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Le blog politique de Thomas JOLY

Le Parti de la France présent au Congrès nationaliste dimanche 17 avril

14 Avril 2016, 17:58pm

Publié par Thomas Joly

Roger Holeindre, Président d'honneur du Parti de la France, et Thomas Joly, Secrétaire général du PdF, prendront la parole au Congrès nationaliste organisé dimanche 17 avril par le Renouveau Français.

Le Parti de la France tiendra également un stand.

Le Congrès se déroule : Péniche « Les Calanques » - Face au 52 quai du Point du Jour - Boulogne-Billancourt - RER : Issy Val de Seine (ligne C) - Métro : Marcel Sembat (ligne 9)

Tous les détails ici : http://congres-nationaliste.fr/

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Radars et conduite sans assurance : un lien évident

14 Avril 2016, 17:44pm

Publié par Thomas Joly

Deux nouvelles faisaient les titres de l’actualité jeudi 7 avril. D’une part la conduite des voitures radars mobiles sera confiée à des sociétés privées en 2017, d’autre part le nombre de conducteurs sans assurance ne cesse de croître : 750.000 voitures aujourd’hui sans couverture obligatoire, soit 1 à 2 % du parc total.

Et, bizarrement, aucun journaliste n’a soulevé le lien évident entre les deux informations. Car s’il y a de plus en plus de gens non assurés, c’est surtout parce qu’augmente le nombre de ceux qui n’ont plus de points sur leur permis, au premier rang desquels ceux qui se sont fait flasher. Il est vrai qu’avec à peine plus d’une heure par jour d’utilisation moyenne, les centaines de voitures radars mobiles à 70.000 € l’unité donnaient une assez bonne idée de la considération qu’ont les hommes de l’État pour l’argent des contribuables.

Heureusement, Chantal « Cruella » Perrichon, présidente de la Ligue contre la violence routière, veillait : « Nous avons été les premiers à réclamer cette mesure de sous-traitance. » Et comme pour les radars fixes, on peut craindre que les sociétés concernées ne réalisent surtout des contrôles là où elles ont le plus de chance de constater des infractions. Mais si les recettes de l’État ont toutes les chances de s’en trouver accrues, il en sera de même pour le nombre de conducteurs sans permis ni assurance. On sait que s’ils ont un accident – il y en eu 28.000 en France en 2014 ! -, les dommages occasionnés aux tiers sont alors remboursés par le fonds de garantie automobile, évidemment abondé par ceux qui s’assurent bien sagement.

Nous payons donc les radars par nos impôts, puis les effets pervers des radars par des surprimes… Naturellement, le fonds de garantie se retournera vers le conducteur défaillant pour récupérer les indemnités, parfois ruineuses en cas de dommage corporel. À condition que le fautif soit solvable ; et qu’en cas de besoin, un huissier ose se présenter… Pas de chance, comme par un effet du hasard, la Seine-Saint-Denis et les Bouches-du-Rhône, avec les célèbres quartiers Nord de Marseille, sont les départements où surviennent le plus d’accidents sans assurance !

Pendant ce temps, en Allemagne, on ne comptait que 139 accidents provoqués par un véhicule non assuré en 2014, soit 200 fois moins qu’en France ! Grâce à une mesure simple : la présentation de l’attestation d’assurance lors de l’immatriculation du véhicule ou du retrait d’un véhicule mis en fourrière… Un système similaire, ou un fichier central des véhicules assurés que les forces de l’ordre croiseraient avec le système d’immatriculation des véhicules, et activé par des lecteurs automatiques de plaques, pourrait être mis en place chez nous. Cela ne plairait pas à tout le monde ; et puis certains ne manqueraient pas de trouver cela discriminatoire…

Richard Hanlet

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Thomas Joly invité de l'émission « Vive l'Europe ! »

12 Avril 2016, 22:13pm

Publié par Thomas Joly

Voici la première émission de Vive l'Europe animée par Daniel Conversano et dont Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, est l'invité. Près de deux heures d'entretien décontracté et sans tabou.

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Drame aux prud’hommes : le coiffeur était trop aidé !

9 Avril 2016, 10:11am

Publié par Thomas Joly

Et une polémique à la française de plus, bien comme on les aime. Saura-t-on vraiment, lors de la chute de Constantinople, si les théologiens du cru se battaient à coups de sacs à main sur le prétendu sexe des anges ? Il n’empêche qu’en France, dans une situation à peine plus funky, on s’étripe sur le zboub des garçons coiffeurs. Dans quelques siècles, les historiens jugeront.

Ainsi, un poseur de bigoudis pour dames aux cheveux bleus aurait-il été viré en pleine période d’essai par sa patronne. Motif officieux du renvoi : « Je ne le garde pas. Je ne le sens pas, ce mec. C’est un PD, ils font tous des coups de p… » Nous disons « officieux », puisque s’agissant d’un SMS envoyé par erreur au candidat à la sortie des artistes. Assez logiquement, ce dernier a produit le document en question au Conseil de prud’hommes ; lequel, contre toute attente, a retenu le « caractère abusif » du licenciement sans pourtant tenir compte de l’éventuel « caractère homophobe » de la chose : « En se plaçant dans le contexte du milieu de la coiffure, le Conseil considère que le terme PD employé par la manager ne peut être retenu comme propos homophobe, car il est reconnu que les salons de coiffure emploient régulièrement des personnes homosexuelles sans que cela ne pose de problèmes. »

Hormis le fait que l’Académie ne connaisse que des « pédés » et non point de « PD », il n’en fallait pas plus pour que se déclenche l’infernal bousin. Nouvelle affaire Dreyfus, énième bataille d’Hernani, inédite querelle des Anciens et des Modernes, entre ceux qui y croyaient et n’y croyaient pas (en Dieu), les uns qui en étaient et les autres qui n’en étaient pas (de la confrérie) ? Tout cela à la fois, manifestement. Le ministre du Travail, Myriam El Khomri, qui, par les temps qui courent, n’a manifestement pas plus urgent à faire, se mêle à son tour de la partie : « Je trouve ce jugement particulièrement scandaleux. » Tiens donc, nous qui pensions, pauvres naïfs, qu’il était légalement interdit de commenter une décision de justice, plus encore pour un ministre d’État.

Des fois que cela aurait pu échapper à ceux de nos compatriotes habitant la planète Vénus depuis au moins quelques décennies, prière de noter que « l’homophobie », réelle ou supposée, est devenue crime aussi inexpiable qu’imprescriptible, au même titre que les négateurs du génocide des ratons-laveurs et autres collectionneurs frénétiques des disques de Frédéric François.

Au fait, petite question : en quoi le terme de « pédé » serait-il forcément une insulte, s’agissant, pour les esprits normalement constitués, d’un simple qualificatif, pas plus laudatif que péjoratif, puisque relevant du seul ordre descriptif ? À ce que l’on sache, la sodomie entre hommes fut de tout temps un loisir d’ordre privé entre mâles consentants, au même titre que la philatélie ou les concours de bilboquet.

Ensuite, on pourra ajouter, sans grand risque de vexer le bon peuple, que si tous les coiffeurs ne sont pas de la jaquette flottante, nombre d’homosexuels sont coiffeurs. Au même titre qu’un assez large troupeau d’attachés de presse, de toiletteurs pour chiens, d’intellectuels fascistes, de couturiers amoureux de leurs mamans et autres camionneurs à moustaches n’étant pas précisément sujets aux transports amoureux vers le beau sexe.

Voilà qui est dit. En attendant que Pierre Bergé, Canigou et les camions Berliet me fassent procès ?

Nicolas Gauthier

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Mgr Lalanne ne sait pas si la pédophilie est un péché !

8 Avril 2016, 11:42am

Publié par Thomas Joly

Jeudi matin, Mgr Lalanne, évêque de Pontoise et responsable de la cellule de veille sur les questions de pédophilie à l’épiscopat depuis que ces histoires sordides font l’actualité, Mgr Lalanne, donc, a « demandé pardon ». Pardon aux victimes des pédophiles en tout genre, et particulièrement des prêtres pédophiles, pardon aussi aux chrétiens que ses tergiversations oiseuses proférées mardi sur RCF, le réseau des radios chrétiennes francophones, ont profondément choqués.

Quarante-huit heures pour que Mgr Lalanne, pontife incertain, se reprenne. Certes, on sait depuis les Anciens que le doute est la vertu du philosophe, mais on ne savait pas jusqu’ici que nos prélats eussent tant de mal à tailler leur route dans les méandres du bien et du mal.

Mardi, donc, Mgr Lalanne livrait aux auditeurs le fond trouble de sa pensée : « La pédophilie est un mal. Est-ce que c’est de l’ordre du péché ? Ça, je ne saurais pas dire, c’est différent pour chaque personne. Mais c’est un mal et la première chose à faire, c’est de protéger les victimes ou les éventuelles victimes. » Avant d’ajouter : « La difficulté, c’est : quelle conscience la personne a de ce mal ? Comment elle s’en sent responsable ? […] Quand on commet un péché, on a conscience qu’on blesse la relation à l’autre et qu’en blessant la relation à l’autre, on blesse la relation avec Dieu. »

Cher Mgr Lalanne, je n’ai pas comme vous des années de théologie derrière moi et des décennies de ministère. Je n’ai pas confessé – même si j’ai recueilli pas mal de confessions – et encore moins absous et, je l’avoue, il y a longtemps que j’ai fait la différence entre Dieu et la religion. J’ai juste vécu et tenté de garder, à travers les aléas de l’existence, une certaine forme de bon sens moral. Or, c’est cela même qui me semble aujourd’hui dramatiquement vous échapper, comme à nombre de vos confrères d’ailleurs.

Je vais être franche : si péché il y a, alors oui, la pédophilie en est un. Et même un sale péché. Et quand je pense à toutes les terreurs de « péchés mortels » que vos discours ont insufflées dans nos esprits d’enfants pour des peccadilles, vos hésitations me donnent au choix envie d’éclater de rire ou de vomir.

Puisque à l’évidence vous êtes vous aussi rongé par la maladie du temps – le relativisme engrossé par la psychanalyse -, je vais vous aider à pousser votre raisonnement : si l’on vous suit, alors les péchés du « sexe » n’ont jamais existé, sinon dans les discours de l’Église qui en ont éloigné tant de chrétiens sincères. Vous qui non seulement avez menacé de l’enfer les adeptes du plaisir solitaire, mais aussi n’autorisiez l’amour que pour la procréation ; vous qui interdisez aux divorcés de communier ; vous qui condamnez l’usage du préservatif malgré le SIDA, vous ne savez pas dire si enc… les petits garçons est un péché ?

Dites-moi, qu’est-ce qui est « péché », alors ? Voter Front national ?
Qu’est-ce qui ne va pas dans votre tête, Monseigneur ? Quel « padamalgame » miséricordieux vous ronge le cerveau ?

En fait, je vous crois victime. Peut-être l’avez-vous été vous aussi, de « comportements inappropriés » dans votre parcours d’enfant de chœur, de scout ou de jeune séminariste. Tripoté par des gens que vous estimiez, que vous aimiez, qui assuraient élever votre âme vers le Seigneur en baissant votre pantalon. Mais ce n’est pas de ce mal-là que je parle. C’est de la maladie qui est en train de tuer l’Occident : nous avons des pédophiles mais nous n’avons plus de couilles (et qu’on me pardonne ma grossièreté).

Nous ne savons plus dire où est le mal et voulons encore moins le condamner.

Marie Delarue

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Sodomisé de force par un clandestin Somalien, un politicien norvégien s'oppose à l'expulsion de son violeur

8 Avril 2016, 09:47am

Publié par Thomas Joly

Karsten Nordal Hauken a été violé par un demandeur d’asile somalien. Il se sent désormais coupable de son expulsion.

« Comment moi, un jeune homme de gauche, féministe et anti-raciste, ai-je pu devenir la victime d’un violeur somalien ? [...] J’ai ressenti un fort sentiment de culpabilité et de responsabilité. J’étais la raison pour laquelle il devait être expulsé de Norvège, et faire face à un avenir très incertain en Somalie. Il avait déjà purgé sa peine en prison. Devait-il maintenant être puni à nouveau ? Et cette fois beaucoup plus durement ?

J’ai perdu des années entre dépression et consommation de cannabis. J’ai appris que la culture d’origine du violeur était totalement différente de la nôtre. Dans sa culture l’abus sexuel est surtout une prise de pouvoir et non le résultat du désir. Et il n’est pas considéré comme un acte homosexuel. Pour comprendre comment cela peut se produire, on doit dépasser ses préjugés.

Je ne ressens pas de colère envers mon agresseur, car je le vois plus comme le produit d’un monde injuste. Le produit d’une éducation marquée par la guerre et les privations. Je veux que nous continuions à aider les réfugiés malgré un tel contexte. Je suis d’abord un être humain, et non un Norvégien. Non, je fais partie du monde, et le monde est malheureusement injuste. »

Source : http://www.fdesouche.com/717415-norvege-un-politicien-viole-par-un-somalien-soppose-lexpulsion-de-son-agresseur

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Lycéen frappé : il est des coups de poing qui se méritent

5 Avril 2016, 06:46am

Publié par Thomas Joly

Les violences inadmissibles commises par des « lycéens », par définition mineurs, en protestation à la loi Travail, dite El Khomri, par définition ne les concernant ni de près ni de loin, sont clairement le fait d’une instrumentalisation d’une partie de la gauche, qui hélas a la fâcheuse habitude de procéder ainsi.

En tant que père de lycéen, je serai particulièrement inquiet si mon fils, au lieu de se retrouver en cours comme est censé me le garantir le directeur de son établissement (public), se voyait interdire l’accès à son lycée, ou se retrouvait au milieu d’une manifestation dont le point d’orgue consiste à jeter des projectiles sur les forces de l’ordre, qui plus est en période d’état d’urgence…

Ces violences se retournent contre celles et ceux qui ont pour lourde tâche de faire respecter l’ordre dans notre pays, et qui se retrouvent en première ligne. Elles sont le fruit d’un laxisme et d’une instrumentalisation criminels, consistant à laisser des mineurs hors de contrôle commettre des délits, tout en faisant semblant de croire qu’ils savent se qu’ils font.

Dans ce contexte de tension extrême, les interpellations sont trop rares, et parfois même contraires aux instructions reçues par les policiers. Inévitablement, le chaos mène à la violence.

C’est ainsi qu’un gardien de la paix de 26 ans qui venait de recevoir un projectile en plein visage, a été filmé en train d’asséner une « droite » à un lycéen qui venait d’être maitrisé par deux autres policiers.

En d’autres temps, le civilement responsable de ce jeune homme (qui est censé se trouver en cours) lui aurait mis une « gauche », pour équilibrer la balance… Mais ce temps là est révolu.

Désormais, place à la victimisation : interview du lycéen dans les médias, ouverture d’une enquête judiciaire par le Parquet de Paris, intervention du Préfet, puis du Ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve qui s’est dit « choqué » et a saisi l’Inspection Générale de la Police Nationale (IGPN). J’ai personnellement été particulièrement choqué, moi aussi, par la nomination de Bernard Cazeneuve au poste de Ministre de l’Intérieur… Mais c’est une autre histoire.

Le policier a été placé en garde à vue, celle-ci a été prolongée (on se demande bien pourquoi), puis il a comparu devant le Procureur de la République, puis devant un juge des libertés et de la détention qui l’a laissé libre en attente de son procès, prévu en Mai prochain, lui interdisant d’exercer dans l’intervalle. Monsieur Cazeneuve, lui, a toujours le droit d’exercer.

Les « lycéens » ont caillassé deux commissariats parisiens dans l’intervalle, pillé un commerce, et ont prévu deux autres journées d’action les 5 et 6 avril… La chienlit continue, et deux autres plaintes ont été déposées contre… les forces de l’ordre !

Quand la société part à ce point à vau l’eau, on ne peut se permettre de demander à ceux qui se voient confier la mission de préserver l’ordre et la paix publics en étant exposé en première ligne d’être irréprochable. Il est en effet des coups de poings qui se méritent.

Sébastien JALLAMION

Source : http://ripostelaique.com

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Ethnopsychologie : Le djihadiste qui sommeille dans chaque afro-musulman

5 Avril 2016, 06:24am

Publié par Thomas Joly

Après chaque attentat, comme après chaque démonstration des ravages de l’immigration extra-européenne, la puissante machinerie médiatique entreprend “d’expliquer” aux masses ce qu’elles vivent. La pornographie sociologique de gauche donne toujours à fond dans ces moments là.

En dépit de ce simulacre, dans les bas-fonds de la société, la réalité est bien différente. Certains égouts collecteurs refoulent une vérité occultée, niée ou minorée.

Célébrations des attentats de Bruxelles

L’un d’entre eux a récemment débordé. Il s’agit du site satirique Nordpresse.be, gentiment situé à gauche. Ce dernier a publié un article intitulé “Le corps d’Allah retrouvé parmi les victimes du métro” (lire ici).

L’article n’est pas très outrancier, il est même plutôt enfantin.

Mais les réactions qu’il a déclenché chez les afro-musulmans sont particulièrement révélatrices : injures, menaces de mort, apologie des attentats perpétrés par l’État Islamique, appels à en commettre d’autres contre les civils, invocation des mannes de Mahomet, malédictions, etc.

Nous ne parlons pas de quelques marginaux, mais d’un consensus absolu, furieux.

J’invite mes lecteurs à prendre le temps de lire ces réactions spontanées, à visage découvert, franches. Elles s’étalent sans le filtre des médiats gouvernementaux et des scribes de la bourgeoisie blanche progressiste habituellement soucieuse de se livrer à son exercice favori : le narcissisme masochiste.

Les profils des commentateurs ne sont pas ceux “d’islamistes radicaux” qu’aiment à décrire les médiats et dont je n’ai de cesse de dire qu’ils ne sont qu’une partie infinitésimale du problème. Vous ne trouverez pas parmi eux de salafistes arborant de barbes fournies et guère plus de femmes en niqabs. Non, vous ne trouverez que des maghrébins à l’orthographe hésitante dont certains sont professeurs dans des lycées, comme l’indiquent leurs profils Facebook, ou des maghrébines abondamment maquillées qui seraient probablement battues au fouet en Syrie.

Les extraits seront parlants :

Abdelkhader Belkhiri · Après faut pas pleurer vous les provoquer est après vous pleuré moi je pleure pour la Palestine 67 ans de massacre Syrie 7 de guerre civile des millions de civils tué parce-que l’Europe la dit non la vérité léo duc gaze pétrole alors arrêté de les faire chien arrêté de les provoquer

Hakim El Sparows · rigoler quand viendrat l heure du jugement dernier vous verrez se que vous avez toujour refuter mais la il sera trop tard.

Majide Hadad · Non sa mère en lisant ça a essayé de se suicider en se poignardant l anus à coup de saucisson pur porc qui lui rappelle son père car pour avoir créer un verrat comme lui son père ne peut être qu un porc

El Commandante · Mais espèce de grod connard. Aucun respect vis à vis des victimes de leurs familles et des musulmans!!!

Tatie Chacha · bande de cons ….rira bien on verra qui rira le dernier

Naïma Belal · Oh mais que cela vous est facile d’attaquer une religions juste pour provoquer les musulmans mais sachez qu’un vrai musulmans ne tombe pas dans ce genre de bêtise humaine tout actes se paie et c’est pas un musulman qui te le fera payer de t’être moquer de son dieu ALLAH sobrano mais ALLAH LUI MÊME TE PUNIRA D’UNE MANIÈRE OU D’UNE AUTRE

Ömer Yalcin · Continuez comme ça, et quand y’aura des attentats en France vous allez tous pleurer vos mères et vous allez dire “mais pq nous ?”bande de chiens vous allez connaitre pire que le 13 novembre et après vous allez pleurer

Ces réactions sauvages, incontrôlées, témoignent d’une fragilité profonde face à toute critique. Cette insécurité psychologique s’explique parfaitement.

Ethnopsychologie du sujet afro-musulman

Que quelqu’un tienne quelque chose pour sacré n’est pas un problème en soi, non plus que le fait que des musulmans soient déterminés à assassiner quiconque se livrerait à un acte “sacrilège”. C’est ainsi qu’est régi l’islam depuis 13 siècles. Il n’y a là rien de nouveau ni de surprenant.

Ce qui pose problème c’est, pour les sociétés européennes, de ne pas le comprendre et de s’acharner à penser que les afro-musulmans sont de même nature que les Européens et qu’ils partageraient une structuration mentale identique.

Cette attitude découle de l’ethnocentrisme des élites ouest-européennes qui pensent que le genre humain est unique et traversé par les mêmes aspirations, gouverné par une même vision du monde. Un genre humain appelé à se modeler sur les standards de ces élites.

C’est cette négation radicale des différences existant entre Européens et afro-orientaux qui est la source première des tensions que nous connaissons. Ceux qui sont conscients de ces déterminismes raciaux et culturels savent que les conflits interethniques sont toujours le fait d’une méconnaissance des différences fondamentales entre les races, groupes ethniques ou religieux.

Les démocrates occidentaux découvrent, avec stupéfaction, que l’immigration afro-musulmane génère… des afro-musulmans ! Et ils semblent pour le moment préférer le déni plutôt que d’admettre que ces masses inassimilables ne s’assimileront pas. Bien au contraire.

Dissonance cognitive

Cette incompréhension est parfaitement éclairée par l’article précité qui ne peut s’adresser qu’à un public d’Européens athées, catholiques – pratiquants ou non – et autres agnostiques. C’est-à-dire l’essentiel de la population belge ou française de souche.

Les auteurs de cet article satirique, comme Charlie Hebdo en son temps, ignorent le fait que l’humour est une production culturelle et qu’à ce titre elle repose sur des représentations conscientes et inconscientes partagées. La satire ne fait pas partie de la psychologie islamique, laquelle est fondamentalement bâtie sur le refus du doute. Car le doute suppose la liberté individuelle, c’est-à-dire une prise de distance critique vis-à-vis du groupe, qu’il soit familial ou tribal.

Rien de tel n’existe dans le monde musulman, surtout sunnite. Tout individu qui doute et adopte un esprit critique est immédiatement perçu comme un ennemi du groupe, un facteur de dissension sociale. Ce manquement aux obligations de cohésion tribale – dont l’islam n’est que la superstructure pseudo-spirituelle –  aboutit invariablement à l’élimination du “fauteur de troubles”.

Ce genre de comportement grégaire ne relève pas uniquement d’une philosophie : c’est un atavisme ethno-racial qui accompagne  l’endogamie et la consanguinité orientales, si cultivées en Afrique du Nord par exemple. Le tribalisme islamo-maghrébin est littéralement le produit d’un mode de reproduction qui conditionne racialement la psychologie de ces populations et s’érige ensuite en culture.

L’islam n’est pas une religion mais une culture aux accents religieux. C’est ainsi que le vivent, en pratique, les afro-maghrébins qui maquillent simplement leurs déterminismes raciaux en pseudo religiosité.

“Humiliation” et “injustice” chez les afro-musulmans

C’est pourquoi, bien que visiblement peu pratiquants, les réactions des commentateurs turcs, maghrébins ou africains sont invariablement les mêmes : enflammées et fanatiques. Ils ne distinguent pas leur être individuel de ce qu’ils nomment “allah” ou “l’islam”, appellations qui désignent indifféremment la superstructure visible du collectivisme nord-africain, africain et oriental.

Toute critique portée contre l’islam n’est pas comprise par eux comme relevant de l’argumentation rationnelle au sujet d’une croyance mais comme une atteinte psycho-affective les visant en tant que personne collective. Ils l’interprètent comme une “humiliation”.

Pour les Européens, la question religieuse se pose en termes rationnels. Typiquement, un débat entre un Européen religieux et un Européen athée vise à répondre à la question”Dieu existe t-il ?”. La question se limite à son objet.

Lorsque la question oppose un Européen et un afro-musulman, la question ne tournera pas autour de l’existence de Dieu mais de savoir si l’afro-musulman soumettra l’Européen à sa volonté. La question se limite au sujet.

Si l’afro-musulman n’y parvient pas – parce que l’Européen demeure athée ou chrétien et récuse les fondements de l’islam – alors il se sent “humilié”, ce qui veut dire chez lui  “dominé”. Or, pour l’afro-musulman, la seule domination légitime est la sienne.

Un Européen qui récuse l’islam face à un afro-musulman et qui l’affirme en toute quiétude est responsable, pour l’afro-musulman, d’une “humiliation”, c’est-à-dire une domination psychologique. Ce qui se traduit par l’accusation enfantine “d’injustice”.

La “justice” chez les afro-musulmans n’a pas le sens, égalitaire, que nous lui prêtons. Chez les africains, nord-africains ou orientaux, la “justice” signifie la domination des autres par son propre groupe, cette domination étant conçue comme allant de soi, naturelle, due.

Criminalisation du mérite personnel

Insistons sur ce point : le mérite est une notion très dévaluée chez les afro-musulmans. Les réalisations personnelles, fruits du talent de l’individu forcément autonome, sont suspectes car renvoient aux propres échecs du groupe. Or le groupe ne pouvant avoir échoué – les afro-musulmans se considèrent comme parfaits, innocents et éternelles victimes des autres – tous les succès d’un individu talentueux sont relativisés. Plus encore, ce dernier est prié de rapidement s’excuser de sa réussite, dont on lui explique au passage qu’il la doit intégralement à tous sauf à lui-même, en redistribuant les fruits de celle-ci.

Le groupe – familial et tribal – exerce sa pression implacable, en usant de la culpabilisation au besoin. Ce mécanisme est important à comprendre car dès lors les afro-musulmans fondent la légitimité sur la seule base de leur appartenance et non sur celles de leur mérite personnel, ils décrètent que ce qui est à vous à vocation à être à eux. A commencer par votre pays, vos femmes, votre argent, etc.

Exactement comme un enfant capricieux qui cherche à commander ses parents et qui estime que tout lui est du.

Hypocrisie fondamentale

Si cette domination est combattue et, mieux, abolie, la réaction est violente, irrationnelle et d’ordre psychoaffective. Ce qui se manifeste par une attitude de victimisation complaisante et hystérique.

L’hypocrisie est le principe de base du fonctionnement social de ces groupes, surtout dans les sociétés européennes où le fonctionnement du corps social repose sur le traitement égalitaire des individus. Les afro-maghrébins comprennent d’instinct que dans un système fondé sur l’égalité et le mérite individuel la rapine en bande organisée est leur seule planche de salut.

Se considérant comme “dominés” – c’est-à-dire dans leur jargon “humiliés” – les allogènes afro-musulmans font mine d’adopter – verbalement – les valeurs des sociétés d’accueil pour mieux délégitimer celles-ci en raison même du fait qu’elles les dominent. Concrètement, c’est l’utilisation de la phraséologie antiraciste, droit-de-l’hommiste et anticolonialiste afin de renforcer les positions du groupe tribal face aux Blancs.

De la même façon, un braqueur algérien, même pris en flagrant déni, continuera de nier et de désigner avec férocité des coupables imaginaires.

Quand les allogènes afro-musulmans utilisent cette rhétorique, c’est pour ruiner précisément l’ordre égalitaire et démocratique qui leur est si défavorable – du fait de leur médiocrité individuelle – et lui substituer la tyrannie raciste et haineuse du collectivisme afro-oriental.

Il faut donc retenir cette règle d’or : avec les afro-musulmans, on est en dessous ou au dessus, jamais à égalité.

“Islam modéré”

Il ne peut donc pas y avoir “d’islam modéré” ou “républicain” car il n’y a pas de modération à un déterminisme psycho-racial dont l’expression politique est le despotisme grégaire.

Il n’y a pas d’acceptation de la critique parce qu’il y a une incapacité au doute. Il y a une incapacité au doute parce qu’il y a chez ces groupes une puissante limitation, pour des raisons génétiques, de la pensée abstraite.

La raison, qui domine normalement l’affect, est considérablement réduite chez ces derniers. Le résultat en est une affectivité difficilement contrôlable dont l’agressivité est une manifestation répandue chez ces populations.

En conséquence, ces masses ne sont pas régies par la raison mais pas la force coercitive. La seule domination qu’elles tolèrent est celle d’une force qu’elles reconnaissent comme supérieure en pratique. Plus on est brutal, plus on est respecté et entendu. Comme l’enfant que l’on corrige par une fessée.

C’est bien pour cela que le mot “islam” veut dire “soumission” et que ce système culturel est radicalement incompatible avec les qualités propres de la race blanche dont l’une des plus essentielles est l’autonomie de l’individu.

Quand on comprend ces mécanismes ethno-psychologiques et la nature profonde de l’islam comme personnalité collective des masses orientales et africaines, on comprend que ce ne sont pas les démocraties occidentales qui ne sont pas compatibles avec l’islam. Elles sont incompatibles avec les afro-musulmans.

Le débat actuel est donc posé à l’envers, se focalisant sur les conséquences.

Le djihadisme comme revanche légitime

Inaccessibles au concept même de liberté et de responsabilité individuelle, ces masses afro-islamiques ne fonctionnent qu’en termes tribaux et collectivistes dans lequel la violence joue un rôle essentiel. Contrairement à l’homme européen, pour qui mérite personnel, équité et liberté sont des valeurs fondatrices de l’ordre social, le collectivisme afro-oriental n’admet que la sujétion par le despotisme et le fanatisme.

Sur ces entrefaites se manifeste le phénomène djihadiste. Alors qu’il devient chaque jour plus clair que les allogènes africains ou orientaux ne veulent ni ne peuvent être assimilés culturellement, surgit le bras “séculier” du collectivisme dont j’ai parlé.

Loin d’être perçus comme des “terroristes” ou des égorgeurs, ce sont bien comme des “justiciers” que les djihadistes sont consciemment et inconsciemment identifiés par les maghrébins et africains. “Justiciers” au sens, vous l’aurez maintenant compris, de ce que peut signifier le mot justice chez ces groupes : la violence comme arme de domination légitime.

Dans ces conditions, la “lutte contre le terrorisme” des élites démocratiques constitue, au mieux, une aimable plaisanterie.

Et pour conclure sur un argument récurrent utilisé par les afro-musulmans afin de se poser en victimes pour échapper, “perfection” et “innocence” obligent, à leurs responsabilités : non, les “musulmans” ne sont pas les premières victimes du terrorisme. Les musulmans sont les premières victimes des musulmans.

C’est l’essence même de leur culture.

Boris Le Lay

Source : http://borislelay.com

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Justice à bout de souffle : qui fait les frais de cette situation ubuesque ?

5 Avril 2016, 06:19am

Publié par Thomas Joly

C’est le ministre de la Justice qui le dit : la justice française est « à bout de souffle », avec un ministère qui « n’a plus les moyens de payer ses factures ». Il est intéressant d’entendre monsieur Urvoas effectuer un constat que partagent tous les magistrats, les avocats, les experts et nombre de justiciables. Et il ne s’agit pas là d’une banalité syndicale braillée entre deux slogans : la situation de la justice française est véritablement préoccupante.

Le garde des Sceaux donne quelques exemples : « La direction de l’administration pénitentiaire a 36 millions d’euros de factures impayées pour des hospitalisations de détenus », explique-t-il. Ou encore : « L’État a une dette de 170 millions d’euros » de frais d’interprètes, de laboratoires d’analyses ADN, d’experts, d’écoutes téléphoniques… « Tous ces prestataires privés sont payés au minimum avec quatre mois de retard », déplore le ministre. « Je connais même un tribunal où on n’imprime plus les jugements parce qu’il n’y a plus d’argent pour les ramettes de papier ! »

La réalité est encore plus sombre : l’obligation de transmettre les actes de procédure par voie électronique se double, pour les avocats, d’une copie papier : les greffes n’ont pas les budgets pour imprimer. Dans de nombreux tribunaux, le dossier n’est renvoyé à l’avocat avec le jugement qu’à condition qu’il remette une enveloppe timbrée. Mais cela n’est rien à côté des retards insupportables de l’administration : il faut plus d’une année pour obtenir d’un juge des tutelles une ordonnance autorisant la vente d’une maison appartenant à un majeur protégé – le délai dissuade les acquéreurs qui vont voir ailleurs ; souvent, les jugements signés – indispensables pour les exécuter – ne parviennent aux avocats que plusieurs mois après avoir été rendus. Et il devient pratiquement impossible d’obtenir en temps raisonnable les copies des procès-verbaux de police : les services compétents sont débordés et souvent dépourvus de papier ; quant à la transmission numérique, l’institution n’y est pas prête partout.

À qui la faute ? En premier lieu à l’État qui, depuis 25 ans, considère la justice de la même manière que l’armée : une variable d’ajustement budgétaire. Les politiciens ne débordent pas d’amour envers les magistrats, que Sarkozy a même traités de « petits pois », et ces derniers le leur rendent bien.

En second lieu, à une augmentation vertigineuse du nombre d’avocats qui, faute de spécialisation et de formation suffisante, grossissent chaque année les bataillons des généralistes. Le résultat est, mathématiquement, une augmentation de la demande judiciaire : les affaires familiales – exemple type – représentent 50 % de l’activité des TGI…

Enfin, une mentalité qui reste largement pétrie de fonctionnariat : lorsqu’un avocat se doit d’être hyper-réactif s’il veut conserver sa clientèle, un juge qui n’a pas le temps n’imagine pas toujours de le prendre… Quant aux greffiers et personnels administratifs, en croiser certains dans les couloirs dispense de regarder sa montre. Ceux-là nuisent à l’image de ceux (juges et greffiers consciencieux) qui travaillent dans l’ombre avec des bouts de ficelle sans compter leur temps.

Reste que les justiciables font les frais de cette situation ubuesque. Et que la belle déclaration de monsieur Urvoas risque de finir, comme toujours, au musée des bonnes intentions.

François Teutsch

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Les sept Églises et l’islam conquérant

4 Avril 2016, 06:42am

Publié par Thomas Joly

L’actualité est aussi liturgique. En ce dimanche de Quasimodo, on a donné lecture de l’Apocalypse de saint Jean où il s’adresse de Patmos à ses frères des sept Églises, dans l’ordre alphabétique Éphèse, Laodicée, Pergame, Philadelphie, Sardes, Smyrne, Thyatire. Elles étaient toutes incluses dans un quadrilatère irrégulier dont le plus grand côté fait à peu près trois cents kilomètres de long. Aujourd’hui, il ne reste rien des Églises d’Asie Mineure, du Maghreb ni de Libye, et celles d’Égypte, de Syrie et de Mésopotamie se vident à vitesse grand V.

L’islam est conquérant et, à terme, éradicateur. Longtemps, le royaume de France fut le protecteur attitré des chrétientés d’Orient, et comme il était puissant, elles furent tolérées tout en étant soumises. Le parti socialiste national Baas théorisé par le chrétien Michel Aflak leur permit de survivre un peu, mais la politique anglo-saxonne favorisant l’islam confessionnel radical, et conquérant à nouveau avec ses confréries, ses fanatiques, ses terroristes, a mis un terme à ce sursis.

La question est maintenant de savoir ce qui va se passer en Europe. Au Kosovo, dans le Sandjak, en Bosnie, en Albanie, partout les États-Unis ont favorisé l’installation de pouvoirs musulmans. L’Union européenne, à la botte des États-Unis et de l’OTAN, s’ouvre à l’invasion des migrants, lesquels – c’est amusant – passent par Smyrne, qui fut l’une des sept Églises, et par Chios, où se perpétra au dix-neuvième siècle l’un des plus retentissants massacres de chrétiens par la Sublime Porte.

On compare souvent l’invasion actuelle de l’Europe aux grandes invasions : à tort. Elles furent beaucoup moins massives et rapides, et les envahisseurs s’acculturèrent à la proie qu’ils convoitaient parce qu’ils étaient assimilables. L’actuelle invasion ressemble beaucoup plus à ce qui se passa au Proche-Orient au septième siècle : le sol et les villes furent peu ravagés, mais la civilisation fut balayée comme par une bombe à neutrons, et les populations soumises et changées de fond en comble. Telles sont les caractéristiques de l’islam conquérant. Et tant pis pour les sept Églises, et pour les autres.

Martin Peltier

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Record mondial : en 2015, 10 000 millionnaires ont quitté la France à cause de son islamisation

4 Avril 2016, 06:40am

Publié par Thomas Joly

Les tensions avec l’islam radical en France ont contribué à l’accélération de l’exode des personnes les plus aisées du pays, selon un rapport récent. L’étude, qui analyse les tendances migratoires des individus fortunés, met en garde contre un phénomène qui pourrait toucher d’autres pays européens dont le Royaume-Uni, l’Allemagne et la Suède “où des tensions religieuses ont commencé à émerger”.

Le rapport a été réalisé par le New World Wealth, une agence qui délivre des informations relatives au secteur de la richesse globale. L’analyse repose sur une collecte de données auprès d’investisseurs internationaux, de statistiques gouvernementales, des registres des ventes de propriétés, etc.

La France arrive en tête de classement avec 10.000 millionnaires ayant quitté le pays en un an, soit 3 % du nombre total vivant dans l’Hexagone. Parmi les villes impactées par ces départs, Paris arrive en tête avec 7.000 millionnaires qui ont sont partis pour s’installer au Royaume-Uni, aux USA, au Canada, en Australie ou en Israël.

“L’énorme émigration des millionnaires depuis la France est notable, la France étant lourdement impactée par l’accroissement des tensions entre chrétiens et musulmans, surtout dans les zones urbaines. Nous estimons que l’émigration des millionnaires depuis la France va s’accélérer durant la prochaine décennie à mesure que les tensions vont continuer d’augmenter“ avertit le rapport.

Source : http://breizatao.com

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Catherine Lemorton réécrit l'Histoire de la Terreur

4 Avril 2016, 06:36am

Publié par Thomas Joly

Catherine Lemorton, présidente PS de la commission des affaires sociales à l’Assemblée nationale, a fait des déclarations étonnantes.

A Libération, cette pharmacienne favorable aux salles de shoot et qui a fait concevoir ses deux filles par PMA se déclare « très jacobine » et revendique même l’étiquette de «robespierriste». Avec cette contre-vérité historique : « Je rappelle que la terreur blanche a fait plus de morts que la terreur rouge ! »

La terreur blanche aurait fait 300 à 500 morts... Bien loin des centaines de milliers de morts de la Terreur robespierriste...

Catherine Lemorton a pris sa carte au PS après l'élimination de Lionel Jospin en 2002. Mais elle vient de l'extrême-gauche. Elle a un arrière-grand-père « rad soc », un grand-père gaulliste (le paternel), un autre (le maternel) résistant et déporté. Son père cheminot est au RPR. A 16 ans, elle tombe amoureuse de son futur mari, un communiste qui vend l’Huma. Elle se penche sur Marx. A la fac, elle fait ses débuts militants dans une mouvance trotskiste. Ses filles lui sont fidèles : l’aînée de ses filles est au Front de gauche, la cadette chez les Jeunes Socialistes.

Elle cultive les contradictions : si elle apprécie Montebourg, elle n'a pas fait campagne pour lui. Si elle jure n’avoir jamais espéré entrer au gouvernement, certains racontent pourtant l’avoir vue « pleurer de ne pas être ministre ». Favorable au mandat unique, elle redoute la défaite en 2017 et prévient qu'elle ne retournera pas à sa pharmacie. La vie est quand même meilleure à Paris...

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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Le scandale de l’abattoir de Mauléon

4 Avril 2016, 06:35am

Publié par Thomas Joly

Pas une semaine ne passe sans qu’un nouveau scandale entache la réputation des abattoirs et – du moins indirectement – de la consommation de viande. Actuellement, c’est l’abattoir de Mauléon qui en fait les frais.

Animaux écartelés, frappés ou reprenant conscience avant d’être mis à mort. Les images de ces abattages bâclés sont à la limite du supportable. De quoi plonger la petite ville du Sud-Ouest dans la tourmente. Figurez-vous que le maire de la commune et le directeur de l’abattoir ont reçu des centaines de courriels injurieux et menaçants de la part d’internautes, bien sûr anonymes, partis en croisade virtuelle au nom de la cause animale.

Trois plaintes ont déjà été déposées par des associations contre l’abattoir de Mauléon. Le porte-parole de l’une d’entre elles, interviewé sur BFM TV, souhaite que chaque abattoir de France ait des caméras allumées toute la journée et consultables en ligne afin qu’un « regard citoyen » s’exerce sur ces établissements. D’autres associations du même acabit surenchérissent, réclamant un durcissement des normes, ainsi qu’une réglementation plus sévère de l’élevage et de l’abattage.

Notons que sur les sites Web de ces associations, il n’est presque jamais fait mention du halal, ni de la cruauté que constituent les abattages rituels. Cette indignation à géométrie variable porte malheureusement un large discrédit sur ces organismes.

Le discrédit est double si on prend en compte le fait que la majorité desdites ONG sont composées de « vegans » et autres antispécistes qui ne verraient pas d’un mauvais œil l’interdiction pure et simple de la viande, alors même que le végétarisme est partagé par seulement 2 % de la population française.

Mais en période d’émoi généralisé et de buzz médiatique, la réalité des faits est, hélas, occultée.

Les abattoirs français manquent cruellement de moyens : étouffés par les normes européennes et l’omniprésente suspicion des belles âmes antispécistes, en manque de main-d’œuvre et de moyens financiers. Beaucoup ont dû mettre la clé sous la porte à cause de scandales similaires ou simplement parce qu’ils avaient fait faillite. La condition sociale des employés reste précaire, et ces derniers sont souvent surmenés.

On ne peut justifier l’injustifiable. Or, les exactions commises dans l’abattoir de Mauléon sont injustifiables. L’instrumentalisation qu’en font certains lobbys dans leur croisade anti-viande nous semble tout aussi injustifiable. Les abattoirs ne sont pas des repères de sadiques. Et on peut être carnivore sans être barbare.

Car ces abattoirs ruraux ont une importance capitale pour l’économie locale, notamment par la création d’emplois qu’ils suscitent et les réseaux paysans qu’ils permettent de maintenir, loin de la viande anonyme et industrielle qui abonde sur le marché.

Nicolas Kirkitadze

Source : http://www.bvoltaire.fr

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