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Le blog politique de Thomas JOLY

Portrait (peu flatteur) de Franck Ribéry par son médecin de famille, Jean-Pierre Dickès

4 Juillet 2014, 08:53am

Publié par Thomas Joly

Ribéry bénéficie d’une popularité très basse auprès des Français. Il n’est pas plus populaire à Boulogne où il refuse de parler aux journalistes et il est toujours mauvais d’être mal avec eux. Il a été expliqué par la presse que sa présence inhibait les Bleus et pouvait les empêcher de gagner. Il est devenu d’une prétention peu commune qui est mal acceptée.

Ribéry a aussi comme caractéristique d’être incapable d’allonger une phrase correcte en Français. Un dénommé Nicolas Garreau, qui aime habituellement se gausser des hommes politiques, a rédigé deux ouvrages intitulés Les perles de Ribéry. Le Figaro en a donné des extraits qui valent leur pesant de cacahuètes. « On dirait c’était comme si que y avait rien changé hier », « J’espère que la routourne va vite tourner », « Je suis quelqu’un que j’aime beaucoup rigoler, que j’aime blaguer. » « Chaque année, je vieillis d’un an ». Nul doute qu’il fait concurrence au fameux Bérurier des romans de San Antonio.

Il se trouve que je soignais comme médecin la famille Ribéry. Celle-ci habitait au Chemin Vert, cité Triennal, classée ultérieurement comme zone de sécurité prioritaire, nous disions à l’époque « les quartiers défavorisés » où notamment sévissaient beaucoup de trafics de drogue.

C’était une famille de braves gens comme on n’en fait plus. Sa maman Marie-Pierre était devenue une confidente. Elle aimait se faire taquiner. Elle était persuadée que son mari était d‘origine italienne. En fait, c’étaient de bons Français dont les ancêtres étaient originaires de Rivery dans la Somme. En effet en vieux Français et en espagnol le B est souvent substitué par un V.

Un jour, je rencontre dans la rue Marie-Pierre avec sa sœur qui m’avait introduit dans cette famille. Elle était aussi avec une amie. Nous déplorions les petites et grandes misères du quartier. Elle en arrive à parler de son mari que j’avais vu travailler durement sur la rue principale à passer des tuyaux. François, un vraiment brave type, était nous dirions, cantonnier. Marie-Pierre m’appelait par mon prénom mais n’osait me tutoyer. Elle me fit comme ça, bien sûr en parlant patois :

  • Dites, Jean-Pierre, em’ n’homme qu’est-ce qu’il est laid c’t’homme-là. (Mon mari, qu’est-ce qu’il est laid cet homme ! )
  • Et’ n’homme d’abord il n’est pont laid et i travalle. I a pon grammin d’gins qui travaille-te dins l’quartier (D’abord ton homme il n’est pas laid et il travaille. Dans le quartier il n’y a pas beaucoup de gens qui travaillent).
  • Jean-Pierre, ça c’est ben vraille. Mais min fiu ti-Franck (mon fils petit Franck) qu’est-ce qu’il est bête, qu’est-ce qu’il est bête…

Je lui expliquais qu’il était bien trop tôt pour savoir ce qu’un gamin de huit ans pouvait devenir. Sans doute à l’avenir serait-il connu dans le quartier ?

C’était bien être en dessous de la réalité. Il fallait reconnaître que Ti-Franck n’était pas gâté par la nature. Mais le secret médical m’empêche de dire d’où proviennent ses deux immenses cicatrices qu’il porte sur le visage. Elles ne viennent pas de ce qui en a été dit sur le sujet et de loin.

La chance de Franck est qu’un maire de droite fit installer derrière son bâtiment un terrain de foot : il passait son temps à pousser le ballon. Comme il était nul à l’école, il fut envoyé au centre de formation du LOSC de Lille. La suite est connue.

A Boulogne cité mariale, la conversion de Franch Ribéry à l’islam ne plut à personne. Mais il n’oublia pas sa famille. Il lui offrit une belle maison dans une commune en périphérie. Toutefois Marie-Pierre s’ennuyait de sa sœur. Elle retourna au Chemin Vert.

Mais la gloire et les pieds de Ribéry ne lui ont pas appris pour autant les rudiments de la langue Française.

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Le Point contraint de retirer un sondage sur la double nationalité

4 Juillet 2014, 08:40am

Publié par Thomas Joly

Le Système a obtenu la suppression d’un sondage diffusé sur le site du Point. Le média interrogeait les lecteurs sur la double nationalité : « Faut-il retirer aux Français d’origine algérienne leur double nationalité ? »

À cette question limpide, les internautes ont apporté une réponse massive et tranchée : 81 % des personnes ont répondu « oui ». Ce résultat remettant en cause les mythes républicains de « l’intégration » et du « vivre-ensemble » a conduit à une campagne de presse contre le journal, jusqu’à obtenir rapidement le retrait du sondage, qui a été de plus contraint à présenter des excuses pour avoir osé demander son avis aux Français.

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République exemplaire : la pasionaria de la destruction du mariage nommée conseillère d’État

4 Juillet 2014, 08:36am

Publié par Thomas Joly

L’ancienne sous-ministre à la « Famille » (sic) Dominique Bertinotti a été nommée conseillère d’État « au tour extérieur » – autrement dit par le fait du prince. Elle est ainsi récompensée pour son travail dans la destruction du mariage par son ouverture aux déviants sexuels. En novembre 2013, en pleine polémique sur sa politique, elle avait instrumentalisé la maladie dont elle affirmait souffrir pour faire taire les critiques.

Cette militante poursuivra ainsi son action antinationale au Conseil d’État, après n’avoir jamais vécu que du copinage politique, après avoir été chargée de mission auprès de François Mitterrand, puis secrétaire générale de l’Institut François Mitterrand, avant de devenir maire d’arrondissement à Paris et députée.

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Drapeau algérien brûlé : et les enquêtes sur les millions de crimes et délits de l’occupant ? Et du FLN ?

4 Juillet 2014, 08:32am

Publié par Thomas Joly

Depuis trois jours, la vidéo d’un homme brûlant le drapeau de l’Algérie – qui est celui du FLN, groupe terroriste responsable de la mort de plusieurs centaines de milliers de Français et de harkis, des milliers d’autres ayant été torturés, violés et réduits en esclavage – est diffusée sur le net. Depuis deux jours surtout, des milliers d’occupants algériens diffusent l’identité, l’adresse et de multiples menaces de mort contre la personne identifiée comme ayant brûlé le drapeau. Ce ne sont pourtant pas pour ces menaces de mort que la police va enquêter, ni sur les innombrables agressions, vols, dégradations, insultes supportées chaque jour par les Français dans leur propre pays. Non, le commissariat de police de Bourges a annoncé que c’est pour avoir brûlé le drapeau du groupe terroriste qu’une enquête était ouverte.

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Le Piss Christ s’invite à Ajaccio avec la bénédiction de l’Eglise (par Marie Delarue)

4 Juillet 2014, 08:21am

Publié par Thomas Joly

Chaque été, le Musée Fesch d’Ajaccio propose au public une grande exposition mettant en miroir œuvres classiques et art contemporain. Cette année, face à la peinture lombarde du XVIIe siècle, c’est l’Américain Andres Serrano qui est à l’honneur avec son œuvre majeure : le Piss Christ. Soit la photo d’un crucifix baignant dans l’urine.

Lors des délibérations du conseil municipal au cours desquelles ce projet a été approuvé, Monsieur le maire s’en est expliqué : « Andres Serrano est reconnu comme étant l’un des plus grands artistes américains vivants, et, malgré une polémique recherchée par un public extrémiste et inculte (sic), il est l’un des rares artistes qui, aujourd’hui, désire par ses photographies transmettre la connaissance de Dieu ».

De fait, à l’origine de la guerre de l’art qui a fait rage aux Etats-Unis dans les années 90, se trouvent Serrano et son Piss Christ, financé par l’Etat fédéral via le NEA, l’agence culturelle qui dépend du gouvernement des USA. Un organisme attaché à favoriser les pratiques culturelles des minorités, loin des « conceptions blanches et européennes », comme le rappelle Aude de Kerros dans son livre L’art caché. C’est au NEA qu’on doit la promotion des graffitis, puis du hip-hop et du rap, enfin de l’art le plus “avant-gardiste” promu par les minorités gays et lesbiennes assimilées aux minorités opprimées.

En réponse à la polémique qui enfle autour de son œuvre, Serrano (d’origine afro-cubaine) se revendique comme chrétien. Il dit même que c’est ce qui nourrit son œuvre : « Ma relation complexe à ma propre formation catholique influence aussi ce travail et m’aide à redéfinir ma relation personnelle avec Dieu. Et même si je ne suis plus catholique aujourd’hui, je me considère comme un chrétien et je pratique ma foi à travers mon travail. » S’il le dit.

Toutefois, pour ceux qui les regardent, les œuvres (plus de 120) qui vont être présentées à Ajaccio ne témoignent pas d’une “foi” rayonnante mais bien plutôt d’une obsession porno-morbide à tendance blasphématoire particulièrement nauséabonde : dans une esthétique vaguement saint-sulpicienne, des corps ensanglantés, scènes de sodomie, fistfucking, bondage, corps en décomposition…

Les déjections humaines, putréfactions diverses et autres déchets étant devenus depuis quelques décennies le comble du conformisme prétendument subversif en matière d’art contemporain, on se dit que ça ne mérite rien de plus que l’ignorance. Et l’on est du coup extrêmement perturbé en lisant, toujours sous la plume d’Aude de Kerros, que tout cela a reçu le meilleur accueil des évêques de France. Ceux de l’association Art, foi et culture en tout cas, qui déclarent dans leur ouvrage « L’Eglise et l’Art d’avant-garde : De la provocation au dialogue » que « l’œuvre de Serrano est porteuse de lumière », et invitent leurs ouailles à s’ouvrir à la « spiritualité » de cet artiste et de ses semblables.

C’est sans doute la raison pour laquelle l’évêque d’Ajaccio s’est courageusement débiné, se contentant d’appeler les fidèles à « prier pour l’artiste ». Quant aux évêques d’Art, foi et culture, on leur rappellera, au cas où ils l’auraient oublié, que « porteur de lumière » est l’exacte définition du mot Lucifer.

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Argelès et Bourg-les-Valence après Évry et Perpignan : le retour des Barbares

4 Juillet 2014, 08:14am

Publié par Thomas Joly

Il y a plusieurs semaines, une jeune Française était violée en réunion par quatre criminels afro-maghrébins à Évry, la ville longtemps gérée par Manuel Valls. Le crime, commis avec une brutalité sauvage, a été accompagné et justifié devant les policiers par la haine des Français et des Blancs : « Les Français sont tous des fils de putes » avaient déclaré, entre autres insultes racistes, les auteurs. Ce terrible drame n’a quasiment pas été évoqué dans les médias.

Il y a quelques jours à Perpignan, deux Maghrébins, en pleine rue, en pleine journée, ont violé une jeune étudiante. La presse a cette fois relayé un appel à témoin de la victime : « Les deux violeurs présumés sont des Maghrébins, âgés de 25 à 30 ans, mesurant entre 1,70 m et 1,80 m, avec des cheveux bruns. Ils portaient respectivement un jogging rouge et un jogging blanc. »

Les faits n’ont été révélés qu’aujourd’hui, mais un crime semblable a été perpétré dans la nuit de vendredi à samedi à Bourg-lès-Valence. Une jeune femme de 19 ans, qui avait « sympathisé » autour d’une cigarette avec deux racailles afro-maghrébines, a été ensuite séquestrée et violée par les deux hommes. Les faits se sont produits dans une maison que les deux criminels présumés occupent illégalement. Les deux violeurs présumés sont d’ailleurs des « sans-papiers », massivement présentés comme des victimes par les médias.

Dans la nuit de lundi à mardi, à Argelès-sur-Mer, une station balnéaire à 20 kilomètres de Perpignan, deux jeunes femmes de 19 et 20 ont subi un viol en réunion. Ayant pu appeler les secours, elles ont été retrouvées blessées et en état de choc par les secours.

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Mitterrand, Chirac, Sarközy : les présidents affairistes normaux de leur République exemplaire

3 Juillet 2014, 09:02am

Publié par Thomas Joly

Le problème d’être président jeune, c’est de risquer d’affronter la justice une fois son mandat achevé. François Mitterrand l’avait bien compris, refusant de démissionner malgré la maladie qui l’empêchait de gouverner. Mort quelques mois après avoir quitté l’Élysée, il n’a jamais été inquiété pour les multiples affaires politico-financières commises durant son double septennat.

Jacques Chirac avait fait le même calcul. Le « super-menteur » et « super-escroc » n’avait dû sa réélection en 2002 que grâce à la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour. En 2007, il était mis en cause dans pas moins d’une dizaine d’affaires : emplois fictifs du RPR, affaires de la SEMPAP, des HLM de Paris, des billets d’avion, du compte secret au Japon, mais aussi des frais de bouche à la mairie de Paris, ainsi que les suspicions concernant la fondation Claude Pompidou et le château de Bity, l’affaire Clearstream, les ventes d’armes à l’Angola et l’affaire Borel. Certaines de ces affaires se sont achevées par l’abandon des poursuites, certaines n’ont jamais fait l’objet d’enquête. Malade, réel ou imaginaire, il ne fut condamné en 2011 qu’à deux ans de prison avec sursis, devenant le premier président de leur République à être condamné.

Il pourrait ne pas être le dernier. Nicolas Sarkozy est, lui, devenu le premier ancien président de leur République à être placé en garde à vue hier. À l’issue de son audition, il a été mis en examen pour recel de violation du secret professionnel, corruption active et pour un trafic d’influence dont il a été le bénéficiaire selon les juges.

Avec l’appui de son avocat Thierry Herzog, selon l’accusation, il a tenté d’obtenir auprès du juge Gilbert Azibert des informations sur une autre enquête le concernant. Il aurait promis en échange un prestigieux poste à Monaco que le haut magistrat n’aurait finalement pas obtenu. Nicolas Sárközy aurait également été informé illégalement de sa mise sur écoutes par la police, dans le cadre de l’affaire du financement de sa campagne électorale par le régime de Kadhafi. C’est par ces écoutes que les enquêteurs avaient découvert que l’ancien président était informé d’une procédure à son encontre concernant les soupçons d’abus de faiblesse contre Liliane Bettencourt.

Outre l’ancien chef de l’UMP et son avocat Thierry Herzog, le juge Gilbert Azibert a été interpellé et mis en garde à vue, ainsi que l’ancien magistrat Patrick Sassoust, avocat général à la chambre criminelle de la Cour de cassation.

Affaires Bygmalion, Bettencourt-Woerth, des écoutes, des frégates de Taïwan, de Karachi, Tapie-Crédit lyonnais : Nicolas Sárközy ne pourra probablement pas, comme Jacques Chirac, mettre en avant l’anosognosie ou la maladie d’Alzheimer pour échapper à la justice. À moins d’être réélu président de leur république exemplaire avant que les enquêtes n’aboutissent.

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La France et l’ami américain ? Poutine met les pieds dans le plat ! (par Nicolas Gauthier)

3 Juillet 2014, 08:55am

Publié par Thomas Joly

François Hollande a beau changer de lunettes, il persiste à mener la même politique, frappée du sceau de la myopie. Laquelle se résume à un Barnum permanent, fondé sur une perpétuelle lutte destinée à défendre « les droits de l’homme » – alors que la paternité du truc revient historiquement aux Anglais, avec la Magna Carta et l’Habeas Corpus, puis aux Américains et leur fameux Bill Of Rights. Remarquez, Nicolas Sarkozy ne faisait pas mieux, lui, qui du temps de son quinquennat, était tout pareillement obnubilé par le cousin d’outre-Atlantique, cousin ayant déjà tout d’un parrain des plus encombrants.

Certains de nos lecteurs iront dire qu’il s’agit là d’une obsession « anti-américaine », laquelle dissimule forcément une « arabophilie » galopante, d’où une « islamophilie » militante dissimulant, il va de soi, un « antisémitisme » larvé. Bref, l’auteur de ces lignes sera fatalement tenu pour « bobo », « salaud » et « islamo-fellateur », pour reprendre les termes de certains commentateurs des plus mal embouchés.

En attendant, il y en d’autres qui persistent à faire de la politique. Vladimir Poutine, par exemple. D’autres rétorqueront encore : « poutinolâtrie »… Rien à voir avec le kouglof et encore moins le hamburger. Simplement, le président russe, au même titre que son homologue américain, persiste à faire de la politique. Alors que nous, pas. Quand Poutine offre l’asile politique à un Edward Snowden, il fait de la politique. Quand François Hollande tortille du derrière, ne sachant pas comment se dépatouiller de l’affaire, il ne fait pas de politique, si ce n’est celle des Américains ; n’oubliez pas qu’il s’agit d’un ancien Young Leader, soit un de ces jeunes espoirs tôt repérés par les officines d’outre-Atlantique et qui forment aujourd’hui les gros bataillons du personnel politique français.

Et le même Vladimir Poutine de rappeler, lors d’une conférence de presse : « La politique indépendante de la Russie ne plaît vraiment pas à ceux qui continuent de prétendre à un rôle exceptionnel. (…) Nous sommes au courant de la pression que nos partenaires américains exercent sur la France pour qu’elle renonce à la livraison des Mistrals [Deux navires porte-hélicoptères, NDLR.]. » Nous y voilà. Et le même Vladimir Poutine d’évoquer les sanctions imposées à BNP Paribas, allant même jusqu’à parler d’un « chantage ».

Il est un fait que cette banque devra s’acquitter, après avoir plaidé coupable, d’une amende de 6,5 milliards d’euros, pour avoir enfreint la loi américaine l’empêchant de commercer avec des pays tels que l’Iran ou Cuba. Et ce sont d’ailleurs les mêmes amis américains qui, par General Motors interposé, ayant pris une participation au capital de PSA, ont largement contribué à la fermeture de l’usine Peugeot d’Aulnay. Tout simplement parce que la marque au lion commerçait avec l’Iran. Ce que les plus grandes sociétés américaines s’apprêtent à faire dans les mois à venir, dès une prochaine levée de l’embargo frappant Téhéran, sans craindre, il va sans dire, semblables représailles de la justice française.

Sur les plages de Normandie, François Hollande aurait pu toucher quelques mots de tout cela à son homologue Obama. Remarquez, à quoi bon : il est déjà sur écoutes en permanence, grâce à cette NSA censée nous protéger de ce péril islamiste se préparant à submerger la planète entière. Le peu qu’il avait à dire, les Américains le savaient donc déjà.

Certains Français couchèrent jadis avec l’Allemagne parce qu’ils n’avaient pas le choix. Ceux qui forniquent à répétition avec les USA, ça doit manifestement être par goût. Ou vocation. Ou pusillanimité. Ou les trois à la fois. Quel que soit le cas de figure, c’est proprement désolant.

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À quand le diplôme pour tous ? (par Emmanuel Tranchant)

3 Juillet 2014, 08:38am

Publié par Thomas Joly

Pour un chef d’établissement qui a fait son miel du bac 68 puis étudié à la Sorbonne entre deux manifs, le bac 2014 sera le point d’orgue d’une carrière vouée à l’égalité des chances : après 2013, ce cru porte la promesse d’un accomplissement. La liturgie annuelle des résultats d’examens sonne les réminiscences du Printemps de ma génération. Le spectacle de la réception des résultats a de quoi réjouir : il montre combien le spontanéisme révolutionnaire a fait école.

Moi-même arrivé (j’allais dire « parvenu » mais j’ignore comment Bourdieu et ses boursiers le recevraient) à bac (68) + 45, niveau de peau d’âne qui mesure une incontestable expertise, je communie aux émotions incontrôlées de nos grands ados qui, dans 90 % des cas, explosent d’une joie dionysiaque, sautant tels marsupilamis à l’annonce d’un verdict favorable, quand 10 % hululent en sacs et cendres dans les affres du plus profond tourment. Ils nous rappellent que le grand espoir égalitaire né sur les barricades de notre jeunesse n’est pas encore réalisé.

Depuis 68, pourtant, les résultats aux examens d’État sont en hausse continue en toutes disciplines, preuve s’il en faut des vertus du pédagogisme capable de mener tout élève à l’excellence. Preuve aussi de la distance critique avec laquelle il faut accueillir les indicateurs mondiaux ou européens – l’enquête PISA par exemple, qui penche toujours sans jamais tomber – qui prétendent infirmer l’optimisme officiel et reléguer la France en Ligue 2 alors qu’elle caracole en tête de la démocratie scolaire. Gloire donc à l’Éducation nationale qui décerne si généreusement le premier grade universitaire, grade dont le qualificatif indique assez l’universalité pour que le ministère se doive de l’offrir à tous.

Depuis l’an dernier, pourtant, le chef d’établissement s’interroge. La tendance asymptotique tarde à rejoindre sa confusion verticale et définitive. Comment tolérer plus longtemps les 10 % hululants ? Atteinte au principe d’égalité, se dit-il, et cela au moment où la représentation nationale a voté le Mariage pour tous. Curieux pas en arrière, en effet : les consignes du ministère et des rectorats multiplient les obstacles pour empêcher les 100 % démocratiques. Alors que les commissions d’harmonisation tirent dans le bon sens, un numerus clausus imposé d’en-haut maintient les 10 % hululants : concession probable à l’écologie qui fait de la préservation du hululement, patrimoine immatériel de l’humanité, un élément non négociable.

Autre curiosité, la révision des notes à la baisse quand elles dépassent trop le maximum des 20 requis pour les plus hautes mentions et le chiffre invraisemblablement bas des dites mentions : 50 % seulement des reçus. Comment accepter la duplicité d’une administration qui tolère d’aussi grands écarts quand elle ne jure par ailleurs qu’égalité des genres ?

L’enseignement du français en témoigne justement : le pédagogisme a tellement brouillé la grammaire en y substituant de nouveaux genres (hétéro-mâle, hétéro-femelle, homo-mâle, homo-femelle, bi-mâle, bi-femelle, trans-mâle, trans-femelle, etc.), sans parler des nombres (le duel grec nous manque cruellement pour subjectiver les paires) ni des fonctions, que la seule solution logique est l’abandon de toute notation : soyons globaux ! C’est l’attendu des nouvelles méthodes dont le but sociétal postule l’indétermination. Ce qui permet à l’État, enfin dépouillé de son machisme originel, de régner sans partage sous forme de démocratie maternante. On objectera que si quelques stakhanovistes obtiennent des notes supérieures au maximum requis, c’est la preuve hélas qu’une nouvelle nomenklatura cognitive guette, pour la tacler, chaque avancée démocratique. Bref, il reste à faire pour qu’advienne enfin le diplôme pour tous…

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Un enseignant témoigne des lobbies qui influencent l’Education Nationale

3 Juillet 2014, 08:29am

Publié par Thomas Joly

Médias Presse Info vous livre une courte présentation du témoignage (masqué) d’un enseignant sur « La Pyramide de l’Education Nationale ». « Les Français, tout le monde s’en fout », résume l’enseignant qui nous explique comment sont rédigées les directives du ministère de l’Education Nationale. Bienvenue chez les lobbies…

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Troisième nuit d’émeute algérienne en France : l’État impose la censure de l’information

1 Juillet 2014, 09:04am

Publié par Thomas Joly

Pour la troisième nuit en un mois, les occupants algériens ont organisé des émeutes à travers le pays. Les autorités avaient mobilisé un dispositif jamais vu pour ce type d’opération, avec plus de 25.000 membres des forces de l’ordre sur le terrain. Une partie des policiers et gendarmes avait pour mission d’empêcher les Français de s’opposer et de se protéger des dégradations, agressions, et autres crimes des occupants, comme à Lyon où plusieurs dizaines de personnes ont été arrêtées durant un rassemblement où se trouvait notamment le fondateur des Jeunesses nationalistes Alexandre Gabriac. Environ 300 personnes s’étaient retrouvées selon le témoignage de personnes présentes.

Plusieurs dizaines de nationalistes arrêtés, c’est beaucoup plus que le nombre de criminels algériens ces trois dernières nuits d’émeutes : Jean-François Carenco, le « préfet des racailles » tient à honorer son surnom.

Pendant ce temps-là, la racaille afro-maghrébine brûlait des voitures, comme à Vénissieux.

Personne n’en saura plus : le préfet aux ordres de Manuel Valls fait suivre les consignes pour cacher la vérité aux Français :

« Le permanent presse de la Police a eu instruction de ne plus communiquer à Lyon Capitale. Les pompiers signalent « une activité croissante » depuis la fin du match Algérie/Allemagne. Mais « des instructions » empêchent notre interlocuteur de donner plus d’informations. » a ainsi fait savoir Lyon Capitale.

Grâce à l’important dispositif policier, les incidents paraissent avoir été contenus hors des centres-ville, permettant de largement restreindre la diffusion des images de voitures brûlées, caillassages de pompiers, etc. Parmi les rares informations disponibles cette nuit : une dizaine de voitures ont été incendiées à Roubaix, une autre dizaine à Grenoble et aux alentours, ce qui laisse présager à l’échelle de la France un bilan comparable aux deux premières nuits d’émeutes. Des incidents ont été signalés partout en France, comme à Nantes.

Il est probable que les médiats étrangers notamment retiendront le calme qui a régné sur les Champs-Élysées où plusieurs centaines de policiers étaient présents, au détriment du reste de la capitale.

Se complaisant dans son rôle de président niais et incapable, François Hollande, alors que de désastreux chiffres du chômage, de la dette publique et de l’insécurité sont communiqués, passait son temps à regarder des matchs de football à la télévision.

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Nicolas Sarkozy bientôt en garde à vue ?

1 Juillet 2014, 08:58am

Publié par Thomas Joly

Maître Thierry Herzog, l’avocat de Nicolas Sarkozy, a été placé lundi en garde à vue dans une affaire de trafic d’influence et violation du secret de l’instruction présumés, dans laquelle le nom de l’ex-président français est également cité, selon une source judiciaire.

Outre Thierry Herzog interrogé par l’office anticorruption de la police judiciaire, deux hauts magistrats français, Gilbert Azibert (avocat général à la Cour de cassation) et Patrick Sassoust (avocat général à la chambre criminelle de la Cour de cassation), ont également été placés en garde à vue !

Les enquêteurs soupçonnent Nicolas Sarkozy d’avoir cherché à obtenir des informations auprès d’un haut magistrat sur une enquête le concernant en échange de la promesse d’un poste de prestige.

Les enquêteurs pensent également que Nicolas Sarkozy aurait été illicitement informé de son placement sur écoutes dans le cadre d’une enquête financière.

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Sondage : plébiscite de la famille et de la tradition, rejet du mondialisme et des immigrés

1 Juillet 2014, 08:46am

Publié par Thomas Joly

L’institut CSA a proposé dans un sondage de dire « pour chacun de ces mots, s’il évoque pour vous quelque chose de très positif, d’assez positif, d’assez négatif ou de très négatif ». Les personnes interrogées mettent en avant massivement les notions de famille (95 % de positifs et très positifs), de liberté (92 %), de tradition (84 %), mais aussi égalité (84 %) ou États-Unis (67 %).

Tout au contraire, elles rejettent largement celles d’immigrés (69 % de négatifs et très négatifs), d’islam (81 %), de mondialisation (63 %), mais aussi de syndicats (61 %).

Le commanditaire du sondage, le média sioniste Atlantico, n’a pas fait interroger les Français sur les notions de judaïsme, sioniste, escroquerie, repentance ou franc-maçonnerie.

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François Hollande veut le changement ? Et pourquoi ne pas changer de Président ? (par Nicolas Gauthier)

1 Juillet 2014, 08:29am

Publié par Thomas Joly

Certes, gouverner, c’est prévoir. Mais ça consiste aussi à choisir. Fromage ou dessert. Ceinture ou bretelles. Pomme ou poire. À propos de poire louis-philliparde, François Hollande.

En effet, comment choisir ? Entre l’aile gauche du PS qui le somme de mener enfin une politique de gauche et un Medef qui entend le recadrer dans une politique de droite. Entre des cheminots de gauche à l’ancienne, en grève, et des intermittents du spectacle, dignes représentants d’une gauche nouvelle, plus sociétale que sociale et qui risquent de niquer les vacances festivalières de ses copains du Lubéron. Là, au moins, a-t-il un peu choisi : inflexible avec ceux qui votent désormais sur deux Fronts, l’un national et l’autre de gauche. Plus coulant avec ceux qu’il convient d’obliger à demeurer, vaille que vaille, dans le radeau électoral de la rue de Solférino.

On imagine l’intime déchirement devant agiter cœur, cerveau et tripes du premier des Français ; lui qui, en tant qu’ex – et fort bon Premier secrétaire du parti fondé par François Mitterrand – incline plus à choyer qu’à choisir.

Car choisir, cela consiste fatalement à privilégier l’un plus que l’autre. Bref, à exclure l’une des parties en présence ; perspective insurmontable pour cet homme de l’entre-deux, déjà pas foutu de digérer la culture réac de son père, et celle, opportunément plus gauchisante de ses engagements de jeunesse, plus portés vers l’ENA. Adhérer, à cet âge, dans les seventies, au rejeton de la déjà défunte SFIO, voilà qui démontre – au choix – plan de carrière à venir ou total désespoir adolescent.

Du coup, il n’y aura plus « d’ABCD » de l’égalité à l’école. Tout en sachant que le vistamboire en question sera tôt remplacé par une sorte « d’ABC » en forme de « malette éducative ». Quelle audace ! Quel coup de génie stratégique ! À côté, Napoléon à Austerlitz, c’est le brigadier-chef Cruchot à Saint-Tropez. Pauvre François Hollande, tenu de choisir entre les foldinguettes du « gender » et le militantisme rugueux d’une Farida Belghoul et de ses supplétifs catho-versaillais. Ne pas choisir demeure encore une forme de choix. Allons-y donc pour « l’ABCD » sans « D ». Sandec ?

Et, pire encore, choisir entre le rigorisme tout aussi budgétaire que protestant d’une d’Angela Merkel, les velléités d’une Angleterre qui, souverainiste ou européiste – quoi que toujours prête à étrangler le continent – n’en fait jamais rien qu’à sa tête, sans oublier de nouveaux arrivants sur la scène européenne qui, de l’extrême gauche à l’extrême droite, veulent rompre avec cette « orthodoxie budgétaire » ne profitant au bout du compte, qu’à la seule Allemagne. Coucher avec icelle ou pas ? Encore un autre choix. Trancher ce nœud gordien ou se le prendre dans le fion ? Il y a du pour et du contre et bien au contraire, à l’Élysée…

Après, ne demandons pas plus à un homme qu’il n’est capable de donner. Déjà qu’il n’est pas capable de choisir entre ses trois gonzesses plus ou moins officielles – épargnons-lui les officieuses –, comment exiger le « plus » de celui qui ne peut le « moins ».

Petit satisfecit, au moins a-t-il choisi de changer de lunettes. Car le changement, c’est maintenant ! Certes, on ne sort de l’ambiguïté qu’à son propre détriment affirmait, non sans raison, le défunt Mitterrand. Mais il ne suffit pas au jeune impétrant de se prénommer « François » pour faire un Mitterrand. Un changement de prénom serait-il peut-être opportun ? Après tout, on a vu des « Kevin » devenir des « Charles-Alexandre ». Et pourquoi pas Gudule, celui qui avance et qui recule, avant que…

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