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Le blog politique de Thomas JOLY

Luzenac : du talc mais pas de foot (par Patrick Crasnier)

10 Août 2014, 09:50am

Publié par Thomas Joly

Luzenac, petit village de moins de 600 habitants dans l’Ariège, haut lieu de l’extraction du talc, industrie qui fait vivre une grande partie des habitants. Dans cette petite ville, une équipe de foot amateur méritante (mais le mérite, aujourd’hui…) pleine d’entrain et de valeurs sportives. Un exemple, quoi.

Cette équipe, dont le président n’est pas moins que Fabien Barthez, ancien champion du monde et Ariègeois de surcroît, a eu le mauvais goût de réaliser un superbe championnat en national. En juin, après le dernier match, le club de Luzenac s’est vu qualifié pour monter en Ligue 2 professionnelle. Énorme joie mais début de la galère pour ces jeunes sportifs amateurs. Le club s’est organisé pour cette montée, il a trouvé de nouveaux sponsors, il a recruté pour « être dans le coup » du championnat professionnel.

C’était sans compter avec les oligarques de la Ligue de football professionnel (LFP), voyant d’un très mauvais œil que des sportifs, à force de qualités sportives, viennent jouer dans « la cour des grands » et, surtout, jeter la zizanie avec leurs valeurs saines. Ils ne savaient pas que, dans le football, seul le fric compte. Nous le savions bien pour les joueurs internationaux, nous le savions pour la Ligue 1 achetée par le Qatar. Beaucoup avaient encore des illusions sur la Ligue 2, pensant que le sport était encore, à ce niveau, un élément déterminant.

Le feuilleton a duré tout l’été, la Ligue professionnelle prétextait des comptes fragiles dans ce club, refusait de voir les comptes consolidés après l’arrivée des nouveaux sponsors. Aucun argument ne trouvait grâce et le couperet était tombé : Luzenac ne jouerait pas en Ligue 2. C’était sans compter sur l’opiniâtreté de cette équipe qui a multiplié les recours pour en arriver, la semaine dernière, au tribunal administratif de Toulouse. Ce tribunal a validé leurs comptes et a exigé qu’ils soient rétablis dans leur droit, à savoir jouer la Ligue 2.

Cette semaine les instances du football ont bien été obligées d’entériner ce jugement et Luzenac a appris, le 7 août, qu’ils allaient enfin obtenir gain de cause, jouer dans ce championnat professionnel qui était déjà commencé sans eux. La Ligue professionnelle avait dit non, son président dictateur ne reviendrait pas sur sa décision et c’est ce qu’il a fait. Vendredi 8 août, le verdict est tombé à 13 heures : refus pour « stade non conforme ». Étonnant, non ?

Sachant que Luzenac doit jouer ses matchs à Toulouse pour des raisons évidentes de nombre de spectateurs, sachant que plusieurs stades – et les plus grands – leur avaient proposé un arrangement, on voit tout de suite la bonne foi de la Ligue de football professionnel. Résultat de cette affaire navrante à la fois humainement et sportivement : le club va disparaître, les nombreuses personnes qui y travaillaient vont aller pointer à Pôle emploi. Fin d’une belle histoire.

Je crains bien que les journalistes sportifs, tous si bien disposés pour le football, ne disent mot de cette affaire honteuse pour le sport en France. Heureusement, le sport, ce n’est pas que le football, loin de là.

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Affrontements tribaux entre clandestins à Calais : foutons-les dehors !

9 Août 2014, 10:58am

Publié par Thomas Joly

Dimanche 7 septembre, tous à Calais pour dire non à l'invasion !

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Annulation de la rencontre Hollande-Chirac ?

9 Août 2014, 10:49am

Publié par Thomas Joly

Jacques Chirac s’était déclaré trop malade pour assister à ses procès pour corruption à Paris. Il ne l’est par contre pas pour partir en vacances au soleil au Maroc. Snobant ses habituels passages chez l’oligarque François Pinault, c’est dans une résidence du roi du Maroc Mohammed VI que le président corrompu se reposera.

Il pourrait également ne pas se rendre à son habituel rendez-vous avec son alter ego François Hollande en Corrèze, qu’il rencontre régulièrement dans le château de Bity – château que l'escroc fit inscrire à la liste des monuments historiques après l’avoir acheté pour le faire restaurer aux frais du contribuable.

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Nancy : la ville va ouvrir une maison LGBT pour une vie gay « plus active »

9 Août 2014, 10:40am

Publié par Thomas Joly

La ville de Nancy (Meurthe-et-Moselle) va prochainement s’équiper d’une maison LGBT en faveur du public sodomite et saphique. André Rossinot, ancien maire de Nancy, a initié ce projet mortifère qui a déjà fait ravage dans de nombreuses villes de France, dont Metz. La dégénérescence ne fait qu’augmenter, elle ne connaît plus de limite, toutes les digues, toutes les bornes qui ont permis à notre société de croître et de prospérer sont reversées une à une.

La création d’une maison LGBT est « indispensable » affirme avec outrance l’adjointe droit de l’hommiste Lucienne Redercher, qui pilote ce dossier écœurant. Dès la rentrée, Nancy va s’équiper d’une maison à destination du public dégénéré LGBT qui s’installera dans le centre-ville de la cité ducale. Objectifs : accueillir, écouter, conseiller et booster la vie festive et culturelle des malades mentaux, « en souffrance » paraîtrait-il.

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Scènes d’une fin de semaine ordinaire en France (par J-P Fabre Bernadac)

8 Août 2014, 11:08am

Publié par Thomas Joly

Vendredi 1er août en fin d’après-midi dans un arrondissement du nord de Paris, trois jeunes pénètrent dans une habitation en cassant un carreau. Ils s’emparent de divers objets et papiers (carte d’identité et carte bleue). L’appartement est habituellement occupé par une jeune fille seule, travaillant pour payer ses études. Le gardien de la petite résidence entendant du bruit se précipite et se retrouve face à un adolescent qui, sortant un couteau, l’avertit : « Si tu bouges, je te crève. » Celui-ci, devant la menace, laisse la bande s’enfuir. Le plus incroyable est que la police, prévenue, n’a pas voulu faire de justificatif de vol pour la jeune femme arrivée entre-temps, car elle n’avait pas le moyen d’établir son identité.

Samedi 2 août, à l’heure du dîner, à la sortie d’un restaurant de l’avenue principale de Sospel, petit village des Alpes-Maritimes, une bande s’approche d’un restaurant et gifle l’une des clientes. Le restaurateur qui essaye de s’interposer est roué de coups par quatre des individus du groupe. Selon les témoignages, il s’agit de gens installés depuis peu au village, bénéficiant d’une solide réputation de fauteurs de troubles. Ces individus d’une trentaine d’années ont, pour certains, déjà été condamnés à de la prison pour les mêmes faits de violence. La peur règne d’autant plus sur les habitants que ceux-ci ont été menacés de représailles en cas de plaintes déposées à la gendarmerie.

Dimanche 3 août, début de soirée, personne ne bouge pour porter secours à un septuagénaire, originaire d’un hameau près de Donnemarie-Dontilly, en Seine-et-Marne, agressé par une dizaine d’individus. Alors qu’il revient de la pharmacie de garde pour apporter des médicaments en urgence à sa femme, l’homme de 71 ans est bloqué par une Audi blanche stationnée sur la voie publique. Le conducteur discute avec un groupe sous la halle. « J’ai baissé ma fenêtre pour leur signaler que j’étais pressé et pour qu’ils déplacent le véhicule », se souvient la victime. C’est là que tout aurait dégénéré. « La voiture s’est garée et des individus ont rapidement encerclé mon véhicule », détaille-t-il. « J’ai reçu un coup de poing au visage et cela m’a fait perdre mes lunettes. Je suis sorti pour les récupérer, mon téléphone à la main pour appeler la gendarmerie. » Le septuagénaire reçoit alors une nouvelle salve de coups pendant que l’un des agresseurs s’empare de son téléphone.

Malgré ses cris, personne ne lui a porté secours. « Il y avait beaucoup de monde sur la place, personne n’a bougé le petit doigt », s’indigne la victime. Finalement avisée, la gendarmerie arrive sur place mais les témoins ne sont pas très loquaces. « Je ne viendrai plus dans cette rue, le soir, c’est toujours mal fréquenté. J’étais là juste pour des médicaments et je me fais tabasser », conclut le retraité.

Voilà ce qui se passe en France toutes les semaines, voilà comment un couvre-feu virtuel s’est instauré. Voilà comment police et gendarmerie sont submergées de plaintes et surtout comment la peur s’est installée, paralysant toute riposte. Riposte qui pourtant est prévue par le Code pénal quand un fait pénalement répréhensible est constaté.

Bien évidemment, je ne vous en dirai pas plus sur l’origine de ces divers malfaiteurs. Sachez simplement qu’ils ne sont pas originaires des coins de France mentionnés.

La seule question à se poser aujourd’hui est : « Ces actes délictueux vont-ils encore durer longtemps ? »

Sachant que l’on connaît les moyens pour y remédier : appliquer la tolérance zéro. Mais, bien sûr, tout cela passe d’abord par du courage et une véritable révolution des mentalités politiques.

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La France première mondiale… pour les fraudes à la carte bleue

8 Août 2014, 11:01am

Publié par Thomas Joly

La France en déclin n’a plus beaucoup de motifs de satisfactions : dans tous les domaines où notre pays possédait un avantage, celui-ci a été réduit à néant par les politiques anti-nationales, anti-économiques ou antisociales mises en place par les différents gouvernements de gauche comme de droite. C’est donc avec une certaine pointe de fierté que dans au moins un domaine, la France occupe la première place. Selon FISCO (éditeur de logiciels) et Eurominotor International (cabinet spécialisé dans les études de marché), la France est le pays où sont constatées le plus de fraudes à la carte bancaire, devant la Grèce et le Royaume-Uni.

« Après avoir été un précurseur au niveau mondial et européen des dispositifs antifraudes particulièrement efficaces comme la carte à puce et le code PIN, la France doit aujourd’hui lutter contre le vol d’identité qui représente 66 % des pertes dues à la fraude en 2013 » précise le créateur de programmes informatiques. En 2013, pour l’ensemble de l’Europe (Russie comprise), le montant des fraudes s’est élevé à 1,55 milliard d’euros.

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Le Conseil constitutionnel interdit les hausses des petits salaires, mais valide la criminelle réforme pénale

8 Août 2014, 10:55am

Publié par Thomas Joly

Les services du petit-fils de rabbin Jean-Louis Debré, un jour après avoir interdit au gouvernement de donner un – petit – coup de pouce aux 7,2 millions de salariés les moins bien payés au prétexte de « l’égalité », ont validé la quasi-totalité de la réforme pénale de Christiane Taubira. Malgré l’opposition d’une grande partie du monde politique, policier et pénitentiaire, le Conseil constitutionnel a affirmé que le texte, qui permettra, entre autres, à des pédocriminels ou à des trafiquants de drogues d’échapper encore plus qu’aujourd’hui à la prison, était conforme à la constitution.

Les peines planchers sont donc supprimées, et la « contrainte [sic] pénale », qui permet aux juges d’envoyer des délinquants dangereux et irrécupérables chez eux plutôt qu’en prison, est instituée.

Pendant ce temps, le jeune nationaliste Esteban Morillo est privé de liberté depuis 14 mois pour simplement s’être défendu face à des gauchistes qui l'agressaient.

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Mayotte, ses lagons, son sable blanc… et sa misère (par Caroline Artus)

8 Août 2014, 10:46am

Publié par Thomas Joly

Quel étrange phénomène, l’île de Mayotte, le petit dernier des départements français, située dans l’archipel des Comores. Près du tiers de sa population concerne des « sans-papiers », soit 70.000 personnes sur 212.645 recensées en 2012.

Arrivés en majeure partie des Comores en kwassa kwassa (grandes barques non adaptées à la violence de l’océan Indien), les migrants clandestins entendent bénéficier de la qualité du système de santé mahorais, dont les soins de maternité. À Mamoudzou, l’hôpital enregistre 8.000 naissances par an dont 70 % sont le fait de Comoriennes en situation irrégulière et dans l’incapacité d’en régler les frais. Il en résulte un conseil général ruiné et ce n’est pas le milliard d’euros injecté par la France chaque année – englouti en quelques mois – qui résout le problème.

« Lampedusa de l’océan Indien », « première maternité de France » sont des qualificatifs assurément non usurpés. À ces situations déjà fort préoccupantes s’ajoute celle des mineurs abandonnés par leurs parents. En 2010, le rapport d’Isabelle Debré, sénatrice des Hauts-de-Seine, mettait en exergue la réalité de « mineurs isolés étrangers en France », au moins 3.000 jeunes – souvent des enfants – que les parents à leur reconduite à la frontière ont « oublié » de déclarer… En plus des deux qualificatifs précédemment cités, celui de « plus grand orphelinat de France » fait aussi la réputation de Mayotte.

L’un des plus grands et des plus beaux lagons du monde devenu département français en 2011 a aussi trois autres particularités. D’abord, si sa langue officielle est le français, les anciens et la plupart des plus jeunes parlent le shimaoré (langue bantoue) et divers dialectes malgaches.

Sa religion, ensuite : 95 % des Mahorais sont musulmans (islam sunnite) ; mais surtout, la société mahoraise est une société basée sur… le matriarcat. Lire la suite

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Le virus Ebola arrive en Europe

7 Août 2014, 15:02pm

Publié par Thomas Joly

Un missionnaire espagnol porteur du virus a été rapatrié du Libéria et placé dans un hôpital madrilène. Outre cette importation irresponsable du virus mortel en Europe, bien évidemment, aucune mesure d'arrêt immédiat de l'immigration en provenance d'Afrique noire n'a été prise par nos gouvernants xénophiles, qui préfèrent courir le risque d'infecter nos compatriotes plutôt que de prendre les précautions sanitaires de base de crainte d'être taxés de racisme...

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La République socialiste en trois photos

7 Août 2014, 14:39pm

Publié par Thomas Joly

Un président intelligent et bâtisseur :

Un premier ministre indépendant et intègre :

Une ministre patriote défendant le peuple :

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10 % des oeuvres du mobilier national ont disparu ! (par Robert Spieler)

7 Août 2014, 14:31pm

Publié par Thomas Joly

 

Elysée, ministères, assemblées, ambassades, préfectures et autres administrations abritent des œuvres d’art et du mobilier d’époque. 307 000 objets prêtés par l’Etat à l’Etat pour orner l’intérieur de ses bâtiments officiels. La Cour des comptes rapporte la “disparition” pour l’année 2012 dans les résidences présidentielles, de 32 œuvres (déposées par les musées nationaux) et de 625 meubles (du Mobilier national). L’horloge Boulle au Château de Maisons-Laffite, le dessin de Dufy au musée de Marseille, le Miro à l’ambassade de France à Washington ? « La République » du sculpteur Alexis André ? Disparus ! Parmi les ministères où ces étranges disparitions ont eu lieu, on note les ministères économiques et financiers, où 408 œuvres sur 1128 ont disparu, soit 36,2 %. Mieux encore : au ministère de l’Education nationale, 39 % des trésors se sont volatilisés, et au ministère de la Défense, 41,9 %. Certains objets ne sont pas vraiment volés mais vont agrémenter la maison d’un ancien ministre et seront récupérés éventuellement quelques années plus tard, s’ils le sont… Il n’existe en fait pas d’inventaire complet, ce qui autorise toutes les fantaisies. A l’Elysée, il n’y a pas d’état des lieux. Les chiens de Sarkozy, qui ont croqué quelques accoudoirs et pissé sur le canapé d’époque ne seront ainsi pas poursuivis…

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Les délires judiciaires de l’immigration – invasion (par Jean-Yves Le Gallou)

7 Août 2014, 08:48am

Publié par Thomas Joly

Le tsunami migratoire prend de l’ampleur. Des milliers d’Érythréens venus par l’Italie franchissent la frontière à Menton. Les hôpitaux de Lyon sont saturés de « réfugiés médicaux ». Le nombre des (faux) demandeurs d’asile explose. Les départements protègent de moins en moins bien les mineurs français en danger car les services sociaux d’aide à l’enfance prennent prioritairement en charge les (souvent faux) mineurs étrangers.

Le système est devenu fou : la France (2.000 milliards de dette) ouvre ses droits sociaux à quiconque lui raconte une histoire à dormir debout (persécutions politiques ou sexuelles le plus souvent imaginaires). La Cour nationale du droit d’asile (CNDA) fournit même des « kits » officiels de rédaction des demandes…

Le solliciteur d’un droit (séjour, aide d’attente, logement) est présumé sincère, c’est à l’administration régalienne (dont les moyens et les effectifs diminuent) de prouver qu’il affabule ou que ses papiers sont faux.

En cas de contentieux, la partie est inégale : l’administration (souvent débordée) n’a pas de crédits pour se payer les services d’un avocat pendant que le demandeur étranger (souvent clandestin) bénéficie, lui, de l’aide judiciaire d’État et du soutien d’associations… subventionnées par les contribuables.

La mise en place de documents « infalsifiables » (passeports, visas, carte nationale d’identité, demandes d’asile) n’a rien réglé car les filières de la fraude savent comment les obtenir avec des documents… falsifiés.

La biométrie n’est pas davantage une solution : il suffit d’user le bout de ses doigts pour redevenir « intraçable » avec la bénédiction du Conseil d’État dont la jurisprudence est une aubaine pour les fraudeurs.

Car ce n’est pas l’administration qui réglemente ni le Parlement qui légifère, ce sont les juges. Juges pour enfants, magistrats du Conseil d’État, « sages » du Conseil constitutionnel, juges de la Cour européenne des droits de l’homme interprètent à leur manière des textes généraux et ouvrent des boulevards aux fraudeurs de plus en plus nombreux.

Face à une situation de moins en moins contrôlable, hauts fonctionnaires et préfets murmurent parfois dans leur cabinet : « Si les Français savaient ! » Mais, précisément, ils ne savent pas car les médias le leur cachent. Pis. Ils se livrent à la chasse aux sorcières des préfets (Fraigneau) ou des magistrats (Lagarde) qui tentent d’appliquer la loi.

Magistrats de gauche et médias marchent la main dans la main pour promouvoir le Grand Remplacement.

Il faut renverser la table de jeu. Remettre la justice dans son lit. Changer de paradigmes juridiques. Réaffirmer le droit du peuple français à défendre son identité et ses frontières. Et fixer par référendum la politique migratoire.

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Résultat de 40 ans de colonisation migratoire : intifada à Paris

20 Juillet 2014, 11:46am

Publié par Thomas Joly

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