La société éclatée, typiquement individualiste, telle que nous la connaissons aujourd’hui, possède évidemment le défaut principal inhérent à son état : Celui de hâter la disparition totale de son système immunitaire. De fait la mise en danger paradoxale des individus se juxtaposant en rangs d’oignons sans parvenir à ne serait-ce que conceptualiser une identité transcendante qui les unirait en les sublimant. Par le nationalisme qui exalte la force, la puissance, la beauté, l’homogénéité du peuple, la sécurité de ce dernier qui doit perdurer, à tout prix, les membres de la communauté nationale adoptent une profonde pensée, une idéologie en quelque sorte, qui les dépasse, dont les effets bénéfiques sur leur pays, leur région, leur famille, leur propre vie, sont cependant, pour eux, inimaginables. Le patriotisme, instinct naturel de l’homme sain qui devrait galvaniser tous les jeunes garçons de souche de 10 ans chez nous et qui a été rendu carrément hors la loi par la judéo-maçonnerie, constitue d’abord un sentiment de fierté incommensurable, une joie permanente pour ce petit homme qui grandit dans une nation historique bâtie sur la gloire et le sacrifice des anciens ! Le petit patriote n’a pas de soucis d’identité, ne peut souffrir de déréliction, il a devant lui un pays, son pays, à faire prospérer et à protéger contre les parasites et les bacilles de l’étranger. Il est tout sauf un nomade sans principes. La Patrie a un paysage dans lequel il est enraciné, il connaît bien ce paysage et un Etranger ne saurait lui mentir en lui proposant d’autres traits, d’autres reliefs, d’autres senteurs, d’autres couleurs en échange des caractères authentiques de son paysage. Bref, c’est bien au nom de l’authenticité de la nation que le patriote refuse l’immigration, non en fonction d’intérêts matériels ou sécuritaires tout personnels. Si les Français avaient eu une véritable conscience nationale, ils n’auraient jamais accepté par sentimentalisme la déferlante que nous connaissons aujourd’hui. Ils n’auraient jamais tergiversé en se demandant incessamment s’il est ou non odieux de refuser des petits enfants africains peut-être très gentils et affectueux etc. Spontanément, sans l’aide de statistiques, sans avoir attendu les conséquences d’une délinquance d’importation meurtrissant leur propre chair, avant de craindre pour leur peau, avant d’être happés par le désespoir, les Français auraient dit non comme un seul homme à l’ouverture des frontières. Par principe.
Sans identité, la tête maintenue sous l’eau par le pouvoir médiatique, les Français restent impuissants et ne font plus peur
Les kapos républicains successifs de notre indigénat font toujours mine de s’inquiéter de la progression du Front national en affirmant à qui veut l’entendre qu’ils prennent au sérieux ce qui représenterait un danger pour le Système. Nous connaissons depuis longtemps leur cinéma. Car, nous nous le demandons, en quoi leurs craintes concernant le développement ou la boursouflure du parti lepéniste peuvent-elles être considérées comme sérieuses alors que, chaque année, des centaines de milliers de xénothèques débarquent sur notre Terre le couteau entre les dents ? Quoi ? Veulent-ils, ces politiciens, provoquer l’élection de la candidate de réserve en bourrant les cités, les quartiers, nos rues, d’allogènes plus ou moins noirs ? La vérité, c’est qu’ils s’en cognent du Front ! Un jouet médiatique, un hochet agité dans tous les sens pendant que le pays suffoque, écrasé qu’il est par toutes les violences d’importation. Le FN peut bien être l’épée de Damoclès attitrée de leur République ; si la lame est en mousse ou en ouate, que cela peut-il bien faire ?
Alors que les étrangers qui se sont déjà installés en France se démultiplient grâce à la fertilité prodigieuse de leurs femmes, les vannes sont de plus en plus largement ouvertes et les conditions d’accueil des primo-arrivants (comme ils disent) et des clandestins se bonifient chaque jour davantage, à notre détriment. Valls, alors simple ministre, en prétextant une simplification de la réglementation en matière de gestion de l’immigration illégale, a en définitive augmenté d’un coup et de 30% les régularisations des infiltrés colorés. L’invasion se poursuivant dans le même temps à un rythme effréné, les cousinades maghrébines croissant d’une manière exponentielle sur notre sol, le regroupement familial exerçant toute sa nuisance sur notre peuple amoindri, et le premier ministre de notre indigénat, marrane aux réminiscences juives, est présenté, reste présenté par le media unique comme un homme à poigne garant de la légalité ! Et le Français de meugler sans relever la tête !
Des charrois d’électeurs pour un monopoly politique
S’il est certain que tout est entrepris politiquement pour optimiser l’immigration sur notre sol (l’objectif du pouvoir mondialiste réside principalement dans la volonté de maintenir à tout prix les populations allogènes chez nous dans le but de faire disparaître à terme les Français de toujours, pour en finir avec cette menace antimondialiste par excellence représentée aux yeux de l’engeance apatride par la corrélation entre nationalité, race et histoire qu’elle entend fragmenter, atomiser, concasser par tous les moyens), pour faire couler le bateau France, il est également sûr que cette mission exterminatrice contre l’homme blanc reste non seulement un plaisir mais aussi un outil fort précieux pour la gauche qui entend récupérer de nouveaux électeurs en francisant par magie ou plutôt par une administration scélérate des individus exotiques qui se fichent complètement de notre pays. Les efforts actuels du gouvernement dans l’optique de naturaliser en une fournée 200.000 chibanis (vieux maghrébins de plus de 65 ans) supplémentaires témoigneraient en effet de cette volonté de se trouver quelques milliers d’électeurs nouveaux et souvent illettrés… Mais l’argument électoraliste n’explique pas le même zèle immigrationniste qui caractérise pourtant une très large fraction de la « droite » systémique. Il y a donc bel et bien volonté de dénaturer la nation, de la faire disparaître, politiquement, moralement et ethniquement.
L’antiracisme « préventif »
Dans cette configuration, comment ne pas plaindre les derniers clairvoyants appréciant la réalité telle qu’elle est et non sous le prisme déformant de la propagande ? Subissant la déferlante tout en ayant l’impression d’être gouverné par des sourds fous furieux, le citoyen lucide doit encore supporter l’orchestration d’un antiracisme de papier destiné à mettre sous lithium cognitif les masses qui doivent continûment accepter le rétrécissement de leur espace vital au profit de l’Autre sacralisé. Ceux qui savent que le salut de notre pays ne pourra passer que par une solution politique globale, les hommes lucides, sont rares. Rares sont en effet les Français déterminés, implacables, capables de faire fi des images attendrissantes de gosses allogènes chialant dans un square et d’hommes vigoureusement travailleurs s’occupant d’une smala à la chevelure crépue bien peignée (si c’est possible). Les racailles protéiformes sont le fruit à payer de l’acceptation de cette gentillesse incarnée. On va quand même pas foutre à la porte ces malheureux pour une sombre histoire d’identité… (C’est ce qu’ont pu entendre les participants de la manifestation pour sauver Calais le 7 septembre où Yvan Benedetti, Thomas Joly et le jeune Kevin Rêche ont exigé le renvoi des Clandestins dans leur pays d’origine). Les promoteurs des campagnes antiracistes ont toujours su jouer sur la fibre émotive des ménagères qui entendent bien que les valeurs d’humanisme soient respectées autour d’elles… L’entreprise de sidération se poursuit. Ainsi, Bernadette Hétier, co-présidente du MRAP, Alain Jakubowicz, Président de la Licra, Sacha Reingewirtz, Président de l'UEJF, Dominique Sopo, Président de SOS Racisme, viennent de signer une tribune ridicule balancée dans tous les quotidiens nationaux après avoir été publiée en exclusivité dans le Huffington Post (qui est un partenaire de leur nouvelle propagande). Une nouvelle communication si grotesque, si vulgaire, si lourdingue qu’elle ne peut qu’appuyer nos dires quant à la mièvrerie volontaire du discours antiraciste. « Depuis plusieurs mois, les discours racistes, antisémites, anti-musulmans, homophobes et sexistes se multiplient sur internet et les réseaux sociaux : hashtags racistes, vidéos haineuses, commentaires insultants. Derrière l'anonymat que leur offre internet, certains appellent à la violence contre des groupes de personnes en raison de leur origine, de leur religion, de leur genre, de leur orientation sexuelle. Parce que rien ne justifie que les racistes et les antisémites aient le monopole de la parole sur le web, l'UEJF, SOS Racisme, la Licra et le MRAP lancent la première campagne web de lutte contre les discours de haine : Pousse ton cri ! Cette campagne permet à tous les citoyens de pousser leur cri contre la haine sur internet. » Nous avons été faire un petit tour sur le site de Pousse ton cri, et, nous confirmons, les volontaires, souvent des autochtones atteints de xénophilie aiguë, crient en se filmant comme le feraient des singes excités. Pas un mot, juste un cri suivant un sourire ou une rigolade… Un argument à la hauteur de la doxa antiraciste, un rot. Et pour faire connaître l’éructation antiraciste, cette entreprise de cris, les acteurs de cette absurdité organisent trois Hangouts (chats vidéo) avec le Huffington Post pour parler du racisme sous trois aspects différents : le sport, la musique et, évidemment, Internet. « N'abandonnons pas Internet aux racistes, antisémites et négationnistes, crachouille en effet l’AntiFrance dans sa tribune toute fraîche. Internet peut et doit être un outil citoyen et un formidable levier démocratique et de diffusion de l'information. Il est temps qu'internet soit enfin pleinement investi par ceux qui portent les logiques de progrès et d'émancipation. » Cette initiative est également présentée par un petit clip vidéo écœurant qui ridiculise l’homme blanc et salit la femme blanche prise, en dessin animé, par un allogène lubrique. Ou l’antiracisme dans toute sa splendeur… (L’antiracisme par le sexe est décidément une obsession pour ces gens, inquiets dorénavant de l’amertume grandissante de nombreux beurs de nos cités face à la concurrence des Africains noirs qui attirent à eux les Rachida et les Aïcha qui s’en amourachent. Mais il n’est pas question pour le syndicat antiraciste de stigmatiser la communauté maghrébine qui ne saurait être à la fois victime attendrissante et vicelarde luxurieuse aux relents aigus de jalousie négrophobe. Fermons la parenthèse). Car il va de soi que le racisme est une tare de l’homme blanc qui doit être constamment réprimé dans ses élans de haine (l’incroyable glorification du rappeur Médine lors de la dernière Fête de l’Huma témoigne encore une fois de ce phénomène puissamment anti-blanc. Malgré la teneur des textes de ce « chanteur » qui évoque « les porcs de blancs », la presse dans son ensemble le défend en réinterprétant ses paroles à la sauce antiraciste. Un comble). Le racisme, c’est uniquement la rage de l’homme blanc toujours habité par un vieil atavisme qui peut le faire déraper à n’importe quel moment. A l’instar de Brigitte Barèges, maire de Montauban, qui dérape tout le temps si l’on en croit la journaillerie ; hier contre les invertis, aujourd’hui contre les immigrés. Enfin si l’on peut appeler cela un dérapage tant les propos de l’édile montalbanaise devraient passés pour antiracistes dans une société normale. Une élue qui s’inquiétait simplement de l’absence de mixité dans les classes d’école primaire de sa ville.
Des babtous fragiles…
Une élue, encore, qui pense qu’un, deux ou trois Blancs dans une classe de 25 allogènes est un fait qui ne constitue pas une chance pour les petits autochtones ultra-minoritaires obligés de se débattre comme des moucherons dans une toile d’araignée, quotidiennement, dans un univers parfois très hostile. Mais ces petits Blancs peuvent bien pousser autant de cris qu’ils veulent, ils seront toujours considérés par nos maîtres comme d’éternels bourreaux, même rackettés, même battus, même violés, même tués ! Il existe à ce propos, aujourd’hui, au sein de l’univers collégien une explosion d’une mode juvénile d’une horreur absolue qui renvoie à la pire des barbaries, souvent malgré eux, de nombreux gosses de souche confrontés à la métamorphose de leur environnement racial. Un phénomène qui découle directement, nous en sommes convaincus, de la débilité antiraciste propagée depuis 40 ans par toutes les officines mondialistes, libérales et gauchistes. Une monstruosité sociologique correspondant à la brutalité croissante d’une jeunesse xénothèque arrogante combinée à l’accentuation de la soumission d’une nouvelle génération blanche pathologiquement lymphatique. Le dilemme actuel du collégien déboussolé : se comporter comme la racaille d’importation au rythme des crachats, des coups, des insultes journalières, des actes de malveillance se multipliant, bref devenir Autre pour complaire aux barbares exotiques. Ou maintenir le cap, rester droit, préserver l’esprit des ancêtres face à la meute, devant les déracinés furieux ne souffrant l’idéal européen et français. La seconde conduite est de plus en plus coûteuse psychologiquement, nerveusement, physiquement pour les adolescents français qui ne seront jamais soutenus moralement, ni jamais protégés sérieusement par les autorités. Les partisans de la seconde conduite sont immédiatement pris pour cibles dans les établissements colonisés et traités de babtous fragiles ! Ils sont les nouvelles têtes à claque des bahuts lugubres de leur république de mort. Le Blanc qui refuse la dégénérescence, la liquidation des mœurs, la suppression du respect envers le sexe faible, le Blanc qui reste poli envers son professeur de mathématique, qui ne devient pas violent pour deux regards croisés, ce Blanc-là est dorénavant considéré comme un babtou fragile non seulement par les zoulous ricaneurs mais aussi par ses frères de sang qui ont opté pour le confort ethnomasochiste, petites gourgandines en herbe aux sourcils blonds y compris.
Article publié dans l'hebdomadaire Rivarol du 25/09/14