Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog politique de Thomas JOLY

Le numérique : « machin » éducatif (par Pierre Van Ommeslaeghe)

6 Octobre 2014, 08:09am

Publié par Thomas Joly

Le CNN (Conseil national du numérique) vient de présenter des recommandations pour le développement du numérique à l’école. Il préconise la création d’un baccalauréat « Humanités numériques » (HN) au lycée général à côté des baccalauréats littéraire (L), scientifique (S) et économique et social (ES). Ceci, quelques jours après que le ministre de l’Éducation nationale a annoncé que tous les élèves de 5e recevraient une tablette numérique en 2016. Dans un lycée de l’Aveyron, des candidats au CVL (Conseil de la vie lycéenne) ont inscrit dans leur programme l’autorisation d’utiliser les smartphones en classe pour des motifs pédagogiques… Ils ont l’excuse de ne pas vraiment y croire eux-mêmes. Le remède à l’échec scolaire ? Le numérique ! Au recul des élèves français dans les classement internationaux ? Le numérique ! À la crise de l’enseignement ? Le numérique, vous dis-je ! Le numérique est devenu l’alpha et l’oméga de la politique de l’enseignement en France, le sirop Typhon de l’école.

Le numérique est, certes, en train de bouleverser notre façon de travailler, nos loisirs, nos relations avec les autres. Faut-il pour autant en injecter à haute dose dans l’enseignement ? Le numérique est un outil. Imagine-t-on un baccalauréat « marteau et tournevis » ? S’il s’agit de concevoir des outils numériques, il y a le baccalauréat STI2D qui peut y préparer, et ce sont les formations du supérieur (BTS, IUT, écoles d’ingénieur) qui sont pertinentes pour enseigner cela. S’agit-il d’introduire dans les disciplines de l’école le numérique quand cela est utile ? Mais cela concerne plus les enseignants que les élèves. S’il y en a où le numérique apporte une réelle plus-value, ce n’est pas le cas de toutes. En philosophie, c’est un gadget inutile et parfois nuisible quand les outils sont mal conçus, ce qui arrive hélas souvent. Sans compter que ces technologies évoluent très vite, l’obsolescence de ce qui serait mis en place est à craindre. Le plan « informatique pour tous » des années quatre-vingt a ainsi été un échec coûteux.

Le numérique est un outil, pas une finalité en soi. Ceux qui savent le mieux s’en servir sont ceux qui ont appris à se servir d’abord de leur cerveau et ont acquis un esprit critique grâce à leur culture. L’obsession du numérique masque une absence de pensée sur la finalité de l’Éducation nationale : quand on se focalise sur l’outil sans se demander à quoi il peut servir, c’est qu’on ne sait pas ce qu’il faut faire. Du moins pour nos soi-disant dirigeants. Il n’est pas certain que le CNN soit aussi naïf qu’eux.

Sur les trente membres de ce nouveau « machin » créé en 2013, au moins dix-neuf sont dirigeants ou actionnaires de sociétés intervenant dans le domaine du numérique. Si le bénéfice du numérique pour les élèves n’est toujours pas démontré et même souvent mis en cause par les professionnels de l’éducation, les bénéfices de l’informatique partout dans l’école pour les entreprises informatiques sont certains. D’autant que la méconnaissance de l’informatique par les décideurs du ministère et les élus leur permet de vendre très cher des produits parfois peu adaptés.

Source

Voir les commentaires

Les « Français » sont les plus favorables à l'État Islamique...

5 Octobre 2014, 11:43am

Publié par Thomas Joly

Voir les commentaires

Le site du Parti de la France fait peau neuve !

4 Octobre 2014, 10:39am

Publié par Thomas Joly

Cliquez sur l'image

Voir les commentaires

Une jeune Bretonne grièvement blessée dans une agression doit payer ses soins

4 Octobre 2014, 10:29am

Publié par Thomas Joly

Le 6 avril, trois jeunes filles de Quiberon rentraient chez elles après une nuit passée en discothèque. Faute de taxi, elles avaient décidé de rentrer à pied. Elles furent alors suivies et harcelées par un homme qui finit par les agresser. Noëlie, 25 ans, tenta alors de protéger sa jeune sœur.

« Il n’y avait plus de taxi, alors on a décidé de rentrer à pied. On a croisé un homme qui a commencé à nous coller. Il était de plus en plus insistant, ne voulait plus nous lâcher. J’ai eu peur pour ma petite sœur de 19 ans. Alors j’ai fini par lui demander de dégager. C’est là qu’il m’a donné un coup de pied au visage » raconte aujourd’hui la jeune fille. Elle perd alors connaissance. Son agresseur lui a brisé la mâchoire ; l’os maxillaire est fracturé et la jeune fille a encore une dizaine de dents cassées. Si le dernier des criminels étrangers arrivés illégalement en France peut recevoir tous les soins gratuits – et agresser de jeunes françaises – ce n’est pas le cas de la victime. Sur les 6.000 euros qu’ont coûtés les soins dentaires, la sécurité sociale et sa mutuelle ne lui ont remboursé que 3.000 euros. Une somme conséquente pour Noëlie qui, ne pouvant pas payer, a été contrainte d’arrêter de se soigner.

L’agresseur n’a jamais été retrouvé – s’il a jamais été recherché. « Je trouve ça exagéré que ce soit à moi de payer » dénonce-t-elle.

« Avant on pensait que ça n’arrivait qu’aux autres. Aujourd’hui, on a vraiment l’impression de n’être pas entendues. On travaille dur, on cotise, et on ne peut même pas prendre soin de nos enfants » constate sa mère.

Source

Voir les commentaires

Quand le préfet du Bas-Rhin exprime sa tristesse à la famille de jeunes criminels tchétchènes

4 Octobre 2014, 10:16am

Publié par Thomas Joly

Deux Tchétchènes de 10 et 13 ans sont morts à Haguenau dans un accident de voiture. Ils se trouvaient à bord d’un véhicule conduit par un troisième mineur et dans lequel se trouvait un quatrième Tchétchène qui a forcé un barrage de police, tentant d’écraser un policier. Les policiers n’ont pas réussi à rattraper les jeunes criminels étrangers qui n’ont été retrouvés qu’après avoir percuté un autobus. L’accident a fait deux morts et un blessé grave.

Le préfet du Bas-Rhin, Stéphane Bouillon, plutôt que de prononcer l’expulsion immédiate des familles – responsables pénalement – des racailles, « devant ce drame épouvantable » a exprimé « sa tristesse et son émotion aux familles et aux proches des victimes qui ont perdu la vie dans des circonstances ».

Le policier qui a failli être tué, lui, au lieu de bénéficier de l’appui des autorités, est désormais l’objet d’une enquête de l’Inspection générale de la police nationale.

Source

Voir les commentaires

Mariage pour tous, GPA pour personne ? Le gouvernement s’affole (par Marie Delarue)

4 Octobre 2014, 10:08am

Publié par Thomas Joly

Dimanche, quelques (dizaines ? centaines ?) milliers de Français seront dans la rue pour redire, comme ils le firent voilà deux ans, leur hostilité aux réformes sociétales imposées par le gouvernement Hollande. D’une certaine manière, ils ne feront que répondre aux “vœux” du Président qui semble regretter le calme de la rue…

La Manif pour tous revient donc à la charge. C’est, comme annoncé, le deuxième volet. Maintenant qu’est passé dans la loi le « mariage pour tous », c’est évidemment la question des enfants qui revient dans le paysage. En ligne de mire, PMA et GPA – procréation médicalement assistée et mères porteuses.

Moins friand, sans doute, des manifestations publiques que son patron, Manuel Valls a tenté de déminer le sujet en accordant une interview au magazine La Croix. La ficelle est grosse, mais ce gouvernement ne se caractérise pas par sa finesse de communication… Le Premier ministre y redit son hostilité à la GPA (gestation pour autrui), qu’il définit comme « une pratique intolérable de commercialisation des êtres humains et de marchandisation du corps des femmes ». Il l’affirme, la GPA « est et sera interdite en France ». Cela malgré la condamnation de notre pays, le 26 juin dernier, par la Cour européenne des droits de l’homme pour avoir refusé de reconnaître des enfants nés d’une mère porteuse aux États-Unis. La France n’a pas fait appel de cette décision, et quand Manuel Valls assure que « l’interdiction n’est pas remise en cause », on peut sérieusement en douter puisque le jugement contraint bel et bien la France à reconnaître des enfants dont elle nie, par ailleurs, la légitimité !

Ces propos rassurants ont, bien sûr, été repris par Anne Hidalgo, maire de Paris, sur France Info ce vendredi matin. Mais à l’inverse de Manuel Valls qui demeure encore – en apparence du moins – réticent sur l’ouverture de la PMA aux couples de femmes, Anne Hidalgo s’y dit favorable « au nom de l’égalité ».

Mais de quelle égalité parle-t-on ?

C’est en effet toute la question, car la PMA, en principe, n’est ouverte qu’aux couples qui souffrent d’une stérilité pathologique. Ce qui n’est pas le cas des couples d’homosexuel(le)s qui se heurtent, eux, à une stérilité de nature : celle qui résulte de leur orientation sexuelle. Deux hommes ou deux femmes ne peuvent procréer, c’est ainsi. Alors, sauf à considérer que l’homosexualité est une maladie – ce qui irait à l’encontre de tous les combats menés ces dernières décennies par la communauté homosexuelle –, il n’y a aucun motif pour que la société prenne en charge leurs « désirs d’enfants. » [...]

Source

Voir les commentaires

Acte « raciste » contre les « migrants » de Calais : un Gitan arrêté

3 Octobre 2014, 10:35am

Publié par Thomas Joly

Le Secours catholique avait installé des douches dans la zone Marcel-Doret, à l’origine pour les Gitans, pour lesquels le contribuable avait été racketté pour la construction d’une « aire d’accueil » près de là. Avec l’arrivée de centaines puis de milliers de délinquants afro-maghrébins, les Gitans ont abandonné la place, l’aire d’accueil comme les douches. Ces dernières avaient été visées par un incendie criminel en décembre 2013, puis à nouveau en septembre dernier. Les associations d’extrême gauche avaient immédiatement accusé « l’extrême droite ».

Las…L’incendiaire a été arrêté : il s’agit d’un Gitan – « sans profession et sans domicile » croit utile de préciser la presse locale – ; il a reconnu avoir agi par haine contre les Afro-Maghrébins et pour leur nuire.

Source

Voir les commentaires

Affaire Chelli : l’étrange et soudain empressement de la justice

3 Octobre 2014, 10:29am

Publié par Thomas Joly

Alors que la justice et la police ont couvert durant plusieurs années les agissements du pirate informatique juif Grégory Chelli quand ils visaient les patriotes et les historiens, les attaques contre des journalistes du Système ont déclenché de nombreuses actions judiciaires.

Plusieurs juges d’instruction ont mis en place des enquêtes pour violences volontaires avec préméditation, piratages informatiques, harcèlement, usage de données d’identification d’autrui en vue de porter atteinte à sa tranquillité ou son honneur, détention et diffusion de documents portant atteinte à l’intimité de la vie privée, dénonciation de crimes et délits imaginaires – ô atavisme – et actes de malveillance commis par la cyber-racaille israélienne. La justice réagit après la mort du père du journaliste Benoît Le Corre. Lire la suite

Voir les commentaires

L’antiracisme contre toute évidence (par François-Xavier Rochette)

3 Octobre 2014, 09:35am

Publié par Thomas Joly

La société éclatée, typiquement individualiste, telle que nous la connaissons aujourd’hui, possède évidemment le défaut principal inhérent à son état : Celui de hâter la disparition totale de son système immunitaire. De fait la mise en danger paradoxale des individus se juxtaposant en rangs d’oignons sans parvenir à ne serait-ce que conceptualiser une identité transcendante qui les unirait en les sublimant. Par le nationalisme qui exalte la force, la puissance, la beauté, l’homogénéité du peuple, la sécurité de ce dernier qui doit perdurer, à tout prix, les membres de la communauté nationale adoptent une profonde pensée, une idéologie en quelque sorte, qui les dépasse, dont les effets bénéfiques sur leur pays, leur région, leur famille, leur propre vie, sont cependant, pour eux, inimaginables. Le patriotisme, instinct naturel de l’homme sain qui devrait galvaniser tous les jeunes garçons de souche de 10 ans chez nous et qui a été rendu carrément hors la loi par la judéo-maçonnerie, constitue d’abord un sentiment de fierté incommensurable, une joie permanente pour ce petit homme qui grandit dans une nation historique bâtie sur la gloire et le sacrifice des anciens !  Le petit patriote n’a pas de soucis d’identité, ne peut souffrir de déréliction, il a devant lui un pays, son pays, à faire prospérer et à protéger contre les parasites et les bacilles de l’étranger. Il est tout sauf un nomade sans principes. La Patrie a un paysage dans lequel il est enraciné, il connaît bien ce paysage et un Etranger ne saurait lui mentir en lui proposant d’autres traits, d’autres reliefs, d’autres senteurs, d’autres couleurs en échange des caractères authentiques de son paysage. Bref, c’est bien au nom de l’authenticité de la nation que le patriote refuse l’immigration, non en fonction d’intérêts matériels ou sécuritaires tout personnels. Si les Français avaient eu une véritable conscience nationale, ils n’auraient jamais accepté par sentimentalisme la déferlante que nous connaissons aujourd’hui. Ils n’auraient jamais tergiversé en se demandant incessamment s’il est ou non odieux de refuser des petits enfants africains peut-être très gentils et affectueux etc.  Spontanément, sans l’aide de statistiques, sans avoir attendu les conséquences d’une délinquance d’importation meurtrissant leur propre chair, avant de craindre pour leur peau, avant d’être happés par le désespoir, les Français auraient dit non comme un seul homme à l’ouverture des frontières. Par principe.

Sans identité, la tête maintenue sous l’eau par le pouvoir médiatique, les Français restent impuissants et ne font plus peur

Les kapos républicains successifs de notre indigénat font toujours mine de s’inquiéter de la progression du Front national en affirmant à qui veut l’entendre qu’ils prennent au sérieux ce qui représenterait un danger pour le Système. Nous connaissons depuis longtemps leur cinéma. Car, nous nous le demandons, en quoi leurs craintes concernant le développement ou la boursouflure du parti lepéniste peuvent-elles être considérées comme sérieuses alors que, chaque année, des centaines de milliers de xénothèques débarquent sur notre Terre le couteau entre les dents ? Quoi ? Veulent-ils, ces politiciens, provoquer l’élection de la candidate de réserve en bourrant les cités, les quartiers, nos rues, d’allogènes plus ou moins noirs ? La vérité, c’est qu’ils s’en cognent du Front ! Un jouet médiatique, un hochet agité dans tous les sens pendant que le pays suffoque, écrasé qu’il est par toutes les violences d’importation. Le FN peut bien être l’épée de Damoclès attitrée de leur République ; si la lame est en mousse ou en ouate, que cela peut-il bien faire ?

Alors que les étrangers qui se sont déjà installés en France se démultiplient grâce à la fertilité prodigieuse de leurs femmes, les vannes sont de plus en plus largement ouvertes et les conditions d’accueil des primo-arrivants (comme ils disent) et des clandestins se bonifient chaque jour davantage, à notre détriment. Valls, alors simple ministre, en prétextant une simplification de la réglementation en matière de gestion de l’immigration illégale, a en définitive augmenté d’un coup et de 30% les régularisations des infiltrés colorés. L’invasion se poursuivant dans le même temps à un rythme effréné, les cousinades maghrébines croissant d’une manière exponentielle sur notre sol, le regroupement familial exerçant toute sa nuisance sur notre peuple amoindri, et le premier ministre de notre indigénat, marrane aux réminiscences juives, est présenté, reste présenté par le media unique comme un homme à poigne garant de la légalité ! Et le Français de meugler sans relever la tête !

Des charrois d’électeurs  pour un monopoly politique   

S’il est certain que tout est entrepris politiquement pour optimiser l’immigration sur notre sol (l’objectif du pouvoir mondialiste réside principalement dans la volonté de maintenir à tout prix les populations allogènes chez nous dans le but de faire disparaître à terme les Français de toujours, pour en finir avec cette menace antimondialiste par excellence représentée aux yeux de l’engeance apatride par la corrélation entre nationalité, race et histoire qu’elle entend fragmenter, atomiser, concasser par tous les moyens), pour faire couler le bateau France, il est également sûr que cette mission exterminatrice contre l’homme blanc reste non seulement un plaisir mais aussi un outil fort précieux pour la gauche qui entend récupérer de nouveaux électeurs en francisant par magie ou plutôt par une administration scélérate des individus exotiques qui se fichent complètement de notre pays. Les efforts actuels du gouvernement dans l’optique de naturaliser en une fournée 200.000 chibanis (vieux maghrébins de plus de 65 ans) supplémentaires témoigneraient en effet de cette volonté de se trouver quelques milliers d’électeurs nouveaux et souvent illettrés… Mais l’argument électoraliste n’explique pas le même zèle immigrationniste qui caractérise pourtant une très large fraction de la « droite » systémique. Il y a donc bel et bien volonté de dénaturer la nation, de la faire disparaître, politiquement, moralement et ethniquement.

L’antiracisme « préventif »

Dans cette configuration, comment ne pas plaindre les derniers clairvoyants appréciant la réalité telle qu’elle est et non sous le prisme déformant de la propagande ? Subissant la déferlante tout en ayant l’impression d’être gouverné par des sourds fous furieux, le citoyen lucide doit encore supporter l’orchestration d’un antiracisme de papier destiné à mettre sous lithium cognitif les masses qui doivent continûment accepter le rétrécissement de leur espace vital au profit de l’Autre sacralisé. Ceux qui savent que le salut de notre pays ne pourra passer que par une solution politique globale, les hommes lucides, sont rares. Rares sont en effet les Français déterminés, implacables, capables de faire fi des images attendrissantes de gosses allogènes chialant dans un square et d’hommes vigoureusement travailleurs s’occupant d’une smala à la chevelure crépue bien peignée (si c’est possible). Les racailles protéiformes sont le fruit à payer de l’acceptation de cette gentillesse incarnée. On va quand même pas foutre à la porte ces malheureux pour une sombre histoire d’identité… (C’est ce qu’ont pu entendre les participants de la manifestation pour sauver Calais le 7 septembre où Yvan Benedetti, Thomas Joly et le jeune Kevin Rêche ont exigé le renvoi des Clandestins dans leur pays d’origine). Les promoteurs des campagnes antiracistes ont toujours su jouer sur la fibre émotive des ménagères qui entendent bien que les valeurs d’humanisme soient respectées autour d’elles… L’entreprise de sidération se poursuit. Ainsi, Bernadette Hétier, co-présidente du MRAP, Alain Jakubowicz, Président de la Licra, Sacha Reingewirtz, Président de l'UEJF, Dominique Sopo, Président de SOS Racisme, viennent de signer une tribune ridicule balancée dans tous les quotidiens nationaux après avoir été publiée en exclusivité dans le Huffington Post (qui est un partenaire de leur nouvelle propagande). Une nouvelle communication si grotesque, si vulgaire, si lourdingue qu’elle ne peut qu’appuyer nos dires quant à la mièvrerie volontaire du discours antiraciste. « Depuis plusieurs mois, les discours racistes, antisémites, anti-musulmans, homophobes et sexistes se multiplient sur internet et les réseaux sociaux : hashtags racistes, vidéos haineuses, commentaires insultants. Derrière l'anonymat que leur offre internet, certains appellent à la violence contre des groupes de personnes en raison de leur origine, de leur religion, de leur genre, de leur orientation sexuelle. Parce que rien ne justifie que les racistes et les antisémites aient le monopole de la parole sur le web, l'UEJF, SOS Racisme, la Licra et le MRAP lancent la première campagne web de lutte contre les discours de haine : Pousse ton cri ! Cette campagne permet à tous les citoyens de pousser leur cri contre la haine sur internet. » Nous avons été faire un petit tour sur le site de Pousse ton cri, et, nous confirmons, les volontaires, souvent des autochtones atteints de xénophilie aiguë, crient en se filmant comme le feraient des singes excités. Pas un mot, juste un cri suivant un sourire ou une rigolade… Un argument à la hauteur de la doxa antiraciste, un rot. Et pour faire connaître l’éructation antiraciste, cette entreprise de cris, les acteurs de cette absurdité organisent trois Hangouts (chats vidéo) avec le Huffington Post pour parler du racisme sous trois aspects différents : le sport, la musique et, évidemment, Internet. « N'abandonnons pas Internet aux racistes, antisémites et négationnistes, crachouille en effet l’AntiFrance dans sa tribune toute fraîche. Internet peut et doit être un outil citoyen et un formidable levier démocratique et de diffusion de l'information. Il est temps qu'internet soit enfin pleinement investi par ceux qui portent les logiques de progrès et d'émancipation. » Cette initiative est également présentée par un petit clip vidéo écœurant qui ridiculise l’homme blanc et salit la femme blanche prise, en dessin animé, par un allogène lubrique. Ou l’antiracisme dans toute sa splendeur… (L’antiracisme par le sexe est décidément une obsession pour ces gens, inquiets dorénavant de l’amertume grandissante de nombreux beurs de nos cités face à la concurrence des Africains noirs qui attirent à eux les Rachida et les Aïcha qui s’en amourachent.  Mais il n’est pas question pour le syndicat antiraciste de stigmatiser la communauté maghrébine qui ne saurait être à la fois victime attendrissante et vicelarde luxurieuse aux relents aigus de jalousie négrophobe. Fermons la parenthèse). Car il va de soi que le racisme est une tare de l’homme blanc qui doit être constamment réprimé dans ses élans de haine (l’incroyable glorification du rappeur Médine lors de la dernière Fête de l’Huma témoigne encore une fois de ce phénomène puissamment anti-blanc. Malgré la teneur des textes de ce « chanteur » qui évoque « les porcs de blancs », la presse dans son ensemble le défend en réinterprétant ses paroles à la sauce antiraciste. Un comble). Le racisme, c’est uniquement la rage de l’homme blanc toujours habité par un vieil atavisme qui peut le faire déraper à n’importe quel moment. A l’instar de Brigitte Barèges, maire de Montauban, qui dérape tout le temps si l’on en croit la journaillerie ; hier contre les invertis, aujourd’hui contre les immigrés. Enfin si l’on peut appeler cela un dérapage tant les propos de l’édile montalbanaise devraient passés pour antiracistes dans une société normale. Une élue qui s’inquiétait simplement de l’absence de mixité dans les classes d’école primaire de sa ville.

Des babtous fragiles…

Une élue, encore, qui pense qu’un, deux ou trois Blancs dans une classe de 25 allogènes est un fait qui ne constitue pas une chance pour les petits autochtones ultra-minoritaires obligés de se débattre comme des moucherons dans une toile d’araignée, quotidiennement, dans un univers parfois très hostile. Mais ces petits Blancs peuvent bien pousser autant de cris qu’ils veulent, ils seront toujours considérés par nos maîtres comme d’éternels bourreaux, même rackettés, même battus, même violés, même tués ! Il existe à ce propos, aujourd’hui, au sein de l’univers collégien une explosion d’une mode juvénile d’une horreur absolue qui renvoie à la pire des barbaries, souvent malgré eux, de nombreux gosses de souche confrontés à la métamorphose de leur environnement racial. Un phénomène qui découle directement, nous en sommes convaincus, de la débilité antiraciste propagée depuis 40 ans par toutes les officines mondialistes, libérales et gauchistes. Une monstruosité sociologique correspondant à la brutalité croissante d’une jeunesse xénothèque arrogante combinée à l’accentuation de la soumission d’une nouvelle génération blanche pathologiquement lymphatique. Le dilemme actuel du collégien déboussolé : se comporter comme la racaille d’importation au rythme des crachats, des coups, des insultes journalières, des actes de malveillance se multipliant, bref devenir Autre pour complaire aux barbares exotiques. Ou maintenir le cap, rester droit, préserver l’esprit des ancêtres face à la meute, devant les déracinés furieux ne souffrant l’idéal européen et français. La seconde conduite est de plus en plus coûteuse psychologiquement, nerveusement, physiquement pour les adolescents français qui ne seront jamais soutenus moralement, ni jamais protégés sérieusement par les autorités. Les partisans de la seconde conduite sont immédiatement  pris pour cibles dans les établissements colonisés et traités de babtous fragiles !  Ils sont les nouvelles têtes à claque des bahuts lugubres de leur république de mort. Le Blanc qui refuse la dégénérescence, la liquidation des mœurs, la suppression du respect envers le sexe faible, le Blanc qui reste poli envers son professeur de mathématique, qui ne devient pas violent pour deux regards croisés, ce Blanc-là est dorénavant considéré comme un babtou fragile non seulement  par les zoulous ricaneurs mais aussi par ses frères de sang qui ont opté pour le confort ethnomasochiste, petites gourgandines en herbe aux sourcils blonds y compris.

Article publié dans l'hebdomadaire Rivarol du 25/09/14

Voir les commentaires

Et pendant ce temps, le budget de l’AME ne cesse d’augmenter… (par Thibaut Ronet)

3 Octobre 2014, 09:09am

Publié par Thomas Joly

Je sais que le gène de la révolution est intrinsèquement présent dans chaque Français. C’est même pour cette raison qu’on a choisi le coq comme emblème, car on adore chanter les pieds dans la merde. Pourtant, combien de temps pourrons-nous encore supporter ce que l’on appelle pudiquement le « matraquage fiscal » ?

Alors que François Hollande jurait que les impôts, c’était fini, on n’a eu de cesse de se rendre compte que, comme pour le reste, il mentait comme un arracheur de dents. Retraites bloquées et augmentation de la CSG, réduction des allocations familiales malgré le déni d’un Stéphane Le Foll qui doit habiter une grotte en Afghanistan, augmentation de la redevance télé, taxe écologique sur le diesel ou encore augmentation historique du prix du timbre, rien ne nous sera épargné. Qu’on se le dise : les classes moyennes boiront le calice jusqu’à la lie et plus encore.

Pourtant, il y a un poste de dépenses qui ne connaît pas la crise. Il s’agit de la tristement célèbre aide médicale d’État (AME). Les crédits alloués seront augmentés de 73 millions d’euros en 2015 pour faire approcher ce budget du milliard d’euros. Oui, nous déboursons exactement 744 millions d’euros chaque année pour soigner gratuitement tous les clandestins qui en font la demande. Et les mots ont un sens : je parle bien de clandestins, pas d’immigrés. Pour être plus précis : des personnes étant dans l’illégalité se voient aidées avec une prise en charge de 100 % des parcours de soins sans avancer un rond pendant que Monsieur Tout-le-Monde continue à reporter ses rendez-vous les moins importants.

Le concept même de sans-papiers est déjà inouï en soi. Dans n’importe quel pays du monde, un clandestin est reconduit immédiatement à la frontière. Pas en France. En France, ils manifestent devant les caméras pour exiger un logement et se font soigner à l’œil. Et le simple fait de le relever vaut déjà condamnation en racisme par les veilleurs de la bien-pensance. Même si nous ne pouvons reprocher à des êtres humains de rechercher des cieux plus cléments, cette situation est insupportable. Dans un monde parfait et en pleine croissance, le peuple pourrait fermer les yeux [...], mais dans ce climat de décadence, de fuite des valeurs et de grave crise sociale, c’est un luxe que nous ne pouvons pas nous permettre.

On nous bassine avec le fait que cette AME sert à contenir de graves épidémies, mais quelle épidémie peut bien se déclarer si le clandestin n’est pas sur le territoire à la base ? De quelle grave maladie incurable et dangereuse pour les Français souffre celui qui va chez le dentiste aux frais de la princesse ? Et le fait que son budget augmente prouve bien que c’est un autre appel d’air pour l’immigration, comme si nous en avions besoin alors que nous sommes déjà l’un des pays les plus attractifs du monde. Combien de temps le « bon peuple de France » pourra-t-il supporter encore cette injustice parmi d’autres ? [...]

Source

Voir les commentaires

Le Rassemblement Bleu Marine en pleine dhimmitude

3 Octobre 2014, 08:56am

Publié par Thomas Joly

« Avec Marine Le Pen, le Rassemblement Bleu Marine condamne tous ceux qui veulent confondre l’islam, qui est une religion, avec l’islamisme, qui est un totalitarisme. » Bertrand Dutheil de La Rochère, conseiller République et laïcité (sic) de Marine Le Pen

On ne saurait que conseiller à ce transfuge chevénementiste franc-maçon de prendre connaissance des quelques versets du Coran que le Parti de la France a pris soin de sélectionner pour en faire un tract :

Voir les commentaires

Hausse des timbres : fin de la Poste et du service public ? (par Marie Delarue)

3 Octobre 2014, 08:48am

Publié par Thomas Joly

En juillet 2013, à peine installée dans ce bel asile politique qu’est la France d’aujourd’hui, l’Ukrainienne Inna Shevchenko, kapo-chef des Femen, devenait la Marianne ornant les timbres de notre République. François Hollande, émoustillé sans doute par la plastique mamelue de cette fille de l’Est, dévoilait aux Français ébahis ce parti pris audacieux. Et la nouvelle Marianne de s’esclaffer aussitôt sur Twitter : « Désormais, tous les homophobes, extrémistes et fascistes devront lécher mon cul pour envoyer une lettre ! »

Dieu merci, depuis que les timbres sont encollés, nous ne sommes plus obligés de lui lécher le fondement. Il n’en reste pas moins que si quelqu’un l’a dans le c…, c’est bien nous ! En effet, il nous en coûtera désormais 0,76 € pour tamponner la dame en rouge sur une enveloppe, et 0,68 € pour se l’offrir en vert. Soit, au cours du jour, 4,98 F la lettre « rapide » (voir plus loin) et 4,46 F au régime lent.

C’est, confie Nicolas Routier, directeur général de la branche « services-courrier-colis », à l’AFP, une absolue nécessité destinée à compenser la chute vertigineuse du courrier envoyé par la poste : « Là où nous étions encore à 18 milliards de plis en 2008, nous serons à 13 milliards en 2015, et tout indique que nous atteindrons 9 milliards dans six ans », dit ce monsieur. Et c’est bien sûr, en augmentant le prix du timbre de 7 %, tout va s’arranger : les gens vont se précipiter sur le papier à lettre et remplir les boîtes jaunes de leur courrier du cœur ! Rien que pour aider la poste qui se fout de leur courrier comme de sa première sacoche.

Car il n’hésite pas à le dire, monsieur Routier, sans blaguer : il n’a pas le choix s’il veut maintenir « un service universel » et « un haut niveau de qualité ». Il ose !

Puisqu’il n’a pas l’air d’être au courant, veut-il qu’on lui explique, ce brave homme :

- Les colis qui n’arrivent jamais, à moins qu’on ne les assure contre le vol et l’évaporation, les fiches à remplir comportant même cette rubrique surréaliste : « En cas de perte, voulez-vous que le colis vous soit retourné » (sic). Surcoût en conséquence.
- La météo postale à destination des entreprises, histoire de visualiser quotidiennement, en temps réel, « les perturbations sur les centres de distribution du courrier. » C’est dire si elles sont nombreuses.
- Les facteurs qui ne se donnent même pas la peine de sonner à l’interphone pour vous aviser d’un recommandé.
- Et surtout le courrier qui n’arrive pas !

En 1975, quand tout le courrier était postal, les Parisiens bénéficiaient de 3 distributions (9h, 11h et 16h) et de deux levées dans la journée (12h et 16h). Tout courrier posté était délivré le lendemain. Aujourd’hui, une lettre postée le vendredi, dans Paris intra-muros, est généralement délivrée le mercredi suivant. Voilà pour le haut niveau de qualité.

Monsieur Routier s’abrite derrière l’ARCEP, l’Autorité des télécoms, qui, le 22 juillet dernier, a donné son feu vert pour une hausse des tarifs postiers « de 5,2 % par an en moyenne, en prenant en compte un taux moyen d’inflation de 1,7 % ». Sauf qu’il n’y a pas d’inflation, même plutôt de la déflation. Il faut donc s’attendre à ce que, demain, il nous en coûte 1 euro pour s’offrir la gueule de Shevchenko.

Quand on vous dit qu’on l’a…

Source

Voir les commentaires

Appel à manifester du Parti de la France

2 Octobre 2014, 09:07am

Publié par Thomas Joly

Communiqué du Parti de la France

Le Parti de la France appelle ses militants et sympathisants à participer au défilé de "La Manif pour Tous" du dimanche 5 octobre à Paris.

Opposé à toutes les politiques qui portent atteinte au respect de la vie et au droit naturel tels qu'affirmées par nos valeurs chrétiennes de civilisation, Le Parti de la France milite pour l'abrogation de la Loi Taubira et refuse la marchandisation et la dénaturation de la vie humaine qui sont associées aux projets de gestation pour autrui (GPA) et de procréation médicalement assistée (PMA). Ces questions ne définissent pas qu'un choix de société mais déterminent un véritable choix de civilisation.

Par ailleurs, Carl Lang et Le Parti de la France s'associent à la grande fête champêtre organisée par le Cercle National des Combattants présidé par Roger Holeindre qui se tiendra ce même dimanche 5 octobre à la Chapelle d'Angillon. Plus que jamais, la droite nationale des valeurs, des traditions et de la patrie doit se mobiliser et se faire entendre.

Voir les commentaires

Ébola : un clandestin créé la panique à Grenoble

2 Octobre 2014, 08:57am

Publié par Thomas Joly

Grâce à destruction des frontières, un délinquant clandestin venu de Guinée a pu arriver en France et aller sans problème ni controle jusqu’à Grenoble. Il a été découvert en pleine ville en se présentant lui-même à des policiers municipaux. C’est le délinquant lui-même qui a avoué venir de Guinée – un fait qu’il aurait tout autant pu cacher – et être malade, déclenchant l’alerte dans la ville.

D’importants et coûteux moyens ont été mis en place pour le secourir et l’acheminer vers l’hôpital de Grenoble où il est actuellement alité, totalement isolé. Souffrant de fièvre, il pourrait être porteur du virus Ébola, virus qui a découvert aux États-Unis pour la première fois en début de semaine chez un homme arrivant du Liberia.

Source

Voir les commentaires