
Après chaque attentat, comme après chaque démonstration des ravages de l’immigration extra-européenne, la puissante machinerie médiatique entreprend “d’expliquer” aux masses ce qu’elles vivent. La pornographie sociologique de gauche donne toujours à fond dans ces moments là.
En dépit de ce simulacre, dans les bas-fonds de la société, la réalité est bien différente. Certains égouts collecteurs refoulent une vérité occultée, niée ou minorée.
Célébrations des attentats de Bruxelles
L’un d’entre eux a récemment débordé. Il s’agit du site satirique Nordpresse.be, gentiment situé à gauche. Ce dernier a publié un article intitulé “Le corps d’Allah retrouvé parmi les victimes du métro” (lire ici).
L’article n’est pas très outrancier, il est même plutôt enfantin.
Mais les réactions qu’il a déclenché chez les afro-musulmans sont particulièrement révélatrices : injures, menaces de mort, apologie des attentats perpétrés par l’État Islamique, appels à en commettre d’autres contre les civils, invocation des mannes de Mahomet, malédictions, etc.
Nous ne parlons pas de quelques marginaux, mais d’un consensus absolu, furieux.
J’invite mes lecteurs à prendre le temps de lire ces réactions spontanées, à visage découvert, franches. Elles s’étalent sans le filtre des médiats gouvernementaux et des scribes de la bourgeoisie blanche progressiste habituellement soucieuse de se livrer à son exercice favori : le narcissisme masochiste.
Les profils des commentateurs ne sont pas ceux “d’islamistes radicaux” qu’aiment à décrire les médiats et dont je n’ai de cesse de dire qu’ils ne sont qu’une partie infinitésimale du problème. Vous ne trouverez pas parmi eux de salafistes arborant de barbes fournies et guère plus de femmes en niqabs. Non, vous ne trouverez que des maghrébins à l’orthographe hésitante dont certains sont professeurs dans des lycées, comme l’indiquent leurs profils Facebook, ou des maghrébines abondamment maquillées qui seraient probablement battues au fouet en Syrie.
Les extraits seront parlants :
Abdelkhader Belkhiri · Après faut pas pleurer vous les provoquer est après vous pleuré moi je pleure pour la Palestine 67 ans de massacre Syrie 7 de guerre civile des millions de civils tué parce-que l’Europe la dit non la vérité léo duc gaze pétrole alors arrêté de les faire chien arrêté de les provoquer
Hakim El Sparows · rigoler quand viendrat l heure du jugement dernier vous verrez se que vous avez toujour refuter mais la il sera trop tard.
Majide Hadad · Non sa mère en lisant ça a essayé de se suicider en se poignardant l anus à coup de saucisson pur porc qui lui rappelle son père car pour avoir créer un verrat comme lui son père ne peut être qu un porc
El Commandante · Mais espèce de grod connard. Aucun respect vis à vis des victimes de leurs familles et des musulmans!!!
Tatie Chacha · bande de cons ….rira bien on verra qui rira le dernier
Naïma Belal · Oh mais que cela vous est facile d’attaquer une religions juste pour provoquer les musulmans mais sachez qu’un vrai musulmans ne tombe pas dans ce genre de bêtise humaine tout actes se paie et c’est pas un musulman qui te le fera payer de t’être moquer de son dieu ALLAH sobrano mais ALLAH LUI MÊME TE PUNIRA D’UNE MANIÈRE OU D’UNE AUTRE
Ömer Yalcin · Continuez comme ça, et quand y’aura des attentats en France vous allez tous pleurer vos mères et vous allez dire “mais pq nous ?”bande de chiens vous allez connaitre pire que le 13 novembre et après vous allez pleurer
Ces réactions sauvages, incontrôlées, témoignent d’une fragilité profonde face à toute critique. Cette insécurité psychologique s’explique parfaitement.

Ethnopsychologie du sujet afro-musulman
Que quelqu’un tienne quelque chose pour sacré n’est pas un problème en soi, non plus que le fait que des musulmans soient déterminés à assassiner quiconque se livrerait à un acte “sacrilège”. C’est ainsi qu’est régi l’islam depuis 13 siècles. Il n’y a là rien de nouveau ni de surprenant.
Ce qui pose problème c’est, pour les sociétés européennes, de ne pas le comprendre et de s’acharner à penser que les afro-musulmans sont de même nature que les Européens et qu’ils partageraient une structuration mentale identique.
Cette attitude découle de l’ethnocentrisme des élites ouest-européennes qui pensent que le genre humain est unique et traversé par les mêmes aspirations, gouverné par une même vision du monde. Un genre humain appelé à se modeler sur les standards de ces élites.
C’est cette négation radicale des différences existant entre Européens et afro-orientaux qui est la source première des tensions que nous connaissons. Ceux qui sont conscients de ces déterminismes raciaux et culturels savent que les conflits interethniques sont toujours le fait d’une méconnaissance des différences fondamentales entre les races, groupes ethniques ou religieux.
Les démocrates occidentaux découvrent, avec stupéfaction, que l’immigration afro-musulmane génère… des afro-musulmans ! Et ils semblent pour le moment préférer le déni plutôt que d’admettre que ces masses inassimilables ne s’assimileront pas. Bien au contraire.
Dissonance cognitive
Cette incompréhension est parfaitement éclairée par l’article précité qui ne peut s’adresser qu’à un public d’Européens athées, catholiques – pratiquants ou non – et autres agnostiques. C’est-à-dire l’essentiel de la population belge ou française de souche.
Les auteurs de cet article satirique, comme Charlie Hebdo en son temps, ignorent le fait que l’humour est une production culturelle et qu’à ce titre elle repose sur des représentations conscientes et inconscientes partagées. La satire ne fait pas partie de la psychologie islamique, laquelle est fondamentalement bâtie sur le refus du doute. Car le doute suppose la liberté individuelle, c’est-à-dire une prise de distance critique vis-à-vis du groupe, qu’il soit familial ou tribal.
Rien de tel n’existe dans le monde musulman, surtout sunnite. Tout individu qui doute et adopte un esprit critique est immédiatement perçu comme un ennemi du groupe, un facteur de dissension sociale. Ce manquement aux obligations de cohésion tribale – dont l’islam n’est que la superstructure pseudo-spirituelle – aboutit invariablement à l’élimination du “fauteur de troubles”.
Ce genre de comportement grégaire ne relève pas uniquement d’une philosophie : c’est un atavisme ethno-racial qui accompagne l’endogamie et la consanguinité orientales, si cultivées en Afrique du Nord par exemple. Le tribalisme islamo-maghrébin est littéralement le produit d’un mode de reproduction qui conditionne racialement la psychologie de ces populations et s’érige ensuite en culture.
L’islam n’est pas une religion mais une culture aux accents religieux. C’est ainsi que le vivent, en pratique, les afro-maghrébins qui maquillent simplement leurs déterminismes raciaux en pseudo religiosité.

“Humiliation” et “injustice” chez les afro-musulmans
C’est pourquoi, bien que visiblement peu pratiquants, les réactions des commentateurs turcs, maghrébins ou africains sont invariablement les mêmes : enflammées et fanatiques. Ils ne distinguent pas leur être individuel de ce qu’ils nomment “allah” ou “l’islam”, appellations qui désignent indifféremment la superstructure visible du collectivisme nord-africain, africain et oriental.
Toute critique portée contre l’islam n’est pas comprise par eux comme relevant de l’argumentation rationnelle au sujet d’une croyance mais comme une atteinte psycho-affective les visant en tant que personne collective. Ils l’interprètent comme une “humiliation”.
Pour les Européens, la question religieuse se pose en termes rationnels. Typiquement, un débat entre un Européen religieux et un Européen athée vise à répondre à la question”Dieu existe t-il ?”. La question se limite à son objet.
Lorsque la question oppose un Européen et un afro-musulman, la question ne tournera pas autour de l’existence de Dieu mais de savoir si l’afro-musulman soumettra l’Européen à sa volonté. La question se limite au sujet.
Si l’afro-musulman n’y parvient pas – parce que l’Européen demeure athée ou chrétien et récuse les fondements de l’islam – alors il se sent “humilié”, ce qui veut dire chez lui “dominé”. Or, pour l’afro-musulman, la seule domination légitime est la sienne.
Un Européen qui récuse l’islam face à un afro-musulman et qui l’affirme en toute quiétude est responsable, pour l’afro-musulman, d’une “humiliation”, c’est-à-dire une domination psychologique. Ce qui se traduit par l’accusation enfantine “d’injustice”.
La “justice” chez les afro-musulmans n’a pas le sens, égalitaire, que nous lui prêtons. Chez les africains, nord-africains ou orientaux, la “justice” signifie la domination des autres par son propre groupe, cette domination étant conçue comme allant de soi, naturelle, due.
Criminalisation du mérite personnel
Insistons sur ce point : le mérite est une notion très dévaluée chez les afro-musulmans. Les réalisations personnelles, fruits du talent de l’individu forcément autonome, sont suspectes car renvoient aux propres échecs du groupe. Or le groupe ne pouvant avoir échoué – les afro-musulmans se considèrent comme parfaits, innocents et éternelles victimes des autres – tous les succès d’un individu talentueux sont relativisés. Plus encore, ce dernier est prié de rapidement s’excuser de sa réussite, dont on lui explique au passage qu’il la doit intégralement à tous sauf à lui-même, en redistribuant les fruits de celle-ci.
Le groupe – familial et tribal – exerce sa pression implacable, en usant de la culpabilisation au besoin. Ce mécanisme est important à comprendre car dès lors les afro-musulmans fondent la légitimité sur la seule base de leur appartenance et non sur celles de leur mérite personnel, ils décrètent que ce qui est à vous à vocation à être à eux. A commencer par votre pays, vos femmes, votre argent, etc.
Exactement comme un enfant capricieux qui cherche à commander ses parents et qui estime que tout lui est du.

Hypocrisie fondamentale
Si cette domination est combattue et, mieux, abolie, la réaction est violente, irrationnelle et d’ordre psychoaffective. Ce qui se manifeste par une attitude de victimisation complaisante et hystérique.
L’hypocrisie est le principe de base du fonctionnement social de ces groupes, surtout dans les sociétés européennes où le fonctionnement du corps social repose sur le traitement égalitaire des individus. Les afro-maghrébins comprennent d’instinct que dans un système fondé sur l’égalité et le mérite individuel la rapine en bande organisée est leur seule planche de salut.
Se considérant comme “dominés” – c’est-à-dire dans leur jargon “humiliés” – les allogènes afro-musulmans font mine d’adopter – verbalement – les valeurs des sociétés d’accueil pour mieux délégitimer celles-ci en raison même du fait qu’elles les dominent. Concrètement, c’est l’utilisation de la phraséologie antiraciste, droit-de-l’hommiste et anticolonialiste afin de renforcer les positions du groupe tribal face aux Blancs.
De la même façon, un braqueur algérien, même pris en flagrant déni, continuera de nier et de désigner avec férocité des coupables imaginaires.
Quand les allogènes afro-musulmans utilisent cette rhétorique, c’est pour ruiner précisément l’ordre égalitaire et démocratique qui leur est si défavorable – du fait de leur médiocrité individuelle – et lui substituer la tyrannie raciste et haineuse du collectivisme afro-oriental.
Il faut donc retenir cette règle d’or : avec les afro-musulmans, on est en dessous ou au dessus, jamais à égalité.
“Islam modéré”
Il ne peut donc pas y avoir “d’islam modéré” ou “républicain” car il n’y a pas de modération à un déterminisme psycho-racial dont l’expression politique est le despotisme grégaire.
Il n’y a pas d’acceptation de la critique parce qu’il y a une incapacité au doute. Il y a une incapacité au doute parce qu’il y a chez ces groupes une puissante limitation, pour des raisons génétiques, de la pensée abstraite.
La raison, qui domine normalement l’affect, est considérablement réduite chez ces derniers. Le résultat en est une affectivité difficilement contrôlable dont l’agressivité est une manifestation répandue chez ces populations.
En conséquence, ces masses ne sont pas régies par la raison mais pas la force coercitive. La seule domination qu’elles tolèrent est celle d’une force qu’elles reconnaissent comme supérieure en pratique. Plus on est brutal, plus on est respecté et entendu. Comme l’enfant que l’on corrige par une fessée.
C’est bien pour cela que le mot “islam” veut dire “soumission” et que ce système culturel est radicalement incompatible avec les qualités propres de la race blanche dont l’une des plus essentielles est l’autonomie de l’individu.
Quand on comprend ces mécanismes ethno-psychologiques et la nature profonde de l’islam comme personnalité collective des masses orientales et africaines, on comprend que ce ne sont pas les démocraties occidentales qui ne sont pas compatibles avec l’islam. Elles sont incompatibles avec les afro-musulmans.
Le débat actuel est donc posé à l’envers, se focalisant sur les conséquences.

Le djihadisme comme revanche légitime
Inaccessibles au concept même de liberté et de responsabilité individuelle, ces masses afro-islamiques ne fonctionnent qu’en termes tribaux et collectivistes dans lequel la violence joue un rôle essentiel. Contrairement à l’homme européen, pour qui mérite personnel, équité et liberté sont des valeurs fondatrices de l’ordre social, le collectivisme afro-oriental n’admet que la sujétion par le despotisme et le fanatisme.
Sur ces entrefaites se manifeste le phénomène djihadiste. Alors qu’il devient chaque jour plus clair que les allogènes africains ou orientaux ne veulent ni ne peuvent être assimilés culturellement, surgit le bras “séculier” du collectivisme dont j’ai parlé.
Loin d’être perçus comme des “terroristes” ou des égorgeurs, ce sont bien comme des “justiciers” que les djihadistes sont consciemment et inconsciemment identifiés par les maghrébins et africains. “Justiciers” au sens, vous l’aurez maintenant compris, de ce que peut signifier le mot justice chez ces groupes : la violence comme arme de domination légitime.
Dans ces conditions, la “lutte contre le terrorisme” des élites démocratiques constitue, au mieux, une aimable plaisanterie.
Et pour conclure sur un argument récurrent utilisé par les afro-musulmans afin de se poser en victimes pour échapper, “perfection” et “innocence” obligent, à leurs responsabilités : non, les “musulmans” ne sont pas les premières victimes du terrorisme. Les musulmans sont les premières victimes des musulmans.
C’est l’essence même de leur culture.
Boris Le Lay
Source : http://borislelay.com