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Le blog politique de Thomas JOLY

Pour le président d’honneur de la LDH, « l’extrême-droite » est responsable du massacre de Charlie Hebdo

13 Janvier 2015, 16:13pm

Publié par Thomas Joly

Discours surréaliste tenu ce jour dans le journal communiste L’Humanité par le président d’honneur de la Ligue des Droits de l’Homme, Jean-Pierre Dubois. Interrogé sur les causes des actions terroristes de la semaine dernière, voici ce que l’intéressé répond :

« On a le sentiment d’un climat politique qui se détériore, avec les progrès de l’extrême-droite et la libération du discours raciste. C’est le terreau de ce qui s’est passé mercredi selon vous ? »

Jean-Pierre Dubois : « Oui, sans doute. »

La LDH est à la manoeuvre, au profit du Parti Socialiste Français, pour détourner la mobilisation populaire contre le peuple et ses réflexes de défense. Alors que les auteurs de l’action de mercredi dernier contre Charlie Hebdo ont publiquement affirmé que celle-ci avait été menée pour « venger le prophète », la gauche immigrationniste tente de sauver une nouvelle fois sa clientèle afro-musulmane. Et tente même de capitaliser politiquement en accusant ceux qui, depuis des années, annoncent l’inévitable.

Un tel degré de compromission et d’ignominie ne relève plus de l’idéalisme creux. Il s’agit d’une collaboration active avec l’ennemi sur fond de cynisme politicien. Il faut en tirer toutes les conclusions.

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Directives de Fabius à la presse : « terroristes » plutôt que « islamistes »

13 Janvier 2015, 07:43am

Publié par Thomas Joly

Une fois n’est pas coutume, Fabius passe les consignes à la presse aux ordres. Après « Daech » plutôt que « Etat Islamique » c’est « terroristes » à la place « d’islamistes ». Bêêêêêh répondirent les moutons. Dans ce refus de l’amalgame, Laurent Fabius préconise d’aller plus loin encore, en l’espèce en bannissant le mot « islamiste ». Invité ce dimanche matin du Grand Rendez-vous Europe 1-iTélé-Le Monde, le ministre des Affaires Etrangères précise sa pensée : « Je n’aime pas… Je ne veux pas faire le censeur (sic), mais je pense que l’expression islamiste – et j’en avais aussi fait la remarque dans l’expression Etat islamique – est probablement pas celle qu’il faut utiliser. J’appelle ça des terroristes. Parce dès lors que vous utilisez le mot islam, vous favorisez une espèce de vision de continuité entre le musulman, qui pratique sa religion qui est une religion de paix, et puis quelque chose qui serait une certaine interprétation de la religion musulmane. »

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L’“Éducation nationale”, stade suprême de la bureaucratie

13 Janvier 2015, 07:35am

Publié par Thomas Joly

Cosignée, entre autres apparatchiks, par les étrangères Najat Belkacem et Christiane Taubira, une nouvelle circulaire interministérielle insiste encore davantage sur « l’obligation scolaire ». C’est un peu comme le vote : à dix-huit ans, c’est un de leurs droits, mais dès la première élection, on nous dit que c’est un… « devoir civique » (sic) !

« La prévention de l’absentéisme scolaire constitue une priorité absolue qui doit mobiliser tous les membres de la communauté éducative. Chaque élève, qu’il soit soumis à l’obligation scolaire ou qu’il n’en relève plus, a droit à l’éducation, un droit qui a pour corollaire le respect de l’obligation d’assiduité, condition première de la réussite scolaire. »

Avouons que c’est, au début, assez habilement présenté !

Mais, comme pour tout ce qui relève de l'administration française, ça se gâte très vite et, vu la longueur et la lourdeur de ladite circulaire, mieux vaut ne pas la faire lire aux élèves si on veut vraiment « lutter contre l’absentéisme » :

« Quelles que soient les origines du phénomène, il appartient à l’institution scolaire de mettre en œuvre tous les moyens pédagogiques, éducatifs et de soutien des parents à sa disposition pour favoriser le retour de l’assiduité de l’élève. Le développement du partenariat avec les acteurs du soutien à la parentalité et de l’accompagnement et de l’écoute de jeunes présentant des vulnérabilités constitue un levier essentiel pour prévenir les situations d’absentéisme. Il doit également permettre une meilleure prise en compte du phénomène dans la mise en place de projets adaptés, dans le cadre des dispositifs d’intervention auprès des parents et des jeunes eux-mêmes. »

Ne rions pas, ils font ça avec les taxes prélevées sur tout ce que nous achetons !

Prétendant « piloter efficacement la prévention et le traitement de l’absentéisme », on nous explique tout d’abord comment… le repérer – ça, même les élèves absentéistes auraient su le faire ! Lire la suite

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La liberté de la presse ? Vaste foutaise ! (par Marie delarue)

13 Janvier 2015, 07:26am

Publié par Thomas Joly

La question, déplacée dira-t-on, revenait ce lundi matin sur les radios dans les questions des auditeurs : s’il n’y avait eu « que » des victimes anonymes et non des stars du crayon, Paris aurait-elle été, comme l’a dit François Hollande, « la capitale du monde » ?

Tout le monde, toute la planète s’est rassemblée – faut-il dire identifiée ? – à Charlie. Pas à Mustapha (le correcteur du journal), pas à Ahmed (le policier achevé sur le trottoir) et pas à Clarissa (la policière venue d’outre-mer). Recevant France 2 dans sa chambre d’hôtel, la mère de cette dernière, effondrée, espérait que le président de la République allait la serrer, elle aussi, dans ses bras, comme Patrice Pelloux. Elle sera repartie avant.

On reproche beaucoup de choses aux journalistes français, et force est de dire que la profession n’était guère aimée ces derniers temps. Parce qu’elle est très souvent partiale, partisane, sectaire, orientée, racoleuse ô combien, infiniment moins libre qu’elle ne le prétend ou même ne le croit ; à l’instar de cette meneuse de revue spéciale sur France Info qui n’a cessé, dimanche, de lancer une perche que la plupart de ses interlocuteurs n’ont toutefois pas voulu saisir. Sur l’air de « On n’a jamais vu ça depuis… », sa référence n’était pas les Français descendant dans la rue pour fêter la Libération le 26 août 1944, mais « Mitterrand défilant après l’odieuse profanation de Carpentras » derrière l’effigie d’un Le Pen empalé – ce qu’elle a oublié de dire – et « le 1er mai 2002 » contre le même Le Pen démocratiquement arrivé second aux présidentielles.

La liberté de la presse… Il n’est pas interdit, d’ailleurs, de se poser la question : Charlie Hebdo est-il représentatif de « la presse » ? Autrement dit, les caricaturistes de presse – puisque ce sont essentiellement eux que le monde pleure – sont-ils « la presse » libre et pluraliste censée nous représenter tous, ou ne sont-ils qu’un fantasme brandi le temps d’une grand-messe compassionnelle ? Qu’importe, au fond, puisque le thème était en effet le plus rassembleur et, là-dessus, les communicants de l’Élysée ne se sont pas trompés.

C’est « la liberté de la presse » qui a permis de regrouper autour du président de la France pas moins de 44 chefs d’État et de gouvernement étrangers. Du beau linge mais pas toujours du beau monde, comme le relevait dimanche Reporters sans frontières dans un communiqué : « Une récupération indigne. » En cause, les représentants d’Égypte, Russie, Turquie, Algérie, Émirats arabes unis, notamment. « Il serait intolérable que des représentants d’États étrangers qui réduisent les journalistes au silence dans leurs pays profitent de l’émotion pour tenter d’améliorer leur image internationale. Il est à craindre que, de retour dans leurs pays, ces manifestants officiels continuent leurs politiques répressives. Nous ne devons pas laisser les prédateurs de la liberté de la presse cracher sur les tombes de Charlie Hebdo », écrit RSF.

Mais est-on sûr qu’à l’échelon local et national, la récupération n’ait pas été tout aussi indigne ? Est-on sûr, comme « la presse » le prétend, que les près de 4 millions de Français qui battaient le pavé ce dimanche communiaient tous à la même table ?

La liberté de la presse contre le terrorisme, oui, mais rarement au-delà de ses propres idées. Et Charlie – faut-il dire saint Charlie ? – n’était pas non plus exempt de ces comportements.

Et parce que rien ne change, enchaînant avec le reportage sur la jeune policière tuée à Montrouge, France 2 déclarait deux minutes plus tard, par la bouche d’Élise Lucet : « La semaine (sic) va être marquée par un événement important : la sortie du nouveau numéro de Charlie Hebdo, tiré à 1 million d’exemplaires et traduit en 16 langues. » Et d’appeler les Français, y compris ceux noyés dans le chômage et la misère, à mettre la main à la poche. Parce que, depuis 8 jours, il n’y a plus que cela qui existe : le sort de Charlie !

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Cohen contre Plenel : quand les rats se bouffent entre eux ! (par Nicolas Gauthier)

13 Janvier 2015, 07:18am

Publié par Thomas Joly

Avant même d’avoir vu le jour, la récente unité nationale avortait déjà. Pas seulement parce que le Front national, actuellement deuxième et potentiel premier parti de France en était exclu, mais surtout parce que deux de ses deux grands prêtres s’en disputaient par avance la dépouille, à coups de crucifix et de gousses d’ail.

Ainsi, à notre gauche, Patrick Cohen, tenancier de la matinale de France Inter. Et, toujours à notre gauche, Edwy Plenel, boutiquier de Mediapart ; deux médias citoyens, donc. Et bienvenue sur le ring de « C à vous », sur France 5, ce 6 janvier dernier. Pas tout à fait le combat de titans, mais plutôt celui de deux Playmobil qui se disputeraient leurs pelles dans un bac à sable (voir la vidéo).

Sujet du « clash », tel que dit aujourd’hui, ou de la « disputation », du temps de saint Thomas d’Aquin ? Soumission, le livre de Michel Houellebecq, dont on ne sait plus très bien s’il est essai ou roman, entre Grand Remplacement et énorme daube. Mais le duel en question, c’était avant le drame qu’on sait, avant que tous les Patrick et les Edwy ne deviennent tous des Charlie.

À notre gauche, donc, Edwy. Qui vient de signer un mince opuscule intitulé Pour les musulmans.

À notre gauche, toujours, Patrick, pour qui tout ce qui campe à droite du centre gauche est condamné à la réduction ad hitlerum.

Et là, ça le « fait grave trop bien », pour reprendre un post « facebookien » posthume d’un des frères Kouachi. Edwy est accusé par Patrick d’islamophilie, tandis que Patrick est « stigmatisé » – Dieu que j’adore ce mot si con, si galvaudé – parce que suspect de faire grimper le thermomètre de l’islamophobie dans le rouge.

Naguère, parler de Le Pen rendait fou. En faire autant de l’islam devrait être remboursé par la Sécurité sociale. Et, du coup, vu que les émissions du service public tendent de plus en plus souvent à ressembler à des matchs de catch, Patrick s’est levé de son strapontin pour s’en aller fixer Edwy droit dans les yeux, au simple motif que le premier ne fixait pas assez bien les pupilles du second.

Combat de frime qui rappelle celui de l’entre-deux-tours de l’élection présidentielle de 1988, à l’occasion de laquelle Chirac demanda, droit dans les yeux, à Mitterrand de ne pas mentir ; objurgation à laquelle Tonton se fit un plaisir de ne point céder. À l’époque, ça avait encore de la gueule ; mais, désormais, vaste blague.

Du temps de mes jeunes années, avant que l’ordre néo-clérical ne fixe les règles pénitentiaires des élégances démocratiques, on aurait juste appelé ça un combat de nègres dans un tunnel. Et dernier petit détail pour conclure, une gentille pensée pour le professeur Choron, Cabu et Wolinski, quant au Woodstock humaniste de ce dimanche : si les défunt avaient pu un seul jour imaginer que curés, imams et rabbins allaient défiler pour eux, tandis que flics, CRS et gendarmes auraient été applaudis au passage, ils se seraient retournés dans leurs tombes respectives. Au risque de les voir transformées en centrifugeuses.

Je suis Charlie ? Moi non plus.

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Extase républicaine

12 Janvier 2015, 07:49am

Publié par Thomas Joly

« Nous avons tous ressenti un moment inouï, extraordinaire, mais c’est au peuple aujourd’hui de s’exprimer. […] Il faudra aller au-delà des symboles, mais aujourd’hui Paris est la capitale du monde, de la liberté, de la démocratie. Et ce qui est le plus impressionnant, c’est le silence. C’est le silence de tout ce peuple qui est là pour dire que nous sommes tous Charlie, que nous sommes tous des policiers, que nous sommes tous des juifs français, aux chants de la Marseillaise, on agite des drapeaux. Beaucoup de dignité, beaucoup de force. […] C’est un moment très important, c’est un moment historique pour notre pays, c’est pour ça que je veux aller aussi au contact des citoyens » Manuel Valls, ministre failli mais républicain heureux.

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20 morts : « une belle fête » pour le CRIJF

12 Janvier 2015, 07:42am

Publié par Thomas Joly

Sur son compte Facebook, le CRIJF (Conseil représentatif des institutions juives de France) nous a donné l’occasion d’apprendre qu'une marche de deuil après des attaques terroristes qui ont fait 20 morts était une « belle fête »...

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Ils n’ont absolument rien à voir avec l’islam (par Thibaut d'Arcy)

12 Janvier 2015, 07:33am

Publié par Thomas Joly

S’il faut en croire les faiseurs de l’opinion dominante – la seule que nous aurions le droit d’exprimer sans nous exposer à la malédiction sociale –, l’islam se divise en deux camps : le camp des terroristes, des radicaux, des fous furieux, des « énergumènes » qui, cela va de soi, n’ont « absolument rien à voir » avec le vrai islam, et le camp des modérés, des pacifiques, des doux, des démocrates qui ont tout à voir avec l’islam authentique, l’islam compatible avec la modernité.

Ceux qui n’ont rien à voir avec l’islam et tuent des innocents au nom d’Allah se comptent sur les doigts de la main, nous dit-on. Les massacreurs du 7 janvier n’étaient que trois. Peut-être quatre, si l’on compte la compagne de Coulibaly. Et même si l’on ajoute à ce quatuor les quelque cinq mille « candidats » ou participants actifs au djihad, la proportion des « illuminés » parmi la communauté musulmane française reste infime, n’est-ce pas ? Les modérés ne sont-ils pas infiniment majoritaires ?

Assurément, si l’on considère comme modéré le petit Abdel, 14 ans, qui déclare à propos de Charb :

Je n’ai aucune pitié pour lui. Il a zéro respect pour nous, les musulmans. Mais ce n’était pas la peine de tuer douze personnes. Ils auraient pu ne tuer que lui.

Ou la jeune collégienne voilée qui répond à son professeur :

Madame, on ne va pas se laisser insulter par un dessin du prophète, c’est normal qu’on se venge. C’est plus qu’une moquerie, c’est une insulte !

Et tous les adolescents de confession musulmane qui ont rechigné ou, pire encore, ont crié « Allah Akbar » lors de la minute de silence de jeudi.

Si l’on pense que le Bilal qui a écrit sur Twitter « Charlie Hebdo sa vs apprendre a dire que le coran c’est de la merde » ou que le Yacine qui a commis un « Perso m’en fou de Charlie Hebdo bien fait pour eux » sont des jeunes gens modérés, parfaitement en accord avec les valeurs démocratiques de la France, alors il est possible, en effet, que la raison l’emporte encore massivement sur le fanatisme au pays de Montaigne et de Voltaire.

Si les musulmans vivant et travaillant sur le sol français qui, apprenant l’assassinat méthodique de dix-sept innocents, n’ont pour d’autre réaction que « Dommage pour le pauvre Ahmed », « On ne va pas pleurer sur des blasphémateurs » ou « Quatre juifs de moins », si ces hommes et ces femmes qui ne ressentent pas la moindre empathie pour leurs compatriotes, et qui se réjouissent de leurs souffrances ou de leur mort, sont eux aussi des musulmans modérés, alors je veux bien croire qu’ils soient de loin les plus nombreux.

Mais évidemment, de cette « modération »-là, nous ne voulons pas. De cette sagesse armée jusqu’aux dents, nous avons raison de nous méfier et de nous défendre. Qui peut dire, aujourd’hui, combien d’Abdel, de Yacine et de Bilal grandissent dans la haine et le mépris de nos valeurs fondamentales ? Un jour viendra – et il sera trop tard – où toutes nos mains n’auront plus assez de doigts pour les compter.

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Grand’messe laïciste et antiraciste : casting mondial(iste) inédit pour une manifestation politicienne de rue

12 Janvier 2015, 07:25am

Publié par Thomas Joly

Pour sauver son quinquennat à bon compte, François Hollande n’a pas lésiné sur les moyens. Des millions d’euros ont été dépensés pour organiser une manifestation à Paris dimanche, avec notamment le déploiement de moyens de sécurité extraordinaires. Le rendez-vous est donné à 15 heures sur la place de la République, dans le XIe arrondissement de Paris. Le cortège, censé être silencieux, se dirigea ensuite vers la place de la Nation. C’est François Hollande qui a dirigé cette manifestation politique, un fait quasi unique dans l’Histoire de la République. Il n’y avait eu qu’un précédent, lors d’une autre grande opération de manipulation, organisée par François Mitterrand et le lobby juif à Carpentras en 1990.

Le rassemblement sera placé sous le signe de l’ambiguïté, avec des extrémistes qui défileront pour la défense d’Israël, d’autres pour le droit d’insulter et de dénigrer tout ce qui leur plaît tout en censurant et interdisant tout ce qui leur déplaît, à commencer par les valeurs de la Tradition. Ainsi les représentants de pays islamistes défileront aux côtés de communautaristes pédérastes, de marxistes athées et de libéraux vénérant le dieu Argent. C’est tout le projet du Système que de laisser accroire aux peuples du monde – la manifestation aura très large écho international – que le Système rend possible la coexistence d’entités foncièrement nocives et destructrices avec des impérialismes religieux au nom de valeurs inférieures matérialistes. Lire la suite

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« Je te bute à la kalach » (par Javier Portella)

12 Janvier 2015, 07:16am

Publié par Thomas Joly

Avant les « événements terribles de ces jours »… Non, arrêtons la novlangue : avant les premières escarmouches de la guerre qui vient de nous être déclarée – des petits riens, par rapport à ce qui nous attend –, les choses étaient déjà bien claires. La plupart s’entêtaient pourtant à ne pas les voir. Maintenant, tout est devenu limpide, transparent – mais on continuera à fermer les yeux. Une seule différence : le nombre des aveugles va diminuer, et si un sondage était fait en ce moment, ce serait peut-être déjà 30 %, ceux qui penseraient « Keep Calm and Vote Le Pen ».

Après chaque escarmouche, après chaque nouvelle bataille, les aveugles seront certes un peu moins nombreux. Or, ils le seront surtout parmi les braves gens, parmi le peuple, car pour ce qui est de nos prétendues « élites »… Parlons-en, de celles-ci, parlons de ces aveugles « élitaires » au premier rang desquels il faut placer les médias du système. Ce n’est dans aucun d’entre eux que vous apprendrez, par exemple, que les réseaux sociaux se sont enflammés de messages saluant la tuerie de Charlie-Hebdo (« Ces fils de pute ils l’ont bien mérité », « Je suis Muslim et j’aime mon Prophète », etc.). Ce n’est pas non plus dans les médias officiels que vous apprendrez qu’une fois les trois terroristes abattus, les « jeunes des quartiers en difficulté » ont continué à pratiquer « le vivre ensemble » au moyen de messages tels que : « Hommage aux frères qui sont tombés », « Morts en martir »(sic), « Que notre seigneur Allah leur ouvre les portes du Paradis », etc.

Ce n’est ni dans Le Monde, ni dans Libération, ni dans Le Figaro qu’on peut lire de telles choses. On trouve pourtant, dans ce dernier journal, un article sur la façon dont la minute de silence a été suivie dans les établissements scolaires des quartiers « sensibles ». Leur sensibilité était si forte, après la tuerie, que la minute de silence y est souvent devenue… une minute de haine.

« “Je te bute à la kalach”, a lancé, à Lille, un élève de quatrième à son enseignante», peut-on lire dans Le Figaro. Il ajoute : « Dans une école élémentaire de Seine-Saint-Denis, pas moins de 80 % des élèves d’une classe ont refusé cette minute de silence. » Certains se sont mis aussi à raisonner. Par exemple, cet élève de sixième qui a lancé à son prof : « Mais vous ne comprenez pas. Le Prophète, ils n’auraient pas dû le dessiner. Il est au-dessus des hommes ! » Ou cette enseignante qui, sur son compte Facebook, rapporte avoir été accueillie à 8 heures du matin par « Moi j’suis pour ceux qui les ont tués », après quoi elle a demandé à être mutée dans un autre établissement.

Vous retrouverez bien d’autres exemples… à la condition toutefois de ne pas vous attarder sur le titre de l’article : « Charlie Hebdo : ces minutes de silence qui ont dérapé dans les écoles. » Point. Les écoles d’où ? Mais les écoles de l’ensemble de la France, grands dieux ! conclura le lecteur qui, ahuri, ne pourra se remettre du choc qu’en lisant le texte de l’article. « Le dérapage de la minute de silence » (traduction : « Le boycott à la minute de silence ») n’a pas eu lieu, évidemment, dans l’ensemble du pays. Nous n’en sommes pas encore là. Le boycott n’a eu lieu que là où le Grand Remplacement a déjà le plus remplacé.

Le jour où les élèves issus de l’immigration musulmane répondraient avec un respect ému à une telle minute de silence ; le jour où les réseaux sociaux s’enflammeraient avec le mépris profond de cette même immigration pour de tels tueurs ; le jour où des foules de milliers de musulmans descendraient des banlieues pour répudier une horreur d’autant plus grande que les monstres prétendent agir en leur nom : ce n’est que ce jour-là que je pourrais commencer à prendre au sérieux ceux qui prétendent qu’il y a un bon islam profondément opposé au mauvais.

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La police de Manuel Valls arrête des colleurs d'affiches du Parti de la France à Paris

11 Janvier 2015, 12:31pm

Publié par Thomas Joly

La police de Manuel Valls arrête des colleurs d'affiches du Parti de la France à Paris
La police de Manuel Valls arrête des colleurs d'affiches du Parti de la France à Paris La police de Manuel Valls arrête des colleurs d'affiches du Parti de la France à Paris
La police de Manuel Valls arrête des colleurs d'affiches du Parti de la France à Paris

Cette nuit, lors d'un collage d'affiches à Paris sur le parcours de la « marche républicaine » de cet après-midi, nos militants ont été arrêtés Place de la Nation, interrogés au poste pendant 4h et leurs affiches ont été confisquées sur ordre d'un juge. La République française semble avoir ses priorités...

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Pourquoi le Parti de la France ne défilera pas dimanche avec les socialistes et les Imams de l'UOIF

10 Janvier 2015, 17:27pm

Publié par Thomas Joly

Communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France

Le Parti de la France rend hommage et félicite les forces de l’ordre, les unités du GIGN et du RAID qui ont permis une neutralisation rapide des tueurs islamistes.

L’expérience vécue d’une double opération commando doit nous préparer à faire face demain à des actions combinées et multiples sur notre territoire. Dans ce cadre, nous rappelons la nécessité de renforcer considérablement les moyens de nos services de renseignement ainsi que nos forces de police et de gendarmerie afin de relever le défi du terrorisme islamique et des actions révolutionnaires à venir.

Le Parti de la France s’associe et compatit à la douleur de toutes les familles des victimes civiles et policières qui ont été tuées ou blessées durant ces évènements tragiques.

Mais Le Parti de la France refuse de s’associer à la manifestation de récupération politique organisée à l'initiative du parti socialiste qui réunira dimanche en tête de cortège les dirigeants politiques, associatifs et médiatiques qui ont livré notre pays à l’immigration-colonisation et au terrorisme islamiste : Hollande, Valls, Taubira, Harlem Désir, mais aussi Mélenchon, Besancenot ou Juppé, les apparatchiks de la CGT et des associations prétendument « anti-racistes » SOS Racisme, le MRAP, la LICRA ainsi que les imams de l'UOIF...

L'application de leur idéologie fondée sur la destruction de l’identité nationale et des valeurs de notre civilisation chrétienne et européenne ainsi que leur acharnement à imposer au peuple français une politique d’immigration de masse permet aux révolutionnaires islamistes d’agir désormais en France comme des poissons dans l’eau.

Aujourd'hui, répétant comme un mantra « pas d'amalgame », ils refusent de voir la vérité en face et de réaliser que ces islamistes mènent un combat politique et révolutionnaire au nom d’Allah, du Coran et du prophète. En appelant les Français à dénoncer l’islamophobie au lieu de dénoncer l’islamisme révolutionnaire, ces dirigeants politiques servent objectivement les intérêts des ennemis de la France et mettent en danger le peuple français.

Par ailleurs, Le Parti de la France n’oublie pas les persécutions et les assassinats dont sont victimes les Chrétiens d’Orient et ce, dans l’indifférence générale de ceux qui aujourd’hui défilent derrière leur banderole : « Je suis Charlie ».

Les journalistes de Charlie-Hebdo abattus par les tueurs djihadistes sont des victimes de l’islamisme. Cela n’en fait, à nos yeux, ni des héros, ni des saints, ni des modèles. Nous ne sommes pas Charlie, nous sommes Français et nous ferons tout pour le rester malgré les politiques de destruction nationale menées par les partis de la Gauche internationaliste et anti-française.

Contrairement à madame Le Pen qui trépigne d'impatience parce que les socialistes ne lui ont pas envoyé de carton d'invitation, je refuse de défiler derrière ces gens-là et j’appelle tous les patriotes à rejoindre Le Parti de la France.

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Valls, superhéros d’Israël, mais aussi de l’islam

10 Janvier 2015, 10:40am

Publié par Thomas Joly

« Nos compatriotes, il faut dire les choses clairement, nos compatriotes musulmans ont peur aujourd’hui. L’un de mes meilleurs amis me disait qu’il avait honte d’être musulman aujourd’hui. Il ne faut pas qu’il ait honte » a déclaré Manuel Valls hier, visiblement plus choqué par le fait que des étrangers d’une communauté dont sont issus des tueurs soient « honteux » plutôt que préoccupé par les Français confrontés à un terrorisme étranger, contre d’autres étrangers et des ennemis de la France et faisant des morts innocents.

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