Le blog politique de Thomas JOLY

Le ministère de l’Intérieur israélien a publié un communiqué annonçant que les « conjoints non juifs d’homosexuels juifs » peuvent désormais accéder à la nationalité israélienne. «Le conjoint du même sexe d’une personne éligible à la loi du retour et qui ne vit pas en Israël pourra aussi devenir israélien», a annoncé le ministère dans un communiqué, précisant que cette mesure ne s’appliquait qu’aux duos homosexuels mariés.

Israël est considéré comme un pays pionnier en matière de promotion des revendications des homosexuels, notamment en terme d’adoption pour duos homosexuels.

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Le multi-multi-multi-récidiviste Samy Naceri a été arrêté une nouvelle fois en région parisienne. La police a été appelée par la givrée qui lui avait ouvert son lit parce qu’il saccageait son appartement et qu’il l’aurait frappée. La racaille algérienne, suffisamment non malade selon la justice pour être laissé en liberté, a par contre été immédiatement libérée de sa garde vue, car celle-ci a été jugée « incompatible avec son état de santé ».

Pour la seule année 2014, pour les faits connus, Samy Naceri a été arrêté pour s’être battu avec sa compagne en janvier avant de l’être en mars pour avoir menacé une femme qui refusait ses avances dans un restaurant. Ces dernières années il a été condamné pour braquage, pour exhibitionnisme, pour racisme, pour des coups de couteau, etc. Malgré ses innombrables agressions, grâce à la justice de la République, il est toujours libre.

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Selon le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (CRÉDOC), seuls 57 % des Français partent en vacances. Après une augmentation jusqu’au milieu des années 1990, cette proportion n’a jamais cessé de baisser depuis, passant de 66 % à 57 %, 70 % parmi les cadres supérieurs et 35 % chez les ouvriers. « Depuis la fin des années 1990, le taux de départ est orienté à la baisse, et ce phénomène s’est accéléré avec la crise » note le CRÉDOC.

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Une monstruosité d’art moderne de quatre mètres de haut, intitulée « Ils n’ont pas choisi leur sépulture », largement décriée, a disparu de Craonne où elle était « exposée », au cœur du Chemin des Dames. Cette « œuvre » sans âme et dégénérée, qui présente des têtes décapitées d’anonymes, que rien n’identifie comme poilus ni même comme Français, avait été commandée à l'artiste étranger Haïm Kern à l’époque où Lionel Jospin s’était lancé dans la justification des mutineries et des trahisons, insultant les 1,5 million de soldats morts pour la France. C’est le premier ministre du Parti socialiste qui l’inaugura dans un discours qui fit polémique. L’amas de bronze avait déjà été la cible de tentatives d’épuration en 1999 et 2006.

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Un incident banal s’est déroulé à Ferguson, dans la banlieue de Saint-Louis (Missouri) en fin de semaine dernière : un policier agressé par deux criminels noirs a été obligé de faire feu quand l’un d’eux a tenté de lui prendre son arme après l’avoir frappé. L’agresseur, Mike Brown, a succombé à ses blessures.

Comme à chaque événement similaire, ses congénères ont pris prétexte de ce fait divers pour se livrer massivement à des crimes dans les rues de la ville, des attaques culminant avec les pillages de magasins. Au moins 12 échoppes ont été touchées dimanche. Une supérette, abritée dans une station-service, a été vandalisée, pillée, avant que les Afro-Américains surexcités ne l’incendient. Deux policiers ont été blessés et trente-deux personnes ont été arrêtées.

La ville est majoritairement (67%) peuplée de Noirs, les Blancs y représentant désormais moins de 30 %.

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Pendant que nos gouvernants laissent les Français les plus faibles à la merci de tous les criminels étrangers, elle tente d’empêcher que les honnêtes citoyens ne réagissent à la tragique situation où le régime plonge le pays. À Joué-sur-Erdre, en Bretagne, un homme de 59 ans a été mis en prison pour avoir défendu sa vie et son bien pendant un cambriolage commis par deux jeunes criminels. Dans la nuit de vendredi à samedi, la victime a été réveillée par des bruits près de sa maison. Déjà cambriolé à plusieurs reprises et vivant dans une bâtisse isolée, il s’est, par sécurité, armé d’un fusil. Dans les minutes suivantes, l’un de ses agresseurs, dont l’appartenance ethnique n’a pas été précisée, a été tué.

Malgré l’évidence de la légitime défense, il a été arrêté, jeté en prison et mis en examen pour homicide volontaire.

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Jeudi 7 août, passer une bonne soirée signifiait, pour moi, après une journée de plage et de soleil, regarder sur TF1, devant un petit verre de rosé de Provence, la série « Section de recherches ». Je sais bien que le mensonge est permanent derrière le petit écran ; malgré cela, c’était devant ce même écran que je m’apprêtais à savourer ces histoires policières mettant l’accent sur une unité de gendarmerie que je connais fort bien : celle de la SR, équipe se chargeant exclusivement des affaires judiciaires importantes au niveau régional.

C’était d’autant plus une joie de regarder ces téléfilms que je trouve les intrigues bien ficelées et les acteurs très crédibles, notamment Xavier Deluc dans le personnage du lieutenant puis capitaine Martin Bernier. Hélas, il m’a fallu encore une fois constater que, même dans les meilleures séries, le politiquement correct se retrouvait omniprésent. Cristina Arellano et Sylvie Coquart, les deux scénaristes, avaient concocté dans l’épisode « À la dérive » une fiction des plus éloignées de la réalité. On y voyait des primo-délinquants issus de la France profonde qui se retrouvaient dans un foyer pour jeunes sans qu’aucun des acteurs n’incarnât d’asocial provenant de la diversité. Les seuls émanant de l’immigration étaient les « gentils » : le commandant de la section de recherches et la directrice du foyer.

En résumé et en extrapolant le message délivrée par le producteur et nos deux dialoguistes, les délinquants étaient des Français de souche et les gens qui représentaient l’État dans ses fonctions protectrices étaient un officier issu de l’immigration algérienne et une jeune femme dont la famille venait du Burkina Faso. Pour compléter le scénario et mieux faire comprendre aux braves Français moyens où sont les coupables, l’assassin du flic se trouvait être un jeune « blanco » et son complice, le fils d’une fonctionnaire de police. Ce dernier, impulsif, cognant sa mère, nécessitait d’être enfermé au plus vite dans un hôpital psychiatrique.

Je sais ce qu’est une fiction, j’ai moi-même participé à l’élaboration d’une « bible » (résumé d’un scénario) sur la gendarmerie. La liberté de texte ne peut y être que totale. Il n’empêche que les personnages doivent, pour être crédibles, s’approcher au plus près de la réalité. Mais là est le hic, car transposer les nombreux faits divers journaliers à la télévision sans changer la provenance et la nature des délinquants n’est pas acceptable pour les médias quels qu’ils soient. Non seulement ce n’est pas acceptable mais il faut bien ancrer dans la tête de nos concitoyens qu’ils ne sont que des « Dupont Lajoie« , pour reprendre le titre du film d’Yves Boisset. Lire la suite

Vendredi à 18 heures, une trentaine de personnes sont venues se recueillir à la mémoire de Zied Saoudi, Tunisien de 21 ans mortellement frappé (par des Géorgiens) sur la Promenade des Anglais dimanche dernier.

La bande habituelle des organisations financées par nos impôts pour faire l’apologie de l’immigration sauvage et de la destruction de la France (Ligue de droits de l’homme, Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples, Secours catholique, Amnesty International, Habitat et citoyenneté et Réseau éducation sans frontières) ont donc fait une « petite » réunion publique pour « lui rendre hommage et répéter ses seuls torts : avoir été au mauvais endroit au mauvais moment [sic] et ne s’être pas méfié de ses agresseurs tant il ne comprenait pas leurs intentions criminelles [sic] ».

Apparemment pour ces gens-là, le fait d’uriner sur une église et de provoquer des gens dans la rue ne semble pas être une raison justifiant une bagarre.

Les organisations présentes en ont également profité pour « pointer du doigt le préoccupant climat de haine, de violence et de racisme qui sévit à Nice ». Cela ne mange pas de pain. En revanche, pour dénoncer le racisme antiblanc, les persécutions des chrétiens et l’islamisme, bizarrement il n’y a plus personne.

Honte également au Secours catholique qui en est réduit à participer à des commémorations en hommage à des islamistes qui urinent sur les églises…

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Le célèbre sondage semestriel bidonné de l’IFOP pour le Journal du Dimanche est paru pour sa version juillet 2014. La méthode consistant, à partir d’une liste de quelques noms, soigneusement suppurée, à récolter l’avis de quelques Français devenant, par extrapolation, l’avis général de 60 millions d’autres, a été depuis longtemps dénoncée.

Après plusieurs années de domination du franco-camerounais millionnaire Yannick Noah, c’est désormais le millionnaire Jean-Jacques Goldman qui a été « élu » alors même qu’il n’a rien produit depuis des années – son dernier album a été mis en vente la première fois en 2003 – et qu’il est apparaît très rarement dans les médias – ou peut-être est-ce là l’explication. Derrière lui, l’Africain Omar Sy arrive second, devançant le « ch'ti » Dany Boon, lui-même devant l'avortueuse Simone Veil.

Seule française et bonne dernière parmi les 5 premiers, Florence Foresti.

Au total, Israël – avec Gad Elmaleh – truste (au moins) 4 des 10 premières. Un bel exploit pour une communauté qui fait condamner toute personne affirmant qu’un certain groupe ethnico-politique est surrepresenté dans les médias et dans le monde « artistique » dégénéré.

Une performance préparée de longue date : en 2011, le « sondage » donnait déjà quatre étrangers parmi les cinq premiers, mais une seule israélite, Simone Veil, accompagnée de Yannick Noah, Zinedine Zidane et Omar Sy déjà.

Les résultats de 2014 sont d’autant plus extraordinaires qu’ils interviennent au moment où Israël massacre des centaines de Palestiniens et que dans les rues de France, comme depuis plusieurs mois déjà, des dizaines de milliers de manifestants ont fait savoir ce qu’ils pensaient de la situation.

Seuls deux politiciens figurent parmi les 50 premiers, le corrompu condamné Alain Juppé et celui qui pourrait bientôt le rejoindre dans cette longue liste des escrocs démasqués, Nicolas Sárközy.

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