Le blog politique de Thomas JOLY
Président du Parti de la France
Loi Macron : esclavage le dimanche et… jours fériés musulmans
Les députés ont voté samedi le texte sur l’extension du travail le dimanche – déjà largement imposés aux salariés depuis des décennies et généralisé plusieurs années : actuellement, déjà près de 30 % des salariés travaillent le dimanche, dont 13 % de façon habituelle. Il s’agit pour le gouvernement non pas d’autoriser le travail le dimanche, ce qui est déjà fait depuis longtemps, mais de le banaliser pour pouvoir bientôt faire du dimanche un jour comme les autres.
Avec ce nouveau texte, les commerces pourront ouvrir 12 dimanches par an dans un premier temps ; après cette première attaque, la libéralisation totale du travail ne devrait pas tarder. Ce sera déjà le cas pour les commerces situés en « zone touristique internationale » comme à Paris, Deauville, Nice et autres territoires occupés où les salariés pourront être amenés à travailler tous les dimanches.
Le reste de la loi Rothschild-Macron sera voté mardi à l’Assemblée. Le texte devra ensuite être adopté par les sénateurs pour l’être définitivement.
Autre signe du libéralisme qui détruit lentement la société française, parmi les amendements adoptés figure la transformation de certains jours fériés en outre-mer par des fêtes musulmanes ou bouddhistes. Il s’agit selon les auteurs de la proposition de « s’adapter » « aux contextes culturels et historiques particuliers en outre-mer ». Comme pour le travail le dimanche, c’est l’argument fallacieux du « tourisme » qui est mis en avant, un tourisme dont certains départements assistés ont fait une monoéconomie mortelle. Remplacer certains jours fériés par d’autres favoriserait « l’intégration culturelle et économique des départements d’outre-mer dans leur zone géographique en renforçant l’attrait touristique », comme le travail du dimanche doit créer des millions d’emplois après les 35 heures et Maastricht… Les députés ont accepté le remplacement des lundi de Pâques et de Pentecôte, de l’Ascension, de l’Assomption et la Toussaint.
En réalité, il ne s’agit pas de tourisme, mais de renier le caractère français de la société. C’est ce qu’a très clairement exposé la députée PS Erika Bareigts, n’hésitant pas à faire du communautarisme un alibi contre la France :
« Nous sommes indiens, chinois, malgaches, malbars, européens, kafs, comoriens… bref, nous sommes créoles » a-t-elle précisé, visant ensuite clairement la religion catholique. Au-delà du symbole, c’est bien entendu l’unité de la France qui est visée. Plus grave encore : la « diversité » ayant été imposée à la métropole, cette première ressemble à un ballon d’essai visant, dans les prochains mois ou les prochaines années, à imposer en France métropolitaine des fêtes juives et musulmanes, au nom des mêmes « principes » : tourisme et diversité.
Cette mesure ne manquera pas de plus de provoquer d’inextricables problèmes : les fêtes musulmanes sont déterminées parfois seulement quelques heures ou quelques jours à l’avance, et sont souvent l’objet de querelles entre « autorités » musulmanes antagonistes. À l’ère de l’individualisme triomphant, la logique aurait voulu que chaque Français décide désormais dans son coin de ses propres jours fériés. Cela permettrait à nombre d’entre nous à n’avoir pas à fêter le massacre des Suisses, les tortures et les décapitations par une foule criminelle tous les 14 juillet.
La nouvelle édition de Réinfo
Sébastien Chenu, islamophile convaincu
Drame du multiculturalisme : trois morts et cinq blessés au Danemark
Un islamiste armé a ouvert le feu samedi après-midi à Copenhague contre le centre culturel de la capitale qui abritait un « débat » sur « l’art, le blasphème et la liberté d’expression », centré sur l’islamisme après les attentats en France en janvier. Un civil a été tué et trois policiers ont été blessés. La victime est le réalisateur multiculturaliste Finn Nørgaard, auteur de plusieurs œuvres promouvant l’invasion de l’Europe (notamment En anden vej: Historien om fire nydanskere og en koncernchef [Un autre chemin. Le voyage de quatre Danois (sic) et d’un PDG]).
Le centre culturel accueillait plusieurs ennemis de l’Europe, notamment la chef du groupe de prostituées internationales Femen Inna Shevchenko, ainsi que l’ambassadeur de France au Danemark François Zimeray. Cet avocat israélite a fait sa carrière grâce à Laurent Fabius, avant d’être nommé en 2008 par Nicolas Sárközy, sur proposition de Bernard Kouchner, « ambassadeur pour les droits de l’homme » « en charge de l’antisémitisme », puis au Danemark. Le dessinateur suédois Lars Vilks, qui a publié plusieurs caricatures de Mahomet était également présent. Il est présumé avoir été la personnalité principalement visée. Un député du Parti du peuple danois, Jette Plesner Dali, était présent, ainsi que Niels Ivar Larsen. Les débats étaient menés par la journaliste Helle Merete Brix.
Alors que dans un premier temps il a été question de deux hommes, la police a annoncé samedi soir qu’il n’y avait qu’un seul tireur. Habillé en noir et parlant danois, il a ouvert le feu à plusieurs dizaines de reprises. Il a pu s’enfuir sans être arrêté.
Une seconde fusillade s’est produite à Copenhague dans la nuit près d’un lieu de culte judaïque, installé au cœur de la capitale danoise. Un individu a ouvert le feu à plusieurs reprises, blessant grièvement un homme à la tête. Deux policiers ont également été blessés. Le tireur est parvenu à s’enfuir. L’individu touché à la tête est mort des suites de ses blessures.
L’auteur présumé des deux attaques à Copenhague a été abattu dimanche matin par la police danoise. Il avait ouvert le feu sur une patrouille qui se trouvait devant un logement surveillé, dans le quartier envahi de Noerrebro.
Plusieurs informations ont été diffusées ces dernières heures concernant le terroriste qui a commis deux attaques à Copenhague samedi. Omar Abdel Hamid El-Hussein, qui avait 22 ans, était un criminel multirécidiviste. Il possède le parcours du parfait intégré : né au Danemark, il possède des papiers danois. Malgré son jeune âge, il avait déjà commis des actes de violences dans le passé et était connu pour port d’arme illégal. Ce criminel étranger a notamment tenté de tuer un homme dans le métro de Copenhague en 2013. La justice danoise ne lui avait infligé que deux ans de prison. À peine un an après, il avait déjà été libéré, libre de commettre les deux attaques de cette fin de semaine.
Omar Abdel Hamid El-Hussein était également connu des services de renseignements comme islamiste dangereux. Il était malgré cela laissé libre d’aller et venir sur le territoire danois, menaçant la vie des Danois et des autres étrangers du pays.
L’enquête s’est poursuivie dimanche après-midi dans la capitale danoise. Dans le quartier occupé où le terroriste a été abattu, plusieurs perquisitions ont été menées, notamment contre un cybercafé. Au moins deux individus ont été arrêtés.
Les vrais islamologues (par Pierre Mylestin)
De nos jours, hormis la couverture indiscrète et détaillée d’échanges de fluides corporels extraconjugaux sur grands et petits écrans, on disserte également beaucoup République. Un peu moins de démocratie, un peu plus de leur progéniture consanguine, ladite République démocratique. Il eût « phallus » pousser le vice, la nuance un peu plus loin, et discutailler également, toujours à grands renforts d’experts, de penseurs, d’élus, voire de philosophes, de cette République plutôt tendance laïque.
Laïque, cette République. Pourtant, dans son for intérieur, le dialogue n’est plus sur le sexe ou celui des anges, la République progressiste ayant finalement décrété qu’ils seraient dorénavant transgenres. De nos jours, de plus en plus sombres et de plus en plus chauds, calfeutrés dans leurs certitudes importées, dans leurs salons feutrés, les pantouflards et babouchards de cette République, heureux républicains et républicaines de tous bords, ergotent surtout mysticisme. La République agnostique s’est muée, wallahi, en République du comble, qui, au fil des massacres et actes isolés, ne kiffe plus que dialogue interreligieux, au sein d’un Hexagone informe où s’amalgament sans amalgame des cultures, des communautés, des religions, où le seul dénominateur et dominateur commun est invariablement, toujours l’islam.
Quotidiennement, à la même cadence qu’un muezzin du haut des minarets de la République, experts, penseurs, élus et philosophes, tous islamologues fraîchement convertis, monologuent sans relâche pour nous baragouiner « islam de France », « islam en France » ou « islam qui fait partie intégrante de l’Histoire de France ». Pourtant, les plus crédibles, les seuls véritables islamologues, experts en matière d’islam, ceux et celles qui ne sont jamais invités sur les plateaux télé, sur les ondes radio, pour émettre un quelconque avis, témoigner, sont, indéniablement, les victimes de l’islam. Pourtant de plus en plus nombreuses, elles ne sont pas si difficiles à trouver, quand elles sont toujours vivantes, en France ou en dehors. Dommage qu’on ne puisse ainsi plus souvent leur accorder la parole, ces conditionnels islamophobes, pour qu’ils témoignent, donnent leur avis éclairé et partagent avec nous leurs expériences enrichissantes du vivre ensemble avec la religion d’amour, de tolérance et de paix.
Ces lapidées, ces amputés, ces persécutés, ces défigurés, ces violées, ces décapités, ces brûlés vifs, ces réduites en esclavage, ces massacrés, ces suppliciés, ces torturés, ces bannis … au nom de l’islam.
Tous véritables experts en islam.
Pierre Deplanque, nouveau Délégué départemental du Parti de la France pour la Charente
Pierre Deplanque, 58 ans, marié (un enfant), retraité de la Police nationale, a été nommé Délégué Départemental du Parti de la France pour la Charente.
Ce conseiller municipal de La Couronne, déçu par le changement d'orientation politique et la calamiteuse gestion humaine du Front mariniste, a décidé de poursuivre son engagement politique auprès des véritables défenseurs de la France française et donc de rejoindre le Parti de la France.
Pierre Deplanque aura en charge de structurer localement notre mouvement et d'y organiser l'animation militante. Il sera d'ailleurs candidat aux prochaines élections départementales.
Pour le contacter : 06.16.88.17.00 ou pierre-deplanque@orange.fr
Angleterre : l’Africain qui a fracassé le crâne d’un Blanc évite la prison
Le jeune anglais Adam Turner avait osé demander au client africain d’un établissement de malbouffe yankee s’il avait du feu pour sa cigarette. En retour, Caine Inyanga, âgé de dix-neuf ans, l’a frappé suffisamment fort pour lui provoquer une fracture du crâne.
Le sursis évitera à l’agresseur allogène d’effectuer le moindre jour de prison, remplacé par quelques heures de travaux d’intérêt général et une indemnité de mille livres sterling – un mois de SMIC – à la victime qui n’avait repris connaissance qu’à l’hôpital. Aucune expulsion hors d’Europe n’a évidemment été prononcée.
Un (nouveau) parti islamiste pour les départementales
Depuis de nombreuses années, des initiatives locales et nationales voient le jour à travers la France occupée pour donner une visibilité spécifique aux islamistes dans les assemblées. Dès 1997, Mohamed Latrèche avait créé le Parti des musulmans de France. Mais toutes les tentatives depuis ont fait long feu et aucune n’a été couronnée de succès. La communautarisation de la République n’est pas encore assez avancée.
Pour les élections de 2015, c’est l’Union des démocrates musulmans de France (UDMF) – qui a obtenu un élu à Bobigny en mars 2014 –, créée en 2012, qui devrait présenter des candidats dans huit cantons (Avion, Bagneux, Bobigny, Lyon, Marseille, Les Mureaux, Nice, Strasbourg). Le projet du parti est simple : l’islamisation de la France avec notamment l’introduction du voile à l’école et la promotion de l'abattage rituel barbare des animaux.
Pour Marion Maréchal-Le Pen, la régularisation du clandestin Tiki est « logique » et « méritée »
Stéphane Tiki est un délinquant, un étranger qui a violé les frontières de la France et se trouve sur le territoire national après en avoir violé les règles, les institutions, le « pacte républicain ». Comme des centaines de milliers de ses congénères, il s’est imposé en France après avoir obtenu un visa pour faire dans notre pays de prétendues « études », et il y est demeuré à l’expiration de la date de validité du document, montrant tout son mépris pour la France et ses lois.
Malgré cela, il avait réussi à rejoindre l’UMP et sa branche « radicale », la Droite forte, qui exigeait jusque-là l’expulsion de tous les clandestins. Plus incroyable, il avait réussi à se faire nommer par Sarkozy chef des « Jeunes pop ».
Il aurait pu également faire carrière comme président du FNJ : Marion Maréchal Le Pen, la branche « radicale » du néo-FN a estimé qu’après avoir menti et violé nos frontières, Stéphane Tiki avait toute sa place en France. Pour la députée FN, il représentait en quelque sorte « l’élite » de l’immigration.
« En tout cas manifestement il fait partie de ces immigrés qui mériteraient la naturalisation enfin voilà ça semble être un militant politique engagé qui aime la France, bien qu’il ait quand même pour l’instant un peu triché avec les institutions et ça il faut quand même le rappeler. C’est un peu gaguesque cette histoire, il y a une forme de duplicité inquiétante de la part de ce jeune homme quoi qu’on en dise. Après je ne vais pas tirer sur l’ambulance ; je pense que l’éviction de ses responsabilités, temporaire semble-t-il, m’apparaissait logique. Parce qu’on ne peut pas [sic : la légaliste Marion Maréchal-Le Pen devrait savoir qu’aucune loi ne l’interdit] être à la tête d’un mouvement jeune d’un parti politique français quand on n’est pas Français. Mais manifestement de toute façon sa situation va s’arranger. […] De toute façon il est en phase manifestement de demande de naturalisation donc c’est une question de temps. Eh bon, je pense qu’il fait partie de ces immigrés qui pour le coup mérite la nationalité française quand tant d’autres ne la méritent pas. Donc je vous dis je n’ai pas envie tirer sur l’ambulance. » a déclaré Marion Maréchal-Le Pen sur Europe 1.
Démontrant une fois encore la duplicité du FN sur le sujet, elle a ensuite précisé qu’il faudrait que Stéphane Tiki, en attendant sa « légitime » naturalisation, rentre au Cameroun, mais que sa naturalisation étant imminente, c’était à peine utile. Ainsi, ce qui importe aux dirigeants du FN, ce n’est ni l’esprit de la loi, ni le bien du peuple français, mais la seule application de la lettre de la loi, les apparences, les faux-semblants. Ce n’est pas la délivrance de la France qui intéresse le FN, ni la véritable lutte contre l’invasion, mais seulement l’apparence de la lutte contre une immigration de masse qu’en réalité le parti d’extrême droite a tout autant intégrée que l’UMP et le Front de gauche.
Le Front national prétend pourtant dans son programme vouloir l’expulsion immédiate des clandestins, qu’ils soient rentrés ou qu’ils se maintiennent illégalement sur le territoire national, c’est-à-dire exactement le cas du délinquant étranger Stéphane Tiki que soutient Marion Maréchal-Le Pen. Pour le FN, il suffit qu’un délinquant clandestin précise avoir fait une demande de régularisation et que l’extrême gauche milite en ce sens pour qu’un individu méprisant nos lois, notre terre et notre peuple, pour qu’il se transforme en parfait « immigré ».
Pour en finir avec l'islamophilie dans la mouvance nationale (par J-Y Dufour)
Les patriotes qui voient l'Islam comme un rempart face au mondialisme et à la décadence occidentale sont des naïfs désespérés ou des collabos conscients.
1/ L'Islam ne connaît pas de nation, simplement l'Oumma, communauté des croyants (sous-entendu dans l'Islam). L'Islam a, dès le départ, une vocation expansionniste, impérialiste et mondialiste, révélée à l'origine à des bandes de pillards nomades.
2/ Regardez autour de vous : sous leurs faux airs de sages ancrés dans la spiritualité et débarrassés des plaisirs matériels et charnels, les musulmans sont les plus accrocs aux gadgets des nouvelles technologies, les plus obsédés par le corps et l'apparence (physique, vestimentaire, sexuelle), les plus susceptibles et donc les moins sûrs d'eux-mêmes et de leur foi.
3/ Leur foi-même les pousse à l'individualisme, à gagner le Ciel non pas en aidant les Autres mais pour eux-mêmes et contre les autres. Ils sont les premiers à épier et à dénoncer leur voisin qui ne pratique pas suffisamment et n'est pas assez pur.
4/ Leur religion cache d'ailleurs avant tout un système politique collectiviste et totalitaire, qui n'a rien à envier au mondialisme anglo-saxon, la violence et la cruauté en plus.
Retrouvez les ouvrages et l'actualité de Jean-Yves Dufour ici : http://www.francevsmondialisme.fr
La « Semaine anticoloniale et antiraciste » fête ses 10 ans
L’édition 2015 de l’événement auquel est associé Saphirnews a été précédée d’un « Colonial Tour », organisé le 4 février conjointement avec le Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN).
Après avoir évoqué l’Histoire coloniale des institutions et de grandes entreprises françaises en 2014, ce sont les lieux emblématiques de prétendus crimes coloniaux perpétrés à Paris depuis 60 ans qui ont été présentés aux journalistes. « L’occasion de poser concrètement la question de l’impunité qui caractérise les assassinats politiques commis en France » fait savoir Sortir du colonialisme.
L’événement précédera trois semaines de manifestations diverses, principalement à Paris et sa région, qui se clôtureront le 2 mars. Une marche sur le thème « Non à la guerre des civilisations, Contre toutes les formes de colonialisme, de racisme, de fascisme » est programmée au départ du quartier parisien colonisé de Barbès le 28 février.
Le corrompu du jour : le député UMP François Grosdidier
Le philo-islamiste sénateur-maire UMP de Woippy François Grosdidier a été (faiblement) condamné à 6.000 euros d’amende, dont 2.000 avec sursis, pour détournement de biens publics. Il a été reconnu coupable d’avoir utilisé la voiture de la mairie pour des voyages à Paris sans lien avec son mandat municipal. Il a également été convaincu de complicité de prises illégales d’intérêts pour des faits commis par d’anciens et actuels élus et employés de la mairie de Woippy.
La justice a néanmoins refusé de le condamner pour l’utilisation abusive de sa franchise postale – l’un des très nombreux scandaleux avantages des parlementaires – comme pour la prise en charge par la commune de divers frais liés à sa permanence parlementaire.
Élimination populaire de criminels afro-américains : moins de 4.000 exécutions en 73 ans aux États-Unis
Le groupe raciste antiblanc Equal Justice [sic] Initiative a affirmé qu’entre 1877 et 1950, les « lynchages » n’avaient concerné que 3.959 criminels afro-américains aux États-Unis. Cela ne représente qu’une exécution par semaine pendant 73 ans, soit 54 par ans. Ce chiffre est à peu près équivalent au nombre d’exécutions légales de criminels au début des années 1960 aux États-Unis
« En Allemagne, ils sont contraints de gérer les conséquences de l’Holocauste. Nous faisons exactement le contraire en Amérique. Nous ne nous sommes pas engagés sur le chemin de la réconciliation et de la vérité, nous n’avons pas réellement tenté de faire face aux conséquences de cet héritage » a prétendu le raciste antiblanc Bryan Stevenson. Aucun des nombreux médias ayant propagé ses mensonges n’ont rappelé que les individus lynchés étaient des criminels qui auraient échappé à la véritable justice sans l’action des jurys populaires, ni que de nombreux criminels blancs ont également été lynchés, démontrant que les accusations de « terrorisme racial » n’étaient qu’une attaque de plus menée contre les Blancs.
Aujourd’hui comme hier, les Noirs sont extrêmement surreprésentés parmi les criminels, d’autant plus qu’après les attaques contre l’Amérique blanche à partir des années 1950, ils ont bénéficié de lois laxistes ayant encouragé les comportements criminels.
Le cas est encore plus violent concernant les crimes racistes : ainsi en 2005, aux ÉUA, 33,6 % des viols commis par des Noirs l’étaient contre des Blanches, contre 0 commis par des Blancs contre des noires. Alors que le pays abritait près de 6 Blancs pour un Noir, un viol sur trois a été commis cette année-là par un Africain (44 % contre des Blanches, 37 % contre des Noires et 19,6 % contre d’autres races) (source gouvernementale américaine : http://www.bjs.gov/content/pub/pdf/cvus0502.pdf, page 30).
Rien ne va plus à l’IUT de Saint-Denis (par Marie Delarue)
C’est une affaire qui rebondit, ce qui vaut toujours mieux que d’exploser… mais au point où l’on en est, tout peut arriver !
Voilà tout juste un an, on apprend que Samuel Mayol, directeur de l’IUT de Saint-Denis (université Paris XIII), fait l’objet de « menaces de mort » répétées, ayant reçu à quinze reprises des lettres « dont certaines écrites en langue arabe ». Des lettres précises et ciblées : « Tu vas mourir, toi et tes enfants. […] J’appelle tous les musulmans à te punir. Tu dois payer. » Puis les mesures d’intimidation se sont concrétisées : pneus crevés, et enfin tabassage en règle alors qu’il rentrait à son domicile parisien le 2 mai dernier.
C’est que Samuel Mayol, ayant mis au jour une magouille d’emplois fictifs, s’était en plus mis à dos une pseudo-association culturelle qui s’est en fait révélée être cultuelle. Ses adhérents refusaient de partager leur espace avec d’autres – et pour cause – puisque le local syndical était en réalité une salle de prière. Au passage, le directeur a vidé le placard aux tapis (de prière) et interdit la vente de sandwichs halal dans le hall de l’établissement.
Suite à ces fâcheux événements, une enquête a été diligentée par l’Inspection générale de l’administration de l’éducation nationale. Résultat : un rapport de 26 pages dont Le Figaro s’est procuré les bonnes feuilles. Pas triste ! Où l’on comprend que les mesurettes des Vallaud-Belkacem et autres Valls annoncées à grand renfort de trompettes ne seront rien d’autre qu’un pipi de chat dans l’océan…
Le meneur – car c’en est un – s’appelle Rachid Zouhhad. Il était directeur du département des « Techniques de commercialisation ». D’où, sans doute, son talent pour les petites et grandes magouilles. Il avait, en effet, transformé son secteur en une officine à sa botte : un « comportement clanique », disent les enquêteurs. Et confessionnel… Ainsi, « un an après la prise de fonction de M. Zouhhad […], plus aucune femme n’exerçait de fonction de directeur des études […] Elles avaient toutes été remplacées par des hommes, appartenant par ailleurs à la même organisation syndicale que M. Zouhhad (Supautonome, NDLR) et dont certains travaillaient déjà avec lui depuis dix ans. » Ajoutons à cela un règlement à sa façon, des pressions sur les collègues et des malversations à proportion : « 23 vacataires, dont certains n’avaient ni les titres, ni les compétences pour assurer des enseignements à ce niveau », des « enseignants permanents en sous-service », des « heures prévues en “trop” » ou encore « non faites et non rattrapées ». Soit, au total, un coût évalué à 196.000 euros, établit le rapport.
On nous parle – enfin ! – depuis un mois de ces établissements scolaires, collèges et lycées où le « vivre ensemble » et les « valeurs de la République » sont bafouées. Ce faisant, on se tait sur l’université. Sauf que le malaise y est parfois pire encore. En 68, les flics n’osaient pas pénétrer sur les campus de Nanterre et de Vincennes. Ils n’osent pas s’y aventurer davantage aujourd’hui, et moins encore à Villetaneuse ou à Saint-Denis. D’aucuns diront que rien n’a changé. C’est faux. Après l’extrême gauchisme des chevelus traînant leur crasse dans les amphis de socio et de psycho, de nouvelles « figures christiques » les ont remplacés : ce sont les enfants de l’immigration issus de la massification scolaire devenus, avec les années, barbus et femmes voilées.
À Saint-Denis, de fait, les lendemains qui déchantent ont eu lieu : la dictature du prolétariat souffrant est bien devenue une réalité. Sauf qu’elle n’est pas tout à fait telle que Cohn-Bendit l’imaginait…