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Le blog politique de Thomas JOLY

Les casseurs à nouveau en action à Nantes et Toulouse mais aussi Bordeaux et Lille

24 Novembre 2014, 10:55am

Publié par Thomas Joly

Moins de 5.000 extrémistes se sont rassemblés à travers la France cet après-midi pour dénoncer les « violences policières » après la mort de Rémi Fraisse, un jeune alcoolique tué lors d’une nuit d’émeute à Sivens. La journée s’est déroulée « sans incident » selon les médias.

La preuve : les deux plus importants rassemblements – illégaux – de Toulouse et Nantes, se sont achevés dans la violence. Aucune autorisation de manifestation n’avait été acceptée après les nombreux crimes et délits commis lors des précédentes éditions. Si contre les nationalistes, dont les manifestations sont interdites a priori alors qu’aucun débordement n’a jamais été déploré, le Système mobilise des centaines de policiers et fait rafler toute personne ressemblant à un patriote – un Français propre sur lui –, les autorités ont cette fois encore laissé les extrémistes se regrouper et participer à une manifestation illégale.

Et comme les semaines passées, les deux manifestations ont rapidement dégénéré : les racailles rouges ont détruit de nombreux biens publics et privés, poubelles, voitures, abribus, sans doute en tant que symboles de « l’oppression fasciste et machiste »… À Nantes, la manifestation illégale s’est achevée devant la préfecture où 1.200 individus se sont heurtés aux forces de l’ordre. Aux jets de bouteilles et d’objets divers ont répondu les canons à eau et les gaz lacrymogènes avant que les casseurs ne donnent toute la mesure de leur « talent ». Les violences des semaines passées avaient conduit certains partis d’extrême gauche, comme Europe-Écologie-Les Verts, à ne pas se joindre à l’appel à manifester pour « reprendre la rue ».

À Toulouse, c’est un scénario globalement similaire qui s’est produit.

Le bilan de la soirée est lourd : plusieurs incendies criminels ont été constatés, du mobilier urbain a été détruit, des commerces ont été attaqués, des biens privés, notamment des voitures, ont été détruits ou dégradés ; plusieurs manifestations interdites ont pu se dérouler durant plusieurs heures sans la moindre réaction des pouvoirs publics. La complicité de Manuel Valls avec les casseurs est plus que jamais évidente. Par ailleurs, trois policiers ont été blessés, deux à Toulouse et un à Nantes.

Le bilan d’autant plus lourd que ces faits se sont produits à plusieurs reprises ces derniers mois et qu’ils ne concernent que quelques centaines de personnes – malgré l’appel à manifester dans plus de 20 villes, moins de 5.000 personnes se sont rassemblées hier. Pour mémoire, le Jour de colère avait rassemblé environ 100.000 personnes – la police du gouvernement d’occupation avait évoqué 17.000 personnes.

Selon les décomptes il y a eu seulement 200 manifestants à Bordeaux, une centaine ou moins à Dijon, Grenoble, Marseille, Paris et Poitiers, une cinquantaine à Gap et Saint-Étienne. À Lille, où la manifestation était illégale, les policiers ont laissé se rassembler plusieurs dizaines de racailles rouges qui ont multiplié les débordements dans le centre-ville, détruisant notamment des abribus.

Seuls quelques casseurs ont été interpellés, 16 à Toulouse, 14 à Nantes, 2 à Lille, pour un total de 38 ; ils devraient être rapidement relâchés par les juges rouges.

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Juppé, ma belle-sœur et la génétique (par Pierre Mylestin)

24 Novembre 2014, 10:09am

Publié par Thomas Joly

Vous vous rappelez ma belle-sœur. Elle a une mère. Ma belle-mère. Ma belle-mère possède avec ma belle-sœur un patrimoine génétique commun qui fait dire à la première et possiblement à la deuxième aussi, par exemple, au sujet de l’abattage halal : « Il faut voir le côté positif des choses, au moins c’est du bio. » Le décor ainsi planté, les âmes charitables compatiront avec mon supplice obligé récurrent. Que voulez-vous, l’amour rend aveugle. Les esprits taquins renchériront qu’il rend carrément sourd aussi. À la folie. Passons. Vite.

Récemment, nous étions en réunion de famille dans la maison de campagne de mes beaux-parents. Charmante demeure sise dans un environnement boisé où ladite belle-sœur, intolérante au gluten et au culte catholique, célébrait pour son aînée je ne sais quelle liturgie sibylline de substitution à la cérémonie de communion du culte honni. Inutile de vous dire que le gotha progressiste de la bien-pensance était raisonnablement bien représenté, ce qui n’arrangeait rien, vous le devinez bien, à mon golgotha de circonstance. Le « parrain » de l’aînée susmentionnée s’appelait d’ailleurs Claudine.

Ma présence faisant invariablement tache dans ce concentré de béatitude au mètre carré, je me résignais souvent dans ces conjonctures à traîner dans le jardin, dans la bibliothèque et souvent dans la cave à vin de mon beau-père où les allègres considérations d’Emil Cioran me tenaient une bienveillante compagnie. Pourtant, afin de ne pas trop provoquer l’ire de vous savez qui, une présence syndicale minimale dans cette promiscuité idéologique était un prérequis. « Libre et sans contrainte », qu’il disait, l’autre.

Et c’est là que, parmi cette foule intentionnellement anonyme, je tombais, vulgairement abandonné sur le coin d’un fauteuil, sur un mensuel à teneur hautement intellectuelle, dont la couverture représentait fièrement, façon dandy, le meilleur d’entre tous. L’incorruptible Alain Juppé faisait la couverture des Inrockuptibles, titrant « Juppémania, le moins pire d’entre eux ? Entretien ». Tiens, tiens. « Les Inrocks ? » questionnai-je. « Je trouve la photo belle, ça le rajeunit, et en plus il donne une image humaine de la droite. Ça pourrait inciter tous ces jeunes qui cherchent leur identité à ne pas se fourvoyer par le discours des extrêmes, me rétorqua-t-elle. Ce n’est pas comme Sarkozy qui, en plus, fait aujourd’hui du bête anti-hollandisme, comme Hollande, hier, faisait du bête anti-sarkozysme. Juppé, c’est un rassembleur, un homme de conviction, un sage ouvert aux autres cultures, le candidat pour tous, […] il a beaucoup fait et construit pour sa ville et il fera aussi bien pour la France. » D’accord.

Cette logorrhée de verbiage onirique résonnait dans mon esprit comme le discours d’un imam passablement modéré au lendemain d’un acte isolé commis par son coreligionnaire immodéré. Un imam en tailleur Chanel se tenait là devant moi, me faisant l’apologie de celui qui sera à la droite normale ce que Hollande a été à la présidence normale. Juppé qui, en 2011, conseillait avec sagesse de ne pas « stigmatiser a priori tous ceux qui se qualifient d’islamistes », qui va offrir une mosquée-cathédrale à ses électeurs, qui refuse de dénaturer le mariage pour tous et qui a remis, sous Hollande, la Légion d’honneur à l’imam Tareq Oubrou, qui déclarait : « L’islam touche à tous les domaines de la vie. Comme le veut le Coran, c’est un État, c’est un pays, dans le sens géographique, c’est-à-dire qu’il regroupe toute la communauté dans une géographie où il n’y a pas de frontières. La frontière entre deux pays musulmans est une hérésie méprisable par l’islam. La politique des musulmans, ce n’est pas la politique des autres, la politique des autres est construite sur le mensonge. » CQFD.

Alain Juppé, cette sorte de Stéphane Hessel non indigné, nouvelle égérie de l’UMPS, était donc le favori de ma belle-mère, mère de la mère de mes enfants. Et ma grosse frayeur, celle qui va inévitablement me valoir des cauchemars, n’est pas seulement que Juppé devienne le prochain président de cette République heureuse, mais que mes enfants possèdent une fraction de ce patrimoine génétique.

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Réussite du Congrès européen organisé par le GUD

23 Novembre 2014, 12:02pm

Publié par Thomas Joly

Environ 600 personnes se se retrouvées à Nanterre samedi 22 novembre pour le Congrès européen organisé par le GUD. Voici un extrait de l'intervention de Roland Hélie, Directeur de Synthèse Nationale :

« Il y a 34 ans, c'était le 15 décembre 1980, le GUD avait organisé un tractage sur le campus universitaire de Nanterre. Ce tractage se termina par une véritable bataille rangée. Il y eu de nombreux blessés et plusieurs camarades furent arrêtés. Certains passèrent Noël en taule. Une rame de RER fut détruite et cela sembla plus offusquer les bienpensants du moment que la violence aveugle des gauchistes contre les nationalistes. Ce fut un désastre....

Aujourd'hui, 34 ans après cette véritable défaite militaire, le GUD tient son congrès à Nanterre. Nous sommes plusieurs centaines à ce congrès, le GUD est toujours bien vivant. Les gauchistes, eux, sont devenus des petits domestiques serviles du CAC 40. Pour nous, tenir aujourd'hui ce congrès à Nanterre, c'est une vraie victoire politique. Nos camarades blessés et emprisonnés en décembre 1980 sont vengés ! »

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Des clandestins, protégés par la police, défilent en toute impunité dans Calais

23 Novembre 2014, 11:52am

Publié par Thomas Joly

Vendredi à Calais, plusieurs dizaines de délinquants afro-maghrébins se sont rassemblés pour une manifestation non autorisée et « sous la protection de la police ». La même police qui organise la répression contre les nationalistes qui se sont eux, fixés comme but de rétablir l’ordre et de restaurer la France française… Ceux qui apportent le chaos dans notre pays voulaient montrer leur « solidarité avec la population du nord du Darfour où l’armée soudanaise a encerclé un village et y a violé 200 femmes ».

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L’école en Seine-Saint-Denis, face émergée de l’iceberg… (par Pierre Van Ommeslaeghe)

23 Novembre 2014, 11:44am

Publié par Thomas Joly

Le ministre de l’Éducation nationale vient d’annoncer de nouvelles mesures exceptionnelles pour tenter de remédier au manque d’enseignants en Seine-Saint-Denis. Concours exceptionnel, pré-recrutement dès le master 1, primes pour les professeurs des écoles dans les zones d’éducation prioritaire, etc.

Il est certain que des mesures doivent être prises pour parer aux difficultés réelles que connaît ce département : échec scolaire important, violences dans les établissements entre élèves et contre les enseignants, fuite de ces mêmes enseignants dès qu’ils le peuvent vers des cieux plus cléments. Leur grève, très suivie, de jeudi est le signe de ce malaise. Mais il est à craindre que madame Vallaud-Belkacem ne fasse là que soigner les symptômes et qu’elle n’ira pas jusqu’à s’attaquer aux causes du problème.

Dans ce territoire, on a vu mises en œuvre toutes les erreurs politiques, toutes les aberrations idéologiques, toutes les lâchetés intellectuelles dont souffre notre pays depuis des décennies.

L’immigration d’abord. Une immigration acceptée par la droite bourgeoise parce que cela permettait une pression à la baisse sur les salaires ; une immigration poussée par une gauche y voyant le nouveau prolétariat, fer de lance de la révolution ou, plus prosaïquement, électorat de remplacement. Une immigration multinationale qui a fait des écoles des patchworks multiethniques dans lesquels la langue française, l’histoire
française, la culture française ne pouvaient plus résonner, pas même dans le cœur des rares enfants français de souche qui s’y trouvaient étrangers aussi.

Le mépris ensuite. Mépris de ces populations toujours considérées comme victimes, comme assistées par nature. Mépris pour les enseignants, d’abord de la part des gouvernants. De droite, toujours prompts à dénigrer des fonctionnaires privilégiés, à se moquer de la culture classique (Sarkozy et La Princesse de Clèves !). Mais de gauche aussi, voulant imposer aux professeurs de terrain les élucubrations de docteurs Folamour de la pédagogie (apprendre à lire dans des modes d’emploi !).

Dévaluation générale de la culture par toute la société qui ne vénère plus que l’argent. Comment s’étonner que les gamins respectent un footballeur presque analphabète mais qui gagne mille SMIC par mois et méprisent un enseignant très cultivé mais qui ne gagne au mieux que deux SMIC par mois ?

La démission morale des pseudo-élites. Autoflagellation sur la Seconde Guerre mondiale. Autoflagellation sur la colonisation. Autoflagellation sur la guerre d’Algérie. L’excuse permanente pour les délinquants, toujours victimes de la société, du racisme s’ils sont d’origine étrangère. La dérision permanente de toute autorité, des enseignants mais aussi des parents, de l’Église, de la police. Pourquoi les élèves respecteraient-ils ce que les politiques, la télévision, la presse, des enseignants eux-mêmes leur disent de ne pas respecter ?

Au-delà des mesures d’urgence, il conviendrait de s’attaquer à ces causes profondes de la décrépitude de l’Éducation nationale en Seine-Saint-Denis, département qui n’est que l’avant-garde de cette décrépitude. Il est à craindre que madame Vallaud-Belkacem ne le fasse pas plus que ses prédécesseurs. Parce qu’il est probable qu’elle ne sera plus à son poste d’ici deux ans (peu de ministres de l’Éducation nationale tiennent plus que cela) mais aussi parce que ce serait renoncer à son idéologie.

Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes, disait Bossuet. L’école en pleure, et pas seulement en Seine-Saint-Denis.

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Djihadistes : qu’on les laisse partir en Syrie ! (par Yann Vallerie)

23 Novembre 2014, 11:24am

Publié par Thomas Joly

Mais enfin, qui sont les responsables politiques français pour juger de ce qu’est le bien, ce qu’est le mal ?

Qui sont-ils, ces dirigeants européens, pour décider qu’aller combattre en Syrie est désormais quasiment un crime contre l’humanité ?

Sont-ce les mêmes politiciens qui votaient il y a quelques mois pour armer massivement les « résistants » barbus à Bachar El-Assad ?

Sont-ce ces mêmes gouvernants qui vantaient hier le courage de ceux qui aujourd’hui égorgent pour effrayer la ménagère occidentale ?

Non, il n y a pas de bien et de mal, comme voudraient l’imposer au monde les fanatiques religieux américains dont Georges Bush était le pantin.
Non , il n y a pas deux mondes, l’un qui serait civilisé, l’autre qui serait celui de la barbarie organisée.
Il y a simplement dans le monde des civilisations différentes, des ethnies différentes, des religions différentes, des cultures différentes. Le « vivre-ensemble » n’existe pas, il va bien falloir l’assimiler un jour ou l’autre.
Et ce n’est pas grave !

L’Europe – pour mieux être contrôlée par les Etats-Unis – a servi depuis 1945 de laboratoire de Frankenstein, en devenant un lieu unique au monde où toute la planète devait venir se mélanger et vivre, sans égard aucun pour les autochtones.
Et aujourd’hui, on s’étonne que les enfants de cette expérience unique dans l’histoire de l’humanité – le mélange forcé de populations – soient hors de contrôle ?

On s’étonne que ceux qui ont des siècles d’islam gravés dans leurs gènes veuillent combattre les armes à la main pour défendre leur religion, leur civilisation (et non pas celle qu’on a voulu leur inculquer et leur imposer) ?

Et on s’étonne que dans un continent où on a appris depuis plusieurs décennies aux jeunes européens de souche à se haïr et à détester leur propre histoire, certains aillent chercher dans d’autres coins du monde l’accomplissement d’une virilité et d’un héroïsme qu’on tourne désormais au ridicule sur la terre d’Europe ?

On est horrifié que des vidéos circulent sur Internet où l’on voit des hommes en égorger d’autres ? Mais n’est-ce pas avant tout une guerre de l’information et de l’image ? Les mêmes qui s’en offusquent supporteraient-ils seulement le spectacle des rues ensanglantées d’une ville d’Irak ou d’un village afghan après une frappe préventive américaine ? Les soldats américains qui guerroient partout dans le monde sont-ils plus respectables que les combattants de l’Etat Islamique ? Question de point de vue.

On ne devrait pas empêcher quiconque de partir en Syrie se battre pour ses idées ou sa foi.

Par contre, le devoir d’une Europe forte et puissante serait de les empêcher de remettre un seul pied sur le sol européen.

Parce que ce ne sont tout simplement pas nos valeurs.
Parce que ça n’est pas notre civilisation.
Parce que ça n’est pas notre religion.

Parce que sinon, demain, le sang coulera en Europe et non plus en Syrie !

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Guy Jovelin nommé Délégué régional du Parti de la France pour la région Midi-Pyrénées

22 Novembre 2014, 11:57am

Publié par Thomas Joly

Guy Jovelin, déjà Délégué départemental du PdF pour la Haute-Garonne, est désormais le Délégué régional du Parti de la France pour la région Midi-Pyrénées. Il aura en charge de structurer le Parti de la France dans les différents départements composants sa région suite à un certain nombre de ralliements enregistrés ces dernières semaines.

Déjà très actif sur Toulouse, Guy Jovelin compte étendre les activités militantes du Parti de la France sur l'ensemble de la région.

Pour le contacter : 06.99.84.70.53 ou guy.jovelin@neuf.fr

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Benjamin Lematte, nouveau délégué départemental adjoint du Parti de la France en Saône-Et-Loire

22 Novembre 2014, 11:47am

Publié par Thomas Joly

Benjamin Lematte, jeune Bourguignon de 25 ans, a été nommé Délégué départemental adjoint du Parti de la France pour la Saône-et-Loire (71). Ancien militant très actif du FNJ dans son département, affligé par les dérives politiques et humaines de la PME lepéniste tant au niveau national que local, il a choisi de poursuivre le combat national aux côtés du Parti de la France.

Il assistera dans sa tâche la Déléguée départementale du PdF, Sandrine Debode, notamment en matière de communication et de mobilisation militante.

Voici la page facebook du PdF 71 : https://www.facebook.com/partidelafrance71?fref=ts

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République exemplaire : Kader Arif, cinquième démission dans l’entourage proche de François Hollande pour corruption

22 Novembre 2014, 10:37am

Publié par Thomas Joly

Après Jérôme Cahuzac, après Yamina Benguigui, après Aquilino Morelle, après Thomas Thévenoud, voici Kader Arif. Mis en cause depuis plusieurs semaines, le secrétaire d’État aux Anciens combattants a annoncé sa démission ce vendredi. Il est impliqué dans une affaire de marchés publics truqués, dont ont bénéficié plusieurs membres de sa famille.

L’incapable et invisible Kader Arif, apparatchik PS propulsé ministre par pur copinage, ne s’était fait remarquer jusqu’ici qu’en annonçant, à la tribune de l’Assemblée nationale, la libération d’otages au Cameroun… qui ne l’étaient pas.

La justice le soupçonne dans une affaire de favoritisme : des sociétés appartenant à son frère et à ses neveux ont obtenu d’étonnants et juteux contrats – plusieurs millions de francs – avec le conseil régional de Midi-Pyrénées. Plusieurs règles relatives à l’attribution des marchés publics auraient été violées. Au début de l’affaire, Kader Arif avait nié, mais au début du mois, la police a mené des perquisitions au sein même du ministère de la Défense, dont il dépend, et l’enquête est désormais dans les mains des juges à Paris.

Il est le troisième ministre de François Hollande à être contraint à la démission en moins de trois ans, un taux exceptionnellement élevé. Il peut toutefois se rassurer : bientôt deux ans après sa démission, Jérôme Cahuzac n’a toujours pas été condamné et peut profiter des millions qu’il a détournés durant des années et placés dans des comptes à l’étranger. Tous n’ont peut-être pas été retrouvés puisque l’un d’eux, sur l’île de Man, vient juste d’être découvert.

Thomas Thévenoud, touche mensuellement plus de 13.000 euros comme député et parade dans les médias, tout comme Aquilino Morelle qui désormais menace et insulte François Hollande. Yamina Benguigui, elle, est toujours conseillère de Paris.

La République exemplaire de François Hollande ne l’aura jamais été autant : une République exemplaire par sa corruption, par ses actes de trahison et par la lâcheté de ses dirigeants.

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Un homme blessé à coups de machette à la Poste de Villemomble

21 Novembre 2014, 11:26am

Publié par Thomas Joly

S’ils ont apporté maladies et chômage, les millions d'immigrés extra-européens imposent également à la France leurs coutumes barbares. Mardi après-midi, un client qui faisait la queue dans un bureau de Poste à Villemomble a été blessé à coups de machette. Après une querelle, un criminel a sorti sa machette, avec laquelle il se promenait tranquillement, et l’a frappé – dans le dos – puis, quand la victime s’est retournée, à la tête.

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Mickael Dos Santos, le second djihadiste français identifié

21 Novembre 2014, 11:19am

Publié par Thomas Joly

Les autorités ont confirmé l’identité du deuxième islamiste à papiers français qui a participé au massacre de dix-huit soldats syriens et d'un otage américain dont la vidéo a été diffusée la semaine dernière. Il se nomme Mickael Dos Santos. Issu de la communauté portugaise de Champigny-sur-Marne, il s’est inverti à l’islam au contact des nombreux occupants présents en région parisienne, notamment en fréquentant un lieu de culte islamiste à Villiers-sur-Marne. Si la justice de Taubira et la police de Valls s’acharnent sur les nationalistes, aucune dissolution n’a été prononcée contre cette mosquée.

Mickael Dos Santos est âgé de 22 ans et a rejoint les rangs des égorgeurs en août 2013.

« C’est mon petit-fils, je le vois à la télé, tout le temps, tout le temps, je l’ai reconnu tout de suite. Il était si gentil, si gentil, ils ont dû le droguer pour qu’il devienne comme ça. Il était catholique, il a fait le catéchisme, je ne sais pas comment ils lui ont tourné la tête. » a témoigné sa grand-mère.

La conversion de ce jeune français n’a rien de surprenant : élevé au cœur des cités occupées où règne le racisme antiblanc, il a été perverti par l’école de la République et la culture moderne. C’est en voulant retrouver de véritables valeurs, abandonnant la « tektonik » et le football, qu’il s’est rapproché de l’islam, trahissant sa famille et son peuple. Tout cela s’est produit avec la complicité active du Système. Un témoin a raconté comment, avec d’autres islamistes, il séchait les cours pour organiser des prières dans les couloirs de l’établissement scolaire qu’il fréquentait.

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À Calais, un chauffeur blessé à coups de couteau par des « migrants »

21 Novembre 2014, 10:03am

Publié par Thomas Joly

Il y a quelques jours, la justice aux ordres de Mme Taubira condamnait un chauffeur routier pour s’être défendu après l’attaque de son camion. La peine semble avoir été assez dissuasive pour que désormais les chauffeurs préfèrent se laisser poignarder par les criminels étrangers. C’est ce qui est arrivé à un camionneur espagnol sur l’aire de repos du Beau-Marais sur l’A16.

« J’étais en train de boire le café dans ma cabine quand je les ai vus arriver. Ils étaient une trentaine et ont essayé d’entrer à l’arrière de mon camion. Je suis donc sorti pour mettre le loquet de sécurité et les empêcher d’entrer. L’un d’eux était muni d’un couteau : il m’a porté des coups à la main » a témoigné le chauffeur. Si les conducteurs de poids lourds qui font appliquer la loi sont impitoyablement traqués, arrêtés, jugés et condamnés par les services de police et de justice de leur République, les criminels étrangers ont pu tranquillement s’échapper sans être inquiétés par les CRS et les fonctionnaires de la police aux frontières (PAF) arrivés tardivement sur place.

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Grande-Bretagne : une école est sanctionnée parce qu'elle a trop d'élèves blancs

21 Novembre 2014, 09:53am

Publié par Thomas Joly

Et ce n’est pas « raciste », ça ?

Une école de la charmante petite ville rurale de Market Rasen, appelée Middle Rasen Primary School, a été sanctionnée par l’autorité de surveillance britannique des écoles publiques, OFSTED, parce qu’elle est trop… anglaise. Jusqu’ici qualifiée de « bonne », la note de l’école n’a pas été augmentée au grade « excellent » pour n’avoir pas assez d’élèves noirs ou asiatiques, et donc, trop de Blancs, a expliqué l’organe de contrôle.

Pensez : le « développement culturel » des élèves de cette école primaire est limité par « un manque d’expérience de première main de la diversité qui caractérise la société britannique moderne ». Comment enseigner à ces enfants – intellectuellement borgnes, forcément – qu’il faut respecter et tolérer toutes les croyances et toutes les couleurs de peau s’ils n’ont pas de quoi se faire la main sur place ?

« C’est du politiquement correct devenu fou », commente le membre du parlement conservateur de Gainsborough, Sir Edward Leigh (mais le politiquement correct peut-il prétendre à la sagesse) ? « L’école primaire Middle Rasen est une école excellente à n’importe quelle aune. Le multiculturalisme n’a pas de pertinence dans le Lincolnshire avec sa petite présence de minorités ethniques, qui sont déjà bien accueillies et bien intégrées dans nos communautés locales, comme elles doivent l’être. »

104 élèves, presque tous blancs

L’école primaire Middle Rasen compte exactement 104 élèves, âgés de 4 à 11 ans, c’est ce qui lui vaut d’être sanctionnée.

Dixit l’OFSTED : « La grande majorité des élèves sont des Britanniques blancs. Peu sont d’autres groupes ethniques, et à l’heure actuelle aucun élève ne parle l’anglais comme seconde langue. »

Que faire pour remédier à cet affreux handicap ? C’est simple : il faut « créer des occasions pour qu’ils puissent avoir une interaction de première main avec leurs homologues venant de contextes différents, au-delà du voisinage le plus immédiat », décrète l’organisme.

L’école sanctionnée envoie ses élèves à la mosquée

Message entendu par l’école. Elle cherche désormais à créer un partenariat avec une école de centre-ville pour remédier à la situation, et modifie sa pratique des voyages scolaires. La directrice, Melonie Brunton, a souligné que les sorties se font généralement à la campagne, pour visiter une ferme ou un zoo : les dernières ont conduit les enfants dans une mosquée et dans une usine.

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De la terreur et des bobogays (par Joris Karl)

21 Novembre 2014, 09:39am

Publié par Thomas Joly

Le revirement démago de Sarko à propos de la loi Taubira fait penser à un pochetron lunaire qui se serait éclaté le crâne sur un réverbère trop sec. Emporté par la houle des gorges déployées, Sarko a trahi une partie de ses légions. Sabre en plastique en main, les petits Zorro ont voulu dégonfler le sergent Garcia. Piquer dans le ventre. Pendant qu’une immense majorité des Français applaudissaient la sortie de l’ex-chef de l’État (« On va l’abroger, cette loi »), il y en a eu, de la révolte dans les colonnes et sur les plateaux. Autant dire sur Pluton.

Charles Consigny, dans Le Point (article du 18 novembre), a décroché le pompon frelaté du ridicule et de l’abject. Vexé, abandonné en rose campagne par son idole, Consigny a fait sa chochotte, et est devenu brutal. Le masque de cire tombe, tel un visage pétrifié à la Renaissance dont on découvre les sombres traits à la lueur des bûchers. Ceux qu’il voudrait rallumer. Petrus Christus aurait pu peindre le jeune exalté. Les couleurs eussent pu en pleurer !

Selon le Joinville des « Grandes Gueules », il devrait être interdit de ne pas penser comme Consigny. Avec la gent bobogay, on avait l’habitude de cette mesure soviétoïde de la liberté. Je goulague, donc je suis. On savait qu’on risquait de flamber dans un nouveau Bazar de la Charité. Mais là où le garçon devient infâme – si j’ose dire –, c’est lorsqu’il insulte les adversaires du mariage gay : « Leurs arguments alambiqués sur le vivre ensemble, la famille ou je ne sais quelles valeurs ne sont que le paravent de cette obsession, et il n’est pas du niveau d’un homme d’État de céder, pour des considérations électorales, aux revendications haineuses de quelques arriérés. »

Des « arriérés ». Le mot est lâché. Enfin. Voilà ce que sont, aux yeux de la minorité bobogay, les millions de gens qui ont défilé dans tout le pays. La majorité silencieuse – « quelques » pour Consigny – n’est donc bonne qu’à rééduquer, et encore, pense l’ex-pole pote de Sarkozy.

Dans la même veine de cette insupportable Inquisition en tutu, les propos de Jean-Luc Romero lors du « Grand Journal » de Canal+. L’ancien UMP, néo-PS, a expliqué aux spectateurs qu’il « était impossible de revenir » sur le mariage homo. Parce que le Conseil constitutionnel l’empêcherait, parce que ce serait l’instauration d’un « régime d’apartheid en France ». La grossièreté de ces envolées, l’excessive posture du Mandela ressuscité en militant gay, tout fait que la cause ultra-politique du mariage homo n’aboutit qu’à la cohue mentale. Une poignée d’extrémistes obsédés par leurs pratiques sexuelles a perdu tout sens commun. Le peuple veut le maintien de certaines institutions parce qu’elles sont des balises dans un monde déchaîné. Un repère. Une protection. La haine des bobogays finira par faire ressortir les pires souvenirs de l’homophobie véritable. Quel triste retour de bâton pour Consigny et les siens !

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Calais entre l’enclume et le marteau (par François-Xavier Rochette)

20 Novembre 2014, 14:51pm

Publié par Thomas Joly

La France est inégalement contaminée par l’immigration-invasion sur un plan strictement géographique. Quelle différence de couleur, encore, entre Paris et Limoges ! Entre les régions du Massif central et les Bouches-du-Rhône ! Entre Nancy et Brest, entre Vichy et Mulhouse. D’une manière générale, de nombreuses zones rurales sont encore épargnées par ce que l’on appelle communément maintenant le Grand remplacement. Mais, faut-il le préciser, les territoires qui ont une faible teneur allogène sont presque toujours, également, de faible densité démographique et toujours peu peuplés en valeur absolue. Les poches et les vallées préservées de l’étrange, de l’hétérogène et de l’exotisme se réduisent en outre à une vitesse inquiétante, des quartiers entiers se métamorphosent en des écosystèmes inattendus et changent soudainement la vie des autochtones qui rencontrent la diversité brutalement. Nous ne ferons pas de corrélations entre immigration et certains phénomènes sociaux car la loi nous l’interdit, mais force est de reconnaître que l’existence est plus douce dans certains villages de Lozère, des Hautes-Alpes ou du Pays basque qu’à Saint-Denis, Saint-Ouen ou Roubaix ! Et il ne s’agit pas seulement d’une question de ruralité, comprenons-nous bien… Il y a cinquante ans, il existait des quartiers populaires parisiens qui étaient encore parfaitement respirables, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Il y a seulement 25 ou 30 ans, Dijon et Metz étaient des villes assez aérées si l’on peut dire et Grenoble n’était pas encore ce tison délinquant qui brûle une grosse partie d’une Isère défigurée.

Bref, il existe toujours des Français qui naissent au bon endroit, au bon moment. Et puis, il y a les autres, qui vivent là où le chaos s’accélère, là où la neige a la couleur de la boue et la rue l’odeur du pois chiche, du shit et de la crasse internationale. Le quotidien ne doit pas être toujours facile, surtout pour les collégiens et lycéens indigènes évoluant au sein de cités où les allogènes croissent d’une manière exponentielle (et si ostentatoire)… Le petit Blanc perdu dans cette nouvelle démographie vit en temps réel ce processus de disparition du peuple historique alors que dans le même temps, évidemment, les étrangers ont naturellement conscience du développement fulgurant de leur communauté, un phénomène continu fortifiant en chacun d’eux une volonté de puissance qui devient impossible à contenir.

Le très banal racisme anti-blanc provient de là, de cet orgueil né du nombre, et non de je ne sais quelle rancœur à la noix. Il n’est donc pas nécessaire d’être diplômé en ethnologie pour saisir l’ampleur du problème qui pèse sur les populations autochtones qui y sont confrontées. Mais il existe des cantons, des agglomérations, des villes qui cumulent les difficultés sur les plans démographique et sociologique. On dit trivialement qu’il pleut là où c’est mouillé et que le malheur attire le malheur… Calais, qui souffre d’un chômage aigu, d’une immigration classique en progression (même si elle n’est pas, fort heureusement, au niveau de celle qui a ruiné la Seine-Saint-Denis) est depuis quelques années victime de sa position géographique, celle-là même qui devait constituer son plus grand atout.

CALAIS, GOULET D’ETRANGLEMENT DE L’IMMIGRATION CLANDESTINE

La plus grande ville du Pas-de-Calais (73.000 habitants) ne souffre en effet pas seulement de l’immigration banale, légale et même de la simple immigration clandestine telle qu’on la connaît un peu partout en Hexagonie, mais également d’une immigration sauvage, ou pour être précis, d’une migration sauvage puisque les candidats africains et arabes qui se bousculent à cette halte calaisienne n’ont qu’une idée en tête, Londres et ses mirages. Nous connaissons bien le phénomène depuis Sangatte et ses multiples soubresauts. Celui de vagues successives de Kossovars, de Somaliens, d’Erythréens, de Soudanais, d’Afghans, qui foncent vers Calais pour s’immiscer dans la remorque d’un camion, pour franchir l’Eurotunnel avant de trouver, pensent-ils, le paradis britannique. Las, parvenus à Calais, les illégaux se retrouvent dans un parfait goulet d’étranglement, et les moins “fortunés”, ceux d’entre eux ne pouvant s’offrir les services d’un passeur professionnel se voient contraints, pour atteindre leur rêve, de prendre d’assaut les semi-remorques à destination de la Perfide Albion.

Les conditions d’entrée aux alentours du tunnel sont aujourd’hui plus difficiles, les routiers ayant témoigné violemment de leur exaspération (même si la justice persiste à condamner les récalcitrants agissant manu militari pour expulser les Africains en exil), les migrants surexcités se déplacent en amont sur le parcours des véhicules de marchandises, principalement sur l’autoroute A16, à son terme, là où les premiers ralentissements autorisent l’abordage des camions. Les policiers seraient impuissants devant le déferlement de ces envahisseurs…

« Sur la rocade menant au port, nous avons une grande visibilité », analyse Gilles Debove, du syndicat Unité-SGP-Police-FO. « Alors qu’ici, les migrants se cachent dans des bosquets, dans les marais, par petits groupes. Il n’y a pas de trottoir, on ne peut faire ni demi-tour, ni marche arrière. Et ça roule vite, rien à voir avec la rocade : c’est hyper dangereux. ». En effet, le 21 octobre, une Ethiopienne de 16 ans est pulvérisée par une voiture alors qu’elle traverse l’autoroute avec un groupe de noirs. Le 22 octobre un Soudanais téméraire saute d’un pont donnant sur la bretelle d’accès au Tunnel pour essayer de s’introduire dans un camion. Le cascadeur improviste rebondit comme une grume d’ébène sur la bâche et s’écrase au sol en se brisant tous les os ; il décède quelques heures plus tard. Le 6 novembre, un sérieux accident se produit entre deux poids lourds, ce qui engendre un bouchon important sur l’A16. Quelques minutes plus tard, des centaines d’illégaux foncent vers les camions à l’arrêt, non pour secourir les routiers, mais pour s’offrir un petit voyage chez les Britanniques. La situation autour de Calais devient de plus en plus critique du fait de l’accroissement continu du nombre de ces allogènes en quête d’eldorado européen.

15 ANS DE PRESSION MIGRATOIRE

Depuis 1999 et la réquisition d’un hangar à Sangatte (commune limitrophe de Calais) pour héberger 200 migrants (à l’époque surtout des Kossovars) qui campaient jusque- là dans un parc, la situation n’a cessé de se dégrader pour les vrais Calaisiens. La fausse charité de l’Etat pressé par des ONG antinationales d’intervenir prestement a mis le feu aux poudres. Dès 2000, le fameux hangar géré alors par la Croix-Rouge s’occupe en moyenne de 1 500 clandestins par jour (soumis à un fort turn-over). En 2002, année de sa fermeture, le centre de Sangatte aura vu passer plus de 50.000 illégaux qui furent à la fin de leur parcours « pris en charge » par une vaste filière d’immigration clandestine. Affolé par l’ampleur du phénomène migratoire, le gouvernement a voulu, en premier lieu, casser le thermomètre et flouter une activité mafieuse ne cessant de grossir d’une manière concomitante. Les noirs en question ne retournent pourtant pas sur leur continent mais s’incrustent dans des terrains vagues entre deux dunes…

L’un de ces squats est rapidement surnommé la “jungle” pour les raisons que l’on devine. La “jungle” devient un abcès de fixation médiatique et sera donc évacuée en 2009 par un pouvoir public qui entend détruire les symboles de l’invasion pour empêcher la colère populaire de s’alimenter de ses stigmates. Notre indigénat veut tout embrouiller. Dégagez ! Y’a rien à voir ! En 2014, d’autres zones ont été évacuées, comme pour mimer une action policière digne de ce nom.. Et la Grande-Bretagne promet désormais 15 millions d’euros pour sécuriser le port… Alors que ces Africains dans la nature investissent les camions avant que ces derniers n’accèdent au port… Les autorités s’échinent bel et bien à plâtrer des jambes en bois depuis 15 ans. La situation est aujourd’hui explosive après toutes ces années de laisser-faire. Avant l’été, les migrants n’étaient “que” 600 installés sur Calais. Ils sont aujourd’hui 2 500, demain ils seront 3 000, en 2015, 5 000.

MAUVAISE CONSCIENCE ET ETHNOMASOCHISME

Cette multiplication inquiétante est facilement explicable. Travail clandestin, prestations sociales (que le Royaume-Uni sait aussi verser sans compter aux allogènes), fantasmes divers sur la Blanche lubrique cultivés par les media du monde entier et par l’industrie de la pornographie interraciale, toutes choses qui tranchent radicalement avec la vie quotidienne de ces Noirs dans leur pays, terre natale qu’ils préfèrent fuir plutôt que d’utiliser leur énergie pour la sauver de la misère. Le courage de ces individus est donc pour le moins relatif. Leurs valeurs ne sont a priori pas les nôtres. Comment peut-on accomplir tant d’efforts et dépenser tant d’argent (pour les passeurs notamment) pour partir si loin de chez soi si l’on est sincèrement attaché à son pays ? Et puis, le fait d’être bloqués en France, un certain temps, avant de décrocher la timbale, ne représente pas vraiment une perspective angoissante pour eux. Une fraction non négligeable de ces migrants décide même, chaque année, de rester chez nous après avoir compris qu’elle peut toucher mensuellement un revenu géré par le Pôle Emploi (le mystère de l’usine à gaz antiraciste de notre Hexagone… et de ses pompes aspirantes) à toute personne étrangère faisant une simple demande d’asile politique, et profiter de l’Aide Médicale d’Etat (AME).

Les autres peuvent profiter de la générosité d’essence ethnomasochiste des nombreuses associations parasitaires qui s’occupent des migrants parfois en les pouponnant. Repas chauds (récemment l’affaire des plats insuffisamment épicés au goût des clandestins fit le buzz sur Internet), argent, douche, recharges des téléphones portables des migrants (exécutées notamment par une certaine Brigitte Lips, militante du Secours “catholique”), et on se demande si certaines autochtones ne s’offrent pas carrément aux illégaux pour les réconforter dans un tendre câlin… Si on rajoute à ce tableau l’impunité dont ils jouissent malgré les méfaits de plus en plus nombreux et de plus en plus graves qu’ils perpètrent, on obtient une zone très attractive pour beaucoup d’Africains bien décidés à « profiter de la vie » de toutes leurs forces, ici ou ailleurs en Europe.

LA CRIMINALITE EXPLOSE, LA RESISTANCE SE DEPLOIE

Nous ne comptons déjà plus les actes de délinquance commis par ces « chances pour l’Europe ». Plusieurs Calaisiens (il y a quelques jours, une jeune femme a été volée et agressée sexuellement par trois Africains sur le quai de la gare) ont été férocement tabassés par ces bandes ethniques qui peuvent toujours compter sur la bienveillance de la “justice”, des politiciens locaux et des journaux régionaux pour minimiser leurs actes, voire pour les innocenter sur un ton misérabiliste. De jeunes Calaisiens, en colère contre la chienlit qui se répand, se sont organisés au sein d’un collectif appelé (sans emphase tant la situation devient grave) « Sauvons Calais ». Contre tous, menés par le très dynamique Kévin Reche, ils agissent au quotidien pour la population calaisienne qui souffre dans cet assourdissant silence médiatique. Ils sont à l’écoute des petites gens abandonnées de cette gauche arrogante qui préfère les autres avant les nôtres. Mais ce n’est pas tout ! Kévin Reche est décidé à ce que les choses changent enfin dans le Calaisis. Pour ce faire, il s’est engagé avec de nombreux militants de Sauvons Calais en politique dans un mouvement qui, depuis quelques mois, prend localement une nouvelle ampleur, le PdF, le Parti de la France.

Marine Le Pen avait bien fait un saut de puces à Calais il y a 5 semaines avant d’évoquer le fantasme que serait le Grand remplacement (chez nous et en Europe), mais, loin de soutenir les Calaisiens en plein chaos et qui ne se risquent plus à sortir le soir, elle cracha sur les militants de Sauvons Calais qui ont eu le toupet de lutter, en vrai, contre l’immigration-invasion. Le secrétaire général du PdF, Thomas Joly, que nous avons interrogé sur les échéances à venir, est décidé à présenter et à soutenir plusieurs candidats aux prochaines élections départementales sur les différents cantons calaisiens. « Les clandestins ont violé la loi en entrant illégalement sur le territoire français », s’explique-t-il. « La France n’a pas vocation à accueillir toute la misère du monde ni les réfugiés de toutes les guerres du monde. Qu’ils aillent demander l’asile à des pays musulmans bien plus proches et richissimes comme le Qatar ou l’Arabie Séoudite. » Dans l’immédiat, il faudrait, selon Joly, mettre en place un groupement de gendarmerie mobile dans le Calaisis afin de réduire tout de suite l’insécurité qui a explosé en l’espace de quelques semaines. « Instaurer l’état d’urgence le cas échéant comme lors des émeutes en 2005 ». Puis, il est impératif de résoudre le problème en profondeur en « mettant en place un camp de rétention afin d’organiser le renvoi rapide, total et définitif des clandestins. »

Il est bien évident que seule la solution nationaliste peut aider les Calaisiens, perdus chez eux, submergés, abandonnés et trahis. Mais Calais est plus que Calais, c’est un symbole du combat que les authentiques nationalistes doivent mener à tout prix : celui de notre sécurité, de notre identité, celui de notre délivrance et du renouveau. Loin du blabla des baudruches médiatiques, la bataille de Calais est le front des patriotes, des radicaux, des honnêtes Français qui deviennent des braves ! Pour que Calais devienne notre Dreux nationaliste ! Pour que, demain, toutes nos villes soient libérées de l’immigration-invasion, il faut agir maintenant !

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