Pas de bilan de la nuit d’émeutes algériennes en France
Les émeutes qui ont suivi la qualification l’équipe d’Algérie pour la Coupe du monde de football ont été l’occasion d’une multitude d’incidents. Malgré la présence de vidéos et d’images montrant d’importantes violences, dégradations et agressions, une source policière à Paris, citée par la presse, a affirmé que la soirée s’était « très bien passée ». Il y a eu néanmoins au moins quatorze arrestations pour jets de projectiles, violences volontaires, dégradations volontaires, vol, port d’arme, etc.
À Marseille, il a été impossible aux autorités de mentir devant l’étendue des dégâts. Trois policiers ont été blessés, mais seulement six racailles ont été mises en garde à vue. C’est
symboliquement le marché de Noël que les immigrés ont le plus dégradé. Des affrontements se sont déroulés à Avignon, où deux policiers ont été blessés. Un véhicule de la gendarmerie a été attaqué
à Besançon ; une militaire présente à l’intérieur a été blessée.
De nombreuses voitures ont été brûlées en France : au moins 24 voitures dans la région lilloise, deux officiellement à Roubaix, où les incendies volontaires ont été suivi de « petits caillassages » (sic) pour lesquels une seule personne a été interpellée a précisé une source du système. Des voitures ont également été incendiées à Lormont, près de Bordeaux, ainsi que plusieurs à Toulouse.
Interrogé par nos soins, le ministère de l’Intérieur a refusé de donner un bilan de cette nuit d’émeute, montrant tout autant son mépris pour les Français que sa complicité envers les racailles. L’Algérie disputera au moins trois rencontres lors de la Coupe du monde, laissant présager au moins trois nouvelles nuits de violences anti-françaises, sans compter les crimes et délits annexes que les racailles, mieux préparées, ne manqueront pas de préparer.