Chaque matin des milliers d’enfants rendent leur petit déjeuner quelques minutes avant de rejoindre le sombre établissement scolaire qui est censé les accueillir. Ce sont des enfants sages. Leurs parents leur ont enseigné le respect envers le prochain dès leur plus jeune âge. Un papa et une maman qui sont fiers de leur petit bonhomme qui travaille bien à l’école. Le petit est conscient de l’importance de ses résultats dans sa vie affective ; il veut être digne de son nom, il veut être à la hauteur des attentes parentales, il se rend à l’école les mâchoires serrées. Il sait les souffrances qu’il va devoir endurer la journée entière, sa demi-pension compliquant encore son programme de survie. Devant son collège, une équipée de barbares l’attend, une petite horde de minables libres de leurs mouvements, disposés à pourrir l’existence de l’enfant, par jeu, gratuitement et impunément. La harde squalide est désinhibée.
L’ultra violence minorée
L’anomalie sociale préservée au nom de la tolérance envers les déchets humains. Les voyous qui font régner la terreur au détriment des plus innocents des élèves, voilà l’un des fléaux les plus massifs qui est complètement éludé par les autorités, étant donné que l’immense majorité des victimes est constituée de petits enfants blancs propres et bien français. Pour se débarrasser du problème qui est régulièrement soulevé par des parents d’élève qui ont enfin appréhendé le péril, le gouvernement avait monté l’année dernière une petite comédie burlesque à propos du harcèlement dont est effectivement victime une fraction de notre jeunesse. Mais cette petite campagne publicitaire se limitait à la dénonciation de la « culture » de l’injure et aux violences psychologiques de faible amplitude. Les agressions et autres fustigations n’étaient bien sûr pas prises en considération, histoire de ne pas réveiller les parents encore abrutis méconnaissant la profondeur du mal. La méconnaissance d’abord d’un racket impliquant de véritables délinquants qui ne dérobent plus à la va vite des petits brimborions dans le cartable du garçonnet chétif mais des appareils coûteux et des sommes d’argent liquide de plus en plus élevée en employant une violence de plus en plustraumatisante. Le petit élève perclus de peur face aux barbares qui le dépouillent finit souvent en cible favorite pour les autres voyous adeptes de la violence gratuite et tout heureux de découvrir un morceau de chair à frapper. Les pouacres jaloux devenus allergiques à toutes frustrations, les déséquilibrés, les psychopathes en herbe que l’on laisse virevolter dans les « bahuts », les fumeurs défoncés surtout, les orgiaques d’à peine 15 ans shootés à la vidéo porno et aux ersatz de snuff movies prolifèrent dans une atmosphère caractérisée par une coprolalie toujours plus aiguë, étouffant naturellement le bon grain comme les cuscutes parasitent la luzerne. Et dire que des péronnelles de l’Educ Nat’ s’interrogent encore sur les raisons principales de la dégradation des résultats scolaires des petits Blancs en milieu urbain. Lorsque ces derniers sont bien intégrés à la faune locale de leur cité, on les retrouve souvent happés dans un processus de fourvoiement balisé par une consommation de drogue progressivement débridée. Avec ce deuxième phénomène morbide après celui de l’ultraviolence qui lui est corrélé, celui de la cannabisation des esprits, la masse innocente et en particulier les plus jeunes livrés « au public » sont soumis à des épreuves permanentes.
Drogue banalisée : L’imploration des médecins à enfin réagir !
Estimant que les mesures prises par les autorités sont insuffisantes, l'Académie de médecine demande à ce que la lutte contre la consommation de cannabis devienne une cause nationale. Il était temps ! Et il est bien tard pour s’alarmer tant la situation est effroyable comme en attestent les nombreuses études toute récentes publiées à ce sujet. Des études qui restent cependant proprement médicales, les analyses psychologiques, sociologiques et surtout anthropologiques faisant toujours sévèrement défaut à l’étude globale du sujet. En effet, nous souhaiterions savoir s’il existe une corrélation non négligeable entre la consommation régulière de haschich et la progression continue de la violence au sein des collèges et des lycées professionnels notamment. Savoir si le produit stupéfiant ne désinhibe pas encore davantage les brutes allogènes ou indigènes, connaître la propension des drogués à accepter la violence, à accepter l’invasion colorée, à se prostituer, à violer, à voler ? Ces questions semblent étrangement n’intéresser personne. Contentons-nous donc des études strictement médicales sur la consommation du poison. Et d’un nouveau chiffre indiquant que 7% des adolescents de 17 ans sont dépendants au cannabis.
À l'hôpital Robert-Debré (Paris), relate Le Figaro du 26 mars, le Pr Richard Delorme, pédopsychiatre, confirme avoir observé « une accélération de la consommation de cannabis depuis 2005-2006 à mettre en parallèle avec une baisse de la représentation de gravité de celle-ci ». Cette situation fait bondir le Pr Jean-Pierre Olié, professeur de psychiatrie (université Paris-Descartes) : «Les progrès de la connaissance ne sont absolument pas rassurants pour cette drogue encore trop souvent perçue comme récréative.»
Les raisons de se méfier du cannabis et de ses dérivés, les cannabinoïdes de synthèse, sont en effet nombreuses. « De toutes les drogues, le THC (principe actif du cannabis) est la seule à se stocker durablement dans l'organisme, en particulier dans le cerveau, explique le Pr Costentin, et les consommateurs réguliers se retrouvent en permanence sous l'influence du cannabis. » Encore une raison pour s’interroger sur un éventuel lien entre consommation cannabique et accroissement de la violence juvénile en quantité et en qualité (d’autant plus que la teneur en THC, produit actif du cannabis, est de plus en plus concentrée dans les résines fumées) ? Une substance comme le cannabis, omniprésent dans l’univers lycéen, une substance psychotrope dont la puissance augmente parallèlement à sa normalisation sociale (l’on pourrait d’ailleurs évoquer le triptyque suivant : sexe, jeux vidéo et shit comme la nouvelle trilogie de la Gueuse) et qui désinhibe les individus inhalant ladite molécule. Il faut ouvrir les yeux et observer d’une manière macroscopique les effets de cette drogue qui accentue les fantasmes et les « idéologies » de ses consommateurs : Les petits Européens élevés dans le culte de l’auto-détestation identitaire, de l’ethno-masochisme, de l’antiracisme angélique, dans le « tout tolérant » se fanatiseront dans ces nuées outrancièrement lénifiantes tandis que les allogènes cultivant un racisme anti-blanc farouche dans leur tribu postmoderne nourriront en leur sein une haine décuplée, une rage sans cadre, une violence inouïe à l’encontre des autochtones désormais cibles de toutes les ignominies. Le produit rendra encore plus débiles les crypto-hippies, les gauchistes et les tolérants en état de constante sidération quand la faune délinquante sera, sous l’effet de la même substance, envahie par un sentiment de toute puissance. La première chose à appliquer pour, dans une certaine mesure, faire recouvrer la raison à la frange de la jeunesse blanche adulant l’Autre est de la sevrer brutalement de ce poison qui sert si bien le Système et ses dirigeants. Pour preuve cette promotion continue et monumentale du pétard qui caractérisa l’ensemble de la production cinématographique et télévisuelle durant les années 80, 90 et 2000, fictions et émissions prônant aujourd’hui l’herbe, la fumette et la défonce d’une manière davantage métaphorique (moins directe mais tout aussi efficiente), comme si les petits démons qui supervisent le gros media ne connaissaient que trop bien les effets destructeurs (en terme de santé, en terme de culture, en matière proprement politique, bref sur la civilisation occidentale) d’une herbe verte qui sert depuis trente ans à cadenasser une jeunesse sous castration chimique et sous la menace des envahisseurs. Autre chiffre inquiétant paru dans la revue scientifique Molecular psychiatry datée d’avril de cette année, un étudiant sur cinq aurait expérimenté au moins un épisode psychotique à l’occasion de l’une ou de plusieurs de leurs fumettes (partagée par 44% des étudiants…). Et l’on revient inlassablement à notre question centrale : Les étudiants abrutis adeptes de la verte plante sont-ils plus nombreux à être de fanatiques nomades que leurs homologues non contaminés ? Si les étudiants sont si nombreux à être imprégnés de poison, que penser du nombre probable des allogènes et des cas sociaux shootés à la marie-jeanne (et qui zonent un peu partout dans les lieux publics) et menés par une psychose chaque jour plus aiguë qui les rend furieusement violents ?
Des jeunes femmes transformées en serpillères
Le produit agit progressivement sur l’ensemble du corps social qui se métamorphose chaque année davantage en suivant une courbe de croissance exponentielle du rythme de sa mutation. Aussi, pour la première fois de l’histoire occidentale, non seulement nous observons une génération plus faible en logique pure que la précédente (diminution du sens logique des jeunes), mais nous avons également à supporter des hordes de jeunes blancs complètement déculturés, défoncés, antifrançais et nomades ! Quand, « en face », l’Etranger forcit, et se dope à un produit (mais ils peuvent bien en crever puisque le monde entier est en attente pour le remplacer) qui provoque l’effet inverse chez l’autochtone sidéré… Il était un temps, pas si lointain, où la France craignait pour l’avenir de ses gosses, voyait en eux une rareté à élever, une jouvence précieuse que l’on préservait de l’Etranger, des salissures, des dangers et des humiliations. Aujourd’hui, les gardiens de l’innocence ne représentent plus qu’une minuscule minorité tentant d’éclairer de leurs lumignons tous les recoins de la société souffrant de fléaux subintrants. Pointent-ils du doigt la propagande stupéfiante que l’ « on » déroule au travers des séries télévisées regardées par des adolescents boutonneux et des enfants comme l’excrémentielle Plus belle la vie où une sorte de personnage sidaïque explique à un minet comment rouler son p’tit pétard et la brigade internationale de la décadence obligatoire se rue sur eux à l’instar du frelon sur l’abeille innocente ! Le petit joint qui n’a jamais fait de mal loué par les modernes qui dénigrent les vieux ringards misonéistes de l’ordre moral… Ô nous les comprenons ! Comme ils visent juste en promouvant l’herbe verte qui constitue un accélérateur de mort. En février dernier, une autre étude sur la consommation cannabique chez les étudiants indiquait en effet que la fréquence des avortements chez les fumeuses de shit est trois fois supérieure que celle observée chez les non consommatrices. L’on remarque également (mais ne suffit-il pas de déduire le phénomène de cette explosion abortive ?) que nombre de jeunes femmes offrent leur corps anesthésié à des individus interlopes en éludant sur le moment, lorsque leur esprit obscurci est sous l’empire de la drogue, les conséquences affectives, psychologiques et physiologiques de leurs actes. Combien de viols commis suite à l’assombrissement de cerveaux fragiles ? Combien de jeunes filles honteuses et souillées considérées comme des paillassons par une gent masculine constituée de bélîtres et de xénothèques simiesques gavés de pornographie ? Le viol sous chichon ou les souvenirs fuligineux de pauvres filles qui ne peuvent s’en prendre qu’à elles-mêmes quand l’engramme de la salissure narco-sexuelle la renvoie à une turpitude insupportable… Le Système se pourlèche devant la « gourgandinisation » des petites femelles hexagonales passant par la case avortoir après avoir été salopées par le premier venu. Avortée, le pacte signé, éhontée, la femme devient parfois hétaïre et gorgone ; nouveau suppôt dudit système, ou abattue, se sentant coupable, vomissant tardivement les cloaques, elle s’effondre, au contraire, crevant ce sybaritisme qui l’a détruite au nom d’une rédemption lui semblant dorénavant impossible. La réalité de la marijuana, nous le voyons, ne correspond aucunement aux images printanières et aux irrisions des chroniqueurs spumescents perpétrées à travers l’infernal media. La drogue vendue en permanence sous un discours elliptique incessant combinée au sexualisme débridé et à l’antiracisme d’essence cosmopolite constituant les deux éléments essentiels participant à notre décomposition.