« Le Forum du PdF » est une nouvelle émission, animée par Alexandre Hinger, qui est diffusée sur le canal Telegram du Parti de la France : https://t.me/partidelafrance
Il s'agit d'un salon vocal, d'une durée approximative d'une heure, où deux cadres du PdF et un invité ami commentent l'actualité politique. En fin d'émission, les auditeurs peuvent leur poser des questions.
Pour le deuxième numéro, qui aura lieu jeudi 7 avril à partir de 21h, Alexandre Hinger recevra Guillaume Aguillé (Secrétaire général adjoint du Parti de la France), Christophe Devillers (Délégué régional du PdF pour la Franche Comté) et Lucien Lachance (Le Soleil Se Lève).
Les thèmes abordés seront : l'unique meeting d'Emmanuel Macron à La Défense, le meurtre de Jérémy Cohen, les étranges sondages du Système, les chances d'Éric Zemmour d'accéder au 2nd tour.
Le nouveau rapport du GIEC est sans surprise : catastrophisme, culpabilisation des Occidentaux, prévisions pseudo-scientifiques biaisées, idéologie écolo-gauchiste, etc.
Ces escrologistes veulent que les Blancs ne fassent plus d'enfants, ne se chauffent plus, n'aient plus de voitures et mangent des criquets en guise de viande.
L'affaire de la mort de Jérémy Cohen, renversé par un tramway de la ligne 1 à Bobigny, est relancée. Si les faits remontent à février dernier, les circonstances exactes de sa mort n’avaient pas été révélées. Radio Shalom révèle que ses frères s'étaient lancé à la recherche de témoignages en distribuant des flyers dans les boîtes aux lettres. Des appels à témoins qui leur ont permis de récupérer des vidéos filmant la mort du jeune homme. Il aurait été agressé par une bande juste avant d'être écrasé sous les roues du tram. Transporté à l'hôpital, la victime n'avait pas survécu à ses blessures.
Depuis ce matin, de nombreux politiques, essentiellement à droite, ont exprimé leur indignation.
Si la famille de Jérémy Cohen n’avait pas mené l’enquête elle-même, jamais nous n’aurions su que sa mort n’était pas un accident. L’antisémitisme tue, en France, mais dix ans après l’attentat de Toulouse, cinq ans après le meurtre de Sarah Halimi, le déni de réalité continue. pic.twitter.com/3UqpP0iiEP
Invité sur C8 puis sur BFMTV, le père et l'avocat de la famille appellent encore à témoin. Demeurent des interrogations quant au caractère antisémite de l'agression : portait-il sa kippa au moment de son agression ?
Sur TF1, lundi soir, Éric Zemmour a affirmé que Gérald Cohen, le père de Jérémy Cohen, lui avait écrit pour lui demander de médiatiser l'affaire (celui-ci l'a confirmé), et que son premier geste, s'il était élu, serait d'aller voir la famille du jeune homme.
Un drame qui renvoie à l'affaire Sarah Halimi, assassinée quelques jours avant le premier tour des élections de 2017. Comme le rappelle sur Twitter la journaliste Noémie Halioua, auteur d'un livre sur le sujet, "dans l'affaire Sarah Halimi, survenue il y a exactement cinq ans, en pleine période électorale, la caractère antisémite [avait] été écarté d'emblée… et reconnu un an plus tard".
C'est à la fois le premier et le dernier meeting du Président-candidat. Il a choisi « la plus grande salle d'Europe », La Défense Arena, pour son show devant près de 30.000 fans, réunis pour l'acclamer, à grand renfort de « Macron Président ! » Ils sont venus, ils sont tous là, pour applaudir la vedette qui apparaît sous une haie de fumigènes et s'installe sur l'estrade au milieu de l'immense salle, pavoisée de drapeaux français et européens, chauffée par un animateur qui initie des olas que suivent docilement les ministres. C'est un véritable spectacle !
On a rarement vu autant de mauvaise foi et de démagogie de la part d'un candidat à la présidentielle. Après avoir remercié l'assistance, composée de « militants de l'idéal », il fait un bilan de son quinquennat. Un panégyrique, plutôt. En matière d'économie, de social, d'éducation, contre le chômage, l'insécurité, le terrorisme, pour le passe culture, l'inclusion des handicapés à l'école, la PMA pour les couples de femmes... « nous avons tenu nos promesses », assure-t-il, répétant chaque fois « nous l'avons fait ! », suscitant les applaudissements. En résumé, « notre projet » de 2017, devenu « notre bilan », « nous l'avons fait ! » En bon démagogue, il associe le public au succès de son action : « Soyez en fiers ! », leur dit-il.
Puis il dénonce le « système », les « lenteurs », les « blocages », « il nous faut aller plus loin », il y a « tant de progrès à accomplir », il faut « faire reculer l'extrémisme ». À plusieurs reprises, il montre sa compassion pour les souffrances des Français : « Je ne m'[y] résoudrai jamais », répète-t-il, « c'est injuste ». Et d'annoncer pêle-mêle l'amélioration du pouvoir d'achat « dès cet été », la création d'un compte épargne temps universel, la revalorisation de 50 % de l'aide versée aux femmes seules. Il veut permettre à nos aînés de vivre chez eux le plus longtemps possible, instaurer la solidarité à la source pour le versement des aides, plus de sécurité, une justice plus rapide. « Je ne me résoudrai jamais et je me battrai toujours », conclut-il après cet inventaire.
Il énumère enfin ses cinq chantiers prioritaires. L'égalité entre les hommes et les femmes, qui sera « la grande cause nationale du quinquennat qui s'ouvre ». La protection des enfants contre les violences, les réseaux sociaux, le harcèlement. L'éducation, pour réparer l'ascenseur social en renforçant les fondamentaux – il cajole au passage les enseignants, « ces acteurs de la République », à qui il promet une meilleure rémunération, plus de liberté, plus de possibilités d'innover. Évoquant la santé, où, selon lui, beaucoup a été fait, il fait l'éloge des soignants. Enfin, la fiscalité : il diminuera les impôts et ne s'occupera de baisser la dette qu'en 2026 (un an avant la fin de son second mandat). La France va retrouver la croissance, si les Français travaillent davantage, plus longtemps et en plus grand nombre. Il veut « mettre le travail au service du progrès ».
Vous l'aurez compris, Macron est content de lui. Il est satisfait du bilan de son premier mandat et promet monts et merveilles pour le second. « Et un, et deux, et cinq ans de plus », crient ses supporters, comme s'ils voulaient se convaincre de sa victoire future. Bien sûr, il a longuement attaqué, sans les nommer, Éric Zemmour et Marine Le Pen, les accusant d'incarner « le grand rabougrissement » et « le grand repli ».
#EricZemmour empêché de terminer son match de foot à #Marseille par un membre de la smala #Zidane : « On voit qu’en France il y a non seulement des zones de non-droit mais aussi des zones de non-foot. »https://t.co/QuKDLkyCwp
C'est fascinant tous ces politiques qui nient le #GrandRemplacement mais qui se précipitent chaque année pour souhaiter un bon #Ramadan aux millions de mahométans qui occupent la France. En revanche, discrétion totale lors du Carême et du Noël des catholiques.
Sujets abordés : le renseignement militaire, l'Ukraine une guerre entre Russes et Américains, l'inflation, les entreprises françaises qui se retirent de Russie, l'élection présidentielle, les sondages, conseils de lecture.
Voici le débat entre Daniel Conversano et Jérôme Bourbon. Une rencontre passionnante entre gentlemen de la droite nationale. Le sujet principal : Éric Zemmour. Et ils ne sont pas d'accord !
Trois flocons de #neige en avril et les membres de la secte du réchauffement climatique, la bave aux lèvres, nous parlent de dérèglement et d'apocalypse à venir. Mettez une doudoune et fermez-la bande de tarés !
Je veux vous parler de l’affaire McKinsey. Toute la France commence à en parler et elle a raison d’en parler. Cette affaire démontre de manière éclatante tout ce dont nous ne voulons plus et tout ce que symbolise Emmanuel Macron : le manque absolu de respect pour votre argent, le copinage et le cynisme dangereux qui règnent à l’Élysée depuis cinq ans.
Vous méritez la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, sur cette affaire comme sur les innombrables zones d’ombre du quinquennat d’Emmanuel Macron. Vous méritez la vérité, et vous méritez de voter pour le candidat qui vous dit la vérité. Je suis ce candidat.
Sur l’affaire McKinsey, je veux insister sur quatre points essentiels. Écoutez bien.
D’abord, la crise du Covid n’a pas vraiment été gérée par Emmanuel Macron, mais par la société McKinsey, un cabinet de conseil américain. Et vous en avez terriblement souffert, chaque jour pendant deux ans. Qui sait aujourd’hui si une société américaine – et donc l’Etat américain - ne possède pas des informations sur nous, sur notre vie privée, sur notre Etat, qui auraient dû rester secrètes ? Premier scandale.
Ensuite, l’argent du contribuable, votre argent, a été jeté par la fenêtre trois fois par Emmanuel Macron. Une fois pour payer des fonctionnaires qui n’ont donc pas été sollicités, car on a préféré confier leur travail à une société privée. Une deuxième fois pour rémunérer très grassement cette société américaine. Une troisième, parce que cette société rémunérée par vos impôts refuse de payer ses impôts en France. Deuxième scandale.
De plus, une information dont nous disposions déjà il y a un an refait cruellement surface : en 2017, Emmanuel Macron a fait travailler McKinsey gratuitement pour sa campagne. Une personne morale a donc fait ce don à la campagne d’En Marche, ce qui est interdit. Pourtant aucune enquête n’a été ouverte. Le renvoi d’ascenseur a été immédiat avec l’explosion du chiffre d’affaires généré par les contrats publics offerts à McKinsey. La collusion entre la politique et l’argent est ici complète. Troisième scandale.
Quatrième scandale ? Le silence assourdissant des médias (pas tous !). J’en parle depuis plusieurs jours, au point qu’un journal a publié un article tout à l’heure en demandant : « Pourquoi Eric Zemmour insiste-t-il autant sur l’affaire McKinsey ? ». Que les médias se posent cette question démontre parfaitement qui ils sont, et qui je suis. J’en parle parce que je ne suis pas un politicien, parce que je dis la vérité et que la Macronie est une usine à mensonges.
Vous le savez, j’ai consacré ma vie entière à dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. J’ai passé ma vie à défendre la vérité contre le mensonge, comme journaliste, comme écrivain, et désormais comme candidat à l’élection présidentielle. Elle est ma passion, ma mission et mon engagement. Sur ce sujet comme sur tous les autres – la réalité de notre école, de notre économie, la vérité sur l’immigration ou sur la sécurité des Français - je ne laisserai pas Emmanuel Macron vous priver de la vérité.
Pour elle, je veux devenir votre Président de la République. Pour elle, grâce à elle, avec elle, nous serons au second tour, et je la dirai à Emmanuel Macron, les yeux dans les yeux, devant le pays entier. Si vous le voulez, le débat du second tour sera le plus important de notre Histoire.
Mes chers compatriotes, chers amis, en mettant notre bulletin dans l’urne, dans dix jours, vous direz la vérité, vous défendrez la vérité, vous offrirez la victoire à la vérité et donc à la France. Votez pour elle. Sauvez-la pour combattre l’insupportable mensonge des politiciens professionnels.
Vous savez que vous pouvez compter sur moi. Je sais que je peux compter sur vous. Ne laissons pas la langue de bois, le politiquement correct et la censure vous voler l’élection. Nous sommes un grand pays, soyons le pays de la vérité. Vive la République et surtout, surtout, vive la France.
Pour écouter l'enregistrement du premier numéro du « Forum du PdF » qui s'est déroulé jeudi 31 mars sur Telegram, c'est ici : https://t.me/partidelafrance/2244
Alexandre Hinger recevait Thomas Joly (Président du Parti de la France), Maxime Leroy (Délégué régional du PdF pour le Nord/Pas-de-Calais) et Roland Hélie (Directeur de Synthèse nationale).
Les thèmes abordés : le meeting d'Éric Zemmour au Trocadéro, les sondages bidons, l'affaire McKinsey, la remigration, le probable retour du masque obligatoire et du pass vaccinal, la guerre en Ukraine, le prix du carburant.
Vous noterez l'augmentation soudaine du prix du carburant la veille de l'application du rabais de 15 centimes « offert » par l'État. Les intermédiaires vont donc se goinfrer l'aide gouvernementale et le consommateur va continuer de payer son carburant une petite fortune... pic.twitter.com/XdJAQ4U9rE