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Le blog politique de Thomas JOLY

Pourquoi ne pourrions-nous pas rouvrir le dossier de la peine de mort ? (par Christophe Servan)

16 Mai 2015, 10:36am

Publié par Thomas Joly

La peine de mort est à l’ordre du jour. Ce n’est pas moi qui l’ai dit, mais Viktor Orbán, le Premier ministre hongrois. La réponse de Bruxelles ne s’est d’ailleurs pas fait attendre. Pas question de revenir en arrière ou bien alors la Hongrie devra quitter l’Union européenne et, accessoirement, le Conseil de l’Europe. Pour cette dernière organisation née au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et dont la vocation est de promouvoir la démocratie et défendre les droits de l’homme, la peine de mort est une question de principe. Notons au passage que l’« affreux » Poutine y a mis fin en Russie alors que les « vertueux » États-Unis continuent de l’appliquer… Allez comprendre !

La peine de mort est un de ces sujets dont il est quasiment impossible de débattre dans la sérénité et, paradoxalement – c’est en tout cas l’impression que j’en ai tirée à la lecture des nombreux forums qui traitent de cette question sur le Net -, ce sont les abolitionnistes qui le plus souvent polluent le débat par leur posture moralisatrice et un langage agressif. Permettez-moi d’oser ici aborder la question sous l’angle strictement rationnel.

La peine de mort pose trois problèmes : celui de la récidive, celui de la dissuasion et celui de l’erreur judiciaire. Commençons par ce dernier. L’abolition de la peine de mort remonte à une époque qui ne connaissait pas les tests ADN, des tests qui ne sont pas fiables à 100 % mais, tout de même, à 99,999 9 % (la marge d’erreur est de 1 sur 10 puissance 18). On peut certes arguer des erreurs de manipulation, des échantillons de mauvaise qualité ou des spécimens d’ADN intentionnellement laissés pour tromper les enquêteurs, mais la question n’est pas là. Pour les raisons que je viens d’énumérer, la certitude de culpabilité est inatteignable de manière systématique. Mais au cas par cas, ce présupposé est faux. C’est tout l’objet du procès que d’y parvenir et, bien souvent, il y parvient. Alors, pourquoi s’interdire d’appliquer la peine de mort lorsqu’il y a certitude de culpabilité ?

La récidive est intimement liée à la peine de substitution. Lorsque l’abolition de la peine capitale fut votée (septembre 1981), la peine de substitution qui fut trouvée fut la prison à vie, en réalité une peine de 23 ans en moyenne avec une période de sûreté de 18 ans et un maximum de 30 ans. En 2005, Patrick Gateau et Serge Mathey sont arrêtés et avouent le meurtre de Nelly Crémel. Patrick Gateau, censé purger une peine de réclusion à perpétuité prononcée en octobre 1990 pour un assassinat perpétré en juin 1984 dans des circonstances semblables, a été remis en liberté conditionnelle en 2003. Le juge qui a « osé remettre un monstre pareil en liberté conditionnelle » doit « payer » pour sa « faute », déclare le ministre de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy. Cet exemple parmi beaucoup d’autres (Roberto Succo, Jean-Michel Jourdain, Pierre Bodein alias Pierrot le fou, etc.) prouve au moins une chose : l’absence de peine de mort tue aussi.

La peine de mort n’a pas d’effet dissuasif, nous dit-on. C’est fort possible, mais comment le démontrer ? Certainement pas avec des statistiques brutes qui font fi de la nature multifactorielle du crime.

En conclusion, le législateur a aboli la peine de mort au motif du respect de la vie humaine mais il n’a pas eu le cran d’assumer une peine de substitution compatible avec la sécurité des citoyens. Quel avantage en avons-nous retiré ? Je n’en vois aucun, ou plutôt si, un seul : la bonne conscience, une bonne conscience sur le dos des victimes des meurtriers récidivistes. Si vous me demandez mon avis, ma bonne conscience ne vaut pas le prix d’une seule vie humaine…

Source : www.bvoltaire.fr

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Prémisses de viols collectifs dans un collège des « beaux quartiers »

16 Mai 2015, 10:20am

Publié par Thomas Joly

Plusieurs très jeunes élèves du collège parisien Montaigne – qualifié de « prestigieux » par les médias – ont été mis en cause dans une affaire d’attouchements sexuels contre plusieurs collégiennes. Les violeurs en herbe auraient été inspirés par les vidéos pornographiques qu’ils regardent dans la cour de récréation.

Il n’y a pas eu de réelle sanction contre les élèves : deux d’entre eux ont été exclus… avec sursis, un autre a été exclu temporairement et deux autres ont obtenu des travaux d’intérêt général : écrire une rédaction.

Le plus incroyable de cette histoire est que les partisans de la sexualité animale et sans contrôle, de la pédocriminalité et de toutes les déviances, du libéralisme dans tous les domaines et particulièrement celui des mœurs, s’émeuvent de la situation et s’interrogent sur les raisons de sa survenue. Aucun ne s’est demandé par ailleurs quelle pouvait être la situation des jeunes filles, particulièrement des jeunes Blanches, dans les pires quartiers envahis, livrés à l’invasion et où le racisme antiblanc est institutionnalisé.

Les faits ont été révélés par une victime. Depuis les « spécialistes », tous coupables à des degrés divers de la situation, s’invitent sur les plateaux télévisés pour « expliquer », excuser – surtout –, ou minimiser les faits.

Source : http://www.jeune-nation.com/divers/19749-premisses-de-viols-collectifs-dans-un-college-des-beaux-quartiers.html

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Le CRIF tout-puissant convoque les ambassadeurs (par Robert Spieler)

16 Mai 2015, 10:13am

Publié par Thomas Joly

On aura tout vu : Et voici que le CRIF convoque 24 ambassadeurs et représentants d’ambassades en France ! Le Président du CRIF, Roger Cukierman, avait invité, c’est-à-dire convoqué, les représentants des ambassades des pays européens à déjeuner. Ce fut l’occasion d’un « vaste tour d’horizon ». Vous noterez que les tours d’horizon sont toujours vastes… Il n’y avait là que du beau monde. Bien entendu, RIVAROL n’avait pas été invité, mais ce n’est pas grave. On y retrouvait les ambassadeurs d’Allemagne, de Chypre, de Croatie, du Danemark, d’Espagne, de Grèce, de Hongrie, de Lettonie, de Malte, de Pologne, et de Roumanie, ainsi que les représentants des ambassadeurs d’Autriche, d’Estonie, de Finlande, de Grande-Bretagne, d’Irlande, d’Italie, de Lituanie, du Luxembourg, des Pays-Bas, de la République tchèque, de Slovénie, et de Suède. Cuki a su faire passer les messages. Il a présenté le CRIF et ses thèmes de travail : l’antisémitisme, la mémoire, les relations avec Israël, questions d’autant plus actuelles depuis les attentats à Paris dixit le site du CRIF. Il n’était évidemment pas question de s’arrêter en si bon chemin. Il fallait qu’ils allassent, l’un après l’autre, à résipiscence. Il convenait qu’ils se flagellassent d’importance. Les ambassadeurs furent, l’un après l’autre, comme ça se passe à l’école primaire, tenus de s’exprimer et de se justifier. Ils commentèrent bien entendu la situation de l’antisémitisme et du combat contre le jihadisme dans leurs pays respectifs et en Europe. Ils insistèrent sur la nécessité de les traiter par la fermeté, mais aussi par l’éducation, l’enseignement de la Shoah et à la tolérance, ainsi que par une réflexion sociétale sur les causes de ce fléau. Ils se prosternèrent tous, ils se couchèrent tous, le ton plaintif, avec larmes à l’oeil de circonstance. Conclusion de Cukierman : « Il faut raffermir nos idées et soutenir nos sociétés », « Il faut combattre la passivité… »

Source : www.rivarol.com

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Rokhaya Diallo déplore la visibilité des couleurs de peau (par Caroline Artus)

15 Mai 2015, 18:48pm

Publié par Thomas Joly

Selon Rokhaya Diallo, née en France de parents sénégalais et gambien, et devenue journaliste par militantisme, « dans l’inconscient collectif français, les gens qui ne sont pas blancs viennent d’un autre pays ». Et de donner l’exemple des « personnes noires, arabes ou asiatiques » qui « déplorent le fait qu’elles sont toujours questionnées sur une provenance, elles sont perçues comme des gens qui viendraient d’ailleurs et qui ne seraient pas possiblement français ».

Par exemple ! S’enquérir des origines d’évidence extra-hexagonales de personnes vivant dans une France encore majoritairement blanche, quel manque de savoir-vivre, hein ! Surtout, alors qu’on nous vante le multiculturalisme et qu’on nous répète à tout bout de champ l’enrichissement par les différences, est-ce bien normal pour une madame Diallo de se vexer si nous avons l’audace de les remarquer chez elle ? En somme, si nous la rencontrons, nous sommes donc priés de ne pas remarquer sa couleur. Exit, donc, la curiosité à son endroit, l’ouverture d’esprit face à une culture venue d’ailleurs, et… bonjour le repli sur soi !

Poursuivons le raisonnement de Mme Diallo : dans l’inconscient collectif africain, les gens qui ne sont pas noirs viendraient d’un autre pays. Incroyable, non ? Idem pour l’inconscient collectif chinois : les gens n’ayant pas les yeux bridés ne seraient pas chinois. Renversant !

Un conseil pour la militante féministe : elle devrait séjourner à La Réunion, elle en prendrait (peut-être) de la graine. Ici, c’est très consciemment que les Réunionnais ne se trompent jamais en voyant un Zoreil. À qui il ne viendrait pas à l’esprit de s’offusquer de ne pas être assimilé à un créole, même blanc. À La Réunion, il s’avère même très impoli de ne pas se montrer curieux à l’égard de son prochain.

En outre, Rokhaya Diallo devrait pourtant être fière de l’histoire du pays où elle est née. La fin de l’esclavage ? C’est grâce à l’abolitionniste français Victor Schoelcher qu’elle a vu le jour. Ce Français qui, à sa mort, donnera tout ce qu’il possédait au conseil général de la Guadeloupe. Un musée Schoelcher qui doit dorénavant faire pâle figure à côté du Mémorial ACTe à 83 millions d’euros.

Mais la Française n’en est pas à une sornette près. En effet, après avoir déploré la visibilité des couleurs, elle déplore de vivre dans une « mythologie républicaine selon laquelle il n’y aurait pas de couleur, l’universalisme républicain [qui] donnerait des citoyens français au-delà de leur couleur de peau ». Même que, pour la dame, « être aveugle aux couleurs de peau, ça rend aveugle aux conséquences, à savoir au racisme et aux discriminations […] » Il faudrait savoir ! La remarquer ou ne pas la remarquer, la couleur de peau (et peut-être aussi un accent), témoin des origines ? Ou la remarquer tout en ne la remarquant pas ? C’est ça, le truc ? Bienvenue dans le « vivre ensemble » !

« Je trouve qu’il y a une parfaite cohérence dans mes engagements », confie-t-elle à Paris Match. De cohérence, il en ressort une : les sentiments parfaitement ambivalents de la Française d’origine africaine madame Diallo à l’égard de sa couleur de peau autant que ceux à l’égard de ses compatriotes d’origine française. « Je crois que l’assimilation est un mythe », conclut-elle. La concernant, pour nous aussi.

Source : www.bvoltaire.fr

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Hollande à Haïti : pas de remboursement de dette, mais 50 millions d’euros volés aux Français

14 Mai 2015, 17:55pm

Publié par Thomas Joly

Leur République ne reconnaît pas les communautés ; elle nie l’existence des races et des groupes ethniques, surtout quand cela rappelle combien les nationalistes ont raison depuis des années. Pourtant, les Africains ont droit, comme les Juifs, comme les Arabes, comme tous sauf les Blancs toujours cibles et victimes du régime, à une nouvelle série de reptations mémorielles, parce que descendants d’esclaves avant d’être Français, petits-fils de déportés avant d’être Français, victime du colonialisme avant d’être Français. Il y a pour cela une raison simple : ces gens ne sont tout simplement pas Français.

Boycottant toujours autant les Blancs, c’est dans les îles que François Hollande s’est offert plusieurs jours de vacances ces derniers jours. Il a ainsi présidé l’inauguration du Mémorial ACTe, un centre dédié aux mensonges de l’esclavage et de la traite des Noirs, un centre qui prendra soin de nier l’implication première et principale des tribus africaines dans la traite des Noirs, la censure de la traite des Blancs et des Blanches par les Ottomans mais pas seulement, la forte implication non seulement des esclavagistes arabes en Afrique, mais aussi Juifs en Occident.

Surtout, le principal objectif de cette institution qui sera principalement payée par les Blancs sera de cacher que ce sont les Blancs et eux seuls qui ont fait disparaître l’esclavage sur les terres qu’ils ont contrôlées quand, deux siècles plus tard, dans diverses parties de l’Afrique, d’Arabie et d’Asie, l’esclavage n’est pas un enjeu du racisme antiblanc, mais la réalité vécue par des centaines de milliers d’hommes et de femmes totalement oubliés par des défenseurs des droits de l’homme aux indignations très sélectives.

Durant un discours à Pointe-à-Pitre, François Hollande a évoqué la juste indemnisation obtenue par la monarchie française de la République haïtienne en 1825. Les deux États souverains, négociant d’égal à égal, s’étaient mis d’accord sur un total de 150 millions de francs-or pour dédommager les propriétaires d’esclaves libérés. Cela ne compensait que très partiellement les pertes de la France.

Elle abandonnait en effet sans contrepartie ses droits sur la terre haïtienne qu’elle avait découverte, conquise, assainie, mise en valeur et peuplée. Les Africains étaient donc plus que largement gagnants.

Pourtant, François Hollande, qui n’a jamais réclamé le moindre remboursement à la Turquie, à l’Algérie pour les millions de Blancs réduits en esclavage par les islamistes durant des siècles, a évoqué une « dette que certains ont appelée rançon d’indépendance et qui, à n’en pas douter, compromit l’avenir du pays [sic]. Quand je viendrai à Haïti, j’acquitterai à mon tour la dette que nous avons ».

Las, ceux qui pensaient avoir obtenu une nouvelle possibilité de ne rien faire pour leur pays durant des décennies grâce à l’argent des Blancs durent rapidement déchanter. Les services de l’Élysée ont précisé peu après qu’il s’agissait d’une dette « morale », une valeur avec laquelle n’ont jamais commercé les Haïtiens, qu’une grande colère a envahis. Très clairement à son arrivée, des manifestants brandissaient ainsi des panneaux : « Argent oui, morale non ». Plus que toutes les prétendues dettes, que toutes les conditions économiques ou les catastrophes naturelles, cet état d’esprit explique comment d’un paradis ils ont fait et ne pourront jamais faire qu’un enfer sans foi, sans culture, abandonné de toute civilisation.

Mardi, c’est donc à Haïti qu’il a fait escale. Il n’a pas oublié d’insulter l’Histoire et de souiller la France encore, en se vautrant dans la repentance. Dans cette île qui symbolise à elle seule tout le fiasco des revendications antifrançaises – l’île indépendante depuis plus de deux siècles a atteint un degré de civilisation à peu près aussi élevé que le taux d’honnêteté de la classe politique française –, le PIB par habitant est actuellement l’un des 20 pires du monde (avec l’Ouganda, la Gambie, le Burkina Faso, les Comores, le Rwanda, le Kiribati, le Mali, l’Éthiopie, la Guinée-Bissau, Madagascar, le Togo, la Guinée, l’Érythrée, le Mozambique, le Niger, le Libéria, le Burundi, le Malawi, la République démocratique du Congo et la République centrafricaine, tous des pays peuplés par un même type d’habitants), il n’a pas oublié de se lancer dans la repentance en évoquant une prétendue « dette morale ».

Il n’a pas précisé si celle-ci consistait à avoir amené ces populations dans cette île en les sauvant de l’esclavagisme et de la sauvagerie de leurs frères et des négriers arabes, de leur avoir accordé l’indépendance en abandonnant des infrastructures qu’ils n’auraient jamais été capables de simplement imaginer, ou d’avoir apporter des milliards d’aides depuis des décennies sans le moindre retour.

Par la faute de ces encouragements malsains d’un socialisme dégénéré, la pornographie mémorielle noire continuera à fonctionner et à paralyser toute possibilité d’une prise de conscience de ces populations. Ce mal touche toute la population jusqu’au sommet de l’État, poussé par les traîtres qui dirigent aujourd’hui les nations européennes. Dette ou non, ceux qui ont été incapables de bâtir une société en 200 ans attendent, réclament, exigent l’argent et les richesses du Blanc, au risque de rappeler que leur indépendance fut une tragique erreur.

« Aucun marchandage, aucune compensation ne peut retaper les accrocs de l’Histoire qui nous marquent encore aujourd’hui. Sous prétexte de dédommager les colons, cette dette avait pour objectif inavoué de casser l’élan de ce nouvel État dirigé par d’anciens esclaves dans un monde dominé par le colonialisme » a ainsi déclarer le complotiste président haïtien Michel Martelly, insistant sur cette prétendue « dette, la dette ignominieuse, la dette destructrice ».

Il a encore exigé que la France se joigne « à la réparation de cette grande injustice faite à la jeunesse haïtienne […] à mettre en œuvre un véritable plan Marshall pour l’éducation en Haïti ». Ou comment les Français de 2014 seraient responsables des faits commis en 1804, et comment les Haïtiens en 2015 seraient plongés dans la misère à cause de la « dette » (sic) imposée en 1825… Le message a été reçu par François Hollande déjà prêt à voler l’argent des travailleurs français pour le dilapider auprès du gouvernement corrompu d’Haïti – dans le dernier classement de Transparency International, Haïti est l’un des 15 pays les plus corrompus au monde. Les corrompus pourront profiter des 50 millions d’euros spoliés à la France dans ce but.

Source : http://www.jeune-nation.com/actualite/actu-france/19697-hollande-a-haiti-pas-de-remboursement-de-dette-mais-50-millions-deuros-voles-aux-francais.html

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Guillaume Cauchois, nouveau responsable du canton de Mesnil-Esnard en Seine-Maritime

14 Mai 2015, 17:36pm

Publié par Thomas Joly

Guillaume Cauchois, 35 ans, intérimaire, est le nouveau responsable du Parti de la France sur le canton de Mesnil-Esnard (76). Ce militant très actif du Parti de la France aura en charge d'organiser les activités militantes sur son canton.

Pour le contacter : guillaume.pdf.76@gmail.com ou 07.63.11.45.73

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Le mariage frauduleux, l’arme de naturalisation massive (par Gabrielle Cluzel)

14 Mai 2015, 11:37am

Publié par Thomas Joly

« Des élus en croisade contre les mariages frauduleux », titrait mardi Le Figaro, pour évoquer les quelques maires s’efforçant de détecter les mariages blancs, et les 58 députés UMP à l’origine d’une proposition de loi visant à lutter contre ce qui devient une arme de naturalisation massive.

Euh… où donc Le Figaro a-t-il vu des croisés ? Il n’y a que des élus qui tentent humblement de faire leur boulot. Rien que leur boulot. Un boulot qui devient parfois, il est vrai, plus éprouvant que se rendre à pied à Jérusalem, tant on se heurte, en France, à des murailles de mauvaise foi. Que ne se contentent-ils pas, ces maires masochistes, de signer gentiment tous les soirs leurs parapheurs et de choisir l’improbable chef-d’œuvre d’art contemporain que l’on posera sur le prochain rond-point, puisque c’est là tout ce qu’on leur demande ? On l’a vu avec « l’affaire Ménard », on le voit avec ceux qui tentent de s’opposer aux mariages frauduleux.

« 50 % des acquisitions de la citoyenneté française se font par [le biais du mariage]. Au total, la naturalisation a concerné plus de 70.000 personnes en 2014, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. » Pullulent donc, pour faciliter l’escroquerie, des filières très organisées, comme pour les passeurs, fournissant des complices rémunérés. À Paris, un mariage blanc coûte 15.000 €, d’où l’agressivité du futur marié quand l’officier, après audition de l’intéressé – qui ne sait rien de la vie de sa supposée dulcinée, ou est arrivé récemment d’un pays où celle-ci n’a jamais mis les pieds -, émet des réserves… Jean-Manuel Hue, adjoint au maire du XVe arrondissement, a ainsi été récemment molesté. Et s’est attiré la vindicte tenace d’associations de migrants. Un masochiste, on vous dit.

« Auditionner les couples nécessite du temps et de la paperasse, explique-t-il, mais, surtout, la plupart des élus ne veulent pas le faire pour des raisons idéologiques. » La loi prévoit bien de sanctionner les officiers de l’état civil manquant à leur mission d’audition, mais « entre 3 et 30 euros l’audition manquée, ce n’est pas dissuasif » !

Dans la proposition de loi des 58 députés, ce montant passerait à 1.000 euros. Et obligerait l’officier – aujourd’hui, c’est une simple option – à informer le procureur de la République qui déciderait si la célébration doit avoir lieu. Toutes suggestions courageuses mais, hélas, vouées à l’échec… Si ces élus partent « en croisade », c’est en caleçon et avec une passoire sur la tête : comment pourrait-il en être autrement quand toute la gauche réunie, celle qui tient au creux de sa main le gouvernement, encourage résolument le mariage pour tous, vraiment pour tous, y compris les fraudeurs ? Quand il n’y a presque jamais de poursuites pénales ? Quand, selon les mots de l’ancien maire socialiste de Toulouse Pierre Cohen, elle considère que tout cela, c’est « faire la chasse aux sans-papiers pour faire plaisir à un certain électorat de la droite dure » ?

La « chasse » aux sans-papiers, la droite « dure ». C’est la reductio ad mechantum. Quand les socialistes, eux, ne sont qu’amour, caresses et bisous. Un amour mortifère grâce auquel prolifèrent les filières véreuses rackettant toujours plus de candidats, le fonds de commerce étant inépuisable. Un amour assassin qui crucifie, on en parle moins, les victimes de mariage gris, les amoureux transis dont on a exploité les sentiments. Majoritairement des femmes, mais quelles féministes s’en soucient ?

Source : www.bvoltaire.fr

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Jean-Marie Le Pen découvre la nocivité du lobby homosexuel au Front National

14 Mai 2015, 11:31am

Publié par Thomas Joly

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Carl Lang : « Bruno Gollnisch fera partie de la prochaine fournée »

13 Mai 2015, 06:40am

Publié par Thomas Joly

Pour Carl Lang, Bruno Gollnisch « fera partie de la prochaine "fournée", puisqu’il s’agit d’un terme à la mode après la mise à mort politique et électorale de Jean-Marie Le Pen. Marine Le Pen se débarrassera de tous les cadres historiques qui entouraient son père. C’est dans l’ordre des choses et ça correspond à sa stratégie. Quoi qu’il en soit, Bruno Gollnisch n’a plus aucun avenir politique au sein du FN de Marine Le Pen qui est dans une stratégie d’élimination et de purge. Le temps de la réconciliation est depuis longtemps dépassé. »

Source : http://www.lesinrocks.com/2015/05/12/actualite/bruno-gollnisch-sera-t-il-la-prochaine-cible-de-marine-le-pen-11747398/

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La Grande-Bretagne refuse ses « quotas » de clandestins

13 Mai 2015, 06:38am

Publié par Thomas Joly

Alors que le gouvernement français s’est non seulement aplati devant la demande des autorités européistes, mais a encore revendiqué la mise en place de « quotas » de prétendus « demandeurs d’asile » pour tous les pays d’Europe, le gouvernement britannique s’est opposé frontalement à cette idée.

« Le Royaume-Uni est fier d’avoir toujours accordé l’asile à ceux qui en ont le plus besoin, mais nous ne pensons pas qu’un système contraignant de relocalisation est la solution » déclarent les autorités dans un communiqué.

Les pays restants devront donc subir une plus lourde part de ces prétendus « quotas », véritable armée d’étrangers partis à l’assaut de l’Europe. Pour leur très grande majorité, ces gens n’ont rien de « réfugiés » mais refusent de travailler pour bâtir un avenir prospère chez eux afin de goûter aux derniers fruits de ce que le génie européen a pu produire avant que l’invasion ne déstabilise mortellement ses institutions. Leurs demandes sont majoritairement rejetées, ce qui leur importe peu puisqu’ils ne sont pas expulsés.

Source : http://www.jeune-nation.com/actualite/jdj/19666-journal-du-13-mai-2015.html

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Hollande, ou le vertige de la repentance (par Marie Delarue)

13 Mai 2015, 06:34am

Publié par Thomas Joly

Ah, qu’il est bon de se faire acclamer aux antipodes quand on n’est pas aimé chez soi ! Et qu’il est doux à notre Président d’aller quérir chez les déshérités le pardon des offenses ! Et que je t’inaugure le Mémorial ACTe pour « porter l’apaisement et le pardon » – valeur 83 millions d’euros – là où l’on n’a pas été foutu d’installer l’eau courante ; et que je jette des promesses à tout va pour voir renaître des sourires d’émail blanc sur les faces sombres.

Hollande et la repentance… pente vertigineuse s’il en est. Emporté par son discours inaugural devant le mémorial de l’esclavage, le Président s’est laissé aller pour nous : « Quand je viendrai en Haïti, j’acquitterai à mon tour la dette que nous avons. » Et de rappeler que « la monarchie de Charles X […] réclama à la jeune République d’Haïti une indemnisation d’État de 150 millions de francs-or afin d’indemniser les colons qui le réclameraient. » Il oublie de dire que l’affaire avait surtout profité aux banques américaines et qu’elle servit de prétexte à l’occupation de 1915 à 1934. Mais les Américains n’ont pas le même goût que nous pour la repentance.

Rembourser, donc ? C’est dit, c’est entendu, c’est enregistré. Applaudissements de la foule et mine réjouie du Président qui salue à tout va comme un cabot sur une scène de kermesse. C’est donc « acté », pensent les Haïtiens. Sauf que l’entourage du Président s’avise qu’il a sorti une énorme ânerie, et c’est parti pour le rétropédalage. À peine le discours fini, Hollande l’assure : rembourser les 17 milliards d’euros qu’ils réclament, « ça, c’est impossible ». Et d’ajouter : « Les Haïtiens ne veulent pas la charité. Ils ne veulent pas de cette forme d’assistance, ils veulent des moyens de réussir. »

Rembourser, c’est nouer des « partenariats », renforcer des « échanges commerciaux et éducatifs ». Echange, en bon français, ça veut dire donnant-donnant : et ils nous donnent quoi, les Haïtiens ? Leur misère ? Ah oui, j’oubliais : des bananes bio. Après que la France a laissé polluer les bananeraies des Antilles par des tonnes de pesticides (interdits ailleurs depuis bientôt vingt ans !), et devant l’impossibilité de dépolluer ses îles, elle va acheter des bananes aux Haïtiens. Et peut-être aussi leur faire un prêt pour acheter des Rafale, qui sait ?

François Hollande dit qu’on ne l’a pas compris. Au contraire, on ne l’a que trop bien compris. Ainsi l’écrivain haïtien Lyonel Trouillot, qui écrit dans Le Point : « La France nous a fait violence. Il lui faudra, déjà sur le passé colonial, reconnaître pour crime ce qui ne fut qu’un crime. Ne plus adopter l’oubli comme stratégie d’autodéfense. Ne plus chercher de justification à la barbarie coloniale. La reconnaître comme telle. »

Jacques Chirac, très porté lui aussi sur la repentance et qui a fait du 10 mai la journée officielle de la commémoration de la traite et de l’esclavage, avait pourtant, en 2003, répondu au président Aristide : « Avant d’évoquer des contentieux de cette nature, je ne saurais trop conseiller aux autorités haïtiennes d’être très vigilantes sur, je dirais, la nature criminelle et antidémocratique de leurs actions et de leur régime. » Car celui d’Aristide, comme pratiquement tous ceux qui l’avaient précédé depuis l’indépendance de l’île, était des plus corrompus qui soient.

Et nous en savons quelque chose, nous, Français, qui avons hébergé sur notre sol Jean-Claude Duvalier, alias Bébé Doc, fils de Papa Doc, devenu lui aussi « président à vie » à l’âge de 19 ans, expert en assassinats et tortures en tout genre, trafiquant de corps (il vendait des cadavres à des écoles de médecine étrangères), d’organes et de drogue. Bien que son épouse Véronique Roy et lui-même n’aient jamais obtenu officiellement l’asile politique, nous les avons néanmoins couvés du 7 février 1986 au 16 janvier 2011. Sous la présidence de MM. François Mitterrand, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy.

Monsieur Hollande, qui connaît désormais tous les secrets de l’État, peut-il nous dire pourquoi ?

Source : www.bvoltaire.fr

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Nicolas Vidal et Bernard Brion, Conseillers municipaux de Sarrebourg (57), rejoignent le Parti de la France

13 Mai 2015, 06:16am

Publié par Thomas Joly

Après les dérives du Front National et l'orientation gaucho-gaulliste voulue par le vice-président de ce mouvement, nous venons de démissionner de ce parti et de rejoindre le Parti de la France, seul véritable défenseur de la France française. Les adhérents et élus frontistes ont désormais une structure d'accueil alternative à un FN qui a déjà un pied dans le Système... La réconciliation nationale est possible autour de Carl Lang et du Parti de la France qui accueillent tous les militants de la véritable droite nationale. Continuons le combat ensemble !

Nicolas Vidal & Bernard Brion, Conseillers municipaux de Sarrebourg

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Les interventions des patriotes le 10 mai 2015 pour l'hommage à Jeanne d'Arc

13 Mai 2015, 06:09am

Publié par Thomas Joly

MPI TV  vous propose un reportage d’ambiance tourné ce dimanche 10 mai, ainsi que des interventions de Jany Le Pen, Marie d’Herbais, Marion Sigaut, Stéphanie Bignon, Roger Holeindre, Pierre Sidos, Carl Lang (à 10m15s), Elie Hatem et Thibaut de Chassey.

L’hommage populaire à Sainte Jeanne d’Arc organisé par Civitas s’est déroulé dans des conditions optimales. Il a réuni près de 5.000 participants, à la fête médiévale puis au défilé qui a suivi.
Toutes les tendances nationales, patriotes et catholiques s’étaient réunies pour cette fête, dans l’optique d’un regroupement nécessaire des forces vives.

Source : www.medias-presse.info

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Rémy Boursot réagit à la crise familiale au Front National

13 Mai 2015, 06:05am

Publié par Thomas Joly

Rémy Boursot, qui estime avoir été « évincé » sans raison du FN en 2013, a aujourd’hui rejoint les rangs du Parti de la France du très controversé Carl Lang. Parti dont il est le responsable en Bourgogne et qu’il représente en tant que conseiller régional. « Pour être honnête, si je n’avais pas été écarté, j’aurais moi-même démissionné. Car je ne me retrouvais plus du tout dans la ligne politique du parti dirigé par Marine Le Pen et ses acolytes du lobby homosexuel qui ne fonctionnent pas comme nous », explique l’élu, qui ne s’estime pas « d’accord avec tout ce que dit Jean-Marie Le Pen », mais qui se sent clairement plus proche des idées du fondateur du FN.

« Oui, il a parfois dérapé. Mais qui n’a jamais dérapé dans la vie ? Aujourd’hui, Marine Le Pen est complètement sous influence et n’est attirée que par une chose : le pouvoir. Je pense au contraire que Jean-Marie Le Pen n’a jamais été attiré par le pouvoir, mais simplement par le fait de véhiculer ses idées. Suite à mon éviction il y a deux ans, alors que nous comptions plus de 750 adhérents en Côte-d’Or, des dizaines avaient rendu leur carte. Aujourd’hui, la situation s’est encore dégradée et j’entends de nombreux militants et cadres historiques qui ne se reconnaissent plus dans ce discours politiquement correct. Si Jean-Marie Le Pen venait à s’associer à Carl Lang, la donne pourrait d’ailleurs être complètement différente, à mon avis. »

Si Rémy Boursot n’imagine aucune réconciliation entre les deux clans, il ne voit pas davantage une quelconque tête d’affiche à même de cimenter l’extrême droite à moyen terme. « Marion Maréchal-Le Pen abuse de sa beauté et de sa jeunesse. Elle se positionne entre sa tante et son grand-père, en fonction du vent. Mais elle ne dupe personne et tout le monde sait qu’elle joue son propre jeu. Le seul qui, à mon sens, aurait pu jouer ce rôle, c’est Bruno Gollnisch. Mais il a préféré rester au parti pour conserver ses mandats. »

Source : http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2015/05/13/entre-marine-et-jean-marie-la-cote-d-or-balance

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Réaction de Carl Lang à la nouvelle « formation » de Jean-Marie Le Pen

12 Mai 2015, 06:32am

Publié par Thomas Joly

 
« Il fait la seule chose habile à ce stade : créer une association des amis de Jean-Marie Le Pen » décrypte Carl Lang, président du Parti de la France qui réunit les historiques du Front. « C'est sa seule façon de peser encore en interne, de compter ses troupes et de former un réseau. »
 
Signes tangibles de sa volonté de recréer un réseau : Jean-Marie Le Pen s'est rendu samedi à la dédicace du livre de Roger Holeindre, Ca suffit ! Il n'avait pas recroisé le co-fondateur du FN depuis que celui-ci a claqué la porte, le jour même de la prise de pouvoir du FN par Marine Le Pen en janvier 2011. Les deux dirigeants, fâchés jusqu'alors, se sont fait la bise publiquement. 
 
Lors du traditionnel défilé de Jeanne d'Arc des catholiques non-reniés dimanche dernier, Jany Le Pen représentait son mari. Une première que Carl Lang ne manque pas d'interpréter comme autant de « signes » de la volonté du président d'honneur suspendu du FN de renouer avec les anciens. Comme le dit d'ailleurs Jean-Marie Le Pen sur Radio Courtoisie, « le passé fut si beau en somme qu'il ne faut blâmer le destin », citant l'écrivain Robert Brasillach. 
 

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