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Le blog politique de Thomas JOLY

Après la trêve olympique, quelle rentrée politique ?

13 Août 2024, 11:29am

Publié par Thomas Joly

Dans la Grèce antique, les Jeux olympiques étaient l’occasion d’une trêve sacrée. Les guerres étaient prohibées, tout comme les exécutions capitales. Puis le cours sanglant de l’Histoire reprenait. Ne nous y trompons pas : après l’euphorie olympique et la période estivale, les petites manœuvres politiques vont reprendre, probablement dans le bruit et la fureur pour faire croire qu’il s’agit de « grande » politique. Mais dans l’épisode politique ouvert par les élections européennes et poursuivi par la dissolution, rien n’est grand. Tout n’est que calculs politiques plus ou moins vicieux, notamment de la part du chef de l’État.

La dissolution fut présentée comme œuvre de clarification. Elle n’a fait qu’augmenter la confusion. Personne n’a gagné les élections, quoi que braille le Nouveau Front populaire qui, avec à peine un tiers des électeurs, prétend imposer son programme d’extrême gauche à 70 % des Français. Il serait possible d’en rire, mais l’Histoire nous enseigne que l’extrême gauche minoritaire a toujours imposé sa volonté à une majorité apeurée et bêlante. C’est vrai de toutes les révolutions.

Ce foutoir est évidemment l’œuvre de l’occupant de l’Élysée. Mais aussi des électeurs, et notamment de la droite et du centre conformiste qui ont cautionné l’alliance électorale contre-nature entre la Macronie et le Nouveau Front populaire. Pour s’effaroucher, ensuite, de l’élection d’ex-dealers ou de fichés S ! Et, par-dessus tout, des menaces sur leurs portefeuilles ! En parlant des bourgeois, Lénine disait déjà : « Il nous vendront la corde pour les pendre. » Finalement, la bourgeoisie frileuse semble toujours priser le rôle du dindon de la farce.

Le Nouveau Front populaire, alors même qu’il est incapable de rallier une majorité à l’Assemblée nationale, a sorti de son chapeau une candidate pour Matignon. Lucie Castets, archétype de ce que peut proposer l’oligarchie urbaine déracinée, mondialisée et pseudo-progressiste comme pedigree ! Ancienne élève de Sciences Po et de l’ENA qui a travaillé pour la Banque mondiale avant de se mettre à l’abri dans l’administration française. Elle a exercé la fonction de conseiller aux finances et au budget de la ville de Paris avant de devenir directrice des finances et des achats de la capitale. Lorsque l’on sait que la dette de la ville devrait atteindre 8,8 milliards, à la fin de l’année, et que la durée de désendettement de Paris devrait passer de 13 à 15 ans alors que le seuil d’alerte est de 12 ans, il est possible de s’interroger sur la pertinence du choix.

Cette dame est aussi co-porte-parole du collectif « Nos services publics » et entend les défendre. Dans l’État le plus cher d’Europe, la question n’est pas celle des moyens ou du nombre mais de l’affectation des ressources et des hommes. C'est-à-dire de la gestion d’une sphère publique pléthorique dont l’obésité est le problème majeur de la France. L’emploi public, en France, représente 21 % de l’emploi total, contre 17 % au Royaume-Uni et en Espagne, 14 % en Italie et 11 % en Allemagne (FIPECO, 15/5/2024). Vouloir ruiner la France productive par un matraquage fiscal délirant pour accroître encore le poids administratif qui pèse sur nos épaules relève de la démence.

Lucie Castets a estimé utile d’exposer sa vie privée par voie de presse, ce qui n’a aucun intérêt. L’exposition de son orientation sexuelle n’est pas un argument politique. Ce n’est que de l’impudeur. Il est pitoyable que nos politiciens confondent action politique et communication de magazines de salon de coiffure.

La rentrée politique s’annonce donc pitoyable et certains propos du général de Gaulle résonnent avec une criante actualité : « Vous pensez si les nostalgiques des jeux parlementaires de la IVe vont en profiter […] il y a pour eux de beaux jours en perspective... » « Chacun va donc maintenant faire chauffer sa petite soupe, sur son petit feu, dans sa petite marmite, et dans son petit coin, en s’imaginant vivre des jours tranquilles » (Le Général m’a dit, Jean d’Escrienne, Plon, 1973). Quant à la France...

Stéphane Buffetaut

Source : http://bvoltaire.fr

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JO : à force d’antiracisme, la gauche racialise tout

11 Août 2024, 11:48am

Publié par Thomas Joly

Les Jeux olympiques ont été présentés comme une grande fête, et la fête est réussie. La délégation française enchaîne les succès, bat son record de médailles et, au rythme de Paris, la France entière célèbre ces victoires. La politique passe au second plan, le temps de cette trêve olympique – et pour cause : Matignon n’a toujours pas accueilli son nouveau locataire. Les Français semblent plus unis : le sport clive moins que la politique, sauf quand la politique s’invite dans le sport. Et dans ce domaine, la gauche, à force de dénoncer le racisme présumé de la droite, est devenue championne de l’obsession de la couleur de peau et de l’origine de nos athlètes.

Sofiane, Bilal, Brahim... et Léon

Jeudi 8 août, sur le plateau de Quels Jeux !, l’émission très contestée de Léa Salamé, Philippe Caverivière, chroniqueur humoriste, a commenté les Jeux : « Quand on entend les prénoms Sofiane, Bilal, Brahim, on se rend compte que la diversité, ça marche. C’est les pires JO depuis 1936 pour les racistes », s’est-il amusé. Gilles-William Goldnadel, avocat et chroniqueur, s’étonne de ce commentaire : « Le racialisme à la carte. Si on regarde les Brahim qui gagnent, alors on peut regarder les Brahim qui tuent. On ne nous impose pas le menu. » Un autre commentaire se désole : « Léon gagne, OK. Rien à redire (et c’est tant mieux ainsi). Sofiane gagne : on lui rappelle son origine ethnique et sociale ! Et qui le fait, les gauchistes évidemment qui, par ailleurs, passent leur temps à donner des leçons antiracistes aux autres. »

Enfin, n’y a-t-il vraiment « rien à redire » pour Léon Marchand ? Sur RMC, sa couleur de peau semble portant plus importante que les scores réalisés dans le bassin olympique. En effet, Bruno Poncet, cheminot régulièrement présent sur le plateau des Grandes Gueules, s’est exprimé au sujet de la popularité grandissante de Léon Marchand, quadruple médaillé d’or de natation : « C’est le bon petit Français bien blanc qui gagne […] Léon Marchand plaît à la globalité de la France […] Il y a son côté humble et son côté qui va plaire à d’autres parce que c’est notre champion bien blanc qui réussit tout. » La performance est réduite à la couleur de peau du sportif.

Sébastien Delogu, député LFI, se focalise aussi sur la couleur de peau des sportifs. Après la victoire de l’équipe de France de judo, il les a félicités sur son compte X : « Fier de vous les CHAMPIONS. Ça va les racistes ? Vous avez pas trop le seum ? » Si quelques messages de soutien suivent cette déclaration, nombreux sont ceux qui déplorent le racisme suintant d’un élu considérant la couleur de peau des athlètes avant d’y voir des champions avant tout français. Dans la même veine, Kamil Abderrahman, journaliste et chroniqueur, tweetait une photo de l’équipe de judo avec le message suivant : « Merci l’immigration. » Matthieu Valet, député européen du Rassemblement national, ne l’entend pas de cette oreille : « Je ne vois que des Français, fiers de leur pays, brandissant le drapeau [français] et chantant la Marseillaise […] C’est dingue que certains gauchos jugent les gens en fonction de leur couleur de peau. »

Raphaelle Claisse

Source : http://bvoltaire.fr

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Triomphe de Musk : les annonceurs qui boycottaient X reviennent !

10 Août 2024, 10:35am

Publié par Thomas Joly

Elon Musk, le fantasque milliardaire à la tête de Tesla et SpaceX, vient de remporter la bataille qu'il menait depuis son rachat de Twitter contre les annonceurs souhaitant boycotter sa politique de liberté d'expression.

Le conflit avait débuté lorsque des géants de la publicité, tels que Coca-Cola, Disney et Apple, avaient retiré leurs annonces de X. Les raisons avancées concernaient la modération des contenus et les politiques de liberté d'expression de la plate-forme. Lors de son rachat de Twitter, Elon Musk s’était donné pour mission d’y rétablir une liberté d’expression totale, le réseau étant devenu, aux yeux de nombreux utilisateurs, gangrené par la censure. Ainsi, le boycott des annonceurs avait été perçu par beaucoup comme une tentative indirecte de rétablir ladite censure en exerçant un chantage financier sur l’entreprise. Musk, fidèle à son style combatif, refusa de plier. Dans une série de déclarations publiques, il avait dénoncé ce boycott comme une forme d'extorsion et avait annoncé que l’entreprise ne céderait pas aux demandes des annonceurs concernant « ce que Twitter va faire ». Lors d’une conférence, il avait provoqué en scandale en déclarant à leur égard : « Allez vous faire foutre ! »

Riposte solide...

Plutôt que de céder, Musk s’est adapté. La liberté d’expression est toujours au cœur de son projet, bien qu’il ait renforcé sa politique de modération. On peut donc dire bien plus de choses sur X qu’on ne le pouvait sur Twitter, mais tout n’est pas acceptable. D’un autre côté, le milliardaire a investi dans des technologies capables de renforcer la sécurité et devant améliorer l’expérience des utilisateurs. Ces initiatives ont su rassurer certains investisseurs et, désormais, X a une réputation plus positive que lors de son rachat en 2022. La philosophie de modération de monsieur Musk est simple : « Freedom of speech, not reach ». En d'autres termes, il est permis de dire ce que l'on souhaite, sur X, mais la modération doit faire en sorte que les discours de haine ne soient pas mis en avant par l'algorithme.

et soutien populaire

Le véritable tournant de cette bataille est venu du soutien massif des utilisateurs de X et de la communauté technologique. Des hashtags comme #StandWithX et #SupportElonMusk ont rapidement envahi les réseaux sociaux, faisant sans doute réfléchir les annonceurs. Aussi étonnant que cela puisse paraître, l’éthique d’une multinationale passe parfois au second plan face à l’appât du gain. Ainsi, face à cette mobilisation, plusieurs annonceurs ont reconsidéré leur position. Comprenant que leur boycott pouvait leur coûter cher en termes d’image et de fidélité des clients, ils ont progressivement repris leurs campagnes publicitaires sur X. Ce retour des annonceurs a permis à la plate-forme de retrouver ses recettes publicitaires, confirmant ainsi la stratégie gagnante de Musk. Partout où la liberté d'expression sur X est attaquée, X gagne. La victoire du réseau n'est pas seulement la victoire d'Elon Musk, c'est celle de tous les défenseurs de la liberté d'expression. C'est aujourd'hui un combat particulièrement important, à l'heure où l'Occident dans son ensemble se tourne de plus en plus vers la censure. C'est, par exemple, le cas au Royaume-Uni, mais aussi en Union européenne, grâce à l'action de l'inénarrable monsieur Breton. Toujours est-il que, pour l'instant, X tient bon.

Elon Musk 1, censeurs 0.

Louis de Torcy

Source : http://bvoltaire.fr

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Visiblement, Raphaël Arnault préfère le Royaume-Uni à Avignon !

9 Août 2024, 18:31pm

Publié par Thomas Joly

Au Royaume-Uni, un climat de révolte gronde suite à l’assassinat de trois fillettes. De nombreux citoyens britanniques, lassés des gerbes de fleurs et des bougies, laissent éclater leur colère. Et ça ne plaît pas aux autorités, et aux idéalistes de gauche qui crient au racisme. Si la France paraît loin de cette situation critique, absorbée qu’elle est par les Jeux olympiques, le député de Vaucluse Raphaël Arnault n’a pas hésité à troquer son écharpe tricolore de député de la Nation contre une tenue paramilitaire – une veste Stone Island très classe - pour aller soutenir ses camarades antifa outre-Manche.

Au fait, Avignon ?

« So, I débarque to Londres pour soutenir les camarades anti-fascistes locaux face aux meutes et aux attaques ciblées racistes, mode Jeune Garde activée » a annoncé le triple fiché S sur X. Au delà de l’ingérence que représente la présence d’un élu français sur le sol britannique, comme l'a d'ailleurs fait remarquer Aurélien Véron, élu LR de Paris, dans le but d’en découdre avec les fachos, on peut se demander ce qu'en pensent les Avignonnais. En effet, fraîchement élu député LFI de la 1ère circonscription de Vaucluse, Raphaël Arnault ne semble pas très préoccupé du sort de sa circonscription. Ainsi, le député du Rassemblement national Sébastien Chenu estime sur son compte X que « ce député LFI se moque complètement de ce qui se passe dans sa circonscription d’Avignon, de ce que les Français vivent et subissent ». Et d'ajouter : « il préfère se déguiser en mode paramilitaire pour aller jouer au militant d’extrême gauche à Londres revendiquant son appartenance à une milice violente. Sketch pathétique. »

Catherine Jaouen, ancienne députée RN, battue par ledit Arnault, abonde en ce sens sur son compte Facebook : « En manque de violence, Raphaël Arnault notre député fiché S, s’offre une expédition punitive en Angleterre. Et dire que les Avignonnais ont cru à son discours de proximité et d’implantation locale… » Elle poursuit : « Plutôt que de s’occuper de sa circonscription et de ses électeurs, il préfère ajouter de la violence aux émeutes dont sont victimes les Britanniques et vivre son délire archaïque anti-nazi. » Pour l’essayiste avignonnais Amine El-Khatmi, le constat est semblable : « Il s’agirait de débarquer à Avignon à un moment donné pour vous occuper des habitants de votre circonscription. J’ai remonté vos 80 (QUATRE-VINGT) derniers tweets : pas un seul ne parle d’eux et de leurs préoccupations. Vous comptez vous y mettre un jour ? »

Un héroïsme à peu de frais

Les élans héroïques du jeune député sont l'occasion aussi pour d'autres élus RN d'ironiser. « Ce pauvre type (…) n’aurait pas tenu trois minutes dans la boue de Verdun ou dans la neige du Vercors. Annoncer combattre un fascisme qui n’existe plus lui permet d’avoir le soutien du Parti Médiatique », déplore Gilles Pennelle, député RN au Parlement européen. Son collègue Matthieu Valet y va aussi de sa petite phrase : « Voir Raphaël Arnault se muer en chevalier kaki pour lutter contre les émeutes alors qu’il est fiché S pour son lien avec les antifas violents, la bonne blague. Heureusement, le ridicule ne tue pas. »

L'extrême gauche a soutenu sans faiblir les émeutes consécutives à la mort de Nahel en 2023. Voici qu'elle se lance « à l'international ». On imagine que Raphaël Arnault va prendre un billet d'avion pour le Venezuela...

Raphaelle Claisse

Source : http://bvoltaire.fr

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« Fuck aux réacs » : Anne Hildago plus chic que jamais

8 Août 2024, 16:16pm

Publié par Thomas Joly

Pour Anne Hildago, l’heure de la revanche a sonné. Oublié, son échec cuisant lors de l’élection présidentielle de 2022 (1,74 % des voix). Effacées, les polémiques incessantes sur sa gestion catastrophique de la capitale. Les JO sont - pour l’heure - un franc succès et l’édile compte bien en retirer quelques lauriers. Qu’importe si elle était, au départ, réticente à l’idée d’accueillir la grande manifestation sportive dans sa ville. Anne Hidalgo tient enfin une victoire et ne compte pas la lâcher. « Quand il y a un ressenti partagé de fraternité, de sororité, d’humanisme, qui fait qu’on se sent bien, nous les Parisiens, nous les Français, on est fiers », s’est réjouie l’élue socialiste dans les colonnes du Monde.

Un doigt d’honneur à ses opposants

Forte d’un succès qu’elle n’hésite pas à s’attribuer - alors qu’il est avant tout dû aux qualités de nos athlètes, à la bonhomie du public, à la beauté des sites historiques et à une présence policière massive -, Anne Hidalgo entend aujourd’hui régler ses comptes. « Tout le discours du "Saccage Paris" d’il y a quelques années, dont on comprend comment il est repris aujourd’hui par l’extrême droite, ce mot-là nous a été jeté à la figure comme s’il y avait une réalité, comme si notre travail […] c’était la destruction de la ville », a-t-elle raillé.

C’est à cette même « extrême droite » que l’élégante dame adresse aujourd’hui un immense doigt d’honneur. « Fuck aux réacs, fuck à cette extrême droite, fuck à tous ceux qui voudraient nous enfermer dans la guerre de tous contre tous ! », a-t-elle martelé dans le journal du soir, dénonçant un travail de déstabilisation de la « planète réactionnaire et d’extrême droite », entrepris depuis des années.

Pour Anne Hidalgo, les critiques à son égard cacheraient en fait une vraie « détestation de Paris ». « Pourquoi ? Parce que Paris, c’est la ville de toutes les libertés, la ville refuge des LGBTQI+, la ville où on vit ensemble, une ville où il y a une femme maire, de gauche, en plus d’origine étrangère et binationale, en plus féministe et écologiste », a-t-elle expliqué.

Une vision étriquée de Paris

La vision qu’a l’édile de sa propre ville est en réalité la même que celle défendue lors de la cérémonie d’ouverture des JO : un Paris né en 1793 et réduit, depuis, à son engagement féministe, écologiste, ou à son statut de « ville-refuge » pour les gay, les bi, les trans, les queers et autres femmes à barbe maquillées comme des camions volés. Est-il permis de penser que cette vision est un poil étriquée ? Au risque de se prendre un gros « fuck » en pleine poire, beaucoup ont une tout autre image de la Ville Lumière. Il faudrait le demander aux 15 millions de visiteurs attendus à Paris lors de ces JO, mais il y a peu de chances qu’ils aient fait le déplacement pour la beauté des shows drag locaux ou pour la double nationalité de dame Hidalgo.

Pour eux comme pour l’immense majorité des Français, l’identité de la capitale française tient davantage à son architecture, à son Histoire étendue sur plus de deux millénaires, à sa gastronomie, à son patrimoine culturel… Mais cet amour du Paris éternel fait peut-être de tous ces gens des militants « d’extrême droite » ?

Jean Kast

Source : http://bvoltaire.fr

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Dimanche 8 septembre, fête du cochon du PdF Bretagne !

6 Août 2024, 19:16pm

Publié par Thomas Joly

Dimanche 8 septembre, fête du cochon du PdF Bretagne !

Comme chaque année, le Parti de la France fait sa rentrée en Bretagne à l'occasion de la Fête du cochon organisée par son délégué régional Jean-Marie Lebraud et son équipe.

Au cours de cette journée, Thomas Joly, Président du PdF, prendra la parole, ainsi que Roland Hélie (Synthèse Nationale) et Pierre Cassen (Riposte Laïque).

Réservation obligatoire : 06.09.53.93.84 ou pdfbretagne@orange.fr

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René-Nicolas de Maupeou - (Chroniques Historiques par Scipion de Salm)

4 Août 2024, 10:34am

Publié par Thomas Joly

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Yoann Robin nommé Directeur national du SEP (Service Encadrement Protection)

3 Août 2024, 11:07am

Publié par Thomas Joly

Yoann Robin nommé Directeur national du SEP (Service Encadrement Protection)

Yoann Robin a été nommé, lors du Bureau politique du Parti de la France du 27 juillet, Directeur National du SEP (Service Encadrement Protection).

Fort de son expérience au sein du GSR (Groupe de Sécurité de Reconquête), il aura en charge la restructuration du service d'ordre du PdF sur l'ensemble du territoire.

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Vendredi 26 juillet, c’est la France que l’on humiliait !

2 Août 2024, 10:29am

Publié par Thomas Joly

La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, aura été l’occasion pour le wokisme et ses séides, de dérouler tous ses ineptes concepts, de cracher sa haine de la France, et de valoriser toutes les inversions sociétales.

Un seul tableau aura trouvé grâce à mes yeux, la cavalcade sur l’eau de ce cheval  métallique  issu de la robotique.  Mais certains  y ont  vu  là, une allusion au cavalier de l’apocalypse….

L’éloge de la guillotine ?

Que dire aussi, de cette ignominie qui a consisté à humilier,  par-delà « es couloirs du temps », la reine Marie-Antoinette tenant sa tête dans ses mains et, « délicate attention »,  image projetée juste sur la façade de la Conciergerie, l’un des hauts- lieux du martyrologue de la défunte famille royale ?

Que penser de ce défilé de mode faisant une place d’honneur aux invertis et autres  transgenres – « vive la femme à barbe ? » -, comme si la France n’était peuplée que de non hétérosexuels ? Etait-ce aussi une parodie de la Cène, peinte par Léonard de Vinci ? Les organisateurs ont affirmé qu’il ne fallait pas y voir là une allusion blasphématoire. Prudents, ils se sont bien gardés de tout clin d’œil désagréable pour deux autres religions monothéistes…

Tandis que la petite délégation algérienne se singularisait en jetant des fleurs dans la Seine en mémoire d’un  très hypothétique massacre d’Algériens en 1961, cette fiesta mettait à l’honneur la diversité ethnique et sociétale telle qu’elle est rêvée par toutes les bonnes âmes de la Gôôôôche ….

Et que penser de la fanfare de  ces pauvres gardes républicains, se sentant obligés d’accompagner dame « Cacamura » outrageusement maquillée, en se dandinant - cuivres en mains - comme… des dindons sans plumes !

Globalement, pas grand-chose évoquant la spécificité  française. Peut-être Lady Gaga et son French-cancan, chanté avec un accent yankee des plus affirmés ? Ou une Céline Dion chantant du Piaf avec un cachet, parait-il, exorbitant ? Personnellement, je préfère toujours l’original à la copie. Que retiendront de cette évocation de  la France les quelques centaines de millions de téléspectateurs dans le monde entier ? Une piètre image de notre patrie. Il eut mieux valu faire appel aux magiciens du Puy du Fou ! (Mais ce n’est pas dans l’air du temps, avec les imposteurs qui mènent la danse à la tête de l’Etat.)

La revanche du ciel !

Bref, à mes yeux, une consolation,  et une seule : la pluie. Une pluie bienvenue, une pluie bénie qui a copieusement arrosé tous ces saltimbanques et autres excellences mouillées « jusqu’au slip », comme l’avouera même un invité de marque ! Le président qui sait tout et qui prévoit tout, n’avait pas pensé à cette heureuse facétie du ciel !

Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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Un Congolais poignarde un soldat français de l'opération Sentinelle

16 Juillet 2024, 11:16am

Publié par Thomas Joly

Un Congolais poignarde un soldat français de l'opération Sentinelle

Un Congolais naturalisé « Français » a poignardé hier soir un soldat de l'opération Sentinelle, gare de l'Est à Paris.

Ce fou dangereux avait déjà tué quelqu'un en 2018 mais avait été reconnu pénalement irresponsable. Interné quelques années en psychiatrie, il a été relâché dans la nature et a évidemment récidivé.

Combien de tarés de ce genre sont en libre circulation dans notre pays à cause d'une immigration incontrôlée, d'un système judiciaire défaillant et d'une magistrature gangrénée par l'extrême-gauche ?

Répression pénale impitoyable et remigration massive seront les priorités absolues du Parti de la France.

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À 78 ans, Donald Trump a bluffé l’Amérique… et le monde entier

15 Juillet 2024, 12:18pm

Publié par Thomas Joly

Il est des photos qui entrent dans l’Histoire : celle qui fait aujourd’hui la une du Time en fait sans nul doute partie. Evan Vucci, le photographe de Washington qui l’a prise - déjà lauréat, par le passé, du prix Pulitzer -, raconte avoir tout de suite compris que le hasard l’avait mis au bon endroit au bon moment et qu’il fallait immortaliser ce moment qui serait historique. Comme l’ont été les attentats contre Kennedy, Reagan ou encore Jean-Paul II.

« Le candidat républicain à la présidentielle, l’ancien président Donald Trump, lève le poing alors qu’il est précipité hors de la scène après une tentative d’assassinat lors d’un rassemblement électoral à Butler, Pennsylvanie » : c’est ainsi que le photographe commente la photo qu’il poste sur les réseaux sociaux. Rajoutez à cela, décor inespéré, un drapeau américain qui flotte sur fond de ciel bleu radieux, le sang qui balafre le visage du candidat républicain, coulant de son oreille blessée jusqu’à sa bouche, enfin, la composition, pyramidale, comme si tous les personnages de la scène concouraient à hisser le drapeau, qui ressemble au légendaire « Raising the Flag in Iowa Jima » pris le 23 février 1945 par Joe Rosenthal. Avec Donald Trump dans le rôle du GI au centre.

Un cliché sur le vif qui dit tout de Trump... 

Dans cette photo, l’économiste et président de l’institut Sapiens Oliver Babeau voit, lui, « un tableau de descente de la croix du Caravage, étrangement mixée avec une résurrection ». De fait Donald Trump y fait figure de Phénix. À 78 ans, il se relève, écarte ceux autour de lui qui veulent le protéger pour montrer qu’il est toujours debout et brandit sa main serrée en criant « Fight! » à la foule. La version américaine de la devise de Charette : « Combattu souvent, battu parfois, abattu jamais ! » Ce samedi, en Pennsylvanie, comme depuis sa dernière défaite électorale. Il apparaît aux yeux de beaucoup, dans une Amérique très religieuse, comme protégé par la Providence. Le sénateur républicain de Floride Marco Rubio relaie cette photo avec la légende : « God Protected President Trump ». La propre fille de Donald Trump, Ivanka, sur X, dit croire que feu sa mère, l’ex-femme de l’ancien président, l’a protégé. De quoi alimenter l’imaginaire mystique de ses concitoyens, qui voient dans ce brusque mouvement de la tête, juste avant l’impact, qui lui a sauvé la vie, le signe qu’il est béni de Dieu - les protestants croient à la prédestination - et qu’il a la baraka. Il fait donc figure de victime, mais contrairement à Lincoln ou Kennedy, de victime chanceuse. Un double bonus. Il est Roosevelt lisant son discours en dépit de la balle qui vient de l'atteindre. Bref, si feu le meurtrier espérait lui nuire, c’est donc doublement raté.

... mais aussi sur la violence politique en Occident.

Diaboliser tue. Car il y eu une victime collatérale. L'assassin a abattu - avant d’être lui-même éliminé - un pompier quinquagénaire, père de famille, qui, protégeant sa femme et sa fille de son corps, a pris la balle à leur place, selon le témoignage de celles-ci. Et comment pourrait-il en être autrement ? Si Trump - ou, chez nous, Le Pen - est Hitler, tout le monde veut être Stauffenberg. Si ce sont des « bêtes immondes », il faut faire des battues pour les éradiquer - n’est-ce pas le mot qu’a utilisé Clémentine Autain ? - comme celle du Gévaudan. Comment, à force d’être rabâchées, s’étonner que ces anathèmes soient pris au premier degré ? Quand Rima Hassan cite, sur X, Fanon - « Pour le colonisé, la vie ne peut surgir que du cadavre en décomposition du colon » -, le message est reçu cinq sur cinq par certains, comment pourrait-il en être autrement ?

Il est assez troublant de constater que le député LFI Sébastien Delogu n’a pas trouvé d’autre commentaire - comme s’il s’agissait d’une blague un peu loufoque - que « dinguerie » (sic) pour commenter, toujours sur X, l’attentat contre Donald Trump.

Quant à Sandrine Rousseau, qui, en députée de la nation plus responsable, a condamné les faits, pensé aux victimes et souhaité un prompt rétablissement à Donald Trump, elle s’est attiré, pour ce message de convenance, des commentaires furieux du côté de l’extrême gauche. Qui s’apitoierait sur le sort du diable ?

L’Amérique est violente, cela n’arriverait pas en France ? C’est déjà arrivé. Quand, en 1976, Jean-Marie Le Pen et sa famille ont été visés par un attentat à la bombe, villa Poirier - « l’une des plus grandes explosions à Paris depuis la Seconde Guerre mondiale », peut-on lire sur Wikipédia -, la fillette Marine Le Pen, en chemise de nuit dans les décombres, comprend par « cette nuit d’horreur », « à l’âge des poupées » que son père, et les siens, n’étaient pas « traités à l’égal des autres » : « cela deviendra, dira-t-elle, un élément majeur de [s]a propre construction ».

En attendant, le Menhir américain de 2024 - convenons que beaucoup de similitudes de caractère pourraient être relevées - pèse infiniment plus lourd sur tous les plans que le Menhir breton de 1976. Et cette photo, comme une allégorie de sa résilience et de celle de l’Amérique, abattue mais pas battue qu’il entend faire renaître, pourrait devenir le tremplin de sa prochaine victoire.

Gabrielle Cluzel

Source : http://bvoltaire.fr

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Repas « White Boy Summer » à Amiens le 27 juillet !

9 Juillet 2024, 16:43pm

Publié par Thomas Joly

Repas « White Boy Summer » à Amiens le 27 juillet !

Samedi 27 juillet à Amiens, venez célébrer le « White Boy Summer » avec les membres du Bureau politique du Parti de la France et son Président !

Dîner tout compris : 35 €

Réservation obligatoire au 07.66.51.27.24 ou partidelafrancesomme@gmail.com

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