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Le blog politique de Thomas JOLY

Le Parti de la France mobilisé contre l'arrivée de clandestins à Buzançais (36)

1 Avril 2016, 06:55am

Publié par Thomas Joly

Le Parti de la France mobilisé contre l'arrivée de clandestins à Buzançais (36)
Le Parti de la France mobilisé contre l'arrivée de clandestins à Buzançais (36)
Le Parti de la France mobilisé contre l'arrivée de clandestins à Buzançais (36)
Le Parti de la France mobilisé contre l'arrivée de clandestins à Buzançais (36)
Le Parti de la France mobilisé contre l'arrivée de clandestins à Buzançais (36)

Déjà mobilisés depuis des mois, les militants locaux du Parti de la France ont organisé ce vendredi la distribution de tracts dans toute la commune appelant à refuser l'installation de pseudo-réfugiés dans cette - jusqu'alors - paisible bourgade.

En effet, le préfet de l'Indre, Alain Espinasse, avec la complicité du maire de Buzançais, Régis Blanchet, souhaite y implanter un « centre d'accueil pour les demandeurs d'asile » (Cada) dans le but d'accueillir une centaine de clandestins dès l'été prochain (source).

Face à cette colonisation migratoire organisée par le gouvernement socialiste et ses représentants locaux, le Parti de la France a décidé de se joindre à la résistance de la population qui a réservé un excellent accueil à nos militants.

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Belgique : Viols collectifs de mineures et racket par les rappeurs africains du Negative Clan

1 Avril 2016, 06:43am

Publié par Thomas Joly

Ils se sont produits récemment à Bruxelles-les-Bains, mais ce n'est pas dans le registre musical que Negative Clan fait parler de lui ces derniers jours. Les membres du groupe de rap forment également une bande urbaine, surtout active du côté de la Place de l'Yser et du quartier maritime à Molenbeek-Saint-Jean.

Et cette nouvelle bande urbaine défraie la chronique depuis quelques semaines à Bruxelles. Ses membres sont impliqués dans du racket et des viols, selon le parquet de Bruxelles. Dans un premier dossier, six membres de la bande ont été placés sous mandat d'arrêt vendredi passé. Ils sont impliqués dans un réseau d'arnaque à la prostitution.

Quand le client se rend au lieu de rendez-vous, au lieu de la prostituée, il tombe sur des membres du Négatif Clan qui le passent à tabac et le dépouillent de son argent. Quatre hommes et deux femmes ont été inculpés d'appartenance à une organisation criminelle et d'extorsion en bande. La police a également procédé à des perquisitions dans plusieurs communes bruxelloises.

Le deuxième dossier n'est, à ce stade, pas officiellement lié au premier. Mais la personne placée sous mandat d'arrêt aurait des liens, elle aussi, avec le Négatif Clan. L'affaire est plus sordide encore puisqu'elle concerne le viol et la séquestration d'au moins une jeune fille mineure, âgée de 15 ans.

Retenue dans un appartement d'Anderlecht, la jeune fille a réussi à appeler sa mère pour donner l'alerte. Lors de l'intervention de la police, une autre jeune fille, mineure elle aussi, a été trouvée sur place ainsi que le suspect. Il s'agit d'un jeune homme né en 1993 et déjà connu de la justice. Il a été inculpé de viol sur mineur de moins de 16 ans et plus de 14 ans, de séquestration et d'exploitation de la prostitution. Il aurait, selon le parquet, des liens avec le Négatif Clan.

La police de Bruxelles Capitale/Ixelles enquête sur "une nouvelle bande urbaine" qui a pris racine sur son territoire et dont "la particularité est d’intégrer des filles et de s’inspirer plus que précédemment de la culture des gangs à l’américaine". À la clé, un mode de fonctionnement structuré des plus violents. "Du jamais vu jusqu’ici en Belgique", selon nos sources.

Cette bande s’illustre depuis un peu plus d’un an du côté du quartier bruxellois d’Yser. Où elle serait"responsable d’une recrudescence de la criminalité". Il est notamment question "de vols avec violence, de trafic de drogues douces & dures, de trafic d’armes et même de proxénétisme". De quoi sérieusement inquiéter nos autorités judiciaires.

D’après les premiers éléments de l’enquête policière, cette "nouvelle bande urbaine" se structurerait au moins en deux groupes différents.

Au-dessus, il y a le Négatif Clan, les membres les plus âgés, les "grands". "Qui dirigent le gang." En dessous, il y a le Ghetto Criminel, les "petits". "Qui ne peuvent accéder et intégrer le niveau supérieur qu’après avoir accompli des rites initiatiques comme des viols collectifs (etc) et des missions comme des braquages (etc) commandés par les grands."

Et de noircir encore le tableau : "En plus des braquages et du deal à grande échelle, des filles, qui sont membres de leur organisation, sont - fait nouveau dans une bande urbaine en Belgique - contraintes de se prostituer. Et celles ou ceux qui désirent quitter l’organisation ne le peuvent pas. Ils font immédiatement l’objet de pressions et se font tabasser si cela ne suffit pas."

Source : http://lesobservateurs.ch

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Déchéance de la nationalité : Hollande a encore foiré

1 Avril 2016, 06:37am

Publié par Thomas Joly

Le Président a utilisé la question de la nationalité française comme un moyen de remise à niveau. Voulant tirer parti des attentats, il a tenté de retrouver son rôle institutionnel de monarque rassembleur.

Devant les Assemblées réunies en Congrès, il avait annoncé une révision de la Constitution. L’extension de la déchéance de la nationalité aux terroristes binationaux nés français y figurait comme le signe le plus fort. Cette manœuvre associait trois éléments : d’abord, la solennité restaurée de la fonction présidentielle ; ensuite, le caractère symbolique de l’appartenance à la nation ; enfin, l’habileté politicienne qui instaurait une mesure que la droite allait soutenir avec enthousiasme.

Il s’agissait d’un coup qui a lamentablement foiré.

Dans cette triste affaire, « notre » personnel politique a étalé sa médiocrité avec ostentation. Hollande voulait l’unanimité avec le soutien de son opposition. C’est la gauche la plus bête du monde qui s’est alors rebellée.

Remettre en question une nationalité acquise mécaniquement et par hasard mais trahie très volontairement lui paraissait un sacrilège envers le sacro-saint droit du sol. Discriminer les détenteurs de plusieurs nationalités en leur réservant la déchéance de nationalité française afin de ne pas créer des apatrides redoublait la révolte puisqu’on touchait ainsi à une autre icône de la gauche : sainte Égalité.

L’idiotie profonde qui marque une telle attitude mérite d’être analysée. On ne peut négliger d’abord cette « préférence étrangère », évidemment contraire à l’intérêt national, qui domine le discours de la gauche.

De même, le souci de l’égalité au profit des binationaux fait preuve d’une surprenante conception de l’idée. Celui qui a plusieurs passeports n’est pas l’égal de celui qui n’en a qu’un. Lui enlever celui du pays qu’il trahit rétablit la parité. Un minimum de réflexion chez ceux qui ont alors voulu retirer la nationalité à tout le monde les aurait amenés à cette évidence : on aurait ainsi créé des apatrides, mais seulement pour ceux qui n’auraient été « que » français, non chez les binationaux ! Curieuse conception de l’égalité qui joue à l’encontre des nationaux ! Quant à la liberté, elle a disparu : celui qui choisit de combattre la France doit garder une nationalité française qu’il a acquise sans le vouloir à la naissance.

Le bon sens commandait donc la déchéance de nationalité pour les binationaux et l’indignité nationale pour les Français à part entière. C’est ce que souhaitait la majorité sénatoriale. Mais on a alors vu et entendu quelques représentants de cette prétendue « droite » minimiser la question de la nationalité. M. Geoffroy Didier ou Mme Kosciusko-Morizet ont fustigé ce débat inutile sur une notion subalterne. La « nationalité » ne vaut pas une messe à Versailles. Ce n’est rien, un « gadget », dit le premier ; un symbole, dit la seconde.

Oui, un symbole pour lequel beaucoup de Français sont morts et pour lequel des étrangers aussi ont donné leur vie afin de l’acquérir. Comment des électeurs de droite pourraient-ils voter pour ces personnages obsédés par les primaires et méprisant leur pays ? Ils se veulent sérieux : l’efficacité seule compte. La déchéance de nationalité ne dissuadera pas les terroristes. Il faudrait des peines incompressibles, précisent-ils. Quelle peine, en effet, peut-elle dissuader un homme prêt à se faire exploser ?

La déchéance de la nationalité pour les traîtres binationaux, l’indignité nationale pour les Français sont des rappels à la valeur de la nationalité française. François Hollande, en voulant être adroit, a, une fois de plus, fait reculer le pays aux applaudissements de l’ex-indépendantiste Taubira : quel symbole !

Christian Vanneste

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Ce soldat russe est l’anti-Merah

1 Avril 2016, 06:32am

Publié par Thomas Joly

À Palmyre, un officier russe des forces spéciales, encerclé sans espoir de fuite par les terroristes, a ordonné à l’aviation russe de bombarder sa propre position, emportant de ce fait ses assaillants dans la tombe.

On peut le dire sans prendre trop de risques : ce type est un héros. Le genre de héros qu’on ne voit d’habitude que dans les films américains, celui qui allume sa dernière cigarette avec un Zippo qui fait « cling », fixe l’horizon et murmure « Rendez-vous en enfer » avant d’appuyer sur le bouton qui fait tout péter.

Sauf que là, c’est vrai. Pas de violons, pas de « punch line », pas de ralenti ; juste un jeune homme à qui la vie tendait les bras, dans sa dernière action de soldat.

C’est la première chose qui attire l’attention. La bravoure est une réalité et non, comme on pourrait le croire, une licence poétique d’Hollywood ou une relique du Moyen Âge. Nous parlons ici de la vraie bravoure, pas celle qu’il fallut à l’athlète Bruce Jenner pour changer de sexe.

Deuxième chose : la Russie, avec son imposant cortège, la grand-messe et le retentissement médiatique qu’a eu la mort de cet officier, offre un intéressant contraste avec la France, où la mort de nos soldats, baladés dans tous les coins les plus dangereux de la planète, est tout juste digne d’un encart dans les journaux. Alors certes, nous n’avons comme seule source que les médias russes, et ceux-ci sont peut-être enclins à romancer ou enjoliver l’histoire. Mais, à l’inverse, si on s’en tient à la presse française, on croirait qu’aucun acte de bravoure, dans l’armée de notre beau pays, ne vaut qu’on lui consacre plus de dix lignes. 

Dernière chose, la plus importante, comme il se doit : nous avons maintenant l’exemple de ce qu’est mener une guerre sérieuse contre le terrorisme. Les terroristes ont maintenant un ennemi, un véritable ennemi qui, lui aussi, compte dans ses rangs des soldats prêts à tuer et à mourir, voire à mourir s’ils peuvent tuer plus.

Il y a maintenant deux visages à cette guerre. Nous avions Mohammed Merah, celui dont le sourire malsain était sur tous les écrans après ses meurtres. Nous avons maintenant Alexandre Prokhorenko (Александра Прохоренко), dont les photos qui circulent montrent un jeune homme droit, fort et fier. Face au braqueur d’épiceries presque analphabète dont la gloire suprême a été de tuer des innocents par haine du pays qui l’avait vu naître se dresse, maintenant, la silhouette d’un garçon de 25 ans qui, seul sur une terre étrangère, a sacrifié tout le temps qui lui restait à vivre à l’honneur de son drapeau.

Charles Rouvier

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Activité de « déradicalisation » en prison : caresser un hamster...

1 Avril 2016, 06:29am

Publié par Thomas Joly

Lu dans le Canard Enchaîné :

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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David Guichard, nouveau responsable du SEP pour les Bouches-du-Rhône

1 Avril 2016, 06:07am

Publié par Thomas Joly

David Guichard, 43 ans, gardien d'immeuble, ancien pompier, a été nommé responsable du SEP (Service Encadrement Protection) pour les Bouches-du-Rhône par le Délégué départemental du PdF 13, Olivier Bianciotto. Militant nationaliste depuis plus de 20 ans, il a décidé de rejoindre le Parti de La France il y a un an. 

Pour le contacter : sepmarseille@yahoo.fr

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Turquie : Moscou et Washington veulent se débarrasser du président islamiste Erdogan

1 Avril 2016, 06:04am

Publié par Thomas Joly

La tension monte de plus en plus fortement entre les USA et la Russie d’une part et la Turquie sous direction islamiste de l’autre. De nombreux signaux indiquent que Washington et Moscou, après s’être entendus sur la Syrie, veulent se débarrasser du président turc, Recep Tayyip Erdogan, dont les projets expansionnistes sont désormais considérés comme un obstacle.

L’émancipation kurde se précise

Parmi ces signaux, le soutien russo-américain aux Kurdes de Syrie. Un appui violemment dénoncé par le président turc qui considère qu’il s’agit d’un appui indirect aux kurdes du PKK de Turquie, celui-ci étant lié aux “Unités de Protection du Peuple”, une organisation sœur agissant au Kurdistan syrien.

Les Kurdes de Syrie, situés au nord tout le long de la frontière turque, sont armés et conseillés par les Russes et les Américains (source). Ces derniers les considèrent, depuis la défaite de l’État Islamique à Kobané, comme des alliés incontournables face aux djihadistes.

A contrario, le gouvernement islamiste turc soutient, au moins logistiquement, l’État Islamique dans sa lutte contre les Kurdes et contre Bachar al Assad.

En Irak, le Kurdistan autonome est considéré comme une force indispensable pour vaincre l’État Islamique. Lui aussi reçoit l’aide des Américains, des Européens et des Russes (source).

Sur le plan diplomatique, les Russes ont reconnu officiellement les Kurdes de Syrie comme une entité indépendante de Damas (voir ici).

Plus encore, depuis quelques temps, le Kurdistan syrien a entrepris d’établir son autonomie formelle, sur le modèle du Kurdistan irakien (source).

En parallèle, le président Masoud Barzani du Kurdistan irakien a annoncé un référendum d’autodétermination avant octobre (source).

Dans les deux cas, il est difficile de croire à un hasard de calendrier. Impossible pour les Kurdes de Syrie et d’Irak de prendre de telles initiatives sans avoir reçu des encouragements de la part de la Russie et d’Israël et, d’une façon ou d’une autre, un consentement au moins passif des États-Unis.

L’échec de la stratégie turque

Recep Tayyip Erdogan et son parti, l’AKP, forment la seule organisation des Frères Musulmans actuellement à la tête d’un état musulman. En 2011 lors des “Printemps arabes”, la Secrétaire d’État Hillary Clinton – liée à cette confrérie islamiste – avait soutenu les efforts d’Erdogan en Syrie, en Égypte, en Tunisie et en Libye afin d’y installer des partis liés à cette organisation.

Cinq ans plus tard, le président américain, Barack Obama, est parvenu à un accord avec l’Iran et la Russie sur une aire de répartition des influences respectives. Les USA ont abandonné l’idée de prendre le contrôle de la Syrie tandis que la Libye a implosé. L’armée égyptienne a repris le pouvoir et entamé la destruction des Frères Musulmans comme force politique.

Pire encore pour Ankara, l’intervention de la Russie en Syrie a stabilisé le pays, infligeant une défaite majeure à la Turquie pour qui le renversement de Bachar al Assad était un but stratégique. La destruction du SU-24 russe par des miliciens turcs, en novembre dernier,  a déclenché une réorientation des priorités de Moscou qui entend désormais utiliser Arméniens et Kurdes contre la Turquie.

En somme, les projets de restauration de l’Empire Ottoman nourris par Erdogan se sont transformés en guerre défensive sur le sol turc. Avec la question kurde, la Turquie joue ni plus ni moins que sa survie en tant que puissance régionale.

Les intérêts américains et turcs divergent désormais totalement : d’un côté la Turquie islamiste lutte pour préserver son intégrité territoriale, de l’autre les USA perçoivent cette dernière comme un obstacle majeure à la conclusion d’un accord de paix avec la Russie et l’Iran.

Lire la suite : http://breizatao.com/2016/03/30/turquie-la-russie-et-les-usa-veulent-se-debarrasser-du-president-islamiste-erdogan/

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Belgique islamiste : des bagagistes de l’aéroport de Bruxelles auraient acclamé les attentats de Paris

31 Mars 2016, 06:56am

Publié par Thomas Joly

Vincent Gilles, le président du SLFP Police, est l’invité de la rédaction de Bel RTL. Au micro de Martin Buxant, il revient sur le témoignage de collègues policiers qui disent avoir vu des membres du personnel de l’aéroport de Bruxelles acclamer les attentats de Paris.

Martin Buxant : Dans leur lettre ouverte, les policiers expliquent que de nombreuses personnes travaillant à l’aéroport sont connus pour des faits criminels graves. Ça veut dire quoi ça ?
Vincent Gilles : Ca nous était revenu aussi mais bon comme nous n’avions pas les éléments de preuves, nous ne pouvions pas mettre ça sur la table. D’autant que ce n’est pas vraiment un champ de négociation pour nous. Il apparait qu’il y a eu une politique de recrutement discriminatoire et que une certaine catégorie de la population était visée par ce recrutement plus favorable. Ce qui fait que dans le personnel bagagiste, apparemment, il y a pas mal de personnes qui, lors par exemple des faits de Paris, ont acclamé ces faits. Ce sont des collègues témoins qui nous l’ont dit.

M.B.: C’est grave ce que vous dites. Ça veut dire qu’on a acclamé les attentats de Paris, parmi le personnel de Zaventem, Brussels Airport.
V.G.: C’est ce qui nous est revenu et les collègues ici le confirment dans le courrier.

M.B.: Donc on joue avec la sécurité des gens, là ?
V.G.: C’est indubitablement une réalité oui et nous considérons que Brussels Airport Company a une lourde responsabilité dans cette matière-là.

M.B.: Qui ne prend pas ces responsabilités à ce niveau-là ? C’est la direction de l’aéroport ?
V.G.: C’est un alambic, c’est un mélange extrêmement dangereux de personnes qui disent: "Ce n’est pas ma responsabilité, c’est celle d’autrui". Brussels Airport Company qui est une société privée mais soutenue largement par le pouvoir public dit: "Tant que les deux ministres de tutelle, à savoir madame Galant et monsieur Jambon, ne nous donnent pas de directives, nous on n'investit pas". Logique économique, et de l’autre côté, côté policier, on nous dit: "On manque de moyens, on nous donne aucun moyen, on les demande mais on ne les reçoit pas ". Etc.

Source : http://www.rtl.be/info/belgique/politique/des-policiers-denoncent-des-bagagistes-de-l-aeroport-de-bruxelles-auraient-acclame-les-attentats-de-paris--806472.aspx

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Nice (06) : il menace de faire sauter Pôle Emploi s’en prenant aux juifs et aux « sales français »

31 Mars 2016, 06:51am

Publié par Thomas Joly

Il a beau s’être rendu chez Pôle Emploi, K. A. n’a pas chômé pour se rendre désagréable. La semaine passée, vers 11 heures, ce demandeur d’emploi de 33 ans rend visite à l’agence Pôle Emploi de Nice-Est.

Mécontent de l’accueil, le visiteur commence à élever le ton. De fil en aiguille, il aurait menacé de tout faire sauter, s’en prenant aux Juifs et aux « sales Français ».

Sa basse besogne accomplie, le perturbateur regagne ses pénates. Mais son attitude pour le moins déplacée va conduire les policiers à s’employer. Les fonctionnaires viennent l’interpeller à son domicile dès 11h50.

Source : http://www.fdesouche.com

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Allemagne soumise à l'Islam : plus de Wurst (saucisse) dans les cantines scolaires

31 Mars 2016, 06:29am

Publié par Thomas Joly

En Allemagne, de plus en plus de cantines publiques, de crèches et d’écoles ont cessé de servir des saucisses, du bacon et du jambon, afin d’éviter d’offenser les musulmans. Or le Wurst est une institution en Allemagne et cette mesure suscite de très vives protestations, y compris dans le parti d’Angela Merkel, la CDU. Des membres de ce parti se mobilisent pour exiger le retour du porc au menu des écoles. Daniel Günther, le président CDU de Schleswig-Holstein, met en garde contre « l’obéissance anticipée envers une minorité ». Il a notamment déclaré : « La protection des minorités — y compris pour des motifs religieux — ne doit pas priver la majorité de sa liberté de choix pour des considérations mal pensées. »

Il relève que ceux qui ne veulent pas manger du porc ne sont pas obligés de le faire, mais « la consommation de porc appartient à notre culture. » Il se plaint que les produits à base de porc aient disparu du menu des écoles, des crèches et des cantines un peu partout dans le pays. « Personne ne devrait être obligé de manger du porc s’il ne veut pas. Mais nous ne voulons pas non plus que la majorité soit contrainte de faire pareil », conclut le député. Angela Merkel porte une lourde responsabilité dans cette situation. Elle restera dans l’Histoire comme étant celle qui a trahi son peuple, sa culture, sa civilisation et son identité. Et, plus grave, elle trahit notre ami, le cochon…

Robert Spieler

Source : Rivarol via Synthèse Nationale

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6 730 SDF sont morts dans la rue ces trois dernières années en France

31 Mars 2016, 06:24am

Publié par Thomas Joly

6.730 morts dans la rue en trois ans en France. S’ils avaient été clandestins, paradoxalement, ils auraient bénéficié des aides destinées aux prétendus réfugiés. Mais dans leur grande majorité il s’agit de simples français, souvent de souche, écorchés par la vie. De ceux qu’on abandonne au profit des étrangers, surtout lorsqu’ils sont clandestins, vers qui se portent tous les fonds de solidarité publics, anciens et nouveaux. C’est le Quotidien du Médecin, peu suspect d’inventer des histoires, qui donne ce chiffre.

Près de 7.000 « sans domicile fixe » seraient morts dans la rue entre janvier 2008 et décembre 2010. « Rien que pour l’Ile-de-France nous recevons des signalements de décès tous les jours, un peu par hasard. (…). Là, c’est énorme » (Source : le Quotidien du Médecin)

Et encore, ce chiffre n’est-il pas  exhaustif !

On meurt des mêmes causes que dans la population générale, 30 ans plus tôt. Être sans domicile fixe constitue un risque très élevé de mortalité, rappellent les auteurs. Les études menées à l’étranger, notamment aux États-Unis et au Canada, rapportaient un taux de mortalité entre 3 et 13 fois supérieur à celui de la population générale. Et ce sont surtout les hommes jeunes qui meurent dans la rue. «  Les causes de décès ne sont pas très différentes de celles de la population générale », explique Lise Grout. « Il s’agit pour les hommes de cause cardiaque, ou externe, agressions, suicides, qui sont celles que l’on retrouve dans la population masculine au même âge. Sauf que l’âge moyen de décès dans la rue est de 45 ans contre 77 ans dans la population générale ».

La population SDF reste un problème en France. L’INSEE reportait une augmentation de 50 % des SDF au cours de la dernière décennie et estimait à 144.000 le nombre de personnes vivant dans la rue en 2012.

Quand le nombre de Sans-domicile-fixe atteint de tels chiffres, il ne s’agit plus de marginaux, mais d’un phénomène de société. Une société qui ouvre ses portes et le fruit de ses impôts aux jeunes étrangers d’autres continents, en quête de conditions économiques meilleures, mais qui les ferme à ses propres ressortissants.

Source : http://www.medias-presse.info

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Italie envahie : Naples sous influence musulmane

31 Mars 2016, 06:16am

Publié par Thomas Joly

Place du marché, une des places les plus importants de Naples, un des centres de la civilisation européenne et chrétienne : à 200 mètres à droite on peut admirer Les sept œuvres de miséricordes du Caravage, à 200 mètres à gauche le tableau de Ribera Saint Janvier sortant du four. Parmi les chefs-d’œuvre de la peinture baroque. Dans ce quartier, ils ont tourné un film qui aurait du sortir après les attentats parisiens Napolislam, storie di italiani convertiti (Napolismam, histoires d’italiens convertis).

Naples l’Italienne sous influence musulmane. L’islam prend de plus en plus de place à Naples, ville qui eut pourtant à souffrir au cours des siècles des raids barbaresques sur ces côtes.  Musulmans venus enlever hommes, femmes, enfants, pour les revendre comme esclaves à Alger, Tunis, et dans tout l’empire ottoman. Les mélancoliques chansons napolitaines chantent cette histoire de larmes et de sang.

Aujourd’hui, la communauté musulmane, composée d’immigrés mais aussi de nombreux napolitains séduits par l’islam, a un jeune imam Abdullah, napolitain d’origine, de son ancien nom  Massimo Cozzolino, ex-communiste, ex-novice franciscain, diplômé en philosophie et sciences politiques, apostat et converti à l’islam à 36 ans. Il a étudié l’arabe et le Coran à Londres.

Si l’Église, les hommes politiques ne réagissent pas pour défendre la religion et la civilisation chrétiennes, les fameuses chansons napolitaines ne résonneront bientôt plus dans les rues pittoresques de Naples l’arabe !

Source : http://www.medias-presse.info

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Samedi 9 avril, c'est le grand banquet pour célébrer les 65 ans d'existence du journal Rivarol !

31 Mars 2016, 06:14am

Publié par Thomas Joly

Carl Lang, Roger Holeindre et Thomas Joly, respectivement Président, Président d'Honneur et Secrétaire général du Parti de la France seront présents à cet événement.

Pour de plus amples détails, cliquez ici

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Les coûts flambent chez les pompiers : la rançon du confort de masse

31 Mars 2016, 06:01am

Publié par Thomas Joly

De Charlemagne à Louis IX (la fameuse « part du feu » supportée par certains métiers) à François Ier, jusqu’aux « garde-pompes du roy » sous la Régence, aux grandes lois de 1831 et 1884 qui municipalisèrent le corps des pompiers, jusqu’à leur pleine et entière départementalisation par la loi du 3 mai 1996, l’histoire des soldats du feu a toujours été marquée de l’empreinte de la puissance publique, soucieuse de répondre efficacement à ce fléau dévastateur entre tous, notamment dans les faubourgs où la misère sociale se concentrait dans des logements insalubres.

Depuis une vingtaine d’années (et bien plus si l’on considère que les premiers SDIS [services départementaux d’incendie et de secours] furent officiellement créés sous la IVe République) se pose, lancinante, la question du coût du service public d’incendie et de secours, attendu, en outre, que les communes ont eu systématiquement tendance à mutualiser une activité que les progrès technologiques n’ont pas moins rendue nécessaire.

Toutefois, force est de constater que le « cœur de métier » des soldats du feu s’est progressivement déplacé de la défense contre l’incendie vers l’assistance à la personne en danger. Près de 70 % des interventions du personnel (professionnel et volontaire) des SDIS sont consacrés à l’aide médicale urgente, les SAMU eux-mêmes jugeant parfois que le temps de réactivité de leurs collègues est bien plus court et plus adapté aux situations impérieuses.

Par surcroît, le corps des sapeurs-pompiers reste caractérisé par une « fonctionnarisation » qui alourdit considérablement les finances publiques départementales (supportant déjà près de 60 % des dépenses de fonctionnement du service public). Dans un chapitre de son rapport annuel pour 2011, la Cour des comptes constatait, nonobstant, que « les sapeurs-pompiers volontaires (SPV) constitu[ait] environ 80 % des effectifs des sapeurs-pompiers », ce qui représentait une économie substantielle globale, puisque, soulignaient encore les magistrats de la rue Cambon, « la masse salariale des 197.307 sapeurs-pompiers volontaires est dix fois moins importante que celle des 40.301 sapeurs-pompiers professionnels ».

Dès lors, soumis à des restrictions budgétaires drastiques, des départements comme l’Essonne, la Moselle ou les Yvelines ont décidé de faire payer aux contribuables toute intervention des pompiers qui excéderait le cadre strict de leurs missions. Il y a quelques jours, le conseil d’administration du SDIS du Calvados a ainsi décidé de facturer 241 euros pour aller relever une personne à son domicile, 463 euros pour un déblocage d’ascenseur, 410 euros pour un appel abusif avec engagement de moyens ou encore 96 euros pour une recherche de documents administratifs.

Mais la tension dialectique entre économie des moyens et logique de service public semble, malgré tout, se heurter à cette aporie : nos sociétés postmodernes et maternées ne contribuent-elles pas, finalement, à augmenter inconsidérément le coût de prestations élémentaires autrefois prodiguées par la famille, les voisins, voire, en dernière extrémité, par le médecin de « famille », sinon… le curé du village ? Les solidarités communautaires naturelles ont cédé progressivement le pas devant l’axiomatique du confort de masse.

Aristide Leucate

Source : http://www.bvoltaire.fr

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À Verosvres, on s’apprête à accueillir 150 migrants dans un village de 450 habitants !

30 Mars 2016, 06:47am

Publié par Thomas Joly

Trop, c’est trop ! À Verosvres, en Saône-et-Loire, la population n’en veut pas et son maire, Éric Martin, non plus : 150 migrants dans ce village de 450 habitants, « cela créera trop de déséquilibres », argumente-t-il.

Tout a commencé il y a peu. En apprenant la fermeture, en juin prochain, du lycée professionnel Marguerite-Marie, le directeur de l’association d’insertion Le Pont, Gilles Pierre, a eu une idée lumineuse : transformer l’établissement scolaire en centre d’accueil pour demandeurs d’asile (265 CADA, déjà, en décembre 2014). Et l’affaire d’être rondement menée. Rencontre avec le préfet, congratulations mutuelles, et hop ! vendredi 18 mars, une délégation venait visiter les bâtiments si aimablement proposés. « Les personnes que nous pourrions accueillir ici auraient cette caractéristique de pouvoir recevoir rapidement un statut de réfugié. Les délais pour son obtention seraient alors de 4 mois. Ce ne serait pas un centre de longue durée », a expliqué le préfet.

Au rythme où le projet semble mené, d’ici la fin de l’année, les Vroulons (c’est le nom des habitants de Verosvres), qu’ils le veuillent ou non, verront leur population augmenter d’un coup d’un seul de 35 % d’étrangers.

« Certaines personnes sont désespérées. Il y en a qui songent à déménager, d’autres qui veulent faire des actions comme repeindre la mairie ou l’église. Nous avons essayé de canaliser ces personnes pour que nos actions se fassent dans la légalité […] », raconte un villageois.

Mais que reste-t-il à mettre sur pied, en toute légalité, quand de simples banderoles aux inscriptions « Non au centre pour migrants », déployées dans le village, sont enlevées par la gendarmerie ? Que la préfecture exhorte le maire à demeurer « vigilant » sur ce point, à savoir l’interdiction d’aucun « affichage sur la voie publique », comme le révèle Éric Martin ? Quel effet pourront déclencher « une pétition, une réunion publique et quelques opérations coups-de-poing » quand, d’emblée, les autorités font fi de l’avis des habitants ?

Raciste, les Vroulons ? Absolument pas : « La majorité de la population serait favorable à l’accueil d’une ou deux familles », parce qu’elles « pourraient s’intégrer plus facilement ». En outre, déséquilibrer « une vie associative riche et dynamique » en ruinant les efforts des Vroulons à cet effet n’émeut pas l’administration. L’effondrement des prix immobiliers, pas davantage : les gens dans le village anticipant d’ores et déjà une perte de moitié de la valeur de leur maison. Particulièrement celles qui entourent immédiatement le lycée actuel.

Les habitants parlent d’une « catastrophe », d’un projet « inadmissible », de « conséquences néfastes » ? Leur maire – élu démocratiquement – se range à leur avis mais qu’importe, puisqu’il devra se conformer aux directives de la préfecture. Vous avez dit autoritarisme, déni de démocratie ?

La morale de l’histoire ? Dans la France de 2016, quand on est le directeur de l’association Le Pont et président de la Fédération régionale des associations d’accueil et de réinsertion, et qu’on a reçu, en octobre 2014, la distinction de chevalier de l’ordre de la Légion d’honneur des mains de Louis Gallois, on peut tout faire. Même décider pour tout un village. Et de la vie future des Vroulons, se ficher comme de son premier bouton. Bienvenue dans la France socialiste !

Caroline Artus

Source : http://www.bvoltaire.fr

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