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Le blog politique de Thomas JOLY

La France sans Histoire ne sera pas une France sans histoires (par Jean-Charles Mignard)

11 Mai 2015, 06:01am

Publié par Thomas Joly

Nous avons tous nos connaissances et nos opinions. Et c’est bien. Mais je ne saurais dire le droit comme un magistrat ou apprendre à un maçon comment monter un mur. Je n’aurais jamais la prétention d’apprendre à un boulanger comment pétrir sa pâte ou à un médecin comment mener son diagnostic.

J’ai consacré cinq années de ma vie à temps plein à l’histoire, à la géographie et à l’économie de la France, de l’Europe et du monde. Et j’ai bien des lacunes !

Mais nos commentateurs-maîtres à penser en vogue, tout comme nos vertueux politiques, ne cessent de « dire » l’Histoire sans la moindre formation pour la plupart. Ils ont l’Histoire infuse, comme toutes les autres sciences d’ailleurs. Alors, chère vieille discipline, que de sottises j’entends proférées en ton nom.

Il faut dire que « l’américanolâtrie » ambiante dans l’Union européenne favorise bien les choses. Les Américains ne comprennent guère l’Histoire. Ils en ont si peu – quatre siècles au plus.
De même, l’Europe « unie », dont le drapeau si laid et si banal défigure les frontons de nos mairies, ne semble guère s’embarrasser des histoires nationales. Foin de toutes ces vieilleries, trop souvent sanglantes, je le concède !

Mais, ne leur en déplaise, de Bernard Palissy à Pasteur, de Pascal à Hugo, de Denis Papin à Marie Curie, l’Histoire de France, ce n’est pas que du sang, de la graine de repentance et du colonialisme. M. Hollande, toujours si sûr de lui qu’il en est pathologiquement ridicule, nous assène que la France est un vieux pays d’immigration (allusion à son patronyme ?). Certains de ses partisans soutiennent même que nous sommes tous des descendants d’immigrés. Formidable révisionnisme doublé d’une grosse ficelle politique !

Oui, c’est vrai, même moi, je descends d’immigrés, mais précisons que cela remonte à quelques millénaires. Ces ignorants ont-ils réalisé que nous descendions aussi tous d’anthropophages ? Je songe sérieusement à une expiation publique retentissante ! Alors, comme il y avait en URSS la biologie de Lyssenko, il y a, dans la France de Hollande, l’Histoire revisitée par la Grande Repentance, la Haine de soi officielle, avec imprimatur de la sainte Église antiraciste.

Mais, voyez-vous, mes maîtres, l’Histoire enseigne aussi que les faits sont têtus, que la vérité ressort toujours du puits où on l’a jetée.

Notre Histoire gêne ceux qui ne la partagent pas. Elle est un socle commun auquel on doit adhérer pour se sentir français. Elle n’est pas partagée par ceux qui ne veulent pas s’assimiler.

La France ne se résume pas dans la République, l’Histoire ne se réduit sûrement pas au « vivrensemble ».

Sans la lumière de l’Histoire, une nation chemine à l’aveugle. Alors, malheureusement, la France sans Histoire ne sera pas une France sans histoires.

Source : www.bvoltaire.fr

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Pierrefitte (93) : le maire socialiste dénonce un site « raciste » qui évoque la colonisation de sa ville

9 Mai 2015, 18:28pm

Publié par Thomas Joly

Mercredi, Michel Fourcade, maire PS de Pierrefitte, a fait des bonds dans son fauteuil en découvrant sur le moteur de recherche Google que le nom de sa ville était associé à un site Internet au contenu qu'il estime « raciste ».

Il vient de déposer plainte pour « provocation à la discrimination et à la haine à l’égard d’un territoire et de ses habitants ».

Il suffit de taper « Pierrefitte-sur-Seine » dans le moteur de recherche, et une photo apparaît. Si l’on clique dessus, elle se surimpose alors à la page d’accueil d’un blog baptisé Euro-Jihad. L’image montre des jeunes encapuchonnés au pied d’une barre d’immeuble. En arrière-plan le dessin d’un casque médiéval. La présentation est sans équivoque. Le site parle d’une « islamisation de l’Europe en direct ». On y trouve aussi des onglets aux intitulés sulfureux : « Le coin des collabos », « La liste (provisoire) des élus PS traînés en justice »

Il y a enfin ce texte au titre tout aussi provocateur : « Pierrefitte : Ici les enfants sont à 95 % d’origine africaine ». Il s’agit en fait d’une citation exhumée des archives du quotidien La Croix et soi-disant sortie de son contexte.

Le maire n’est pas le seul à s’être ému de voir l’image de sa ville ainsi dévoyée. Au standard de l’hôtel de ville, une employée a réceptionné l’appel d’une interlocutrice déconcertée. « Cette étudiante qui souhaitait déménager à Pierrefitte s’était renseignée via Google. Elle était tellement choquée en voyant ce site qu’elle a pris la peine de nous alerter. C’est sûr que ce n’est pas une super pub ».

Michel Fourcade ne décolère pas : « On stigmatise la ville et, à travers elle, tous les quartiers populaires et la Seine-Saint-Denis. C’est inacceptable ». Il y voit même « une attaque contre les valeurs de la République ». L’élu a donc saisi le procureur de la République de Bobigny, dénonçant une « provocation à la discrimination et à la haine à l’égard d’un territoire et de ses habitants ». À ce jour, le parquet n’a pas encore déterminé s’il y avait ou non matière à poursuivre. Mais il se penche sur la question : « Il faut que le groupe discriminé soit suffisamment identifié », précise-t-on. Michel Fourcade a aussi exhorté Google à « utiliser son pouvoir de contrôle ». Le message n’a pas encore produit son effet, puisque jeudi soir, le site était toujours bien actif sur Internet. L’élu pierrefittois s’interroge enfin sur la coïncidence avec les propos polémiques tenus en début de semaine par Robert Ménard, maire de Béziers (Hérault).

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Jean-Marie Le Pen va-t-il s'associer à un parti existant ?

8 Mai 2015, 22:07pm

Publié par Thomas Joly

Si la direction du FN ne croit pas une seule seconde à la possibilité de le voir repartir de zéro, Jean-Marie Le Pen a une autre carte à jouer : s'associer à un mouvement déjà existant. "Je dois m'interroger sur les possibilités qu'a le courant national de s'exprimer à temps pour sauver notre pays", assurait-il, sur France 2, énigmatique.

Si un rapprochement avec la Ligue du Sud de la famille Bompart est exclu – les deux camps se détestent depuis des années – un autre ancien banni du FN pourrait lui ouvrir ses portes : Carl Lang, président du Parti de la France (PDF), un mouvement nationaliste. Député européen du Front national de 1994 à 2009, il est suspendu - lui aussi - en 2009 pour s'être présenté contre… Marine Le Pen, qu'il accusait d'avoir été parachutée dans sa région du Nord. Contacté, Carl Lang laisse la porte (grande) ouverte : "le PDF n'a aucun problème idéologique avec Jean-Marie Le Pen. S'il souhaite participer à l'émergence d'une nouvelle droite nationale, alors nous pourrons travailler ensemble".

"Cela rendrait service aux deux hommes, mais ce serait, à mon sens, un coup ponctuel. Pour se lancer aux régionales en Paca, par exemple, il ne faut pas moins de 200 candidats, sans compter toute la logistique derrière ! C'est beaucoup de contraintes", tempère Jérôme Fourquet. Réplique de Carl Lang : "j'ai des troupes, mais peu de moyens." Jean-Marie Le Pen, lui, n'a plus de troupes, mais a des moyens, lui. Carl Lang rit franchement, puis glisse : "s'il décide de se présenter aux régionales, il disposerait d'un fort courant de sympathie. Je n'exclus aucune hypothèse". Les entourages des deux hommes auraient déjà pris langue.

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Rencontre entre Marine Le Pen et Ehud Barak en marge du gala du « Time »

8 Mai 2015, 19:12pm

Publié par Thomas Joly

Le Monde Juif.info a repris l’information divulguée par l’hebdomadaire Valeurs actuelles à propos de la rencontre secrète le 21 avril dernier entre Marine Le Pen, présidente du FN, et l’ancien Premier ministre israélien, Ehud Barak.

La rencontre d’une dizaine de minutes s’est déroulée à l’abri des regards dans l’une des salles du Time Warner Center lors de la soirée de gala du magazine Time qui avait désigné Marine Le Pen parmi les « 100 personnalités les plus influentes du monde ».

L’épouse de Ehud Barak parlant le français, a servi d’interprète. Ehud Barak a notamment déclaré à la présidente du FN : « Je suis très heureux de vous rencontrer et je vous félicite pour votre action ».

Les deux personnalités politiques ont, selon Valeurs Actuelles, convenu de se revoir « à l’occasion, peut-être, d’un voyage de Marine Le Pen en Israël. »

En 2011, à l’occasion d’un déjeuner à l’ONU, Marine Le Pen avait déjà eu une entrevue avec Ron Prosor, ambassadeur d’Israël auprès de l’ONU. Par la suite, la rencontre avait été qualifiée de « malentendu » par la mission israélienne aux Nations unies.

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De plus en plus de jeunes élèves « Français » veulent rejoindre le Djihad

8 Mai 2015, 18:58pm

Publié par Thomas Joly

La commission de surveillance des filières djihadistes a révélé jeudi 7 mai que près de 536 jeunes élèves des collèges et lycées français seraient radicalisés.

 

Les signalements sont essentiellement le fait des familles qui préviennent le lycée ou appellent le numéro vert anti-jihad. Les professeurs des établissements, sûrement par lâcheté, ne sont à l’origine que d’une minorité de ces procédures. Car pour eux, l’observation serait plus difficile.

La ministre de l’Éducation, Najat Vallaud-Belkacem, n’a pas voulu donner plus de précisions (comme l'origine ethnique des fanatiques) mais a souligné que les jeunes radicalisés viennent de tous les milieux, aisés ou modestes, en ville comme à la campagne. Les demandes de cours à domicile pour ne pas fréquenter l’école en raison de motifs religieux sont également en augmentation.

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La ville de Jean-François Copé, Meaux, complétement islamisée

8 Mai 2015, 18:36pm

Publié par Thomas Joly

Jean-François Copé avait créé une polémique autour des pains au chocolat, confisqués par des voyous pendant le ramadan. Une belle esbroufe pour le maire de Meaux, ville où il est permis de porter visiblement le voile intégral.

Quatre ans après son entrée en vigueur, la loi interdisant le port du voile intégral sur la voie publique, initiée par Jean-François Copé, n’est quasiment pas appliquée. Y compris à Meaux. En 2014, une seule femme y a été verbalisée pour port du niqab.

Les femmes intégralement voilées se promènent dans les parcs publics, au marché du dimanche matin, entrent dans les supermarchés. Sans être verbalisées.

A la pharmacie du quartier Dunant, des hommes refusent d’être servis par les pharmaciennes et préfèrent attendre qu’un préparateur soit disponible. L’été 2012, une librairie musulmane a ouvert dans ce quartier. Elle vend des niqabs qu’on ne trouvait jusqu’alors qu’au marché.

A Beauval, un kebab a installé, durant un an et demi, des cabines équipées de rideaux pour que les femmes en niqab, cachées du regard des autres, puissent déjeuner en retirant leur voile. Le patron vient d’enlever les rideaux, tout en défendant le port du niqab. « Il faut juste le retirer dans les écoles et les banques ». Des ados voilées n’hésitent plus à traiter de « putes » des jeunes filles en short.

Plus grave, l’été dernier, des hommes en djellaba ont arpenté le service psychiatrie de l’hôpital de Meaux pour y recruter des candidats au jihad.

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Nouvelle affaire de détournement chez SOS Racisme : l'Africain Jacques Ébossé escroquait l'argent public

8 Mai 2015, 11:12am

Publié par Thomas Joly

Outre le fait que SOS Racisme constitue en soi une escroquerie morale et une officine antifrançaise, ses dirigeants ne manquent jamais une occasion de s'en mettre plein les poches grâce à nos élus bien peu regardant sur l'utilisation de l'argent public qu'ils dilapident allègrement.

Jacques Ebosse-Modiou Nyambe devient président de SOS Racisme à Amiens en 2002, jusqu’à une scission en 2005, qui l’oblige à créer une nouvelle structure, SOS Racisme 80. Dans les faits, très vite, cette association n’en est pas une au sens légal du terme. Le secrétaire vit au Royaume-Uni, la trésorière est une femme de paille. « Vous ne faisiez pas d’assemblée générale ! », lui reproche le procureur Françoise Dale. « Si, si » se défend-il. « Mais c’était par téléphone. » Cette gestion rocambolesque aurait dû condamner l’association à ne vivre que des seules cotisations de ses adhérents. C’est tout le contraire qui se passe : l’argent afflue, du conseil régional mais aussi d’Amiens Métropole. « En fait, la Région ne contrôle absolument pas l’utilisation des fonds qu’elle remet » dénonce la même Mme Dale.

Qui, d’ailleurs, va mettre fin à la combine ? Pas une collectivité, mais l’organisme Tracfin, dépendant du ministère de l’Économie, qui estime en 2014 que beaucoup trop d’argent liquide est retiré régulièrement du compte de SOS Racisme. Lire la suite

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Non, la blouse d’écolier n’est pas un pyjama rayé ! (par Marie Delarue)

8 Mai 2015, 11:00am

Publié par Thomas Joly

On dit que l’habit ne fait pas le moine, ou plutôt on le disait autrefois. A contrario, les gamins qui, dans leur grande majorité, ne comprennent plus aujourd’hui ce que cette maxime peut bien signifier, pensent au contraire que l’on est justement ce que l’on porte : un jean trop bas qui vous laisse les fesses à l’air, un short trop court pareillement, un string encore plus, une burqa, une kippa… En somme, rien que des « marques » et des marqueurs communautaires et sociaux.

Cela démarre en maternelle, à la crèche, même : chacun son « look ». Ça se poursuit à l’école, ça explose au collège où les « it bags » et les outils numériques viennent, en plus, compléter la panoplie de la « fashion victim ». Et gare à celui qui n’a pas le dernier smartphone à la mode.

Alors, forcément, revient de façon récurrente la question de la blouse, voire de l’uniforme à l’école, seul espoir d’en finir avec les batailles d’ego.

Dernier coupable en date : Vincent Paul-Petit, maire UMP de Seine-Port, charmante bourgade de Seine-et-Marne, qui rêve de rhabiller de blouses colorées ses petits écoliers. Il confie au Parisien s’émouvoir « de la crise très grave que vit l’école avec 25 % d’une classe d’âge qui ne maîtrise pas les savoirs de base et d’une crise majeure de la transmission de la culture française ». Il dit aussi constater « une montée du manque de respect des élèves envers les enseignants, une crise de l’autorité ». Et, du coup, il pense que mettre un peu d’uniformité dans la tenue, extérieurement du moins, permettrait de se concentrer sur l’essentiel : « J’y vois un symbole pour aider à reconstruire la relation d’autorité naturelle en classe entre l’instituteur et l’élève. Pour l’enfant, elle signifierait “à l’école, je ne suis pas le maître”. »

Autorité naturelle, enfant qui ne serait pas le maître… Comme il y va ! Ça fout la trouille, des mots pareils ! D’ailleurs, le sujet tourne en boucle depuis 24 heures sur les radios. Une auditrice appelle ainsi RTL dès l’aube pour faire part de son indignation. Ayant passé quelque temps en Guyane, elle a dû inscrire son enfant chéri dans un établissement où l’uniforme était obligatoire. À chacun sa couleur. Commentaire de la dame : « C’est une discrimination dont on voit bien où elle peut conduire. » Pardi ! Cette mère indignée n’a toutefois pas dit quelle était la tenue de rigueur, mais il est clair que, pour elle, tout uniforme est un aller simple pour la chambre à gaz.

La Guyane est, certes, un département français, mais on y applique ce qui se fait dans la grande majorité des pays sur tous les continents, Europe comprise. Partout, de Singapour à Kinshasa en passant par Dublin, Lomé, Jaipur ou Hambourg, les enfants portent l’uniforme. Et s’en trouvent plutôt fiers et plutôt bien. Les parents d’élèves de Seine-Port ont, eux, jusqu’au mois de juin pour y réfléchir : ils voteront alors à bulletin secret pour ou contre la blouse à l’école.

La question de l’uniforme fait partie des marronniers de rentrée. Le 31 août dernier, Le Parisien publiait déjà un échange entre Michel Fize, sociologue bien ancré à gauche, et Bernard Lociciro, proviseur de l’internat d’excellence de Sourdun (77). Farouchement opposé à ce symbole de la bourgeoisie décadente, le premier déclarait que l’uniforme « ne va pas gommer les différences sociales, les écarts de performances scolaires, il va les endormir. Le fils de bourgeois, avec ou sans tenue, il sera plus tard en fac de médecine, ce qui sera plus difficile pour le fils d’ouvrier. » Il est donc préférable que le prolo s’habitue tout de suite à montrer ses fringues achetées chez Lidl quand l’autre va chez Abercrombie. Ça, c’est le socialisme bien pensé, coco !

Terriblement rétrograde, le partisan de l’excellence lui répondait : « L’uniforme, c’est un outil pédagogique. Et le fait d’endormir les inégalités, comme vous dites, c’est un facteur de paix dans la classe. À Sourdun, on n’a pas la prétention de dire que l’uniforme va gommer ces inégalités mais chacun doit pouvoir s’exprimer par rapport à ce qu’il est et non pas par rapport à ce qu’il paraît. »

Bref, si l’habit ne fait pas le moine, la blouse fait peut-être l’écolier.

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Montpellier : des fatmas voilées demandent plus de mixité à l’école !

7 Mai 2015, 17:32pm

Publié par Thomas Joly

Pendant que les médias, les politiques, la police et la justice s’acharnent contre Robert Ménard qui a eu l’audace de révéler des chiffres précis sur le pourcentage d’enfants musulmans dans les écoles de Béziers, un mouvement de parents d’élèves assez significatif se déroule à Montpellier

Les écoles, maternelles et primaires, du Petit-Bard sont occupées depuis lundi matin par les mères d’élèves. Que réclament-elles ? Plus de mixité sociale dans l’établissement. A voir la photo des mères de familles, ce sont sans doute quelques petits Blancs qu’elles aimeraient avoir parmi leurs enfants…

La photo seule donne assez magistralement raison à Ménard : quand des mères majoritairement voilées demandent « plus de mixité » dans une école, en France, c’est que le problème est assez grave en effet.

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Le combat de Béziers et le djihad médiatique (par Nicolas Bonnal)

7 Mai 2015, 10:59am

Publié par Thomas Joly

Le djihad médiatique se déchaîne contre Robert Ménard, maire de Béziers. C’est un combat classique d’intimidation et de sidération mentale. Il menace le courageux édile de cinq ans de prison et de 300.000 euros d’amende. Quand ils ont proféré ces chiffres, les robots du politiquement correct poussent des gloussements de joie. Leurs narines de dromadaires cybernautes frémissent à l’idée de ces camps où ils enfermeront prochainement les Français encore résistants.

Et le gouvernement français, qui se trouve soit à Bruxelles, soit à Washington, soit à Riyad – en attendant La Mecque -, le gouvernement français, dis-je, qui a fait rentrer entre 15 et 20 millions d’allogènes en un quart de siècle, monte sur ses grands chevaux républicains pour menacer la tourbe populaire encore trop rétive.

Ce gouvernement socialiste enfonce tous les planchers : la seule constance de son abjection mentale rutilante est sa francophobie pathologique. Il hait la France, son peuple et son histoire de toute sa force et il ne sait à quel leader allogène obéir pour nous châtier d’être français.

Le crime reproché au maire de Béziers est hallucinant, il est incroyable, il relève de la pathologie la plus complète et du renversement des valeurs le plus total, et il consiste, ce crime, à compter le nombre de musulmans dans les écoles ! Or, savoir combien il y a de musulmans en France, dix, quinze ou vingt millions est, pour les fous qui nous dirigent, un crime contre l’humanité.

Comme je l’ai dit sur Boulevard Voltaire récemment, il y a, de l’aveu même de l’ambassadeur, sept millions de Français d’origine algérienne. Cette nouvelle publiée dans la presse algérienne (où elle est apparue on ne peut plus naturelle) n’est pas sortie de chez notre site alors qu’elle est énorme.

Depuis trente ans, on nous répète que nous avons la berlue et que nous voyons des immigrés où il n’y en a pas, que notre racisme en fabrique… On voudrait alors bien les compter, nos immigrés, nos clandestins, nos extra-Européens, pour se mettre tous d’accord et savoir, par exemple aussi, comme on disait en Amérique avant le benêt Obama, qui est caucasien, qui est noir, qui est mexicain, qui est asiatique.

Circulez, il n’y a rien à savoir ! Et si vous voulez savoir, vous risquez les cinq ans de prison et 300.000 euros d’amende. Merci la République, merci la démocratie, merci la tolérance, merci le tollé rance. La patrie est toujours en danger, surtout quand la patrie, ce ne sont pas les Français… mais les émirs, les Bilderberg et les commissaires aux finances de notre Ubu européen.

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La droite nationale, c’est nous !

6 Mai 2015, 18:56pm

Publié par Thomas Joly

Communiqué de Bruno Hirout, Membre du Bureau Politique du Parti de la France, Délégué Départemental du Calvados

La mesure d’euthanasie politique prise par Marine le Pen contre son propre père est la dernière, et la plus forte, démonstration de ce que le Front National a définitivement renié toutes les valeurs qui ont pu être les siennes depuis sa création.

Le Parti de la France du Calvados tient à rappeler ce qu’il dit depuis sa naissance en 2009 : les innombrables errements frontistes, qu’ils soient idéologiques ou moraux, ont fait perdre au FN son statut de figure de proue de la droite nationale.

La nouvelle direction du FN se déclare d’ailleurs « ni de droite, ni de gauche ». Au Parti de la France, nous ne sommes ni de gauche, ni de gauche !

Nous sommes la seule formation politique de droite nationale, nous l’avons toujours dit, et nous le rappelons aujourd’hui, à l’heure où l’éviction de Jean-Marie le Pen peut troubler certains patriotes sincères encore adhérents du Front National.

Le Parti de la France invite tous ces patriotes sincères et tous ceux qui sont attachés à nos valeurs de civilisation à le rejoindre, à participer à la construction du grand mouvement de droite nationale de demain.

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Dans le secteur de Creil : plus d’une voiture brûlée tous les deux jours

6 Mai 2015, 11:09am

Publié par Thomas Joly

Selon les seuls faits recensés par Le Parisien, le nombre d’incendies criminels contre les voitures dans le secteur de Creil est d’« au moins une tous les deux jours », soit environ 180 par an. Le journal a comptabilisé 15 attaques en avril, notamment à Nogent-sur-Oise.

Dans la nuit de vendredi à samedi, une voiture a été détruite à Montataire, dans le quartier occupé des Martinets. Le lendemain, c’est à Nogent que les occupants ont frappé, toujours sans la moindre réaction des autorités.

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Au moins 55 victimes potentielles pour le pédocriminel protégé Romain Farina

6 Mai 2015, 11:06am

Publié par Thomas Joly

Depuis les premières révélations concernant les viols et agressions sexuelles commis par le probable récidiviste Romain Farina, directeur d’école de Villefontaine et activiste de gauche, quarante-quatre familles se sont manifestées comme potentielles victimes, s’ajoutant aux onze premières victimes de viols.

À l’occasion de la réception d’un rapport sur ces faits et les nombreux autres cas de professeurs pédocriminels protégés durant des années par les politiques laxistes du gouvernement, les deux calamités du gouvernement, Najat Belkacem et Christiane Taubira, ont annoncé le dépôt d’un projet de loi sur ce thème. Il conduirait simplement les services judiciaires à devoir signaler à l’administration les condamnations prononcées contre des fonctionnaires exerçant au contact de mineurs.

La volonté du gouvernement d’occupation de lutter contre ce fléau à de quoi laisser perplexe alors qu’un reportage diffusé par Canal + il y a quelques jours montre Daniel Cohn-Bendit paradant à l’Élysée avec François Hollande.

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