Les émeutes et les scènes de guérilla qui se déroulent actuellement dans de nombreuses villes de France nous permettent de constater l’état réel de la prolifération des armes de guerre dans notre pays, en particulier dans les quartiers dits « sensibles ».
Depuis 4 jours, nous constatons, par divers biais, ce que nous affirmons depuis plusieurs années avec la présence et la possession de ce type d’armes par les caïds de cités avec un laisser-faire des autorités plutôt inquiétant voire complice.
L’État procède depuis plusieurs années au désarmement des honnêtes gens avec des campagnes de collecte d’armes, comme en fin d’année 2022, et la forte augmentation des inscriptions de personnes (chasseurs et tireurs sportifs) détenant légalement des armes au FINIADA par les Préfets.
Au Parti de la France, nous proposons d’inscrire la détention des armes dans la Constitution afin qu’elle ne soit plus un droit discrétionnaire dévolu aux autorités publiques. En revanche, la détention d'armes doit être strictement interdite pour les étrangers présents sur le territoire français.
Quant aux personnes illégalement armées dans le but d’en faire usage contre les forces de l’ordre ou même les civils, elles seront traquées et neutralisées selon les lois de la guerre.
Les autorités doivent maintenant être impitoyables avec les caïds et cesser d'emmerder les Français qui ont toujours respecté la loi.
Maxime Morlon - Membre du Bureau politique du Parti de la France
Il semblerait que les policiers français s'aperçoivent - enfin - de la fourberie du gouvernement. Même les syndicats, pourtant d'habitude chargés de canaliser la colère des troupes, sont ulcérés par l'attitude scandaleuse de nos gouvernants qui les livrent à la vindicte des racailles allogènes sans pouvoir intervenir.
Vont-ils protéger encore longtemps cette oligarchie cosmopolite qui les abandonne face à la racaille afro-maghrébine ? Souhaitons que non.
En France, il y a les victimes avec un grand V… et les autres. Selon qu’elle servent le discours de la gauche ou qu’au contraire, elles y contreviennent.
Pour Nahel, dès le lendemain, le Président a voulu « dire l’émotion de la nation tout entière », assurant la famille de « la solidarité et l’affection de la nation » et qualifiant l’acte d'« inexplicable et inexcusable ». Rappelons que, trois jours après le meurtre de Lola, Emmanuel Macron n’en avait toujours pas fait mention sur son compte Twitter. On ne se souvient pas non plus, il y a un an, de la moindre allusion de sa part au meurtre de Chantal Kempf, Alsacienne septuagénaire égorgée dans sa résidence senior, pour lequel trois hommes de nationalité algérienne, « selon toute vraisemblance » (Le Figaro) en situation irrégulière, ont été mis en examen et placés en détention provisoire. Pourtant, dans le cas de Chantal Kempf, les faits sont on ne peut plus clairs : aucun refus d’obtempérer ni passif d'aucun ordre. Du côté des mis en cause, pas de possibilité d’invoquer, on en conviendra, la moindre légitime défense. Pourtant, seuls les pensionnaires et le personnel de la maison de retraite lui ont rendu un modeste dernier hommage.
En l'honneur de Nahel, il y a eu une minute de silence à l’Assemblée nationale. « Est-ce qu’on fait une minute de silence à chaque fois qu’un policier est mort dans un barrage non respecté ? », a demandé, sur Sud Radio, Annie Genevrard, députée du Doubs et secrétaire générale des Républicains. La réponse est dans la question.
S'agissant de Nahel, la vidéo du drame a circulé à la vitesse de l’éclair sur les réseaux sociaux, exploitée et surexploitée par tous les médias à l’envi sans qu’aucune des belles âmes qui menaçaient des pires sanctions pénales les comptes Twitter relayant la vidéo d'Annecy ne sourcille le moins du monde. Bizarrement, plus question de ménager la dignité de la victime ou l’intimité de la famille.
Pour Nahel, les stars se bousculent : toutes veulent exprimer leur indignation et leur peine pour « ce petit ange parti beaucoup trop tôt », comme l’a écrit Kylian Mbappé sur Twitter. Lola (12 ans) et Timothy (19 ans) n’étaient-ils pas des petits anges encore plus irréprochables puisque n’ayant jamais eu maille à partir avec la police ni la justice ? Pourquoi n’ont-ils pas réussi à émouvoir le petit cœur de Kylian Mbappé et de ses comparses ? Mathieu Kassovitz, sur Instagram, en évoquant Nahel, essuie ses larmes, parle de « bavure », dit que « cela fait trente ans que ça dure ». Le même, sur le plateau de LCI, il y a deux ans, avait affirmé à Véronique Monguillot, veuve du chauffeur de bus de Bayonne, que le calvaire de son mari n’était qu’un « fait divers » perpétré par « un fou ».
Dans le cas de Nahel, la famille n’a pas fait d’appel au calme ni dénoncé l’instrumentalisation, par la voie d'un tiers parce que recluse dans sa peine, comme il est d'usage. Au contraire, traitant publiquement de « fils de pute » le policier, la mère a exhorté au rassemblement « Justice pour Nahel », trônant elle-même aux côtés d’Assa Traoré sur le char de tête. Si la douleur des mère et grand-mère de Nahel est ô combien compréhensible, il est en revanche plus étonnant qu'aucune des deux ne semble déplorer les agissements illicites du garçon de 17 ans. Ce sont bien eux, pourtant, qui l'ont conduit à sa perte : que le policier soit in fine condamné ou non, force est de constater qu'il y a bien eu un refus d'obtempérer.
La France à deux vitesses est décidément, dans tous les domaines, un feuilleton inépuisable. Reste à savoir combien de temps la France avec un petit V le suivra passivement sur son petit écran.
La situation insurrectionnelle dans différentes villes de France colonisées par l'immigration afro-maghrébine est directement imputable à l'attitude lamentable de nos gouvernants suite à l'élimination d'un mineur délinquant à Nanterre par un agent de police.
En prenant partie pour le jeune voyou multirécidiviste, gouvernement, politiques, médias, vedettes sont les complices directs des émeutiers qui n'attendaient qu'une étincelle pour faire exploser leur haine et leur violence à l'égard de la France et des Français.
Il s'agit clairement d'émeutes raciales. Ces gens ne veulent pas vivre avec nous mais nous imposer leurs us et coutumes par la sauvagerie et la terreur.
C'est pourquoi le Parti de la France propose d'établir un couvre-feu dans toutes les villes de France touchées par cette guérilla urbaine, avec l'aide de l'armée s'il le faut. En plus de cette mesure d'urgence, il apparaît évident que, pour rétablir la sécurité des Français, une remigration massive des populations allogènes doit être engagée sans tarder et avec la plus grande fermeté.
Une nouvelle fois, les banlieues s’embrasent et, comme toujours, les prétextes se ressemblent. Dans le cas présent, il s'agit d'un refus d’obtempérer à un simple contrôle routier. Un grand classique.
Un mineur récidiviste de 17 ans a été abattu par un policier en état de légitime défense, ce qui a déclenché de violentes émeutes à Nanterre.
Toujours le même modus operandi, à savoir une racaille juvénile qui se permet tout, car elle sait que la justice laxiste de notre pays lui épargnera la prison, quoi qu'elle fasse. Et dès qu'un semblant de répression apparaît, les hordes déferlent dans les rues en cassant tout pour réclamer « justice ».
Comme il fallait s'y attendre, la caste politico-médiatique se range du côté des voyous et accable le policier qui n'a fait que son travail.
Pourtant, des solutions simples et efficaces existent pour combattre la délinquance et la criminalité :
⁃ Tolérance zéro ;
⁃ Prison ferme à partir de 14 ans ;
⁃ Arrêt du versement des allocations aux familles des délinquants ;
⁃ Déchéance de la nationalité et expulsion du territoire pour les délinquants étrangers ou binationaux.
Le Parti de la France réclame que nos gouvernants donnent l'ordre de réprimer avec la plus grande fermeté les émeutiers qui profitent de ce fait divers pour mettre des quartiers entiers à feu et à sang.
Laurent Spagnol - Membre du Bureau politique du Parti de la France
Sujets abordés : en route vers les 100 ans, remerciements, mariage d'une petite-fille à La Trinité-sur-mer, le sous-marin d'OceanGate, les menhirs détruits à Carnac.
Devant le Conseil d’État, lundi 26 juin, un groupe de jeunes femmes sort d’audience. L’une d’elles, Founé Diawara, s’exprime au micro de Cnews : « On nous met dans des carcans, en fait. On nous enferme. […] Aujourd’hui, on empêche des femmes de disposer de leur corps, de disposer d’elles-mêmes. »
À quel oppresseur s’adressent ces reproches ?
C’est la Fédération française de football (FFF) qui est visée. Son tort : interdire aux jeunes femmes qui refusent de retirer leur voile de participer à ses compétitions. Ce refus se fonde sur l’article 1 des statuts de la Fédération qui interdit « tout port de signe ou tenue manifestant ostensiblement une appartenance politique, philosophique, religieuse ou syndicale ». Les « hijabeuses », rebelles à cette contrainte, ont demandé, ce lundi, au Conseil d’État l’abrogation de l’article litigieux.
Une jeune femme d’aujourd’hui
En février 2022, Le Monde interrogeait leur jeune meneuse, s’étonnant de ne trouver, « dans sa voix, ni colère ni rage ». Mais est-il besoin de fulminer, en 2023, quand on a derrière soi les causes les plus « correctes », les droits, le nombre ?
Née de parents d’origine malienne, Founé Diawara grandit à Meaux, réussit à l’école, s’essaye à différentes disciplines, excelle au foot. Un jour, en 2015, un arbitre lui refuse l’entrée du terrain à moins de retirer son voile - ce qu’elle n'accepte pas, malgré les suppliques de son entraîneur. Que s’est-il passé, ensuite ? Rien de bien grave, puisqu’elle passe son bac et est intégrée, en 2017, en licence à Sciences Po. Elle y découvre la vie associative, les idées et les causes de sa génération : Black Lives Matter, dont elle est responsable communications entre 2018 et 2019, HeForShe (campagne de solidarité pour l’égalité des sexes lancée par l’ONU Femmes) à la même époque.
En mai 2020, Anna Agueb-Porterie, organisatrice de communauté chez Alliance citoyenne, la propulse à la présidence des Hijabeuses. Alliance citoyenne étant cette association créée à Grenoble en 2012, connue à partir de 2019 pour sa promotion du burkini dans les piscines municipales et à laquelle Gérald Darmanin a reproché, en mars 2021, « sous couvert de combattre l'islamophobie, de faire pression sur les pouvoirs publics pour promouvoir, au profit des musulmans, des règles compatibles avec la charia ».
Visage du « féminisme islamique »
Founé Diawara, admiratrice de Rokhaya Diallo, auprès de qui elle a effectué, en 2021, un stage de sept mois, égérie de la « mode pudique » chez Nike™ en automne dernier, est décrite par l'anthropologue Florence Bergeaud-Blacker comme le visage du « féminisme islamique ». Cet « oxymore commode », qu’elle dépeint dans Le Frérisme et ses réseaux, l’enquête, participe, selon la sociologue, de la dynamique d’influence des « Frères ».
Dans sa décision le Conseil d'Etat devra prendre en compte l'instrumentalisation dont il est l'objet.
Founé Diawara une jeune musulmane ordinaire ?
Pas vraiment.
Une soeur musulmane active dans le milieu frériste, militante dans l'organisation Syria Charity ../.. pic.twitter.com/B1dybfwWLM
— Florence Bergeaud-Blackler (@FBBlackler) June 27, 2023
Il y participe surtout via le hijab, assimilé insidieusement au droit individuel de la femme à se vêtir comme elle l’entend (ceci faisant oublier son caractère intrinsèquement islamique). Ainsi, en érigeant « l’existence d’une islamophobie féminine » au rang de « problème public » (le « problème public » étant, selon Joseph Gusfield, un problème social que l’on construit et dont on s’arroge la définition, que l’on contrôle et dont on tire profit), cette dynamique investit dans l’espace public les notions de citoyenneté, de laïcité, de droits de l’homme.
Pour certains milieux de gauche et universités, ce n’est pas une certaine religion qui prive certaines femmes de la liberté, mais plutôt les sociétés européennes, avec leurs discriminations, qui oppressent ces femmes « racisées et non blanches ». Un glissement qui fait pencher l’avis du rapporteur public Clément Malverti dans le sens des Hijabeuses. La décision du Conseil d’État, décisive, doit être rendue d’ici trois semaines.
Bravo au policier qui a neutralisé le jeune voyou qui a tenté de forcer un barrage de police à Nanterre.
Malgré ses 17 ans, ce Maghrébin était déjà un caïd bien connu des services de police pour trafic de drogue et braquage à main armée.
Avec le Parti de la France, ce sera le traitement systématique pour les racailles qui mettent en danger la vie des honnêtes citoyens et des forces de l'ordre.
Ce policier doit être décoré et félicité ; et non pas suspecté de je-ne-sais quelle bavure. La peur doit changer de camp, il est plus que temps de mettre au pas la racaille allogène.
Dans le Forum du PdF du jeudi 29 juin, Alexandre Hinger reçoit Thomas Joly (Président du Parti de la France) et Maxime Bellamy alias « Orsu Corsu », champion du monde de boxe à mains nues.
L'émission sera consacrée aux sports de combat et traitera également de l'actualité politique.
Les choses auraient pu, auraient même dû, se passer tranquillement. Geoffroy Lejeune, viré de VA parce qu'en désaccord avec le propriétaire, ses plus proches amis ayant suivi, Vincent Bolloré l'ayant fait nommer à la tête du JDD, l'affaire était entendue. Licenciement politique puis embauche tout aussi politique : on sait qu'aucune presse n'est objective, surtout pas en France, rien de tout ça ne devrait nous choquer. Normalement.
Le problème, c'est qu'en France, plus des trois quarts des journaux, radios et télévisions sont non seulement de gauche, mais aussi viscéralement hostiles à toute voix discordante. Et comme cette univocité pourrait sembler un peu dictatoriale, afin de maintenir un semblant de débat, ils s'écharpent sur des détails. Cette partition discordante se retrouve tous les cinq ans au point d'orgue, c'est-à-dire au moment où l'antifascisme d'opérette rejoue le requiem pour Oradour, embouche le clairon de la charge « jean-moulinesque » (le pauvre Jean Moulin doit en avoir assez, d'être « aimé par des cons », pour reprendre une célèbre une de Charlie Hebdo, et sonne le tocsin contre les hordes de SS qui assiègent Paris. Ensuite, une fois sauvées leurs prébendes par les castors imbéciles du « front républicain », ils redeviennent « opposants » les uns aux autres, au sein d'un « débat d'idées » rabougri, enclos dans le périphérique parisien.
Huit anciens directeurs du JDD réagissent
Geoffroy Lejeune au JDD, ce n'est donc pas possible. Un journal respectable comme ça, 75 ans d'histoire, vous n'y pensez pas ! On ne va pas donner ça à quelqu'un qui n'est pas comme nous ! Du coup, la presse soviétique, qui ne peut même plus compter sur le KGB pour s'assurer d'une certaine uniformité idéologique, fait feu de tout bois. Yaël Goosz, chef du service politique de France Inter, cite Gramsci pour comparer Lejeune à un monstre. Il a même l'outrecuidance de dire, depuis la station la plus gauchiste de France, que, quand on est journaliste, on ne tord pas les faits !
Pas seulement proche de Marion Maréchal Le Pen et de Zemmour, aussi très ami avec Gaspard Proust et Vianney 👉Geoffroy Lejeune, une croisade réactionnaire jusqu’au « Journal du dimanche » – via @LaMatinale_Mhttps://t.co/gWLhm1twPY
Pascale Clark, amie du délicieux Mehdi Meklat, a l'indignation sélective mais ne lésine pas sur les moyens. Elle balance les meilleurs amis de Geoffroy Lejeune : Gaspard Proust et le chanteur Vianney. Des fois que ça puisse leur porter préjudice... Toujours ce goût de faire des listes et de remplir des charrettes selon des critères discutables (ils partent en vacances ensemble, qu'on lui coupe la tête). Ce sont vraiment les enfants de Fouquier-Tinville.
Cerise sur le gâteau : huit anciens directeurs du JDDs'opposent à la nomination de Geoffroy Lejeune. C'est bien, mais j'ai peur que nous ne nous en foutions éperdument ! Huit anciens directeurs de journal... On ne sait pas ce qu'Hubert Beuve-Méry, fondateur du Monde et ancien de l'école des cadres d'Uriage, fondée sous Pétain, ou ce que Louis Pauwels, fondateur du Figaro Magazine, qui diagnostiquait chez une jeunesse « ahurie par les saturnales de Touche pas à mon pote » une forme de « SIDA mental », penseraient de ces huit anciens. La roue tourne et le poste de directeur d'un journal n'a pas à être coopté : le JDD n'est pas le Jockey Club et Bolloré fait bien nommer qui il veut.
Toutes ces convulsions font volontiers penser aux réactions qu'observent les exorcistes chez les possédés. Propos ultra-violents, perte de contact avec le réel, outrance, hurlements, discours irrationnel... L'apparition d'un homme de droite dans le paysage des journaux « installés » fait apparemment le même effet qu'un jerrican d'eau bénite à une réunion du Grand Orient.
Rima Abdul-Malak, ancienne directrice de programme de l'association Clowns sans frontières (sic), a remis son nez rouge pour parler des « valeurs de la République ». Ils sont trop forts. Ils sont surtout morts de trouille. Le ministère de la Vérité est en train de leur échapper...
Trois corolaires pour mettre fin à l'irresponsabilité pénale en France et rétablir la sécurité :
1. Rétablir la peine capitale, clé de voute du système pénal ;
2. Supprimer l'ordonnance n°45-174 du 2 février 1945 relative à l'enfance délinquante ;
3. Remplacer l'Etat de droit par l'Etat légal.
Avant toute chose, répétons qu’il n’y a pas de société sans loi, ni de loi sans sanction, que l’exemple est, avec l’intérêt, la meilleure des incitations. La protection des lois est due d’abord aux innocents et aux bons citoyens avant de l’être aux mauvais enfants. C’est la hiérarchie des sanctions qui permet de nuancer à l’extrême le châtiment en proportion de la faute, du préjudice causé, des circonstances particulières et de la personnalité du coupable.
RETABLIR LA PEINE CAPITALE
Chez-nous, la Justice est menacée à la fois par l’agitation des juges rouges et la désagrégation morale.
Ses avatars troublent et inquiètent d’autant plus l’opinion publique qu’ils coïncident avec une montée vertigineuse de la criminalité et de la délinquance. Nous sommes dans une situation de désordre, où les bases institutionnelles, sociales et pénales nous ont menés à un monde incohérent, à un monde libertaire et excessif. Un monde où les gens n’assument plus la responsabilité de leurs actes.
La montée de la criminalité est en relation directe avec la libération des mœurs et des institutions. En débloquant les freins, en desserrant les boulons, on ne défend pas la liberté, on l’assassine.
La peine capitale est la clé de voute de notre système pénal. Elle doit être rétablie.
D'abord, parce que la peine capitale est efficace dans au moins un cas, c'est qu'elle interdit la récidive. Ensuite, parce que certains criminels ne méritent pas de vivre et qu'ils sont pas réinsérables dans le corps social. Enfin, il faut rétablir la peine capitale parce qu'elle empêche les représailles en marge des tribunaux.
SUPPRIMER L'ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 RELATIVE A L'ENFANCE DELINQUANTE
L'ordonnance n°45-174 du 2 février 1945 relative à l'enfance délinquante est une abérration juridique en grande partie responsable de la prolifération de la délinquance et de la criminalité chez les mineurs.
En somme, cette ordonnance permet à tout mineur délinquant d'échapper aux juridictions de droits commun et d'avoir ipso facto une peine encourrue divisée par deux en cas de commission d'un crime ou d'un délit.
Il n'est un secret pour personne que de nombreux réseaux criminels utilisent des mineurs afin de commettre leurs basses besognes et divers larcins. Cela doit cesser.
Avec le Parti de la France, ceux qui adoptent des comportements anti-sociaux seront tous jugés à la même enseigne.
REMPLACER L'ETAT DE DROIT PAR L'ETAT LEGAL
Une fois le néfaste syndicat de la magistrature neutralisé, le Parti de la France s'emploiera à mettre fin à l'Etat de droit qui est en vérité la dictature des juges, et en l'espèce, celle des juges rouges.
Les juges qui rendent des décisions illégales auront des comptes à rendre.
L’État de droit est au service des hors-la-loi. L’État de droit est un État où l’on relâche un immigré illégal parce que le contrôle d’identité était irrégulier. Dans l’État de droit, on acquitte un criminel parce que les écoutes téléphoniques étaient irrégulières. Cela doit cesser. La loi française doit l’emporter sur le droit international, et l’État légal sur l’État de droit, dictature des juges. La répudiation de l’État de droit est nécessaire à notre liberté. Pas de solution du problème de l’immigration dans l’État de droit.
ADDENDA :
Au surplus des mesures sus-citées, je précise au nom du Parti de la France que nous jugerons les fous comme n’importe quels autres criminels.
Ce sera la fin de l’irresponsabilité pénale pour les soi-disant dingues.
En somme, même un individu reconnu comme complètement dément par des psychiatres, ira en prison ou sera, de préférence, exécuté pour ses crimes.
Ç’en est assez de voir les contorsions des avocats - et parfois du Ministère public - pour tenter de soustraire un criminel au châtiment.
De mon point de vue, la prison est aussi un lieu de réinsertion. Un dément ne peut s’insérer nulle part. Il constitue un danger et coûte beaucoup d’argent à la société.
En partant du principe que les fous dangereux seront éliminés, nous entendrons beaucoup moins de criminels se prévaloir d’être dingue par le biais de leurs avocats.
Pierre-Nicolas Nups - Membre du Bureau politique du Parti de la France
Le cuck de l'espace, Thomas Pesquet, annonce qu'il n'aura pas d'enfant faute d'avoir assez de temps pour aider son épouse à changer les couches : « Si j'avais des enfants, je partirais quand même dans l'espace. Ça veut dire que ce serait à elle de tout gérer toute seule. Ça aurait été très égoïste de ma part. »
Rien d'étonnant de la part de ce gauchiste pro-migrants, climato-catastrophiste, qui coche toutes les cases du conformisme ambiant débilitant.
Annecy, Bordeaux… Nos petites têtes blondes sont-elles les nouvelles cibles de l’insécurité grandissante ?
Celle-ci, en tout cas, commence à se faire sentir jusque dans nos cours d'école. En effet, les intrusions d'individus s'y multiplient. Pourtant, les chiffres restent introuvables. Les données concernant les violences et les infractions dans les collèges et les lycées existent, mais les intrusions ne sont pas répertoriées.
De plus, ce phénomène inquiétant se produit majoritairement, comme l'illustre l'actualité, dans les écoles maternelles.
Une affaire, en particulier, a fait parler : le 8 juin, à Lille, un homme d'une trentaine d'années, de nationalité algérienne et ayant des troubles psychiatriques, s’est introduit dans la cour d'une école à 16 h, en pleine récréation. Une fois le grillage escaladé, il est allé s’asseoir dans la cour, face à une classe comprenant des enfants. Lors de son arrestation, il a étranglé un policier. Parents vigilants, une association de parents d’élèves proche de Reconquête, a demandé « davantage de mesures afin d’assurer la sécurité de nos enfants à proximité des établissements scolaires ».
Outre cette intrusion lilloise du 8 juin, les dernières semaines ont été marquées par d'autres « incidents » similaires :
Le 13 juin, un homme de 23 ans a tenté de s’introduire dans une école maternelle à Villeparisis, en Seine-et-Marne. L’homme a été interné dans un service de psychiatrie.
Le 6 juin, un homme est entré dans une école publique de Saint-Méloir-des-Ondes. Une fois à l’intérieur, l’individu avait abordé deux enfants qui se trouvaient dans les toilettes. Il aurait dit « Viens, je vais te raccompagner chez toi, tu as perdu ton chat. »
Le 22 main, un homme a réussi à pénétrer dans une école maternelle à Champigny-sur-Marne, durant la pause déjeuner. Une fois à l’intérieur, l’inconnu a refusé de partir, contraignant la directrice à faire appel aux forces de l’ordre.
Notons, toutefois, que les mesures de sécurité en vigueur portent leurs fruits. Parmi les faits recensés, aucun enfant n’a été enlevé. Les alertes d'intrusion ont parfaitement fonctionné. « Assurer la sécurité de toute la communauté éducative constitue une des missions centrales de l'École », peut-on lire sur le site du ministère de l’Éducation. Il est également stipulé qu'au moins trois exercices de simulation, dont un concernant les attaques ou les intrusions, doivent être réalisés chaque année. Continueront-ils à être efficaces face aux intrusions qui se multiplient ?
Le Parti de la France invite ses militants et sympathisants catholiques de 16 à 30 ans à participer à l'université d'été 2023 d'Academia Christiana qui se déroulera du lundi 14 août au dimanche 20 août dans les Pays-de-la-Loire.
Le thème de cette année : "La beauté sauvera-t-elle le monde ?"
N'hésitez pas à vous former politiquement et humainement avec des gens sains et déterminés à sauvegarder notre civilisation.