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Le blog politique de Thomas JOLY

Arrêtons d’emmerder les Français (par Françoise Roussel)

9 Octobre 2015, 06:19am

Publié par Thomas Joly

De quand datent les premiers chemins ? Quand les hommes ont commencé à se sédentariser, pour aller au point d’eau, à la forêt proche pour chasser, ou cueillir les baies.

Puis les chemins devinrent routes, d’abord en terre puis empierrées ou dallées pour éviter les ornières, puis pavées et enfin, au 20e siècle, arriva l’asphalte, qui donna à ce maillage dense de voies de transport une qualité de confort inégalée et parfaite à l’automobiliste béat.

Dans le cerveau pervers de quel conseiller municipal germa un jour l’idée du « ralentisseur » ? Le panneau de signalisation indiquant la vitesse à ne pas dépasser ne devant pas être suffisamment motivant, on obligea donc les automobilistes à cahoter à nouveau comme au Moyen Âge ! Car le concept fit florès, et il n’est maintenant de bourgade française qui ne soit ainsi généreusement équipée, parfois tous les trente mètres, et l’on peut admirer les voitures monter puis descendre ces dos d’âne, et conducteurs et passagers se faire secouer comme des marionnettes, nous ramenant l’inconfort des temps jadis alors que l’on pourrait rouler limpidement et sereinement sans la motivation d’activer le sacro-saint « principe de précaution » décidé par un conseil municipal bas de plafond et moutonnier mais tout-puissant et régressif.

J’observe également que pour soi-disant limiter la fraude dans le RER, on a installé des portillons hauts très difficiles à franchir quand on est chargé, avec une efficacité douteuse, les employés RATP regardant sans piper les jeunes sauter ces obstacles avec souplesse. Les étrangers s’étonnent de constater qu’il faille repasser le ticket et refranchir un portillon pour sortir de la gare : là aussi, on empoisonne le voyageur lambda pour faire semblant de contrer une fraude marginale et finalement bienveillamment tolérée.

De même m’étonnai-je un jour de voir un marteau dans la cuisine d’une vieille amie… « Impossible de brancher les appareils si je ne tape pas sur la prise avec un marteau », m’informe-t-elle… Je me suis moi-même retrouvée à pester contre ces prises obturées de façon quasi hermétique et mettre plusieurs minutes à réussir à brancher un appareil, et là je me dis qu’il n’est pas sûr que la technique de mon amie soit totalement sûre pour elle…

Tous ces désagréments mis en œuvre légalement pour éviter le potentiel accident nous gâchent la vie alors que l’éducation devrait tenir lieu de principe de précaution. Un bébé d’un an comprend parfaitement « non » et les limites du territoire de son exploration si on lui explique et le reprend, et n’ira pas toucher la prise de courant si on l’en a plusieurs fois empêché.

De même la courtoisie et la civilité devraient permettre une circulation apaisée en ville, mais sans contrainte. Ayant vécu aux États-Unis j’ai observé que les gens roulaient là-bas doucement, avec respect des piétons et des limites de vitesse car l’individualisme est, chez les Anglo-Saxons, beaucoup moins sacralisé qu’en France, et ils se plient naturellement aux règles qui permettent une vie en société agréable.

Alors oui, « arrêtons d’emmerder les Français », mais dès le plus jeune âge, que les parents secondés par des enseignants solides et motivés éduquent leurs enfants dans le respect des règles et les limites de leur liberté, pour en faire des citoyens compréhensifs qui n’auraient pas besoins de garde-fous débiles pour se conduire normalement . Une utopie ? C’était la règle avant Mai 68, alors oui, reprenons ce qui était bon dans le passé, une certaine exigence d’éducation et comportement, et gardons le meilleur du présent, le progrès technique et médical si merveilleux de notre époque.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Kévin Reche met en garde les Albertins

8 Octobre 2015, 06:42am

Publié par Thomas Joly

Kévin Reche met en garde les Albertins

Kévin Reche, responsable de Sauvons Calais, Délégué du Parti de la France pour le Calaisis, s'adresse aux habitants d'Albert dans la Somme

En tant que Calaisien, je subis quotidiennement l'immigration clandestine et ses conséquences désastreuses pour l'économie locale, l'emploi et la sécurité des habitants de Calais. Ma ville est actuellement occupée par un peu plus de 6.000 clandestins originaires de Syrie, d'Afghanistan, d'Érythrée, du Soudan et j'en passe.

Beaucoup de personnes pensent qu'accueillir les migrants est un acte d'humanisme qui protège ces pseudo-réfugiés. Sauf que voilà, derrière la bonne image diffusée par de nombreux médias se cache une réalité totalement différente de celle que l'on peut entendre et voir partout.

Calais est une ville laboratoire. Ici, vous pouvez observer les effets de l'immigration de masse. Voici quelques exemples, parmi des centaines :

- Les commerces sont victimes de vols et de braquages. Les commerçants doivent même parfois fermer leur magasin car des dizaines de clandestins squattent la devanture de leurs établissements et font fuir les clients. Le centre-ville de Calais est, à l'heure actuelle, désertifié.

- Les habitants doivent faire face à des problèmes beaucoup plus graves. Rackets, agressions gratuites, viols sur jeunes enfants, harcèlements sexuels, voilà un peu le triste quotidien des Calaisiens. Et encore, je ne parle pas du fait qu'ici, si vous partez en vacance, vous avez de très gros risques de vous faire squatter votre domicile par des migrants. Et vous ne pouvez rien faire, votre domicile leur appartient officiellement 48h après leur installation. Nous devons également faire face aux conflits ethniques et religieux qui provoquent des rixes entre clandestins mettant la sécurité des Calaisiens en danger. Quand vous êtes entre deux groupes constitués de plusieurs centaines de « réfugiés » qui se lancent des pierres, qui se tapent à coup de barres de fer, qui saccagent tout, qui se courent après armés de sabres et de couteaux, votre sécurité est mise en danger.

- Les forces de l'ordre sont normalement les seules personnes sur lesquelles vous pouvez compter pour vous protéger. Sauf que voilà, elles sont quotidiennement en mission de surveillance au port ou dans les zones sensibles. Bien que représentants de l'autorité, les policiers ne sont pas respectés par les migrants et ne leur font aucunement peur. Il y a bien pire, nous en sommes arrivés à un point où le commissariat de police de Calais ne prend plus en considération les plaintes de calaisiens contre les clandestins. Les seuls conseils qu'ils pourront vous donner, c'est de faire justice vous même mais qu'en suite, vous aurez des problèmes avec la justice. Alors, comment préserver notre sécurité dans tout ça ?

Je ne vais pas faire de longue liste des problèmes que nous, Calaisiens, rencontrons à cause de cette immigration de masse mais sachez que je vous conseille fortement de vous y opposer, avant qu'Albert ne devienne un Calais Bis et que l'insécurité permanente ne s'y installe... Vous avez encore un doute ? Venez donc visiter Calais, l'Albert du futur si aucune opposition ferme ne se forme dans la rue. Mobilisez-vous ! En vous souhaitant bon courage.

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Le Parti de la France en force à la 9ème Journée de Synthèse Nationale à Rungis dimanche 11 octobre

8 Octobre 2015, 06:23am

Publié par Thomas Joly

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Clips anti-djihadistes pour bobos éplorés (par Aristide Leucate)

8 Octobre 2015, 06:18am

Publié par Thomas Joly

Big Brother est décidément impayable. Au lieu de s’en prendre à la racine du mal, sans arrière-pensées politiciennes ni mansuétude, on l’évite, on le dépersonnalise. On le nie. C’est ainsi que le gouvernement, à coups de clips audiovisuels, a décidé de soutenir une campagne nationale – assortie de son inévitable Numéro Vert – tant pour dissuader les candidats potentiels au djihad que pour orienter les familles en « détresse » vers des structures d’accompagnement idoines.

L’on doute sérieusement que le premier objectif soit atteint, tant les atermoiements et les pleurnicheries, forcément « dignes », restent des armes de guimauve face à un salafisme conquérant et viril, qui conchie d’autant plus violemment cet Occident « Bisounours » qu’il se féminise et s’abîme dans une décadence festive. Quant au second, il s’apparente à la mise en place de cellules de soutien psychologique pour bobos meurtris dans leurs tendres petits cœurs de « mamans » et de « papas » recomposés, subitement délaissés par une progéniture vide de l’intérieur, bien que ne manquant de rien, surtout pas de « l’amour » de leurs géniteurs angéliques.

« Un an plus tôt, Félix, qui a grandi dans une famille catholique non pratiquante, avait annoncé sa conversion à l’islam. » « On était un peu soufflés. Mais je lui avais dit que sa nouvelle religion était belle, ma seule peur était que cela crée une scission entre nous », se confie une mère éplorée dans Le Parisien (7 octobre). Des mièvreries qui en disent long sur l’état de déliquescence de nos sociétés postmodernes, connectées à proportion de ce qu’elles sont déracinées. La moraline instillée, depuis trente ans, par l’État-nounou via l’école et les médias a littéralement annihilé toute éthique de la responsabilité. Souchon le chantait si bien : « Allo maman, bobo… ». Tout fut dit.

Une fois de plus et sans surprise, l’État promeut des héros d’un nouveau type : les victimes par acclamation. Souffrant d’être stigmatisés par la société, ils sont directement absous par un système qui ne craint rien moins, depuis des lustres, que de discriminer. Or, le prétendu désarroi égoïste des familles est d’abord et avant tout un lamentable désastre social, un Waterloo politique. Une lâcheté supplémentaire. Et surtout, le triomphe sans partage du narcissisme infantile et de la souveraineté illimitée du Moi. « Ni coupables, ni responsables ! La faute aux méchants djihadistes qu’a rejoints mon enfant ! »

Ce radicalisme islamique est la conjonction de deux facteurs corrélés l’un à l’autre : la déchristianisation progressive de la société française et l’immigration de masse, toutes deux encouragées par un antiracisme moral qui prétendait substituer son universalisme fraternel à la première tout en louant les vertus fantasmées du métissage obligatoire induite par la seconde. Le Dieu de Clovis ne fut pas remplacé, au contraire du peuple de France.

Et pendant que son fils combat dans les rangs de Daech en Syrie, notre bobo, entourée de la douce compréhension enamourée de la puissance publique, confesse : « Avec mon mari, on continue à sortir, à danser, sinon on pète les plombs. »

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Pour NKM, les climato-sceptiques sont des « connards ». Que fait Guy Bedos ? (par Gabrielle Cluzel)

8 Octobre 2015, 06:17am

Publié par Thomas Joly

Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, les climato-sceptiques sont des « connards ». C’était lundi soir, dans « Le Grand-Journal » de Canal+ animé par Maïtna Biraben. NKM était interrogée sur le livre Climat Investigation de Philippe Verdier, chef du service météo de France Télévisions, livre dont elle ne pense que du mal, bien que, de son aveu même… elle ne l’ait pas lu.

Les climato-sceptiques ont peut-être raison. Ils ont peut-être tort. Là n’est pas la question. La seule question, la vraie question, est de savoir comment un ancien ministre, vice-présidente d’un des partis les plus influents du pays, ayant prétendu récemment à devenir maire de Paris, peut avoir assez de désinvolture, de mépris et d’immaturité pour dénigrer un bouquin dont elle avoue elle-même ne pas connaître le contenu, et injurier gratuitement son auteur en même temps que tous ceux qui partagent l’avis de celui-ci ?

Sans doute s’est-elle laissée emporter par l’ambiance du plateau, les ricanements du public dans son dos, les incitations à « se lâcher » des animateurs, comme ces premières de classe rosissantes que les redoublants du dernier rang poussent à proférer des vannes salaces et qui, flattées d’être enfin l’objet de leur attention, n’osent rien leur refuser. Mais NKM n’a plus de cartable Tann’s dans le dos ni d’agenda Hello Kitty. Elle aspire aux plus hautes fonctions de l’État.

Que celui qui n’a jamais proféré ce mot-là derrière son volant, quand un chauffard vient d’assortir sa queue de poisson d’un doigt d’honneur, lui jette la première pierre. Son « président » Nicolas Sarkozy, lui-même, n’a-t-il pas lancé un « Casse-toi, pauv’con », relevé par deux pigistes de passage, à un homme qui refusait sa main tendue ? Sauf que la parole de NKM était publique, sauf que personne ne l’a prise en traître, sauf que personne ne l’a préalablement insultée.

Voici donc comment NKM conçoit le débat : la réduction ad connarum, façon Bedos, sans s’embarrasser de chercher à connaître l’argumentaire d’en face.

Voilà donc comment NKM conçoit l’exemplarité en politique : sûr que les lycéens, après l’école devant leur écran, n’en ont pas perdu une miette, et sont partis faire leurs devoirs en conséquence – « Stendhal est un connard. Pas besoin de lire son bouquin pour le savoir ». Puisque ce sont là des méthodes de polytechnicienne, on aurait bien tort de s’enquiquiner.

Voilà donc comment NKM conçoit le vivre ensemble avec « l’autre », celui « qui ne pense pas comme nous » : dans l’invective grossière. Quand les Français, eux, devraient se faire des bisous partout.

Dans les familles politiques, comme dans toutes les familles, il est des étiquettes qui vous collent à la peau : chez Les Républicains, par exemple, Nadine Morano serait la fille vulgaire à l’intelligence sommaire, et NKM la grande liane futée, classe et déliée. Parfois, pourtant, on peut se demander qui, des deux, est réellement la poissonnière.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Vladimir Poutine veut le chef de l’Etat Islamique « vivant » ou « exposera son cadavre » s’il est tué

8 Octobre 2015, 06:06am

Publié par Thomas Joly

Vladimir Poutine a demandé à l’état-major de l’armée russe de ramener le calife de l’Etat Islamique « vivant ». Au cas où il serait tué, Abu Bakr Al Baghdadi, le chef de l’EI, devra voir son cadavre exposé et photographié.

Source : http://breizatao.com

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Angela Merkel en burqa à la TV allemande devant le Reichstag hérissé de minarets

7 Octobre 2015, 06:39am

Publié par Thomas Joly

La chaine allemande ARD, en diffusant des images du Reichstag hérissé de minarets devant lequel apparaît Angela Merkel en Burqa, a ajouté sa petite pierre au mur de contestation qui grandit contre la politique immigrationiste d’Angela Merkel.

Ce n’est pas la première fois que la dirigeante allemande est affublée d’une burqa tant sa politique pro-islamique a depuis longtemps attiré l’attention des observateurs.

L’Allemagne a encore, ces derniers jours, révisé à la hausse le nombre d’immigrés clandestins  qu’elle s’apprête à accueillir sur son territoire, les faisant passer de 800.000 à 1,5 million désormais, selon le quotidien allemand Bild. La fatalité de l’invasion est agitée devant les européens comme on leur a présenté la fatalité de l’expansion de l’Etat islamique avant que la Russie en quelques jours les fassent régresser et même fuir par milliers vers la Jordanie.
La population allemande se révolte de plus en plus en dépit du renforcement des mesures répressives contre les récalcitrants au Grand remplacement.

Ce photomontage de la chancelière allemande en burqa, entourée de minarets, devant le siège du parlement allemand réduit en mosquée, a été diffusé dans le cadre de l’émission « Bericht aus Berlin » (Message de Berlin) le 4 octobre avec le titre Angst vor einem Verlust der Werte (crainte de la perte d’identité) sur la chaîne de télévision ARD.

La chaine a été accusée de propager l’islamophobie et d’encourager les partis d’extrême-droite. L’image illustrait le sujet de l’avenir des valeurs allemandes dans le contexte de la submersion migratoire musulmane à laquelle est confrontée la population allemande. 

« Comment la vie va-t-elle changer ? Comment doit-on réagir si les immigrés ont des problèmes avec l’égalité, avec les droits de la femme et la liberté de parole ? », s’est exclamé le présentateur avec le Reichstag hérissé de minarets et Angela Merkel en burqa, en fond d’écran.

Les responsables de l’émission « Bericht aus Berlin » ont déclaré sur Facebook que « l’image était en adéquation avec le sujet présenté par Rainald Becker qui accompagnait le reportage sur les valeurs de notre société. Le présentateur parlait des progrès de la société occidentale — de la liberté de parole et de l’égalité. Ces valeurs étaient le sujet du photomontage. La chaîne voulait illustrer des contradictions en lançant ainsi une discussion. L’usage d’images polémiques n’est pas interdit par la loi. Nous réfutons fermement toute accusation d’incitation à l’islamophobie ».

Après avoir été largement favorables à l’immigration, les Allemands à l’épreuve des faits sont maintenant minoritaires à l’accepter. C’est ce que reflète un sondage  Infratest Dimap réalisé début octobre. 47% craignent l’afflux des clandestins désormais. La côte de popularité de la chancelière suit le même chemin, à la baisse. Même si elle est encore très loin des courbes d’impopularité de François Hollande. 

Source : http://www.medias-presse.info

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Rappel : Rassemblement contre l'installation de migrants à Albert samedi 10 octobre

7 Octobre 2015, 06:25am

Publié par Thomas Joly

Le collectif Sauvons Albert et le Parti de la France organisent un rassemblement à Albert, place de la mairie, samedi 10 octobre à 15h, pour protester contre le projet d'installation de plusieurs centaines de migrants dans la ville.

En effet, Stéphane Demilly, maire UDI de la commune, s'est précipité pour faire savoir au Ministère de l'Intérieur qu'il était prêt à accueillir dans sa ville des pseudo-réfugiés, sans bien sûr consulter ses administrés. Il serait même question d'installer à Albert plusieurs centaines de clandestins. Ce qui entraînerait, comme à Calais, un désastre sécuritaire, social, identitaire et sanitaire.

Les Albertins et les Français ont encore le droit de refuser d'accueillir toute la misère du monde et de vouloir rester maîtres chez eux !

Le 10 octobre prochain, disons NON aux migrants à Albert ! NON à la colonisation migratoire !

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L'Union Européenne offre 1 milliard d’euros pour la Turquie

7 Octobre 2015, 06:13am

Publié par Thomas Joly

Lu dans la Lettre de l'Expansion :

1Source : http://www.lesalonbeige.fr

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« La race je m’en fous » : Philippe de Villiers à gauche de Morano

7 Octobre 2015, 06:11am

Publié par Thomas Joly

Lamentables propos de Philippe de Villiers (et assumés, puisqu’il les reprend sur son site et ses comptes sur les réseaux sociaux), qui poursuit son jeu de faux-rebelle, sur l’antenne de LCI.

Le héraut d’une certaine droite faussement « dure », est interrogé sur la polémique Nadine Morano (vilipendée par les médias pour avoir dit que la France était un pays de « race blanche »).

Défendant d’abord la liberté d’expression de l’ancien ministre, il tient ensuite à se prémunir de toute polémique avec les cosmopolites en déclarant grossièrement « la race je m’en fous » !

Après ce terrible aveu, il ajoute, de façon très républicaine ces assertions aberrantes : « La France c’est pas une race, c’est pas une ethnie la France. C’est une culture. […] C’est ce qu’on a dans le cœur ».

Bien sûr, la France est une ethnie et bien sûr, il y a un lien entre race et culture. Et bien sûr, la destruction de la diversité humaine par le métissage est un pilier du projet mondialiste.

Bref, Philippe de Villiers, par pitié, cantonnez-vous strictement à vos romans historiques !

Source : http://www.contre-info.com/

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Pourquoi l’Occident souhaite la défaite des Russes en Syrie (par Christophe Servan)

7 Octobre 2015, 06:04am

Publié par Thomas Joly

La fermeté disproportionnée avec laquelle la Turquie a réagi à l’incursion d’un chasseur Su-30 dans l’espace aérien turc (une incursion d’à peine quelques secondes) laisse perplexe. Cet incident a même provoqué une réunion d’urgence des ambassadeurs des États membres de l’Alliance atlantique, d’où il est sorti un communiqué particulièrement dur où figurent les expressions « condamnation ferme », « danger extrême » et « attitude irresponsable ». Ce n’est pas le ton que l’on emploie à l’égard d’une puissance étrangère avec qui l’on entend combattre un ennemi commun, même si cette entente est de circonstance. Ce sont les propos d’un adversaire qui fait tout pour vous mettre des bâtons dans les roues. Explications !

Russes et Occidentaux ont naturellement intérêt à éradiquer le cancer Daech avant qu’il ne se propage dans le Caucase et en Europe, c’est difficilement contestable. En revanche, en Syrie, il est manifeste que ces deux puissances poursuivent des buts opposés. Les Russes veulent garder Bachar el-Assad, l’Occident veut s’en débarrasser. Une opposition qui aurait pu être réconciliée – surtout au regard du péril que représente l’État islamique – si les deux parties jouaient franc-jeu, mais ce n’est pas le cas. Si la Russie est parfaitement transparente dans ses motifs – 1) le clan Assad est l’allié des Russes, une alliance qui remonte à la guerre des Six-Jours et c’est à sa demande qu’elle intervient sur le théâtre d’opérations syrien ; 2) il n’y a pas de commandant Massoud en Syrie, Bachar est la seule alternative aux islamistes radicaux -, l’argument ou plutôt l’alibi humanitaire des Occidentaux n’est que pure façade. Comment peut-on encore ignorer en 2015 que, lorsqu’il s’agit de servir leurs intérêts stratégiques, les États-Unis n’ont que faire des droits de l’homme, une realpolitik ouvertement assumée lorsqu’en 1996 Madeleine Albright, alors secrétaire d’État de Bill Clinton, déclara sur CBS News que la mort d’un demi-million d’enfants irakiens était un prix acceptable pour se débarrasser de Saddam Hussein.

La véritable raison pour laquelle les États-Unis et leurs alliés veulent absolument se débarrasser du dictateur alaouite est aussi limpide que peu avouable, un cas d’école de géostratégie sur fond d’intérêts économiques : cette raison, c’est l’Iran. L’Arabie saoudite, les émirats du Golfe et probablement Israël ont fait du départ d’Assad une condition sine qua non de la normalisation des relations avec le régime de Téhéran, une normalisation ardemment souhaitée par Barack Obama et qu’il souhaite conduire avant la fin de son mandat. En d’autres termes, d’accord pour sortir l’Iran de son isolement, mais un Iran diplomatiquement affaibli et, pour cela, il faut d’abord éliminer son principal allié dans la région.

Tout cela, Vladimir Poutine ne le sait que trop, comme il n’ignore pas que l’Occident ne redoute rien plus qu’une victoire éclair de la Russie, même plus – ô scandale – que la chute de Damas aux mains de l’État islamique. Pourquoi prendre des risques, alors ? L’hypothèse la plus probable est qu’une fois la Syrie pacifiée, il acceptera de monnayer le départ de Bachar el-Assad contre un règlement à son profit de la question ukrainienne. C’est un coup de poker. Le risque est qu’entre-temps, l’Occident humilié se raidisse et commette l’impensable : qu’il entre en guerre ouvertement contre Assad et son allié russe à la faveur d’un incident de frontière savamment provoqué.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Laurent Joffrin, nouveau juge de Nuremberg-sur-Seine (par Silvio Molenaar)

7 Octobre 2015, 06:01am

Publié par Thomas Joly

L’heure doit être grave : l’un des fleurons de la bien-pensance consacre ses cinq premières pages (Libération du 5 octobre) à décortiquer, sous la plume de Laurent Joffrin, « la rhétorique des polémistes réacs ». Pour ne citer que trois d’entre eux : Alain Finkielkraut, Michel Onfray, Éric Zemmour.

« Au lieu d’avancer à visage découvert », affirme Joffrin, « de dire clairement qu’on est conservateur, traditionaliste, nationaliste ou anti-musulman, on prend un détour, on joue au billard […] On ne défend pas le racisme, on accuse l’antiracisme, comme l’a encore fait Alain Finkielkraut que l’on interrogeait sur la lamentable sortie de Nadine Morano » […] Avouez ! Mais avouez donc ! semble intimer un Laurent Joffrin fulminant devant le refus d’un Alain Finkielkraut hypocrite d’effectuer son « coming out » raciste…

Une dialectique glaçante qui n’est pas sans rappeler celle, de stalinienne mémoire, de L’Aveu d’Arthur London. Au chapitre « L’emprise de l’islam tu stigmatiseras », le juge de Nuremberg-sur-Seine plaide la cause de ses amis persécutés : « L’islam, c’est la grande affaire. C’est l’obsession autour de laquelle tournent nos penseurs passéistes : ils ont peur des musulmans. »

Hélas pour Laurent Joffrin, un certain nombre de « lecteurs déprimés » et « d’électeurs angoissés » (Laurent Joffrin dans le texte – traduire : Français ne partageant pas le point de vue de monsieur Joffrin) ont pris connaissance, il y a peu, d’une « Lettre à un Français sur le monde qui vient ». Il en ressort que la gangrène réactionnaire semble avoir gagné le Maghreb. Le Figaro du 16 septembre dernier consacrait en effet un article à l’écrivain algérien de langue française Boualem Sansal, habitant l’Algérie, et auteur de la lettre en question. Concernant l’islam qu’il connaît, qu’il côtoie, un islam inconnu sans doute de notre juge de Nuremberg-sur-Seine, voici quelques extraits de cette lettre.

« Je vous le dis franchement, je crains pour vous, vous me semblez si peu préparés, pour ne pas dire indolents. Je ne sais trop non plus si vous vous rendez compte que vos gouvernants qui sont d’une pusillanimité indescriptible vous poussent carrément dans le cauchemar […] Il faut se souvenir que tout ne se dit pas, les mots sont dangereux de nos jours, ils nous reviennent à la figure, les gens les entendent à l’envers, ils voient des amalgames et des phobies là où tout est simple et juste réalité. Le fait est que nous sommes tous, et vous en particulier, pris dans le piège de la taqiya. Ce fichu mot n’est pas traduisible, il est mystérieux comme la mort, sachez qu’il a à voir avec la ruse de guerre sainte et qu’il y a des siècles de malice et de magie derrière cette chose. Par un jeu subtil d’insinuations, d’accusations suggérées et de menaces voilées, de dénonciations vagues, d’incantations fiévreuses et de cris pleins d’un étrange silence, les champions de la taqiya nous inoculent le virus de la culpabilité et voilà qu’aussitôt montent en nous la honte de penser, la peur de dire et le refus d’agir » (…)

Il y a une indéniable délicatesse dans les mots de Boualem Sansal, aux antipodes des insultantes accusations de racisme de Joffrin à l’encontre d’Alain Finkielkraut. Mais peut-on en demander plus à quelqu’un étant à l’intuition ce qu’est l’éléphant au magasin de porcelaine ?

Et le plus inquiétant reste à venir : « Alain Juppé a qualifié dimanche de catastrophe la vision de ces intellectuels » (Le Figaro du 5 octobre). No comment.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Déferlante migratoire : viols et pédophilie ne peuvent plus être cachés

6 Octobre 2015, 06:52am

Publié par Thomas Joly

Le sujet reste tabou parmi les médias francophones du Système. En Allemagne, par contre, plus moyen de le cacher. Chaque semaine, de nouvelles révélations sont publiées dans l’un ou l’autre journal allemand à propos de la recrudescence des agressions sexuelles liée à l’arrivée massive de migrants. Des agressions sexuelles dont les victimes sont fréquemment des enfants ou de très jeunes adolescents.

C’est le site du journal Der Spiegel qui a publié des informations à ce sujet, corroborant ainsi tout ce que Médias Presse Info a déjà écrit sur ce grave problème.

Der Spiegel s’est concentré sur le cas du grand centre d’accueil pour réfugiés de Hesse. La semaine dernière, au moins 15 femmes et enfants y ont été abusés sexuellement, selon ce que sait l’administration. La police confirme que le viol, la prostitution forcée et la maltraitance des enfants sont constatés dans ce camp. Aucune recension n’est faite à l’échelon de toute l’Allemagne, mais « de nombreux viols » ont été signalés à Giessen et des problèmes similaires sont reconnus à Munich.

Spiegel Online a donc publié un entretien Johannes Wilhelm Rörig, Commissaire du gouvernement fédéral allemand pour les abus d’enfants. Celui-ci confirme à son tour que le risque de violence sexuelle est particulièrement élevé dans les camps de réfugiés. Les agressions sexuelles peuvent provenir des « réfugiés » mais aussi du personnel des camps, selon Johannes Wilhelm Rörig qui signale la grande facilité avec laquelle des bénévoles peuvent se voir confier la responsabilité d’enfants sans être soumis à aucune vérification.

Par ailleurs, pour Johannes Wilhelm Rörig, il ne fait pas de doutes que beaucoup de victimes d’agressions sexuelles dans ces camps n’en parlent pas à la police. Ce serait encore plus le cas parmi les enfants. Au final, cet entretien ne nous apprend rien que nous ne savions déjà mais a l’avantage de se distinguer de l’autocensure qui règne dans les médias francophones mainstream.

Source : http://www.medias-presse.info

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Les Africains sont-ils exactement comme nous ? (par Marie Delarue)

6 Octobre 2015, 06:48am

Publié par Thomas Joly

J’ai connu, voilà une dizaine d’années, une femme qui était reporter mode dans un grand magazine féminin. Son journal l’avait envoyée suivre le Festival international de la mode africaine à Niamey. Le FIMA est l’une de ces manifestations obscènes qui plaisent tant à nos élites, où l’on fait défiler les stars faméliques des podiums sous le nez de Nigérians tout aussi faméliques ; les premières parce qu’elles ne veulent pas bouffer, les seconds parce qu’ils n’ont rien à bouffer.

La dame prit goût à l’Afrique. Aux Africains, surtout. Cette vieille soixante-huitarde s’était mise à pratiquer le tourisme sexuel avec assiduité, pensant racheter par son ventre accueillant le colonialisme de ses ancêtres. Du moins c’est ce qu’il m’avait semblé comprendre.

En vérité, elle connaissait l’Afrique comme BHL connaît les terrains de guerre : par les hôtels et surtout les boîtes de nuit où elle levait ses amoureux d’un soir ou d’une semaine. En vertu de quoi elle clamait haut et fort que « les Africains sont exactement comme nous ». Et quand on lui demandait sur quoi elle se fondait pour l’affirmer, elle répondait : « Ils vont en boîte. » (sic)

La semaine passée, j’ai fait la connaissance d’Aboubakar chez l’un de mes amis. Aboubakar est burkinabé, la trentaine. Fils d’un grand marchand d’art, marchand d’art lui-même, il parcourt l’Europe entre collectionneurs et galeries.

Au moment de se quitter, comme il d’usage avec les amis africains, on parle de la famille. Sans ironie, je le précise.

« – Combien as-tu d’enfants, maintenant ? lui demande mon ami.
– J’ai deux épouses et neuf enfants.
– Tu as fait de bonnes affaires, cette fois. Vas-tu t’acheter une nouvelle femme ?
– Oui, mais je vais attendre un peu… À 40 ans, j’en prendrai une troisième et à 50 une quatrième, mais je ne compte pas aller au delà de cinq.
– Pourquoi ?
– Mon père avait sept femmes, ça coûte cher…
– Et combien as-tu de frères et sœurs ?
– Nous sommes quarante-neuf. »

Si la vie ne lui fait pas de méchantes farces, Aboubakar aura cinq épouses. À moins que l’un de ses frères ne décède et que sa propre position dans la fratrie ne lui impose de racheter ses femmes. Auquel cas, il devra s’endetter, et si d’aventure il lui arrive aussi malheur, alors il transmettra les dettes à ses propres enfants, qui seront endettés pour la vie.

Je ne sais pas si Aboubakar va en boîte de nuit. Peut-être. Ou pas. Ce dont je suis sûre, c’est qu’il n’est pas « exactement comme nous ». Qu’il n’a pas la même culture, les mêmes mœurs, la même conception de la famille. Et l’électricité que monsieur Borloo veut amener sur le continent africain n’y changera sans doute rien.

Au sommet de la francophonie, en novembre dernier, on a tenu des propos dérangeants. Dit par exemple que « notre intérêt et celui de l’Afrique, c’est aussi de chercher à réduire une démographie galopante », et que « tous les beaux schémas de décollage économique risquent d’être anéantis par la surpopulation qui aura des conséquences dramatiques en Afrique mais aussi en Europe et dans le monde ».

De 200 millions dans les années 1950, la population africaine atteint aujourd’hui le milliard. Elle doublera dans les 35 prochaines années et sera sans doute de près de 4 milliards de personnes à la fin du siècle. Car Aboubakar, aussi occidentalisé soit-il, va continuer d’acheter des épouses et de faire des enfants. Parce que c’est sa culture, parce que c’est sa conception de la vie, tout simplement.

Pour mémoire, le Niger plus haut cité détient le record mondial de fécondité : 7,6 enfants par femme en 2012. Et rien pour les nourrir.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Arles : une cinquantaine de « jeunes » agressent deux policiers (par François Teutsch)

6 Octobre 2015, 06:35am

Publié par Thomas Joly

La presse est unanime. À la virgule et au guillemet près, elle reprend en chœur la même présentation d’un fait divers qui doit être, à leurs yeux, moins important que le foot, les propos nauséabonds de Morano ou, bien sûr, le coming out d’un prélat romain. Rien de grave, juste un incident dans une banlieue d’Arles.

La presse donc, qui titre (typographie respectée par Boulevard Voltaire) « Arles : “guet-apens” contre deux policiers » (Le Figaro), « Arles : deux policiers blessés dans un “guet-apens” dans une cité » (Le Parisien), « Arles : un “guet-apens” tendu à deux policiers » (Le Dauphiné et les DNA), et ainsi de suite. Même le site Fdesouche reprend cette typographie. Le texte de l’article vient directement des ordinateurs de l’AFP. Seuls quelques sites, comme Atlantico ou, de manière plus surprenante, FranceBleu.fr, titrent sans guillemets et rédigent leur propre article.

Ce qui s’est passé à Arles dimanche soir est malheureusement banal : des policiers de la BAC violemment pris à partie par une bande de délinquants alors qu’ils intervenaient sur un incendie de voiture en appui à leurs collègues de police secours. Deux d’entre eux ont été agressés et ont dû se battre à mains nues, ce qui leur a valu d’être blessés. Leur véhicule a été brûlé. On vous le disait, des faits très banals. Hélas !

Ce qui est remarquable dans cette affaire, c’est la manière dont les faits sont narrés par la presse. L’usage des guillemets dans le titre a pour effet immédiat de jeter le soupçon sur la réalité du guet-apens. Si le mot est entre guillemets, c’est qu’il doit être pris avec précaution. Il ne correspond pas nécessairement à la vérité, et le journaliste ne le reprend pas à son compte. L’AFP utilise les guillemets, donc la presse lui emboîte le pas puisqu’elle achète son article et n’y change pas une virgule. On voit comment est faite l’information.

La seconde particularité – habituelle – de cet article, c’est qu’à aucun moment les « jeunes » ne sont décrits. On imagine volontiers qu’aucun journaliste ne s’en est approché. Cela n’empêche qu’une petite enquête de voisinage, ou auprès des policiers, permettrait d’en savoir plus. Il s’agit peut-être de jeunes bourgeois désœuvrés, entre deux soirées d’école de commerce et la messe du dimanche ; de hordes fascisantes identitaires, du genre à dérouler des banderoles sur les lieux publics pour le seul plaisir d’être interpellés ; de militants homophobes complaisamment pris en photo sous toutes les coutures (Cyrillus). Pourquoi donc la presse ne le dit-elle pas ?

La réalité, nous le savons, c’est que ces « jeunes » sont tous issus de l’immigration. Il n’est donc pas question de le dire, pour ne pas stigmatiser des populations défavorisées, pour ne pas pointer du doigt des personnes, pour ne pas susciter de sentiment de racisme, de réflexe xénophobe.

Les naïfs que nous sommes pensaient que l’inexistence des races empêchait toute expression de racisme. Que la nationalité française dont bénéficient tous ces jeunes supprimait toute tentation de xénophobie. Que les milliards dépensés dans une politique de la ville ubuesque faisaient de ces quartiers des havres de paix, de « vivre ensemble » – quel joli mot ! – et de sociabilité multiculturelle pacifiée.

Le silence est, à lui seul, une information. Plus grand monde n’est dupe. Et l’habituel chœur des vierges effarouchées se lamentera, en décembre prochain, du résultat des élections…

Source : http://www.bvoltaire.fr

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