Rentrée politique de Carl Lang dans l'émission « Face à face »
Au menu : réaction au terrorisme islamique qui frappe la France, à l'invasion de migrants, à un partenariat avec Jean-Marie Le Pen et ses Comités Jeanne aux élections législatives
Président du Parti de la France
Au menu : réaction au terrorisme islamique qui frappe la France, à l'invasion de migrants, à un partenariat avec Jean-Marie Le Pen et ses Comités Jeanne aux élections législatives
Le parti anti-migrants allemand AfD est arrivé avec environ 21 % en deuxième position lors de l’élection régionale en Mecklembourg-Poméranie occidentale (nord-est), devançant la CDU de la chancelière Angela Merkel, selon des sondages réalisés à la sortie des bureaux de vote.
Les sociaux-démocrates du SPD arrivent en tête avec envrion 30 %, soit cinq points de moins qu’en 2011. Le parti de Mme Merkel, pourtant élue de la région, se classe donc 3e avec de 19 à 20 % des voix, selon les sondages des chaînes publiques ARD et ZDF.
A noter que les nationalistes du NPD obtiennent 3,5 % des voix.
Source : http://www.fdesouche.com
On nous avait pourtant bien dit, à nous le peuple très concerné par la question, que la lutte contre le terrorisme islamique passait par l’éradication de Daech en Irak et en Syrie. Finalement, pas du tout, c’est même tout le contraire ! L’affaiblissement de l’État islamique dans ces pays, nous annonce benoîtement l’éminent procureur de Paris, « renforce le risque de nouveaux attentats en France ». Mince, alors !
Mais pourquoi, demandent les idiots que nous sommes ? Parce qu’« on le voit dans l’histoire du terrorisme que quand (sic) les organisations terroristes sont en difficulté sur zone, elles recherchent l’occasion de commettre des attaques extérieures », nous explique François Molins le vénérable. Il découvre donc maintenant ce qu’il aurait dû savoir avant ? Ou le savait-il, mais le brave homme ne voulait pas nous affoler ? Ou, au fond, cela ne change strictement rien à la menace, quantité de djihadistes bien en place sur notre territoire étant prêts à manier la kalach’ et les explosifs ?
Sans rire, ils n’y connaissaient rien à rien, au terrorisme ? Alors, ne parlons même pas de terrorisme islamiste ! D’ailleurs, aucun de nos illustres représentants ne nous a jamais rencardés sur le Coran. Il a fallu se taper tout le boulot tout seul, même Juppé ne veut toujours pas s’y coller. Trop heureux, Ali. Pardon, Alain.
Ce n’est pas la seule nouvelle de la journée. François Molins nous met en garde contre le « retour d’un grand nombre de combattants français et de leurs familles ». Ces fous furieux sont français. Enfoncez-vous ça dans le crâne : FRAN-ÇAIS. Il va falloir les prendre en charge et certainement les déradicaliser. Opération inverse de la radicalisation. Cela a déjà marché ? Un flop, d’après les échos des centres en question.
À ce jour, nous apprend notre bon procureur, « 982 individus font ou ont fait l’objet d’enquêtes judiciaires pour du terrorisme islamiste : 280 sont aujourd’hui en examen, dont 167 sont en détention ». Mais il a gardé le meilleur pour la fin : 577 autres « font l’objet d’un mandat de recherche ou d’un mandat d’arrêt ». Autrement dit, 577 fous d’Allah se promènent dans la nature ! Vous paniquez ? Vous avez tort. François Molins nous dévoile la grosse artillerie.
La politique pénale, depuis la loi du 21 juillet 2016, a été « considérablement durcie » : la peine pour association de malfaiteurs est passée de 20 à 30 ans de réclusion, tandis que les chefs terroristes encourent désormais « la réclusion criminelle à perpétuité ». Encore faut-il l’attraper, tout ce joli monde ! En outre (il fallait y penser), « les combattantes, les candidats au départ, femmes ou soutiens logistiques » ne relèvent « plus de la correctionnelle ». Parce qu’avant, si ? Il est vraiment formidable, l’État français.
Mais les islamistes fichés « S », soupçonnés d’atteinte à la sûreté de l’État, ne serait-il pas judicieux, au nom du principe de précaution, de les placer en rétention ? « Impossible », dit le procureur. « On ne peut pas détenir quelqu’un avant qu’il ait commis une infraction, c’est le socle de l’État de droit. »
C’est sûr qu’en ne prenant pas de mesures dignes de ce nom, le terrorisme va durer longtemps, très longtemps dans notre pays. Cela ne semble semble pas les déranger que ça, au gouvernement…
Caroline Artus
Source : http://www.bvoltaire.fr
Le chanteur breton Alan Stivell a dénoncé les ravages de l’immigration musulmane dans un texte paru sur son compte Facebook (voir ici).
“Chez les celtes, la femme est l’égale de l’homme depuis l’antiquité et avant. Donc au moins 3000 ans. Et moins les femmes celtes sont celtes, moins elles sont égales” a déclaré l’artiste suite à la virulente polémique autour du “burkini”, une tenue islamique de bain recouvrant la totalité du corps de la femme.
Le chanteur a dénoncé l’incompatibilité de la culture celtique avec les mœurs islamo-orientales, évoquant “le choc de voir des femmes très couvertes au soleil, souffrant forcément de la chaleur, quand leur mari se la coule douce en slip ou en sweet-shirt à la mode”.
Alan Stivell s’est ému de la progression du radicalisme musulman dans divers pays celtique : “Cette inégalité affichée est acceptée même dans la police en Écosse. Ce qui me parait un degré de plus absurde.”
Source : http://breizatao.com
François Hollande, devenu, durant son quinquennat, grand spécialiste des commémorations, on le sait, ne perd pas une occasion de se montrer. La prochaine aura lieu dans les jardins de l’hôtel national des Invalides où, le 19 septembre, il rendra « hommage à toutes les victimes du terrorisme ».
Il paraît, selon Juliette Méadel, secrétaire d’État sur la question, interviewée sur France Info, que le prochain « discours du Président répond à un besoin de reconnaissance des victimes d’attentats terroristes, à un besoin de solidarité […], de soutien ». Il est permis de s’interroger. Que les victimes blessées, certaines lourdement handicapées ou celles ayant perdu des proches soient en droit d’attendre reconnaissance et hommage public ne se discute pas. Mais ne sont-elles pas confrontées, de surcroît, à d’insurmontables tracas administratifs, à des lenteurs telles que la plupart – et celles du carnage de Nice, en particulier – ne sont pas près de voir le versement de leurs indemnités ? Et les victimes infirmes ne subissent-elles pas d’innombrables et douloureux soucis face à la nécessité de réaménager leur maison ? Il devrait se rendre compte sur place, François Hollande. Il est vrai qu’aller prendre un caoua chez Lucette, c’est plus gai. Quoi qu’il en soit, accompagner, faciliter, accélérer ces démarches serait moins efficace qu’un énième long discours.
Ce sera un « hommage global », précise même Juliette Méadel. Un discours « de gros », quoi ! Pour occulter la responsabilité écrasante de l’État à ne pas avoir anticipé, évité les attentats. Parce que les victimes devraient lui dire merci, à François Hollande, quand il s’obstine à respecter l’État de droit, celui-là même qui, laissant en liberté les islamistes fichés « S », leur permet de tuer les gens à la terrasse des cafés ? Un État de droit que les responsables aux manettes refusent d’adapter à l’état de guerre ? Un « père de famille », comme le voit Najat Belkcacem, mais… qui ne protège pas « ses enfants » ! Respect !
« Papounet » va donc reprendre le chemin des Invalides. Son discours ? On le connaît par cœur : valeurs républicaines, lutte contre ceux qui veulent nous diviser, ne pas céder à la haine et bla-bla. Il est rodé, le Président. Un Président aguerri, aussi, qui passe entre 30 et 40 % de son temps avec des journalistes, confiait un ancien conseiller au journal suisse Le Temps. Un Président – mourant d’envie d’être réélu – qui manipulera peut-être bien, dans son discours du 19 septembre, les victimes et leurs familles comme il se vante de le faire avec les journalistes, lit-on dans Confessions privées, d’Antonin André et Karim Rissouli. Il leur donnera, les élections approchant, « le bon angle », aux victimes et associations, peut-être aussi « une information bidon » ? « Ça fonctionne » bien avec les journalistes, même avec « les bons »…
François Hollande ? Un être « sans affect », pour son ex, « pas d’affect, ce type est un galet » pour François Rebsamen, pourtant un ami de 20 ans, carrément un « sociopathe », pour le démissionnaire Emmanuel Macron. Alors, avec cette énième allocution qui ne changera rien au quotidien des familles dévastées et infantilisées, ne surjouerait-il pas, justement, le défaut d’émotions ? En tout cas, cela sent les élections…
Caroline Artus
Source : http://www.bvoltaire.fr
Voici la carte de la proportion des Blancs à Londres selon les quartiers. On aimerait avoir la même pour le Paris de 2016...
Dominique Ghys, adjoint au maire (FN) de Mantes-la-Ville, a été retrouvé mort chez lui vendredi matin. L'homme de 63 ans avait les poignets liés, portait un collier de chien. Et près du corps, des gadgets sexuels.
Sur le tapis du salon, seul, Dominique Ghys gît sur le ventre, torse nu, les bras de part et d'autre de la tête. Attachés à ses poignets, de gros bracelets en toile ornés d'anneaux métalliques. Autour du cou, un collier pour chien relié à une laisse. A proximité du corps, l'employé municipal découvre plusieurs gadgets sexuels « qui peuvent sans équivoque être rattachés à des pratiques sadomasochistes », précise Vincent Lesclous, procureur de la République de Versailles. Une vingtaine d'autres objets à connotation sexuelle ont été retrouvés par les enquêteurs, rangés sur des râteliers, dans une pièce adjacente.
Selon une source proche de l'affaire, Dominique Ghys passait régulièrement du temps avec des hommes rencontrés sur Internet, avec une prédilection pour les partenaires d'origine nord-africaine. Ses ébats tarifés se seraient déroulés sous les yeux de son épouse handicapée à plusieurs reprises. Par le passé, l'élu aurait même connu un différend avec un homme qui lui aurait volé sa voiture en guise de dédommagement, après une prestation qu'il n'avait pas réglée.
Source : http://www.leparisien.fr/faits-divers/etrange-deces-d-un-elu-fn-03-09-2016-6090415.php
Robert Rochefort vient d'être interpellé pour exhibition sexuelle dans un magasin Castorama. Vice-président du MoDem, député européen et ancien directeur du Credoc, le Centre d'Étude des Conditions de Vie, il a été arrêté mercredi 31 août dans ce magasin de bricolage de Vélizy-Villacoublay dans les Yvelines. Un vigile l'a surpris en train de se faire plaisir à proximité de deux enfants.
Ce vigile a immédiatement alerté le directeur du magasin qui a lui-même prévenu la police. Robert Rochefort a ensuite passé environ quatre heures en garde à vue au commissariat pour y être entendu. Le député européen de la circonscription du sud-ouest, âgé de 60 ans, a ensuite été remis en liberté après avoir donné son accord pour une procédure de composition pénale : c'est-à-dire qu'il a reconnu les faits d'exhibition sexuelle et qu'il évitera un procès. En revanche, il est susceptible d'être condamné à une amende et de faire l'objet d'une injonction de soins.
Pendant ce temps-là, l'adjoint au maire FN de Mantes-la-Ville était retrouvé mort nu et attaché, victime, semble-t-il, d'une orgie sexuelle qui aurait mal tourné.
Un clandestin de 45 ans, résident d’un foyer d'envahisseurs en Allemagne, est mort jeudi en immolant son épouse qui a été grièvement blessée, selon la police.
Ce demandeur d’asile dont la nationalité n’a pas été précisée, déjà connu des services de police, a agressé sa femme parce qu’elle voulait le quitter, selon un communiqué des forces de l'ordre. Il a alors voulu la brûler, déclenchant un incendie, dans lequel il a péri, dans le centre d’accueil de Rüdesheim, qui héberge quatorze étrangers. Son épouse a été grièvement brûlée et hospitalisée.
Source : http://www.fdesouche.com
En France, à chaque fois qu’un problème apparaît, une solution unique, pratique et simple est appliquée : celle de la taxe. Cette solution, généralement proposée par un élu d’un bord ou l’autre, permet alors de montrer qu’on agit, de ponctionner les Français, d’amasser du pognon qu’on dépensera en agitation périphérique à la résolution du problème. Ensuite, on constatera que ça ne marche pas et on pourra augmenter la taxe.
C’est simple, ne trouvez-vous pas ?
Évidemment, pour que l’affaire prenne un tour encore plus rocambolesque, il faut et il suffit que le problème soit lui-même créé de toute pièce par l’État, ce qui permet à la taxe créée non seulement de ne pas résoudre le problème, mais — encore mieux — de l’aggraver.
Je prendrai deux exemples de l’actualité récente pour illustrer cette odieuse mécanique traditionnelle en France.
Pour le premier exemple, je vous propose de regarder, rapidement, ce qui va se passer à l’aéroport de Roissy Charles De Gaulle. Le problème est ainsi posé : il faut absolument une ligne ferroviaire reliant l’aéroport à la capitale afin d’amener le flot de touristes de la plate-forme aérienne vers tous ces commerçants et tous ces beaux musées, pour que de touristes ils se transforment en consommateurs et rapportent plein de bons gros euros à une municipalité par ailleurs exsangue. Et puis, au moins, cette belle ligne de transport représente un gros investissement, avec beaucoup de partenaires, d’entreprises plus ou moins privées et plus ou moins acoquinées avec l’État, pleines de petits copains des politiciens locaux qui ont besoin de travailler. Tout ceci sent la bonne opportunité d’autant qu’ainsi, on ne pourra plus dire que la ville et la région ne font rien pour améliorer la situation touristique.
Or, pour financer tout ça, on se rend compte que le ticket de transport (prévu autour de 24€) ne suffira pas. Le problème est posé, le manque de financement est évident, la solution s’impose d’elle-même : taxons les billets d’avions pour financer cette ligne, pardi !
Les plus aguerris d’entre vous comprennent tout de suite le piège : tout se met en place pour faire comprendre à tout le monde que cette nouvelle ligne est la réponse au problème de transport, et que la taxe est la réponse au problème de financement.
Il ne semble pas venir à l’esprit de nos élites que si l’on veut vraiment financer cette nouvelle ligne, peut-être le faire au travers de tickets plus chers serait logique : payent alors ceux qui s’en servent, et non les passagers de Roissy qui paieront plein pot pour un train que beaucoup ne verront jamais. Bien sûr, le prix du ticket aura, dans cette configuration, tendance à exploser, rendant le projet économiquement périlleux. Qui pourra en effet se permettre un ticket à 48€ pour faire 30 km après un vol low-cost à 10€ pour en faire 1000 ? Dans ce cas, on est en droit de se poser la question de la viabilité de cette nouvelle lubie. Le problème n’est plus de savoir comment financer cette ligne, mais surtout, pourquoi.
De même, il ne semble pas plus venir à l’esprit de personne de remettre à niveau les infrastructures déjà existantes ; le RER B, épave puante et omnibus, qui dessert pourtant déjà et la capitale et l’aéroport, n’a semble-t-il d’autre destin que de continuer à aller cahin-caha, entre deux pannes, feuilles mortes ou caténaires en goguette, en parallèle de la nouvelle ligne qu’on s’apprête à construire à grands frais. Améliorer la propreté, la sécurité, la ponctualité, la vitesse, bref, le service rendu d’une ligne qui existe déjà, qui rend déjà le service demandé sur le papier, tout ceci semble impossible à concevoir. Il faut dire qu’implémenter cette stratégie ne représente aucune possibilité de toucher des pots-de-vin, de surfacturer les petits copains, de faire du trafic d’influence ou toute autre pratique maintenant habituelle en France…
Bref, vous l’aurez compris : non seulement, vous aurez votre ligne expresse sur-coûteuse et mal financée, mais vous aurez aussi votre taxe aéroportuaire supplémentaire.
Cet exemple pourrait suffire à lui seul à démontrer la nocivité de l’État et de nos élus lorsqu’il s’agit de subvenir aux besoins des personnes sous leur responsabilité. Rassurez-vous, on peut aussi sortir un autre exemple où à l’incompétence coûteuse, on doit ajouter des atteintes graves à la santé d’autres individus.
Lire la suite : http://www.ndf.fr/poing-de-vue/01-09-2016/depakine-ligne-expresse-cdg-en-france-la-taxe-est-la-reponse-ultime-a-tous-les-problemes/
L’Italie a vu débarquer sur ses côtes quelques 13.000 migrants depuis dimanche. Une vague intarissable, favorisée par la météo clémente. L’Italie se prépare à l’« assaut de septembre », c’est à dire l’explosion prévue du nombre de clandestins tentant la traversée de la Méditerranée. 150.000 d’entre eux ont déjà atteint les côtes italiennes depuis le début de l’année.
Les garde-côtes italiens ont annoncé que 1.725 migrants avaient été secourus jeudi au large de la Libye. Ils ont ainsi porté assistance à plus de 14.000 personnes depuis dimanche.
Source : http://www.fdesouche.com
Quelle cachottière, cette Najat Vallaud-Belkacem ! Savez-vous à quoi vont s’employer professeurs de SVT et autres éducateurs sexuels – du moins, les plus enthousiastes d’entre eux – à partir de cette rentrée scolaire ? À fabriquer, à partir d’imprimantes 3D, un exemplaire de clitoris afin « d’expliquer le plaisir aux élèves ». C’est ce que nous révèle un article de Libé, jamais en reste pour nous signaler les progrès de l’humanité. En effet, selon un rapport remis en juin par le vénérable Haut Conseil de l’égalité, un quart des filles de 15 ans ignorent en posséder un et 83 % des collégiennes de 4e et de 3e n’en connaissent pas la fonction : nos aïeules doivent bien se bidonner ! Il était donc temps de faire quelque chose.
C’est Odile Fillod, une chercheuse indépendante en sociologie des sciences et de la vulgarisation scientifique, et spécialiste des questions de genre – tout un programme -, qui a eu cette renversante idée d’outil pédagogique « plus régulier, plus symétrique et plus joli qu’en vrai », écrit la spécialiste dans un courriel à Libération. Mazette ! Très enthousiaste, l’Éducation nationale s’est donc jetée sur cette alléchante invention, désirant mettre toutes les ressources à disposition du personnel chargé « d’éducation à la vie affective et sexuelle ». Et ce, dans un but « humaniste », bien sûr. C’est ce qu’on lit sur svt-egalite.fr.
On apprend ainsi que jusqu’à présent, le clitoris était « tabou » ; pire : qu’on faisait « comme s’il n’existait pas ». Et, un comble, les enseignants délivraient « des schémas faux » ! Ce qui nuisait, évidemment, à leur « mission » (aux enseignants). Tout de même, alors que 80 % des garçons entre 14 et 18 ans et 45 % des filles de la même tranche d’âge déclaraient, en 2004, déjà, avoir regardé au moins un film X durant l’année passée, l’Éducation nationale voudrait nous faire croire à l’ignorance de notre belle jeunesse en matière d’anatomie ?
Ce n’est pas tout. Ces fameuses « ressources pédagogiques » doivent permettre d’inviter les élèves à découvrir des documents non plus « réalisés par, et centrés sur des hommes blancs hétérosexuels valides » (sic)… Parce que les documents doivent désormais émaner d’hommes non blancs et invalides ? Sans vouloir jouer les rabat-joie, ne suinterait-il pas de telle directive un certain, disons, racisme d’État ?
Mais revenons à notre nouvelle star de la rentrée : le clitoris grandeur nature. Une Éducation nationale promouvant – appelons un chat un chat – la pornographie à l’école n’outrepasse plus ses droits, elle les transgresse. Une Éducation nationale fourrant son nez dans les fonds de culotte des élèves dont leurs parents lui confient la charge, disons-le tout net, par objet interposé, viole les intimités.
Autrefois, il s’agissait d’apprendre à lire, écrire et compter. Demain, ce sera : lire, écrire et jouir. Au moins, ça rimera.
Aujourd’hui, un « clitoris entier et en taille réelle » dans les lycées et les collèges. Et pourquoi pas un pour de vrai ? En tout cas, qui osera encore dire que l’école ne prépare pas nos jeunes aux grandes études ? Arrivés à Science Po, ils ne seront pas déboussolés d’entendre des conférences intitulées « Éco-orgasme : comment jouir dans le respect de l’environnement ? » ou encore – sur un mode plus historique, mais sans doute tout aussi palpitant – « Histoires des objets de plaisir », conférences données ces dernières années dans la vénérable institution à l’occasion de sa désormais traditionnelle « queer week » (en français), semaine de l’étrange ou quelque chose dans ce genre. Faut reconnaître, l’école, maintenant, c’est le pied. Alors bonne rentrée !
Caroline Artus
Source : http://www.bvoltaire.fr
Voici ce qu'écrit Jean Quatremer, journaliste gauchiste, correspondant de Libération basé à Bruxelles, européiste fanatique :
« Quand tu vas à Molenbeek, tu as un choc culturel et physique. On me rétorque qu’en France, nous avons les banlieues. C’est vrai, mais ici, c’est au centre de la capitale. À deux cents mètres de la Grand-Place, tu es en Arabie Saoudite. Il y a un truc qui ne va pas. »
« Heureusement, la Belgique n’est pas un pays violent. Et qui n’est pas dans une situation où les extrémistes peuvent prendre le pouvoir. Mais je ne parierais pas sur le fait que ça dure éternellement. Les peuples changent vite. Et il existe chez vous de vrais dangers avec la ghettoïsation, la fragmentation en communautés. »
Source : http://lesalonbeige.blogs.com
Il ne marche pas, il court, il fonce. Tout lui sourit. Il conquiert les cœurs, de Paris à Orléans, en passant par la Vendée, de la gauche libertaire à la droite libérale (et inversement), de la jeunesse ardente à la maturité prudente, de ceux qui ne croient plus en rien à ceux qui donneraient tout pour croire encore. Emmanuel Macron, nouveau champion télévisuel, vise la première marche du podium dans l’épreuve du marathon électoral. Trois mois, six mois, un an, et il y sera. Il s’y voit déjà, en Sauveur, en Rassembleur.
Il a vu, il a compris. Il sait les maux qui rongent la France : la frilosité, les blocages, les partis, les habitudes. En Marche sera le mouvement des innovateurs et des esprits libres. Emmanuel, de la tribune où il annonce son envol vers des cieux plus propices – lui-même –, déclare qu’il aspire à « des transformations en profondeur de notre système politique, économique, social ». Système politique dont il a « touché du doigt les limites », qui « pousse à des compromis de dernière minute, car le travail d’explication est rarement mené ». Avec EM, accrochez-vous, ça va bouger !
Le sourire impeccable de l’homme du 30 août s’affiche sur tous les écrans, sa voix claire et malicieuse nous devient familière, son style décontracté s’impose, sa présence enflamme les « réseaux sociaux » – et si c’était lui, enfin, l’homme providentiel ? Et si c’était lui, le génie politique qui allait tout casser ? Ne le surnommait-on pas le « Mozart de l’Élysée » ? On se prend à rêver. L’homme est plein d’éloquence, de fougue et de romantisme. Son histoire d’amour avec Brigitte, son professeur de français au lycée, donne des frissons. En outre, il se dégage de lui tant d’optimisme et de confiance en lui-même – comment ne pas succomber ?
Emmanuel a de brillants admirateurs, comme le fondateur de Meetic, le patron de Terra Nova ou Jacques Attali. Il a su séduire une certaine jeunesse dorée ainsi qu’une petite foule d’entrepreneurs, de petits commerçants et tout un nébuleux « électorat social-libéral », plutôt à droite et bien loin des « illettrés ». Et qu’est-ce qui enivre cette petite division de partisans ? L’envie de « voir de nouvelles têtes », de « changer les choses », pour de bon cette fois, et sans ambages. Le vent qui souffle dans les voiles d’Emmanuel, c’est l’espoir qu’il suscite, c’est sa jeunesse et sa désinvolture toute giscardienne.
Beaucoup de bruit pour rien ? Un cabot pétri d’ambition, après les cours Florent, se lance en politique et joue aux Français la comédie bien connue du vrai réformateur. Agitateur surdoué, il hameçonne les médias et occupe l’espace. Malin, il entonne la tirade du « ni droite ni gauche » et de « l’alternative ». Mais son invention, c’est un social-libéralisme convenu et une « ouverture » politique frivole et insignifiante. Cet enfant gâté de la bourgeoisie, ami des financiers et des people, espère-t-il réellement gagner le cœur du peuple ? En Marche… vers la faillite de 2017.
Thibaut d'Arcy
Source : http://www.bvoltaire.fr
Alors que nos gouvernants inconscients veulent accueillir les "migrants", le directeur d’Europol, Rob Wainwright, a déclaré au journal The Standard, vendredi, que le continent européen et le Royaume-Uni sont sous la menace de l’arrivée d’une nouvelle vague de djihadistes depuis la Syrie alors que l’Etat islamique vient de prendre la « décision stratégique » d’envoyer de nombreux « combattants » vers l’Europe. Il assure que les guerriers d’Allah utilisent de plus en plus souvent des documents falsifiés pour leur permettre de pénétrer dans l’Union européenne, des passeports syriens notamment.
La décision de l’Etat islamique fait suite, selon lui, aux défaites essuyées sur le terrain en Syrie. Rob Wainwright a ajouté qu’un nombre modeste mais croissant de ces combattants se font passer pour des réfugiés pour pénétrer sur le sol européen.
Selon le directeur d’Interpol, il existe des éléments qui laissent penser que des extrémistes tentent de radicaliser des migrants dans les points d’accueil des réfugiés en Grèce et dans les Balkans. Le journal italien La Stampa vient ainsi de révéler que de faux passeports fabriqués à l’intention de militants de l’État islamique ont été mis au jour dans des camps de réfugiés en Grèce.
Source : http://lesalonbeige.blogs.com