Le blog politique de Thomas JOLY
Président du Parti de la France
Algérie : cette guerre qui menace
Il y a maintenant deux ans, j’écrivais un article, en forme de bouteille à la mer, pour Boulevard Voltaire intitulé « Printemps algérien en vue, une catastrophe pour la France ? » Des troubles naissaient alors en Algérie, suite à la nouvelle élection d’Abdelaziz Bouteflika à la tête du pays. Loin de s’être arrangée, la situation du pays s’est, depuis, dégradée. En cause, notamment, la chute des cours des matières premières. Les rentes de gaz et de pétrole (60 % des recettes budgétaires d’Alger) ne rapportent plus autant qu’auparavant et la gérontocratie algérienne ne peut plus calmer la population en l’arrosant d’allocations diverses.
Mohamed Benchicou, ancien directeur du journal Le Matin, estime que l’Algérie est au bord d’une faillite qui « engendrerait le chaos et pousserait les Algériens à fuir vers l’Europe ». Une situation qui n’est pas souhaitable des deux côtés de la mer Méditerranée. Pire : l’Algérie partage une frontière avec la Libye, actuellement en guerre civile suite à la funeste opération de « démocratisation » voulue par Nicolas Sarkozy et son visiteur du soir, l’« intellectuel » Bernard-Henri Lévy.
Les forces de l’État islamique se sont considérablement renforcées lors des derniers mois, et certaines zones libyennes menacent de basculer sous le joug des armées du califat. Boualem Sansal, auteur du roman d’anticipation 2084 – La fin du monde, grand prix du roman de l’Académie française pour l’année 2015, déclarait hier au Figaro qu’un « scénario d’une escalade de la terreur sur le modèle syrien » lui paraissait tout à fait crédible. Je fais mienne sa déclaration et suis au regret de constater que ce que je prévoyais il y a deux ans pourrait n’être que modéré par rapport à ce qu’il se prépare.
Si l’Algérie aurait pu avoir vocation à être un point d’équilibre dans le monde arabe et la région, certains défauts structurels sembleraient plutôt la précipiter dans le chaos. Le contexte international n’aide pas, mais l’Algérie doit au plus vite parer à ces funestes éventualités en procédant à son examen critique.
L’argent du pétrole n’a pas été investi pour moderniser le pays et lui donner une économie diversifiée capable de lui permettre d’affronter les transformations mondiales. L’Algérie est un pays riche et jeune aux institutions hors d’âge. Abdelaziz Bouteflika a livré les pauvres aux islamistes qui se substituent parfois à l’État, à l’image de ce qu’il se produit dans quelques zones de non-France dans l’Hexagone. Que se passera-t-il lorsque Bouteflika mourra ? La continuité institutionnelle ne semble pas assurée et les divisions profondes des diverses sensibilités pourraient se faire jour dans une cruelle guerre de succession.
Inflation, austérité, panne de l’ascenseur social et baisse du pouvoir d’achat entraînent une grogne sociale de plus en plus vive. Sans oublier les tensions multiples entre la communauté amazighe, souvent méprisée, et le pouvoir. La moitié des 40 millions d’Algériens ont aujourd’hui moins de 19 ans. Ils sont nombreux à rêver de s’installer en Europe, ce que nous ne pouvons pas permettre. Ils sont nombreux, aussi, à profiter de la crise migratoire pour s’infiltrer dans les filières des « migrants ». En témoignent les violeurs arrêtés à Cologne, parmi lesquels figuraient plusieurs jeunes Algériens.
Diriger, c’est prévoir. Le danger que fait planer l’explosion hallucinante de la démographie africaine est multiplié par plusieurs phénomènes contemporains : la vivacité de l’islam de combat, la chute du prix des matières premières, les populations immigrées non assimilées en France et en Europe, le laxisme et l’impuissance des autorités européennes, l’absence de frontières intra-européennes. Un printemps algérien serait une immense catastrophe. Nous devons nous y préparer dès maintenant pour éviter le pire.
Gabriel Robin
Source : http://www.bvoltaire.fr
En Angleterre, on pense d’abord aux Anglais
En 1979, Margaret Thatcher lançait à Giscard et Helmut Schmidt son célèbre “I want my money back!”, disant par là son refus d’abonder au budget européen davantage que Bruxelles ne versait d’aides communautaires à la Grande-Bretagne. Non pas qu’agissant ainsi, elle marquait une louable charité anglicane pour des pays moins développés que le Royaume-Uni… Mais au moins les Anglais pouvaient être sûrs d’échapper à un traitement bruxellois en leur défaveur.
Vendredi 19 février 2016, un David Cameron de la même veine surgit pour défendre une fois de plus les intérêts de ses concitoyens ; obtenant, entre autres, l’autorisation de les favoriser dans l’attribution d’allocations et d’aides sociales, comparativement au sort fait aux autres nationalités, notamment européennes.
Deux réflexions évidentes forment une dure leçon pour nos technocrates !
En premier, par rapport à l’Europe. On ne pourra pas dire de Thatcher ou Cameron qu’ils n’auront pas tout fait pour faire aimer l’Europe aux Anglais… Et c’est bien normal ! Ce qui l’est moins est que l’on cherche en vain semblable souci chez nos élus et gouvernants. Car, enfin, hormis ce qui reste de la PAC (politique agricole commune) dont on accepta la mort sans mot dire et dont la révolte paysanne montre bien l’échec, nous attendons vainement que l’on nous montre une seule mesure prise par l’Europe, à la demande expresse du gouvernement ou des députés français au Parlement européen, qui fût bénéfique à nos compatriotes, leur prouvant que cette Europe-là pouvait avoir du bon. Tel Giovanni Drogo devant l’horizon, on peut toujours attendre une improbable arrivée du patriotisme et du souci des électeurs chez nos élus.
Nul, ici, ne dit ce “I want my money back!” Il faut se souvenir, de surcroît, que les contributions complémentaires au budget de Bruxelles engendrées pour les autres États par l’attitude de Londres, dites quotes-parts anglaises, furent réduites des trois quarts en Allemagne, Autriche, Pays-Bas et Suède, tandis que la France continue d’en payer l’entièreté. Pour l’heure, défendre la nation, ses habitants et ses intérêts est le cadet des soucis de la Hollandie régnante, contrairement à l’Angleterre où l’on est élu par les siens – et pour les siens !
Secondement – et là n’est pas le moins surprenant ! -, nous vîmes ce week-end la délégation française avaler sans hoquet ni coup férir. Rien de moins. En effet, choisir d’attribuer par priorité des aides aux seuls nationaux, ou des aides plus importantes aux nationaux, prend une tournure qui ne doit pas être pour déplaire à la droite nationale française qui le prône depuis 35 ans sous les cris d’orfraie de la bien-pensance boboïsée. Délectable…
Deux réflexions qui montrent que le meilleur peut sortir de là où l’on ne l’attend pas : un exemple de patriotisme et de souci du peuple. Dure leçon ? Peut-être. Sachons y prendre notre plaisir !
Bertrand du Boullay
Source : http://www.bvoltaire.fr
Interview de Thomas Joly dans le nouveau numéro de Rivarol
Dans le journal Rivarol qui sort aujourd'hui, je réponds aux questions de Jérôme Bourbon concernant ma garde à vue, l'attaque de colleurs d'affiches du PdF à Marseille, le IIIe Congrès du Parti de la France le 7 mai prochain, l'escroquerie politique qu'est devenu le néo-FN de Marine Le Pen et Florian Philippot.
La mesure sécuritaire que les Français attendaient tous : des radars de stop !
En termes de flicage et racket, on avait les radars fixes, mobiles, embarqués, de feu, de chantier etc. Voici désormais le « radar de stop » ! Il s’agit plus exactement d’une caméra qui repère les séquences où le « stop » ne semble pas être bien respecté, et les transfère aux policiers.
Le tout premier a été installé le 15 février à Yerres, dans l’Essonne, rapporte le magazine spécialisé Auto Plus.
Équipé d’une caméra et d’un système automatique de détection des plaques d’immatriculation, il détecte les véhicules qui ne marquent pas (ou pas bien ?) l’arrêt au stop et envoie la scène directement aux policiers municipaux, qui n’ont plus qu’à dresser un PV électronique. Sachant que ne pas respecter un stop coûte 135 euros et quatre points.
Source : http://www.contre-info.com/
Et pendant ce temps… une loi immigrationniste plus permissive que jamais
La lecture des nouvelles est atterrante. Et toutes celles concernant l’immigration ou l’islamisme procèdent du même effet : le laissez-faire ou, pire encore, la répression dès lors qu’une critique vient s’opposer à ce qui est devenu les plaies de notre quotidien.
Chaque semaine, ce sont des pages que l’on pourrait remplir avec ces plaies. Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, a été arrêté avec six heures de garde à vue pour avoir, dit-il, « utilisé deux photos pour illustrer des articles de mon blog consacrés aux atrocités commises par Daech et au meurtre par décapitation commis par l’islamiste Yassin Salhi en juin 2015, sur le territoire français ». Ce jeune homme a ainsi découvert l’existence de ce mystérieux office gouvernemental au nom barbare de OCLCTIC (Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication), cet office caché chargé de surveiller tous nos écrits numériques. Et de conclure, avec raison : « Pendant que le terrorisme islamique prospère en France et en Europe, la police politique de Manuel Valls veille à traquer ceux qui entendent alerter les Français et résister à ce fléau. Le gouvernement socialiste et la justice française semblent avoir leurs priorités… ».
À Calais, la rébellion gronde dans les rangs des migrants, qui préfèrent rester dans la boue dans l’attente d’un hypothétique camion qui leur ferait traverser la Manche. Dimanche, on a relevé un blessé par balle… Tiens, certains migrants seraient armés, alors que les médias nous disent à longueur de reportages qu’ils sont des plus pacifiques et pas violents pour un sou !
Samedi, toujours à Calais, on a vu des gendarmes casqués et déguisés en ninjas arrêter une poignée d’anciens paras, dont un colonel, venus déposer des gerbes devant des monuments aux morts. Allez, ouste, en garde à vue, les anciens militaires ! Comme le général Piquemal. Mais embastiller un clandestin, vous n’y pensez pas. Il n’est, après tout, qu’un simple hors-la-loi selon la devise socialiste. Et s’il refuse de quitter la jungle, on s’empressera de le choyer plus encore.
Je ne parle même pas de ce centre d’accueil de Belgique où des violences interethniques ont voulu imposer le port du voile. Et, pire encore, à Perpignan et en Angleterre, où Jean-Paul Grumberg a révélé sur son blog deux faits révoltants. À Perpignan où un professeur de langue arabe, de nationalité algérienne, enseigne la religion de Mahomet. Et en Angleterre, à Guernesey plus principalement, Amber Stables, professeur du lycée Les Beaucamps, est allée jusqu’à demander à ses élèves, dans le cadre d’un travail écrit, d’écrire à leurs parents pour leur expliquer « pourquoi je me suis converti à l’islam » et « comment cette conversion a changé ma vie, combien j’aime mes parents et espère qu’ils accepteront mon choix ». Vous avez bien lu : dans la paisible Guernesey, pas à Marseille ni en Seine-Saint-Denis !
Et pendant ce temps, comme l’a souvent rappelé Boulevard Voltaire, les migrants défilent et hurlent contre la France un peu partout en France sans que la police n’intervienne ou si peu, les antifas et autres No Borders cassent, détériorent, taguent et pillent sans aucune interpellation. Et que dire de cette justice qui relâche cet « étudiant » qui, gare de Lyon, vient de passer à tabac un policier ?
Que penser de ces quelques députés présents, cette semaine, qui ont voté en catimini la nouvelle loi sur les droits des étrangers ? Pas les devoirs. Leurs droits. Une loi immigrationniste encore plus permissive et plus folle que jamais ! Quand je vous dis que la France va encore vivre de sombres jours, je pense être très optimiste…
Floris de Bonneville
Source : http://www.bvoltaire.fr
Il y a un nom pour ces gens : des collaborateurs
Beauvais 26 mars à 18h : « Face à l'invasion et l'islamisation : résistons ! »
Dans un esprit d'unité patriotique face à la submersion migratoire et l'islamisation qui en découle, une conférence est organisée à Beauvais samedi 26 mars à 18h. Interviendront Thomas Joly (Secrétaire général du Parti de la France), Pierre Cassen (Fondateur de Riposte Laïque) et Loïc Perdriel (Président de Pegida France).
La participation aux frais est libre.
Réservation obligatoire au 06.09.96.44.37 ou thomasjoly60@yahoo.fr
Jude impose sa Law dans la jungle de Calais
Mais, Monsieur Jude Law, si vous estimez scandaleuse la situation des migrants chez nous, accueillez-les sans tarder chez vous : ouvrez-leur toutes grandes vos propriétés britanniques ! Ne vous contentez pas de signer une pétition ou de leur lire leur propre prose…
Lors de votre venue « discrète » dimanche à Calais, dans le camp de migrants, que vous étiez beau, vous, l’acteur so british – l’une des plus grandes fortunes de la planète grâce aux spectateurs qui paient pour voir vos films en tant qu’acteur ou réalisateur : comme il vous seyait bien, ce bonnet bleu à l’image de ceux des migrants vous entourant ! Quel chic ! Vite, révélez-nous quel styliste de haute couture vous l’a créé ! Afin que nous en fassions profiter nos copains et copines.
Vous êtes venu à Calais « plaider pour les migrants : il faut traiter dignement ces êtres humains ». Mais que ne faites-vous pas et, pour le coup, en toute discrétion, sans caméra ni appareil photo, des actions en leur faveur… Avec votre fortune – vous avez même été traité méchamment de « star milliardaire » par M. Bertrand, patron de la région, et donc responsable avec MM. Hollande et Valls de l’avenir de ce camp -, vous devez pouvoir sans aucun problème acquérir, rubis sur l’ongle, des terrains un peu partout en Angleterre et y édifier des « houses » où ces migrants seront enfin traités « humainement »… Les Calaisiens riverains de cet enfer vous en seront si reconnaissants. Mais pas les « humanitaires » locaux qui, eux, redoutent la disparition de leur fonds de commerce…
Vous, vous devez tout ignorer d’une vie au quotidien près d’un tel camp, à Calais ou ailleurs en France ou en Europe. Vous devez vivre, parions-le, à plus de 50 mètres de migrants ! Au moins à 50 km, voire 50 miles ?
Quant aux enfants recherchant leurs parents, « des centaines de mineurs qui ont besoin que l’on s’occupe d’eux », avez-vous déclaré la larme à l’œil… Pour eux, vous avez courageusement et généreusement… signé une pétition ! Et, pour les adultes, lu leurs propres lettres ! Quel exploit…
Votre réaction est à l’image de l’irresponsabilité de tous ceux – à commencer par Mme Merkel et M. Hollande – qui, sans en calculer les conséquences, ont ouvert bras et frontières à des migrants incontrôlables car trop nombreux. Ni nos dirigeants ni vous n’avez envisagé qu’une telle migration, par son ampleur, ne pouvait qu’engendrer – outre « l’entrée libre » de terroristes islamistes – des « bavures » inévitables pour les plus vulnérables : non seulement des enfants ont été séparés de leurs parents mais, en plus, 10.000 autres ont tragiquement disparu. Dans des trafics d’organes ou des filières sexuelles… Voilà ce que vous, les « bien-pensants », avez sur la conscience avec Mme Merkel et M. Hollande ! Vos réactions sont sélectives : vous êtes – à juste titre, comme nous – scandalisé par la photo d’un bambin retrouvé noyé. Mais vous ne dites rien après celles publiées -seulement sur le Net – de bébés chrétiens décapités par les daechiens musulmans ?
Jacques Martinez
Source : http://www.bvoltaire.fr
Qui a dit « qui suis-je pour juger les homosexuels » et qui juge que Donald Trump n’est pas chrétien ?
Oui, vous avez deviné bien sûr : c’est le pape François ! Le milliardaire américain Donald Trump ne peut se revendiquer comme « chrétien » quand il promet de construire des murs contre les immigrés, a-t-il déclaré dans l’avion qui le ramenait du Mexique.
« Une personne qui veut construire des murs et non des ponts n’est pas chrétienne », a affirmé Jorge Bergoglio, répondant à la question d’un journaliste sur les positions anti-immigrés du candidat à la primaire républicaine.
Mais une personne, un évêque, un cardinal, un pape même, peut-il se revendiquer disciple du Christ quand il met à mal la doctrine enseignée par Notre Seigneur lui-même sur le mariage, sur l’homosexualité, sur l’unique voie de salut ?
La question est posée, et si – eu égard au for interne – la réponse appartient à Dieu et à Dieu seul, cela ne doit pas nous empêcher d’être horrifié par ces nouvelles prises de position d’un pape qui agit plus en politicien amoureux de son image paupériste qu’en pasteur bienveillant.
De son côté Donald Trump a estimé que ces propos critiques à son encontre étaient « honteux ». « Qu’un leader religieux mette en doute la foi d’une personne est honteux », a indiqué le milliardaire dans un communiqué. « Aucun dirigeant, notamment un leader religieux, ne devrait avoir le droit de remettre en question la religion ou la foi d’un autre homme ».
Source : http://www.medias-presse.info
Dresde : le futur foyer de pseudo-réfugiés brûle, les riverains applaudissent
Un incendie s’est déclaré dans la nuit de samedi à dimanche dans un bâtiment destiné à accueillir un foyer de réfugiés près de Dresde en Allemagne, provoquant une « joie non dissimulée » de badauds présents sur les lieux.
Source : http://www.fdesouche.com/702495-dresde-le-futur-foyer-de-refugies-brule-les-riverains-applaudissent
Pour en finir avec l'esprit gauchiste (par Johan Livernette)
Le nouveau Réinfo
Au sommaire :
• Beaucoup de bruit pour rien. Un remaniement sans intérêt à un an et demi de la présidentielle. 38 ministres et secrétaires d’état contre 32 dans le précédent gouvernement Vals, ce doit être la nouvelle méthode de M. Bricolage, pour inverser la courbe du chômage, avant 2017.
• Politique française. Des primaires à droite, comme à gauche, qui se font attendre. Un séminaire au FN mariniste pour remettre la ligne du parti sur le cap Philippot. A défaut d’un programme ou d’un idéal pour la France, quel que soit le parti politique, la guerre des égos est belle et bien engagée.
• Burkina Faso. Les produits OGM, la nouvelle arme contre la souveraineté des états nations, mettent en péril l’économique du pays. Les acteurs de la filière du coton burkinabé partent en guerre contre Monsento.
• Le retour de la guerre froide. En imposant au Européens, une présence avancée de l’Otan aux frontières de la Russie, les USA relance la guerre froide. La Russie, par la voix de son premier ministre, tend une nouvelle foi, une main vers l’Europe.
Et pour finir, l’actualité du parti de la France avec la garde à vue de Thomas Joly et les prochains rendez-vous du mouvement.
Mazamet (81) : un élu FN défend un patron de kebab et accuse le maire de racisme
Est-ce une nouvelle étape de la « dédiabolisation » du FN ? Dans la petite ville de Mazamet (Tarn), une virulente querelle oppose le maire UDI Olivier Fabre et l’élu « Bleu marine » Stéphane Gallois, rapporte la Dépêche. Objet de la dispute : le sort d’un ancien local commercial, dont l’édile veut faire un commissariat municipal.
A priori, pas de quoi déplaire à un élu FN : le renforcement des polices municipales est une priorité de tous les maires frontistes élus en 2014. Mais Stéphane Gallois n’est pas d’accord. Client du kebab voisin, l’élu frontiste plaide plutôt pour que le local soit cédé à ce dernier, qui souhaite s’agrandir. Et va jusqu’à accuser le maire de « racisme » (s’attirant en retour une assignation en justice).
« Mais où est le pognon pour briser la popularité de Trump ? »
« Mais où est le pognon pour briser la popularité de Trump ? » C’est ce qui est sorti de la bouche d’une commentatrice de CNN, sur le plateau des commentateurs suite à l’élection en Caroline du Sud. Les « pressetituées » à la solde des néo-cons et du nouvel ordre mondial se lâchent ouvertement. Leur candidat, Jeb Bush, s’est fait laminer et, larmoyante, la commentatrice continue: « Une dynastie vient de s’éteindre. » Quelle dynastie ! Celle de va-t-en-guerre ! Restent, désormais, dans la course Cruz, Rubio, Trump.
Contre l’avis des « spécialistes », lesquels, comme chez nous, depuis le premier débat des GOP (Grand Old Party), enterraient six pieds sous terre Trump, je croyais en sa candidature. Il tuait à lui seul le politiquement correct. Il exprimait les exaspérations des Américains, face aux politicards corrompus de l’establishment. Il cassait tous les codes établis. Il déclarait même avoir fait partie de ce système, qu’il estime aujourd’hui contre-productif et qui doit disparaître. Il se finance seul, ce qui lui permet des libertés d’expression qu’aucun autre candidat ne peut se permettre, fût-ce du côté démocrate. Je l’ai intitulé « Tsunami Trump » puis je l’ai comparé à Gargantua. Gargantua, une nouvelle fois, vient de s’asseoir sur l’establishment avec une belle avance sur ses concurrents. Ils vont désormais se déchaîner pour briser sa popularité. Ils le disent sans fard. « Désormais, nous allons l’observer à la loupe, ce que nous avons négligé de faire jusqu’à présent. »
Tout est une question de pognon pour eux, les commentateurs de l’establishment. Jamais un mot sur le peuple qui vote. Le peuple reste encore, dans leur tête, une masse informe, puante, suintante, dont on ne sait que faire. La majorité silencieuse que l’on méprise et à laquelle Trump ne cesse de s’adresser. Qu’ils ne s’inquiètent pas, le peuple saura quoi faire des représentants du « nouvel ordre mondial » dont ils ne veulent plus. Ce qu’ils veulent, c’est un chef qui leur rende la fierté d’être américains. Qui restaure les infrastructures, limite l’immigration, combat l’islam radical, ramène du boulot au pays, arrête ces guerres meurtrières, écrase l’organisation État islamique, rétablisse des règles, révise le TAFTA et, enfin, parle avec le président Poutine, conscient que le monde n’est pas unipolaire mais multipolaire.
Je crois qu’il faut se rendre compte de la montagne face à laquelle se trouve Donald Trump : face à 6 groupes mondiaux qui possèdent 90 % de la presse américaine : General Electric, News Corp, Disney, Viacom, Time Warner et CBS ! Tous membres du Bilderberg, présidé par le Français Henri de Castries, PDG d’Axa ! Ils vont mettre le rouleau compresseur en marche pour lui barrer la route, à ce Gargantua. S’il sort vainqueur, ce sera grâce aux oubliés, au peuple américain, qui aura pour une fois montré qu’il est plus fort que les quelques tenants du « nouvel ordre mondial » qui fait et défait les présidents, lors des réunions secrètes du groupe Bilderberg.
Pour nous, Européens, l’espoir, c’est Donald Trump, car aucun des autres candidats n’est prêt à parler avec la Russie, qui ne demande qu’une chose : un bon partenariat avec l’Amérique. Et nous, Européens, nous suivrons, pour le bon sens et l’intérêt général.
Hildegard von Hessen am Rhein
Source : http://www.bvoltaire.fr