L’ennemi n’est pas la finance, c’est le marxisme
Quand le « patron » paie 235 euros pour que le salarié en touche 100, ce n’est pas la finance qui prend la différence, c’est l’État.
Quand on paie le plein 100 euros et qu’il n’y en a que 20 qui vont au pompiste, ce n’est pas la finance qui prend la différence, c’est l’État.
Quand on paie les impôts locaux, fonciers, cvae, cfe, redevances, etc, ce n’est pas la finance qui nous envoie la facture, c’est l’État.
Quand les entrepreneurs font faillite, sont liquidés ou se suicident, ce n’est pas la finance qui les persécute, c’est l’État.
Quand les entrepreneurs sont poursuivis par les huissiers, leurs biens vendus aux enchères, ce n’est pas la finance qui les harcèle, c’est l’État.
Quand plus personne dans la société ne peut vivre de son travail, quand plus personne n’est libre, ce n’est pas la finance qui la brime, c’est l’État.
Le trou de la sécu, la « dette », les abîmes financiers des entreprises étatiques (EDF 40 milliards, AREVA 15, La Poste 4, la SNCF 44, les caisses de retraites en faillite etc, etc, etc), ce n’est pas la finance, c’est l’État.
Une armée rouge d’un million de fonctionnaires à l’Education Nationale qui coûte 80 milliards d’euro pour produire un monumental désastre, ce n’est pas la finance, c’est l’État.
5 à 6 millions de fonctionnaires au chaud dans des administrations qui nous tyrannisent, nous oppriment, nous harcèlent, nous épient, nous contrôlent, nous inspectent, nous poursuivent, nous pillent, nous emprisonnent : ce n’est pas la finance qui nous envoie ses bourreaux, c’est l’État.
11.000 lois, 140.000 décrets, 400.000 règlementations (chiffres d’il y a dix ans au moins, largement sous évalués aujourd’hui) qui enfoncent le pays dans un coma si profond qu’on se demande s’il en sortira un jour, ce n’est pas la finance qui l’engendre, c’est l’État.
Source : http://www.parti-de-la-france63.fr