauche impuissant mais qui veut surtout paraître et communiquer à la veille des prochaines élections régionales sur un bilan pourtant calamiteux depuis 2004.
Comme vous pouvez assez aisément l’imaginer, le groupe Patrie et Liberté va voter contre cette énième fumisterie qui n’apportera rien aux Picards mais qui leur coûtera immanquablement de l’argent
(pas moins de 155 millions d'euros !)."
Tremblez fachos, la racaille va s'occuper de vous
Source
Anne Lauvergeon : le racisme anti-blancs et le sexisme proclamés de la présidente du groupe industriel français Areva


A l'occasion du cinquième “Women's forum global meeting” qui s'est déroulé à Deauville du 15 au 17 octobre derniers, Anne Lauvergeon, actuelle présidente du directoire d'Areva, ancienne secrétaire générale adjointe de l'Elysée et “Sherpa” de François Mitterrand pour les sommets internationaux a déclaré :
“A compétence égale, et bien, désolée, on choisira la femme ou l'on choisira la personne venant d'autre chose que le mâle blanc, pour être clair.”
Figure emblématique de la nomenclatura économique et politique des ultra-privilégiés de gauche de la France d'en haut, Anne Lauvergeon affiche ainsi son racisme anti-blancs et son sexisme.
Avec le groupe industriel français Areva, les choses sont désormais claires : en pleine période de crise économique et de chômage de masse , les demandeurs d'emploi français de souche européenne doivent savoir qu'ils seront les derniers à trouver un emploi. Merci pour eux !
Carl Lang et Le Parti de la France demandent que M. Louis Schweitzer, président
de la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité),si prompt d'habitude à dénoncer les discriminations dont seraient victimes les étrangers en France, se saisisse
de cette affaire et dénonce avec la même vigueur ces propos discriminatoires qui touchent les travailleurs français dans leur propre pays.
Par ailleurs Carl Lang se félicite de l'action engagée devant la justice par l'AGRIF (l'Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l'Identité Française et chrétienne) à l'encontre de madame Lauvergeon.
Enfin, Le Parti de la France attend que le directoire du groupe Areva dénonce publiquement les propos de sa présidente. A défaut, ce grand groupe industriel français cautionnerait par son silence des propos déshonorants et insupportables pour le peuple français.