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Le blog politique de Thomas JOLY

Grande réussite de la Marche pour la Vie

26 Janvier 2015, 07:38am

Publié par Thomas Joly

La Marche pour la Vie 2015 a réuni plusieurs dizaines de milliers de personnes (45.000 selon les organisateurs) dimanche 25 janvier dans les rues de Paris. Certains médias haineux ont été jusqu'à parler de « quelques centaines » de participants...

Cette édition 2015 était placée sous le thème de la lutte contre « la légalisation de gestes euthanasiques », alors qu’elle est traditionnellement dévolue à la dénonciation de l’avortement.

Militants et sympathisants du Parti de la France étaient présents en nombre au sein du cortège.

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Le recteur de l'académie de Poitiers découvre le militantisme d'extrême-gauche dans les salles de classe

26 Janvier 2015, 07:32am

Publié par Thomas Joly

A son plus grand étonnement, le recteur de l'Académie de Poitiers, Jacques Moret, vient de découvrir que :

  1. il y avait des professeurs de philo faisant "du militantisme d'extrême gauche"
  2. et que ce genre de professeur pouvait tenir "des propos déplacés" devant les élèves

Dans quel état sera ce recteur quand il s'apercevra que l'idéologie du genre est au programme de l'Education Nationale.

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Les mystères de « Je suis Charlie » (par Nicolas Bonnal)

26 Janvier 2015, 07:24am

Publié par Thomas Joly

On commente toujours mais on n’explique plus : à la remise des Globes d’or, les stars US arboraient toutes ou presque le blason « Je suis Charlie », George Clooney en tête.

Il faut savoir que Clooney n’est pas qu’un clampin sympa et un mauvais acteur de films politiciens. Il est surtout un agent américain qui organise, ici ou là, au Soudan par exemple, des soulèvements, des partitions, un agent qui est là pour sensibiliser la docile opinion publique mondiale et préparer des coups dont les tireurs de ficelles ont le secret. Clooney est un agent du CFR, ce Council of Foreign Relations qui diligente, depuis le président Wilson et le Colonel House, tous les événements de cette mondialisation bénéfique.

Théorie de la conspiration ? Mais vous y croyez bien, vous, à la conspiration russe ou homophobe ou néo-nazie ! Votre système parano en vit même, comme celui d’Orwell, qui fait d’ailleurs sauter des roquettes sur ses cités (1984, ch. XIII).

Comme on accusa l’Afghanistan pour le 11 septembre, on accuse aujourd’hui un petit pays fauché, le dénommé Yémen. Les Yéménites peuvent se préparer à un bel hiver sous un tapis violent de bombes. Je me rappelle un film américain, Les Règles de l’engagement, qui justifiait justement le mitraillage des femmes et des enfants dans ce même Yémen. Ce film sinistre fut réalisé en 2000 par William Friedkin, réalisateur aussi de L’Exorciste qui commençait par l’extraction d’une sculpture démoniaque en Irak. Scénario de William Peter Blatty, « agent de la CIA ».

Mais expliquons ce que veut dire « Je suis Charlie » dans notre novlangue anglaise :

– Charlie, c’est le Việt Cộng, c’est l’ennemi communiste, c’est le diable rouge. « Je » suis donc le communisme ? « Je » suis donc le diable ?

– Charlie, c’est le sein, le nibard. Ah, l’éros… Rappelez-vous les Femen et les Pussy Riot, elles ont pavé la route – par leur rage pornographique et antichrétienne – de 5.000 morts et deux pays en faillite. Elles aussi défendent la liberté d’excrétion. Elles furent épaulées financièrement et médiatiquement par Soros ou Merkel.

– Enfin, Charlien c’est la cocaïne. On fait un dessein ?

Charlie – comme Mai 68 – relevait de la contre-culture US et des officines antigaullistes : voir le bal tragique – et son choc en retour ! Si « Je suis Charlie » veut dire bien des choses, il veut dire aussi des choses qui se contredisent et sèment ce qu’on appelle la dissociation. On est pour l’immigration, on est pour la liberté, mais on adore les wahhabites, mais on adore la violence US, et surtout on déifie le flicage. On est pour sa liberté d’excrétion mais on est prêt à censurer toutes les autres. Ce n’est pas un hasard si le rédacteur de Charlie passa du plan libéral-libertaire à la grosse matrice fasciste et néo-conne – la si bien nommée.

Enfin « Je suis Charlie » veut dire surtout ceci : vous allez continuer à vous faire mitrailler sans comprendre, pour que nous puissions continuer à en bombarder d’autres tout en prêchant notre morale humanitaire.

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Leur charte de la laïcité est une charte pour l’islamisation ! (par Stephan A. Brunel)

26 Janvier 2015, 07:09am

Publié par Thomas Joly

Hollande promet une « Journée de la laïcité » le 9 décembre. La Charte de la laïcité, cette  morale laïque voulue par Peillon, sera signée par les professeurs, les parents et les élèves eux-mêmes. Et les enfants en bas âge aussi ? Belkacem annonce un « livret laïcité », un « parcours éducatif citoyen », des groupes de « réserve citoyenne ».

À quand le salut au drapeau laïque et les chants à la gloire de l’Être suprême de la laïcité pour refonder l’école ? À quand les gardes laïcs, les sections d’assaut et les camps de rééducation pour faire la chasse aux récalcitrants ? 

De Gaulle parlait des esprits brillants avec des têtes de linotte. Les linottes sautent comme des cabris en criant laïcité, laïcité, laïcité ! Ils n’ont que ce mot-là à la bouche. Comme les bobos qui se reconnaissent en Charlie Hebdo. Comme les responsables du culte musulman convertis à la novlangue amphigourique des socialistes qui proclament « la laïcité, principe du vivre ensemble » dans leur « convention citoyenne ».

La laïcité est devenue une arme pour détruire ce qui nous reste de traditions, pour extirper tous les référents religieux passés de notre civilisation. La laïcité s’est muée en une neutralité religieuse qui n’était pas dans la loi de 1905, faite pour limiter le pouvoir des congrégations dans l’enseignement, d’autant qu’elles y avaient très bien réussi. La laïcité a été un avatar de l’idée chrétienne de séparation entre temporel et spirituel, entre espace public et croyance privée, entre ce qui relève de César et ce qui relève de Dieu.

La laïcité-neutralité est la porte d’entrée par laquelle l’islam impose ses valeurs, par la destruction systématique de ce qui reste de notre identité. L’affaire des crèches, après celle du halal ou des lieux de prière, l’a révélé au grand jour. La laïcité est une vache sacrée comme les Français les adorent, une ligne Maginot qui ne protège rien du tout, une défense imaginaire, un point de fixation idéologique.

Dans Soumission, Houellebecq explique comment les professeurs finiront par se soumettre à l’islamisation de l’université, puis à se convertir, par ennui, par lâcheté, par un besoin de transcendance dans un monde désespérément prosaïque et matérialiste. Comme l’intelligentsia allemande s’abandonna aux sirènes du messianisme hitlérien et à la nazification.

La fraternité islamiste est en passe de devenir l’espérance nouvelle de ceux qui ne croient plus à rien, parce qu’on a détruit les 1.500 ans de culture chrétienne qui imprégnait leurs vieilles nations, jusque dans leur Code civil ou leur Code pénal, ou dans les traditions populaires, une tabula rasa que n’aurait pas reniée les fantoches totalitaires.

Notre culture chrétienne (et non « ces idées chrétiennes devenues folles » de Chesterton) est le seul rempart contre l’islamisation. Défendre pied à pied les éléments chrétiens et gréco-latins de notre identité, le fond celte magnifié par Athènes, Rome et Jérusalem, tel doit être le programme.

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Marche pour la Vie de dimanche, modification du lieu de rendez-vous pour le Parti de la France

24 Janvier 2015, 21:49pm

Publié par Thomas Joly

Suite à une modification préfectorale, le défilé débutera place Denfert Rochereau. Le rendez-vous des militants et sympathisants du Parti de la France aura lieu à 13h30 à l'angle du Boulevard Raspail et de l'avenue Edgard Quinet (métro Raspail).

Le premier des droits humains à défendre étant le droit à la Vie, Carl Lang, les élus et les militants du Parti de la France participeront le dimanche 25 janvier à la Onzième Marche pour la Vie.

Face aux tenants de la Culture de mort qui veulent désormais légaliser l'euthanasie, Le Parti de la France et Carl Lang proposent, d'une part, l'inscription dans la Constitution du principe de respect de la Vie depuis sa conception jusqu'à son terme naturel, d'autre part, le remplacement des lois Veil, Roudy et Aubry sur l'avortement par une grande politique familiale favorisant l'accueil de la Vie.

 

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Les écoles transformées en temples laïcistes de la religion républicaine

24 Janvier 2015, 11:39am

Publié par Thomas Joly

Après cinquante ans d’échecs, cinquante ans de fuite en avant, cinquante ans où le marxisme culturel a conduit à une baisse du niveau général, l’Éducation, plus antinationale que jamais, va passer ses prochains mois un nouveau cap vers une véritable dictature laïque et républicaine, ce dont ne se cache pas Najat Belkacem, pendant que Manuel Valls instrumentalise la peur pour empêcher toute réflexion. La transformation des écoles en synagogues républicaines est la victoire posthume de Vincent Peillon, évincé l’année dernière du ministère, mais dont les idées triomphent aujourd’hui.

« Vivre dans le danger »

« Votre génération doit s’habituer à vivre avec ce danger, et pendant un certain nombre d’années. Moi je ne veux rien cacher de cette menace, elle existe et les enseignants doivent le savoir » a déclaré Manuel Valls en visite dans un établissement scolaire hier, oubliant de préciser que la République qu’il défend et qu’il incarne est totalement responsable de la situation.

Il en a profité pour rappeler le glissement de leur dictature soft vers un régime officiellement dictatorial en réaffirmant que toutes les idées contraires à leur République étaient des crimes :

« En France, on peut se moquer de toutes les religions, comme le fait Charlie hebdo. Mais quelqu’un comme Dieudonné ne fait pas de l’humour, il n’exprime pas une opinion. L’antisémitisme, l’apologie du terrorisme, le négationnisme, ce ne sont pas des opinions, ce sont des délits. L’école doit vous apprendre à faire ces différences » a prétendu le chef du gouvernement d’occupation. Comme en Russie stalinienne, certaines opinions sont criminalisées, et les enfants seront programmés dès l’école à détecter les opinions dissidentes.

« Ces circonstances [l’élimination de la rédaction de Charlie hebdo] exceptionnelles appellent des réponses nouvelles [sic]. Il faut qu’il y ait un avant et un après » avait annoncé Najat Belkacem. Cet « après », c’est la tentative de ressusciter les obsessions issues de la Révolution d’une religion maçonnique, laïque et républicaine, aujourd’hui mâtinée d’antiracisme.

Une école pour former des croisés de la laïcité

Profitant de la sidération mentale créée après l’incident de Charlie hebdo, le gouvernement d’occupation a multiplié les annonces ces derniers jours dans tous les domaines : syndicalisme, économie, défense, liberté publique, etc. Rares sont les secteurs qui échappent à la « vallsisation ». Concernant l’éducation, d’innombrables mesures ont été dévoilées par Manuel Valls mais également par la Marocaine Najat Belkacem. Tous deux ont fait comme si la politique d’invasion n’était pas la cause directe et essentielle de la situation et comme si réformer – ou prétendre réformer – l’éducation nationale suffirait à sauver leur République.

Les mesures, dont beaucoup n’auraient pas été reniées en 1793 par les plus excités des adorateurs de l’Être suprême, seront mises en place dès la rentrée 2015, sans la moindre concertation ni avec les syndicats d’enseignants, ni avec les parents d’élèves. Les jeunes Français seront d’abord soumis à 300 heures sur toute leur scolarité d’un enseignement dit « moral et civique », des mots qui ne peuvent qu’effrayer quand le parti dominant en France est dirigé par un corrompu, que des gens comme Serge Bloch, Jérôme Lavrilleux ou Patrick Balkany siègent dans les parlements et qu’au gouvernement ces deux dernières années, au moins cinq concussionnaires ont été démasqués. Concernant la morale, celle d’un président qui trompe sa femme au mépris de la sécurité de la France et en utilisant les moyens de l’État pour commettre l’adultère républicain, qui prétend avoir pour ennemi la finance et ne cesse de ramper devant elle se passe de commentaire. La « grande mobilisation de l’école pour les valeurs de la République » s’annonce mal.

La liberté d’expression sera encore réduite à l’école, et les enseignants se transformeront en kapos des valeurs de leur République. Toute atteinte aux dogmes républicains fera l’objet d’un signalement systématique. Pour s’assurer de la bonne coopération des élèves, ceux-ci seront soumis dès leur inscription dans un établissement aux règles de civilité et de politesse et devront signer un règlement intérieur et une « Charte de la laïcité ».

De nombreuses peines pour les récalcitrants sont déjà prévues. Celles-ci ne concerneront évidemment jamais les Afro-Maghrébins : dans les sanctuaires des zones ethniquement perdues, aucun professeur ni proviseur n’osera jamais dénoncer les apprentis terroristes, comme ils n’osent aujourd’hui pas le faire quand ils remettent en cause l’existence de « l'holocauste ». À l’inverse, tous les jeunes Français qui mettront en cause leur République, ses antivaleurs, ses attaques contre la France, seront poursuivis sans pitié, comme c’est déjà souvent le cas dans des établissements où porter certaines marques de vêtement peut suffire à être exclu.

Désormais tous les futurs professeurs seront questionnés sur leur adhésion pleine et entière aux dogmes républicains. Leur conformité avec les principes maçonniques sera plus importante que leur compétence dans leur matière d’enseignement, et que leur volonté de transmettre le savoir. Pire encore : 1.000 formateurs seront opérationnels dès la rentrée 2015 pour assurer la « formation continue » auprès de tous les enseignants, y compris en exercice pour les « guider » sur la voie de la bonne compréhension de la « laïcité » et de la « morale ».

Il faut être Manuel Valls pour croire qu’une simple manipulation médiatico-politique pourra suffire à modifier la réalité d’établissements scolaires où se vend de la drogue, où d’innombrables agressions sexuelles ont lieu, sans parler de la peur quotidienne de milliers de jeunes Français rackettés, humiliés, agressés par les occupants. La nouvelle « religion laïque » ne s’imposera ni aux racailles façonnées par le rap et la haine des Blancs, ni à celles déjà envoûtées par l’islamisme conquérant. Leurs héros ne seront jamais Robespierre et Danton ; ils resteront Merah et Kouachi. Lire la suite

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La France est le pays le plus envahi d’Europe : plus du quart de la population

24 Janvier 2015, 11:34am

Publié par Thomas Joly

En 2008, plus d’un quart (26,6 %) de la population de France n’était pas française. C’était alors le plus haut taux d’Europe devant la Suède (25,8 %), l’Autriche (25,3 %), le Royaume-Uni (24,4 %), les Pays-Bas (23,5 %) et l’Allemagne (21,9 %).

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Contre le terrorisme, Hollande en appelle… aux multinationales

24 Janvier 2015, 11:30am

Publié par Thomas Joly

François Hollande n’a qu’un ennemi : c’est la finance. C’est pour cela qu’il a passé de longues heures à Davos au milieu des patrons des plus grandes multinationales, des représentants des plus grands établissements bancaires, et des principaux dirigeants mondialistes.

« La réponse doit être globale, internationale, partagée entre les États qui sont en première ligne, les gouvernements, mais aussi les entreprises, notamment les plus grandes, qui ont aussi à intervenir » a déclaré « l’ennemi de la finance » à propos du terrorisme, comme si les groupes qui financent depuis des décennies le terrorisme à travers la planète malgré des millions de morts allaient arrêter de s’enrichir parce que François Hollande le demande.

Outre le terrorisme, dont les dirigeants mondialistes présents, de l’Ouest comme de l’Est et des pays arabes, sont directement responsables, le sommet mondialiste était consacré à l’environnement. Pour ce faire, les immondialistes ont utilisé 1.700 jets privés, polluant plus en une journée qu’un milliard d’habitants dans le monde en un mois.

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« Mur des cons », la justice a tranché : les cons, c’est nous ! (par Marie Delarue)

24 Janvier 2015, 11:23am

Publié par Thomas Joly

C’était en avril 2013. Un journaliste de France 3 – Clément Weill-Raynal – avait tourné en cachette une courte vidéo révélant à la France « le Mur des cons », soit un trombinoscope d’un genre particulier ornant en grand et en couleur le local du Syndicat de la magistrature, dans le XIIIe arrondissement de Paris.

Y figuraient des dizaines de personnalités connues, politiques essentiellement de droite (les figures du FN, bien sûr, mais aussi Nadine Morano, Luc Chatel, Nicolas Sarkozy, Eric Woerth, Michèle Alliot-Marie…), également quelques figures et intellectuels de gauche (Manuel Valls, Jacques Attali, Alain Minc), des journalistes (Robert Ménard, Yves Thréard, David Pujadas…), leur portrait généralement assorti de commentaires d’un goût que les mêmes « syndiqués de la magistrature » ne manquent pas de trouver parfaitement condamnable quand ils ont à en juger. Ainsi Brice Hortefeux, affublé d’un autocollant du FN sur le front et de la mention « l’Homme de Vichy ». Ou encore leur collègue Philippe Courroye désigné, lui, comme « Fossoyeur du 92 ».

L’affaire avait fait grand bruit. Notamment parce que l’auteur des images (refilées à Atlantico), passé en comparution immédiate devant le tribunal de la CGT de France 3, s’était vu condamner comme au bon temps des purges staliniennes : mise à pied de 7 jours avec retenue de salaire. Il a raconté son aventure dans un livre, Le fusillé du mur des cons, qui en dit long sur la neutralité politique de nos grands médias.

De remous en protestations véhémentes, douze plaintes ont été déposées, et le Syndicat de la magistrature, pris en la personne de sa présidente madame Françoise Martres, a fini… au tribunal. Côté accusés.

Et que croyez-vous qu’il arriva ? Vous avez gagné : rien du tout.

Le parquet vient en effet de requérir un non-lieu pour la présidente Françoise Martres. Motif : il y a prescription. Les juges se fondent sur la loi qui régit « la liberté de la presse », laquelle fixe la prescription à trois mois « à compter du jour où les faits ont été commis » et non du jour où ils ont été révélés. Or, madame Martres l’assure, le Mur des cons – assimilé pour l’occasion à une publication syndicale ! – était placardé dans sa petite boutique depuis 2012. On peut donc circuler, il n’y a plus rien à voir…

Certes, madame Martres n’est pas tout à fait à l’abri d’un procès dans la mesure où la juge d’instruction, saisie des douze plaintes pour « injures publiques », peut toujours décider de la renvoyer en correctionnelle. Mais comme me l’avait dit voilà quelques années un inspecteur du Fisc en refusant l’attestation qui aurait permis de faire plonger un notaire véreux : « On ne se dénonce pas entre officiers ministériels. » Il faut croire qu’on ne se condamne pas non plus entre magistrats…

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Militaires français partis pour le djihad… « 12 balles dans la peau » ? (par Maxime de La Devèze)

24 Janvier 2015, 11:13am

Publié par Thomas Joly

Depuis la guerre de Cent Ans, la France a connu son lot de traîtres, d’âmes damnées, de zones libres et de zones occupées. Une dizaine d’anciens soldats ont rejoint les rangs du djihad globalisé et retourné leur fusil contre leurs camarades, leurs frères d’armes.

Le premier commandement de la guerre est « Connais ton ennemi ». Il y a 40 ans, on trouvait sur les marchés du Pakistan des « photos » de Mahomet. Un islam global tente de s’imposer au monde par quelques riches monarchies du Golfe, qui voilent leurs femmes, interdisent toute image de Mahomet et fouettent les pécheurs, quand ils ne les amputent pas d’une main ou d’une tête. Leur but inavoué est de prendre de la puissance politique. Car leur puissance financière est à durée limitée. C’est un peu comme si le Liechtenstein, l’Andorre, le Luxembourg et Monaco devenaient des théocraties. Et imposaient peu à peu au monde occidental des châtiments corporels pour les péchés capitaux, le respect des jeûnes du carême, le port de la toge et des sandales comme à l’époque biblique.

Le second est « Qu’avons-nous à défendre ? » La ligne de front est-elle sur « les valeurs républicaines », la « laïcité », le « vivre ensemble » ? La police, l’éducation vont être dotées d’encore plus de moyens, alors que leur échec sera bientôt centenaire. La police ne va plus dans les quartiers, et l’éducation enseigne la théorie du genre… Des déserteurs rejoignent le camp d’en face ? Ce n’est pas une surprise, il monte en puissance, et les forces morales de notre propre camp sont si faibles. Nous commençons tout juste à payer 50 ans d’ostracisme constant à l’égard de l’armée, pourtant le corps constitué dans lequel les Français ont le plus confiance. « Interdit aux chiens et aux militaires », disaient les pancartes des squares parisiens en 1900. Les courageux dirigeants politiques qui ont aboli le service militaire craignaient de voir l’armée former des bataillons de banlieusards islamisés ou, pire, d’électeurs du FN, tandis que les minets se faisaient pistonner pour aller en coopération…

Ce n’est pas un choix institutionnel ou la ligne politique du moment qu’il faut défendre, mais la France, un être vivant. La ligne de front est sur la France des temps immémoriaux, des berceaux et des cimetières, des clochers et des mairies, des Gaulois et des Romains. L’Union sacrée de 1914  ne s’est pas faite autour de la IIIe République mais autour de la France. C’est ainsi que les plus antirépublicains ont embrassé les trois couleurs sans ciller, en 1870, en 1914, moins de 10 ans après la honteuse spoliation des catholiques de 1905. En 1940 entraient les premiers en résistance, alors qu’un curieux aréopage de militants des ligues dissoutes et de trotskistes se retrouvaient à Londres. Tandis que la même Assemblée nationale qui les réprimait 5 ans auparavant abandonnait tous ses pouvoirs au maréchal Pétain, se lavant les mains du sort de la France.

L’unité nationale du 11 janvier 2015 est un soufflé, retombé en quelques heures.

Comment le premier pays touristique au monde est-il aussi le premier consommateur d’antidépresseurs ? N’y a-t-il pas en France assez d’amoureux pour la défendre ? 1 % des musulmans sont radicaux, nous dit-on. Alors que devons-nous faire, par principe de précaution ? L’arrêt de tous les chantiers de construction de mosquées, et de toute immigration en provenance de pays où l’islam est dans la Constitution. Qui en aura le courage ? [...]

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Liberté d’expression : un rédacteur en chef de France 3 limogé pour ne pas avoir assez parlé de la tuerie islamiste à Charlie-hebdo

23 Janvier 2015, 11:12am

Publié par Thomas Joly

Régis Poullain, jusqu’ici rédacteur en chef de l’édition nationale du 12/13 de France 3 a été débarqué par la chaîne gouvernementale et remplacé par un certain Philippe Paester. Ce sont les syndicats d’extrême gauche (CGT, SUD, etc.) qui ont eu sa tête, grâce à la complicité de la direction.

Le 7 janvier, Régis Poullain n’avait pas décidé de consacrer la totalité du journal à l’attaque contre Charlie hebdo, alors même qu’il disposait de peu d’informations à ce moment-là. Il avait osé parler d’autre chose et donner d’autres informations aux Français que ceux concernant les malheurs d’un groupe d’extrémistes provocateurs payant finalement le prix de leurs attaques contre les religions.

« Il y a eu une erreur d’évaluation de la part du rédacteur en chef Régis Poullain » a osé déclarer Pascal Golomer, directeur délégué à l’information en charge des rédactions de France 2 et France 3. C’est ce même commissaire politique qui avait lancé une procédure disciplinaire contre le journaliste de France Télévisions qui avait osé révéler au public l’existence du mur des cons réalisé par le Syndicat de la magistrature (SM). Plusieurs syndicats (tout autant d’extrême gauche et antifrançais que celui de la magistrature) de France Télévisions organisent une grève lundi pour obtenir les résultats d’une enquête sur le traitement insuffisamment apologétique du torchon antifrançais selon eux dans les différents journaux.

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Délire féministe et ethnomasochiste : les Blancs et les hommes doivent parler les derniers !

23 Janvier 2015, 08:02am

Publié par Thomas Joly

C’est la dernière trouvaille d’une équipe d’activistes féministes de l’université Dalhousie de Halifax au Canada : pour en finir avec le racisme et la misogynie, il faut imposer de nouveaux rites dans l’enseignement. Les Blancs et les hommes doivent s’exprimer les derniers ! Dans les discussions en classe, en d’autres termes, les femmes et les Noirs doivent avoir la parole en premier.

Une « règle consciente » pour contraindre les hommes à parler les derniers !

Sans surprise, ce nouvel avatar du politiquement correct nous vient d’un programme d’études de genre. Il paraîtrait que les femmes et les filles sont éduquées – « socialisées » – dans notre monde pour ne pas parler les premières. « Fabriquer une règle consciente, délibérée, qui soit explicite, selon laquelle “non, les hommes n’ont pas le droit de s’exprimer les premiers”, est certainement une manière forte d’agir sur ce problème », assure Jacqueline Warwick, professeur de musicologie et ancienne coordinatrice du programme d’études de genre de Dalhousie.

Les hommes, grands perdants du genre

Et tant pis pour les réalités. Les hommes parlent certes moins au cours de la journée, mais se lancent plus facilement que les femmes, ils ont moins peur de se tromper. Dans le même temps on leur reproche de ne pas assez communiquer. Les femmes parlent davantage, nous disent encore les sociologues.

Vrai ou pas, ce qui se joue dans le cadre des études de genre est bien de l’ingénierie sociale : modifier ce qui existe pour obtenir un résultat différent, quitte à perdre l’identité (et même pour perdre l’identité). Les femmes n’ont-elles aucune envie de répondre les premières, préférant prendre la mesure de ce qui se dit ? Elles n’en auraient plus le droit.

Les hommes et les Blancs seraient-ils supérieurs ?

Le plus drôle, c’est que de tout temps, dans les assemblées de réflexion civilisées, c’est au plus jeunes, aux moins instruits, aux petits nouveaux qu’on donne la parole en premier, afin qu’ils ne soient pas intimidés ou influencés par les prises de positions de ceux qui ont plus de sagesse et d’expérience : question de sincérité et de réel intérêt pour ce que les plus inexpérimentés diront. En réclamant que les hommes parlent après les femmes, ces féministes canadiennes à la petite semaine affirment tacitement une préséance des hommes sur les femmes, des Blancs sur les Noirs.

Pour ce qui est de parler le premier ou le dernier, tous les couples savent l’avantage de celui – ou celle ! – qui a le dernier mot. On pourrait peut-être faire une loi ?

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73 islamistes à papiers français éliminés en Syrie et en Irak… et un ramené en France

23 Janvier 2015, 07:49am

Publié par Thomas Joly

Selon les chiffres – dont les derniers événements ont montré qu’ils n’étaient que relativement fiables – du gouvernement, 73 islamistes à papiers français ont été éliminés en Syrie et en Irak depuis 2011. La France est le pays européen qui a fourni le plus grand nombre de terroristes, assez logiquement considérant sa position de pays particulièrement envahi. Malgré la dangerosité de ces tueurs, Bernard Cazeneuve a prétendu que les empêcher de partir était « efficace » et pourrait « éviter bien des risques [sic] », alors même que l’exemple des frères Kouachi et d’Amerdy Coulibaly montre le contraire.

L’Africain à papiers français Cheikhou Diakhaby, un proche de Chérif Kouachi qui avait été interpellé en Turquie a d’ailleurs été expulsé vers la France hier. Alors que son compagnon de voyage Fritz-Joly Joachin avait été arrêté en Turquie car visé par un mandat d’arrêt européen pour enlèvement d’enfant, il avait réussi à passer en Turquie, mais n’a pu rejoindre la Syrie, contrairement à la compagne d’Amedy Coulibaly qui s’y trouverait.

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Otages ? Pourquoi négocier avec les terroristes ? (par Nicolas Gauthier)

23 Janvier 2015, 07:43am

Publié par Thomas Joly

Décidément, il ne manquait plus que ça : voilà que le Japon déplore le rapt de deux de ses ressortissants, désormais otages de l’État islamique ou d’une autre officine crapulo-religieuse du genre et de la région. Autrefois, les Nippons étaient moins regardants, ayant perpétré les atrocités de masse qu’on sait, en Chine et en Corée. Passons.

Là, ce sont eux qui sont dans la nasse. Et qui, ficelés depuis 1945 par leur alliance forcée avec les USA, sont tenus de financer « la lutte contre le terrorisme » menée par leur puissant sponsor. La rançon qui leur est demandée est à la hauteur de leur cotisation annuelle à « l’Axe du Bien » ; on parle de plusieurs dizaines de millions de dollars…

Paieront-ils ou ne paieront-ils pas ? L’avenir le dira. En attendant, ils pourraient aussi s’inspirer de l’exemple anglais ou russe. Car eux ont, de tout temps, refusé de passer à la caisse. Les premiers otages anglais ont été exécutés par leurs ravisseurs islamistes sans que Sa Très Gracieuse Majesté ne leur fasse l’obole d’une simple livre. Résultat ? Plus le moindre Anglais pris en otage. C’est radical et un peu brutal ; bref, c’est anglais.

La méthode russe était tout aussi efficace et encore plus économique. Dans les années 80, certaines factions libanaises s’étaient risquées à enlever des citoyens russes à Beyrouth. Le Kremlin n’avait alors pas fait dans le détail. Deux jours après, chaque mouvement du cru (sunnite, chiite, druze ou chrétien) perdait l’un de ses dirigeants de premier plan, retrouvés devant leurs états-majors respectifs, mais avec dépouilles réparties en plusieurs valises. Plus personne n’osa ensuite s’en prendre aux intérêts russes.

La riposte était certes un brin sauvage, mais bigrement efficace. Quoi qu’on puisse en penser, la guerre en dentelles n’est que vue de l’esprit. Les Japonais ne l’ignoraient pas. Ils seraient bien avisés de se le rappeler. Quant à nous ? Un capitaine de pédalo à la tête d’une invincible armada… Nous voilà bien barrés.

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Dictature socialiste : Le préfet interdit la manifestation de Sauvons Calais prévue ce dimanche

23 Janvier 2015, 07:36am

Publié par Thomas Joly

L’arrêté interdit toute manifestation ou rassemblement ayant trait à la situation migratoire à Calais ce dimanche. Le préfet invoque six motifs pour justifier sa décision : le contexte particulier à Calais, avec ses 2.000 migrants ; la présence de militants extrémistes connus pour leur violence ; le risque de heurts violents entre manifestants ; le risque d’atteinte aux biens en centre-ville ; la constatation d’altercations ou de dégradations de véhicules lors des précédents rassemblements ; et enfin le fait qu’en raison des attentats de Charlie Hebdo, les forces de l’ordre sont mobilisées en priorité sur le plan Vigipirate « et ne pourront contenir les différents troubles à l’ordre public potentiel ».

« Pour moi, c’est une décision politique »

Kevin Reche, leader du collectif Sauvons Calais, voulait organiser ce rassemblement dimanche pour « protester contre l’immigration, contre le camp Jules-Ferry et pour l’expulsion des migrants de Calais ». Reçu ce jeudi matin par le sous-préfet de Calais, il a appris quelques heures plus tard la décision du préfet. « Pour moi c’est plus une décision politique, réagit-il. Ils m’ont dit que ce qui les gênait, c’est qu’on soit d’extrême droite et que des Belges se joignent à nous pour la manifestation. Les antifas n’allaient être qu’une soixantaine face à nous : les forces de l’ordre auraient été tout à fait capables de les repousser. D’autant que j’avais prévu moi-même un gros service d’ordre privé. » Le jeune Calaisien estime que cette interdiction est purement « de la censure » et prévient qu’il ne demandera pas à ses camarades de ne pas manifester.

Le préfet avait déjà interdit une manifestation de Sauvons Calais en avril 2014, en raison là aussi des risques graves de troubles à l’ordre public. Il avait en revanche autorisé un rassemblement devant l’hôtel de ville en septembre 2014. Plusieurs associations avaient, à la suite de ce rassemblement, déposé une plainte contre le collectif et son leader pour incitation à la haine raciale. L’enquête, ouverte par le parquet de Boulogne-sur-Mer, est toujours en cours.

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