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Le blog politique de Thomas JOLY

Victoire judiciaire et politique pour Christophe Devillers !

9 Février 2023, 07:50am

Publié par Thomas Joly

Victoire judiciaire et politique pour Christophe Devillers !

Après l'appel déloyal interjeté par le Ministère Public, l'arrêt rendu par la Cour d'Appel de Besançon confirmant ma relaxe pour "incitation à la haine raciale" constitue une double victoire politique alors que je défendais seul mes intérêts.

Victoire politique contre Benoît Cornu, maire de Ronchamp, qui n'avait pas ménagé ses efforts dans une procédure qu'il avait largement initié sur fond de mensonges et de manipulation grossière.

Victoire politique également contre le Ministère Public représentant le gouvernement, dont la seule motivation n'était autre que l'intimidation en vue de contraindre à l'engagement de frais d'avocat alors que les infractions reprochées n'étaient nullement constituées pénalement.

Ainsi, cette audience devant la Cour m'aura non seulement permis de dénoncer la collusion d'intérêt entre l'avocat général et le maire de Ronchamp mais aussi de comprendre mon tort de ne pas avoir interjeté appel de ma relative condamnation initiale pour injure publique aggravée.

Il y a cependant des condamnations qui valent des décorations !

Christophe DEVILLERS
Conseiller municipal de Ronchamp
Délégué régional du Parti de la France pour la Franche-Comté et membre de Reconquête


[Pour rappel, Christophe Devillers était poursuivi pour avoir écrit sur Facebook « Foutons-les dehors tous ces bougnoules ».]

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Excision : bientôt une tradition française ?

9 Février 2023, 07:41am

Publié par Thomas Joly

Pratique historiquement répandue sur le continent africain, l’excision [mutilation totale ou partielle des organes génitaux féminins, NDLR] se développe depuis plusieurs années sur le sol français. Symptômes d’une immigration continue et d’un communautarisme grandissant, ces mutilations sont l’une des preuves de la faillite de l’intégration.

125.000 femmes excisées

Sur le seul territoire de Seine-Saint-Denis, près de 22.500 femmes adultes (de 18 à 45 ans) ont subi une excision, selon les récents résultats de l’enquête « Mutilations sexuelles féminines (MSF) – Préval » menée au sein de plusieurs établissements de santé du département. Au total, en Seine-Saint-Denis, ces mutilations, pourtant condamnées par la loi française de dix ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende, concernent donc 7,2 % des femmes. Un chiffre bien supérieur aux résultats obtenus dans le Rhône (1 %) et dans les Alpes-Maritimes (0,3 %). À l’échelle nationale, on estime qu’au moins 125.000 femmes sont excisées. Ainsi, malgré le plan national d’action lancé en 2019, cette pratique, qui a plus que doublé en deux décennies, perdure.

Le nombre significatif d’excisions ne doit son augmentation qu’à la submersion migratoire subie par la France depuis plusieurs années. En effet, loin d’être inscrite dans les mœurs françaises, la mutilation des parties génitales féminines est une pratique originaire d’Afrique, et majoritairement d’Afrique de l’Ouest. Selon les coutumes locales, cette tradition archaïque, condamnée au niveau international, permettrait de garantir l’honneur de la famille de la jeune fille et l’honneur du futur mari. Santé publique France estime ainsi que 34 % des femmes nées en Côte d’Ivoire au début des années 1990 ont été excisées. Un pourcentage qui atteint 83 % pour le Mali et 97 % pour la Guinée. Dès lors, il n’est pas étonnant que la Seine-Saint-Denis, département français qui accueille un nombre important d’immigrés (environ 40 %), ait un taux d’excisions supérieur à la moyenne nationale.

Poids de la communauté

Malgré son interdiction en France, de nombreuses familles immigrées continuent de perpétuer l’excision des jeunes filles. Sous « la pression du groupe social d’origine » ou par désir d’entretenir un dogme communautaire, ces familles contournent la loi française et envoient leurs filles se faire mutiler « en Afrique, à l’occasion d’un séjour de vacances »alerte la Fédération GAMS qui lutte contre les violences faites aux femmes. Une étude britannique explique que de nombreuses familles, originaires d’Afrique subsaharienne, préfèrent demander la mutilation de leur filles plutôt que de se conformer à la législation française. Autrement dit, le groupe ethnique d’origine passe avant l’intégration française. Face à ces contournements, le Haut Conseil à l’intégration considère, depuis 2011, la pratique de l’excision comme « un comportement culturel inconciliable avec la République ».

Pour lutter efficacement contre les excisions, des élus Les Républicains ont, l’an passé, demandé la création d’un certificat de non-excision pour les mineurs voyageant vers les pays à risque et un rapport détaillé sur les mutilations féminines. Pour l’heure, ces propositions sont restées lettre morte. Il faut dire que nombre d’élus, pourtant prompts à dénoncer la domination du « mâle blanc », préfèrent garder le silence sur les excisions pour ne pas froisser leur potentiel électorat…

Clémence de Longraye

Source : http://bvoltaire.fr

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Forum du Parti de la France du 9 février 2023 : Islam, hypocrisie et Taqiya

8 Février 2023, 19:24pm

Publié par Thomas Joly

Forum du Parti de la France du 9 février 2023 : Islam, hypocrisie et Taqiya

Dans le Forum du PdF du jeudi 9 février, Alexandre Hinger reçoit Pierre Cassen (Riposte Laïque) et Bernard Germain (Reconquête).

L'émission traitera de la fourberie des mahométans ainsi que de l'actualité politique.

C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram : https://t.me/partidelafrance

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Répression contre les détraqués climatiques qui s'en prennent à nos biens !

8 Février 2023, 16:29pm

Publié par Thomas Joly

Je suis stupéfait qu'un drame ne soit pas encore arrivé aux écolo-tarés qui poussent leur névrose climatique jusqu'à dégonfler les pneus des voitures qu'ils jugent « polluantes ».

Loin de moi l'idée de souhaiter qu'il leur arrive quelque chose mais un beau jour ces petits terroristes verdâtres risquent de tomber sur un propriétaire furieux et non-déconstruit qui leur administre une légitime correction ; et j'imagine ce qui pourrait se passer s'ils se faisaient surprendre en train de dégrader le 4x4 de luxe d'un dealer allogène...

Les autorités publiques doivent sévèrement réprimer ces détraqués climatiques qui pourrissent la vie des Français en s'en prenant aux biens privés.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Les magouilles de Yannick Morez pour imposer les clandos à Saint-Brevin

7 Février 2023, 07:29am

Publié par Thomas Joly

Le maire de Saint-Brevin, Yannick Morez, confie à ses proches qu’il craint de subir le même sort que son collègue de Callac, et de devoir renoncer à son projet Aurore. Rappelons que celui-ci consiste à installer un Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile (Cada) de 120 clandestins, présentés comme Africains, dont beaucoup auraient des problèmes psychologiques graves, comme ils disent. Particularité du projet, il se situe juste à côté d’une école maternelle, et même sur le territoire, qui a été cédé par la mairie à l’association Aurore.

Yannick Morez sait que l’abandon du projet Horizon à Callac a galvanisé les opposants au projet Aurore, et que ceux-ci, avant leur grand rassemblement du 25 février, multiplient les initiatives vers la population : distributions de tracts devant les écoles, sur les marchés, multiplication des contacts avec les associations et les élus de l’opposition, réseaux locaux de plus en  plus importants. Et d’autre part, on annonce la venue de pointures nationales pour le rassemblement du 25 février.

Yannick Morez, qui, pour des raisons curieuses, paraît faire de ce dossier une affaire personnelle, multiplie donc les magouilles, pour imposer son projet et faire des croche-pied à l’Association de « Préservation de la Pierre Attelée », qui mène le combat. Il est soutenu par son équipe municipale, l’Éducation nationale et l’ensemble de la gauche politique, syndicale et associative. La directrice de l’école maternelle, Delphine Richard, refuse de recevoir les parents, inquiets par les révélations des journaux locaux.

Mais le maire paraît décidé à passer la vitesse supérieure. Il entend bloquer la pétition impulsée par l’association locale, pour empêcher qu’elle ne continue à faire de nouveaux émules. Il organise des réunions à la mairie avec des membres des associations de parents d’élèves, mais en exclut des parents, pourtant légalement élus, mais qui ont le tort de mal penser, et de s’inquiéter pour la sécurité de leurs enfants.

Encore mieux, à l’occasion d’une cérémonie d’accueil des nouveaux habitants de Saint-Brevin, le maire s’est permis d’instrumentaliser la cérémonie, et de mettre en garde ses nouveaux administrés contre ce qu’il appelle l’extrême droite, c’est-à-dire des militants du collectif local qui distribuaient paisiblement des tracts.

Rappelons que le même Morez avait grossièrement insulté une militante du Collectif « Préservation de la Pierre Attelée », qui distribuait des tracts sur un marché, la qualifiant de « raciste ». Vu que la personne insultée est avocate, il est fort possible que cela se termine au tribunal.

À la suite de son discours, la tension est montée, et certains nouveaux habitants, pour le plus grand bonheur du maire (est-ce lui qui installe des renforts ?) ont insulté les militants du collectif qui distribuaient paisiblement un tract d’information sur la situation locale. Le maire divise donc la population, et profite de son mandat pour monter les uns contre les autres.

Morez a beau multiplier les minables manœuvres du petit potentat local qu’il est, les informations que fait circuler le Collectif, son sérieux et la validité des arguments ne peuvent tromper grand-monde. Les yeux s’ouvrent et le prochain rassemblement, prévu le 25 février, apparaît prometteur.

De quoi empêcher celui qui trahit les intérêts de sa ville et de ses administrés, Yannick Morez, de passer de bonnes nuits.

Rose Martin

Source : http://ripostelaique.com

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Rats, migrants, insécurité, loyers fous : le Paris d’Hidalgo se vide, selon l’Insee

7 Février 2023, 07:12am

Publié par Thomas Joly

C’est Le Parisien qui l’écrit en une le 5 février : « Paris perd ses habitants. » De fait, « en dix ans, 123.000 personnes ont quitté la capitale ». Et si la capitale continuait à se dépeupler à ce rythme, elle compterait, en 2050, moins de 2 millions d’habitants, prédit l’INSEE.

La Saint-Valentin et son business approchant à grands pas, la télévision d’État nous offre en fin de JT une mini-série sur les villes et l’amour. Elle s’ouvre sur Paris, « la ville la plus romantique du monde », à ce qu’il paraît. C’est peut-être encore vrai pour les étrangers et les touristes en mal de chromos, de 2CV Citroën et d’accordéon. Ça l’est nettement moins pour les Parisiens qui, eux, s’enfuient vers des cieux plus vivables.

Rivale de longue date de l’actuel maire , (actuellement maire du VIIe arrondissement) a vivement réagi sur Twitter : « Paris est devenue une ville qu’on fuit : voilà le bilan que la majorité socialiste-verts aura à assumer en 2026 ! » Pas faux…

Fin décembre, l’INSEE a publié ses chiffres : depuis 2012, les Parisiens prennent la poudre d’escampette et la fuite s’est accélérée pour atteindre en moyenne 12.400 personnes par an entre 2014 et 2020 et 123.000 personnes en dix ans. Une chute entamée à la fin du mandat Delanoë et poursuivie une décennie durant sous la houlette d’Anne Hidalgo.

Devant ces chiffres, la mairie de Paris fait comme d’habitude : réponse à côté de préférence. Oui oui, la mairie compte s’attaquer à ce désamour. Et comment ? En accroissant le parc de logements publics, moins chers, et en adaptant la ville aux enfants.

Des logements publics et sociaux, il y en a pléthore, à Paris. Il y a même des arrondissements (ceux du nord de la capitale) où l’on a l’impression de ne voir que cela. Reste à savoir qui en bénéficie. Et si Paris est le seul département francilien à perdre des habitants, c’est parce que la vie y est devenue cauchemardesque entre rats, immigration folle, insécurité, saccage des quartiers, saleté, tout pour les vélos et des loyers de folie.

Avec une densité de population intra-muros supérieure à New York et même à New Delhi, la capitale française devient insupportable à vivre au quotidien. D’autant qu’aux « désagréments » cités plus haut, il faut ajouter des transports en commun sursaturés malgré l’augmentation sévère du passe Navigo, les manifestations et les défilés qui paralysent ce qu’il reste de circulation un jour sur deux, la hausse de 52 % de la taxe foncière en 2023. Et, en prime, la panique des Jeux olympiques en plein cœur de ville dès l’année prochaine.

Surtout, la ville a totalement changé de visage, avec des quartiers dorénavant 100 % ethniques : indien autour de la gare de l’Est, chinois à Belleville et dans le Xe, vietnamien et thaï dans le XIIIe, maghrébin puis africain de Stalingrad à Barbès, ouvert aux camps de migrants vers la porte de la Villette, avec des « marchés aux voleurs » institutionnels sous le métro aérien et porte de Clignancourt… Et puis, sur les berges de la Seine et dans ce tout petit cœur de ville qui démarre dans le Marais pour rejoindre l’avenue Montaigne et les Champs-Élysées, il y a le Paris du grand luxe, celui de l’intelligentsia friquée qui se rend à vélo ou en voiture de fonction à la nouvelle Samaritaine, remontant une rue de Rivoli désormais dévolue aux deux-roues…

Les retraités qui le peuvent se sont échappés de leurs quartiers saccagés, abandonnant une ville qu’ils ne reconnaissent plus. Les familles ont fui, elles aussi, chassées par les prix et par la contrainte scolaire d’une « mixité sociale » trop souvent synonyme de baisse de niveau…

Paris vit encore de souvenirs, mais la capitale est à l’image du pays : sur la pente savonneuse et fatale du déclassement.

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Repeuplons la France avec des Français !

6 Février 2023, 21:01pm

Publié par Thomas Joly

Repeuplons la France avec des Français !

Les dégénérés écolo-gauchistes qui refusent de faire des enfants par idéologie décarbonée, qui se font vasectomiser ou stériliser, ne laisseront aucune descendance. Cette sélection naturelle est une bénédiction.

Fonder un foyer et perpétuer sa lignée est l'acte militant le plus essentiel pour un nationaliste. Face à la submersion migratoire, la démographie est une arme.

Pour que la France redevienne la France, il faut la repeupler avec des Français !

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Oremus, un podcast mensuel national-catholique à découvrir !

6 Février 2023, 08:27am

Publié par Thomas Joly

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Vers une pénurie de viande bovine ?

6 Février 2023, 07:45am

Publié par Thomas Joly

Dans la litanie des fondations de la maison France qui craquent, quelque part entre la baguette, la culture classique, les églises et les vergers, il faudra peut-être ajouter nos vaches et nos éleveurs. Je suis encore loin de la retraite et j'ai pourtant connu les villages des Pyrénées et du Cantal traversés par nos amies les vaches. Aujourd'hui, vous pouvez traverser un département rural sans rencontrer un seul troupeau. Où sont les vaches ?

Mais depuis quelques jours, les médias consentent enfin à se pencher sur le sort de nos éleveurs et de leurs troupeaux qui fondent à vue d'œil. En dix ans, le cheptel français a été réduit de 11 % et, selon l'Institut de l'élevage, la France a perdu 837.000 bovins depuis 2016, dont 500.000 vaches allaitantes. Je me suis d'abord dit : tiens, la faute aux végétariens, moins de demande, donc nos éleveurs ont réduite la voilure. Que nenni : les importations de viande étrangère ont bondi de 6 % dans le même temps ! Toujours la même chanson : moins chère car soumise à moins de contraintes. Et donc de moindre qualité. Merci, l'Union européenne !

Mais alors, pourquoi nos éleveurs ne parviennent-ils pas à répondre à cette demande qui résiste ? En cause la faible rentabilité de l'élevage, s'il n'est pas couplé à d'autres formes d'agriculture. En cause, aussi, les lourds investissements nécessaires. Mais surtout la faible attractivité d'une profession qui est un véritable sacerdoce, qui ne connaît ni les 35 heures ni les vacances ni les week-ends. Les éleveurs qui partent à la retraite peinent à trouver des repreneurs, comme Jean-Luc Boujon qui a confié à Europe 1 : « J'avais un petit jeune qui sortait des écoles et qui était intéressé. Mais il a préféré ne pas s'engager. Il souhaite garder un statut de salarié parce que sinon, il a peur que ça le plombe pour débuter sa vie… » Tout est dit.

Même France Culture s'est émue de cette mauvaise pente et a demandé à l'ingénieur Patrick Veysset, agro-économiste à l’INRAE, quelle solution innovante et adaptée à la transition environnementale était possible : « Aujourd’hui, l’engraissement des cheptels se fait aux céréales et au soja. Mais la filière gagnerait à changer de méthode et à opérer une transition vers de l’engraissement à l’herbe. » Avec, à la clef, « une mise en valeur d’un territoire du Massif central exclusivement couvert d’herbes et de forêt ou aucune autre alternative agricole n’est possible, et une sécurité alimentaire grâce à l’autonomie en viande et grâce à la réduction d’utilisation de céréales indispensables à la nourriture humaine. »

Cet intérêt nouveau des médias pour l'élevage, qui est aussi l'un des piliers de notre souveraineté, loin des oukases et des excès des commandos vegan qui s'en prenaient aux boucheries, est bienvenu. Bienvenue, aussi, l'ouverture des agriculteurs aux questions soulevées par le changement climatique, comme le montre, entre autres initiatives, la conférence de Jean-Marc Jancovici organisée par les Jeunes Agriculteurs de l'Aveyron, en 2021. Ou l'arrivée, sur les réseaux sociaux, d'éleveurs populaires comme Cédric, du Cantal, avec qui vous pouvez suivre les vêlages, la construction d'une stabulation ou son activité selon les saisons.

De même qu'il faut sauver nos boulangers et nos arboriculteurs, il faut sauver nos éleveurs. L'enjeu est tout autant économique que patrimonial.

Frédéric Sirgant

Source : http://bvoltaire.fr

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Corruption chez BFMTV : ça alors !

6 Février 2023, 07:22am

Publié par Thomas Joly

Le journaliste de BFMTV Rachid M’Barki avait été écarté de l’antenne suite à des soupçons de complicité de manipulations d’influence de la part du Maroc.

Face à des salariés inquiets, la direction de BFMTV a indiqué que le journaliste d’origine marocaine aurait « perçu des paiements en liquide » et confirmé qu’il était « dispensé d’activité » depuis la mi-janvier (il a été remplacé à la présentation du journal de la nuit par son confrère Thomas Joubert).

Voici la vidéo polémique de 2019 dans laquelle il fait un peu tomber le masque.

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Ve Congrès du Parti de la France samedi 25 mars à Paris

4 Février 2023, 18:09pm

Publié par Thomas Joly

Ve Congrès du Parti de la France samedi 25 mars à Paris

Samedi 25 mars prochain se déroulera à Paris le Ve Congrès du Parti de la France.

Au programme : bilan politique et financier, élection du Président et du Conseil National qui élit les membres du Bureau politique.

Pour participer aux travaux internes, il est impératif d'être à jour de cotisation ; on peut adhérer ou réadhérer en ligne en quelques clics : https://www.parti-de-la-france.fr/adhesion

Les interventions politiques de l'après-midi seront ouvertes à tous.

Plus de détails très bientôt !

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Mahfoud Hansali, assassin de Sihem Belouahmia, meurtrier ordinaire dans la France d’aujourd’hui…

4 Février 2023, 16:28pm

Publié par Thomas Joly

Il a avoué, a conduit les enquêteurs jusqu’au corps, puis a raconté sa petite histoire d’homme amoureux qui aurait étouffé sa compagne « involontairement ». Ben oui, on fait ça tous les jours, d’étouffer quelqu’un sans le vouloir !

Elle avait 18 ans, lui 39. Ils avaient une relation amoureuse, à ce qu’il prétend, mais la famille de la jeune Sihem n’était pas au courant. « Le suspect affirme que la victime était amoureuse de lui mais que lui refusait cette relation car Sihem était la cousine de son ex-compagne », écrit Le Parisien. Et donc, « toujours selon ses déclarations, Mahfoud H. aurait tenté de faire taire la jeune fille en lui mettant la main sur la bouche. Sihem serait morte étouffée. Des déclarations qui devront être corroborées notamment par l’autopsie. » Cette relation a-t-elle seulement existé ?

Pour l’avocat de la famille, Me Mourad Battikh, « Sihem voyait ce monsieur comme une nièce voyait son oncle ». Il semble pourtant que la réalité de cette relation serait avérée par les amis de la jeune fille qui leur avait confié entretenir une relation avec un homme de 21 ans son aîné. Alors, une resucée de Roméo et Juliette ? Un remake de Brigitte et Emmanuel ? On en doute.

Ce Mahfoud Hansali, que Le Parisien n’ose pas nommer, a pas moins de 13 condamnations à son actif, dont une peine de 12 ans de prison ferme en 2015 pour un vol à main armée. Au cours de la conférence de presse qu’elle a tenue au tribunal de Nîmes, la procureur Cécile Gensac a tenu à dire qu’il avait « purgé intégralement » sa peine, précisant toutefois qu’il avait bénéficié de remises de peine et se trouvait sous contrôle judiciaire.

On apprend également que Mahfoud Hansali devait comparaître le 1er février (quelques jours après le meurtre de Sihem) devant la cour d’assises du Gard « pour un dossier datant de 2011 ». Il est accusé d’enlèvement et de séquestration pour faciliter un cambriolage ! Ce qui ferait de lui, dit Le Parisien, « un caïd » dans le Gard.

Chaque crime est particulier, c’est vrai, et c’est un drame particulier, en effet, pour chaque famille de victime. Néanmoins, on peut passer du particulier au général.

Bien connu des services de police, bien connu des tribunaux, bien connu des prisons, Hansali a déjà croisé à maintes reprises les psychiatres, et ce qu’en rapporte Midi libre ne laisse rien augurer de bon pour la suite. Selon les experts qui l’avaient examiné, « Mahfoud Hansali disposait d'une déficience intellectuelle légère, mais aussi de troubles cognitifs et d'une capacité d'autocritique très limitée. Toutefois, aucune pathologie mentale de dimension aliénante n'avait été mise en lumière. » Les psychiatres lui reconnaissent toutefois « une personnalité immature, têtue, orgueilleuse, impulsive et surtout narcissique ». En conclusion : « Mahfoud Hansali est sociopathe depuis l'adolescence. »

Bref, un meurtrier ordinaire pour un jour ordinaire dans la France d’aujourd’hui...

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Monique, Josette, Gilberte : les oubliées des urgences

4 Février 2023, 12:19pm

Publié par Thomas Joly

La crise de l’hôpital public n’en finit pas. Pénurie de personnel, manque de moyens, saturation des services, surmenage… Face à cette situation tendue, les soignants n’ont souvent d’autre choix que trier les patients selon leur âge ou l’apparente gravité de leur pathologie. Au risque, parfois, d’oublier certains malades dans les couloir des urgences…

Ces octogénaires laissés sur leur brancard

48 heures sur un brancard. Monique, 88 ans, garde les séquelles de son passage aux urgences du Grand Hôpital de l’Est francilien (Ghef) à Jossigny (Seine-et-Marne). Admise en état de fatigue extrême, l’octogénaire attend « deux jours et deux nuits », selon son fils, sur un brancard. Le médecin, qu’on lui promet à son arrivée, ne passera finalement que le lendemain après-midi. En attendant, la patiente, livrée à elle-même, n’est ni hydratée ni nourrie – dans le cas où une opération serait nécessaire, justifie l’hôpital auprès du Parisien. La nuit, le va-et-vient incessant des urgences l’empêche de dormir. Si les premiers bilans et examens sont réalisés, Monique, faute de lits, est contrainte de rester sur son brancard pendant plus de deux jours. Conséquence : l’octogénaire sort « encore plus extenuée » des urgences. Un an plus tôt, Gilberte, 96 ans, en situation de décompression cardiaque, avait, de son côté, patienté 30 heures aux urgences.

Mais il arrive que l’interminable attente dans les couloirs des urgences vire au drame. Jeudi 5 janvier, un octogénaire, admis aux urgences de Besançon (Doubs) pour des douleurs abdominales, décède sur son brancard après 18 heures d’attente. Quelques jours plus tôt, dans le Val-d’Oise, Josette, 83 ans, meurt après avoir attendu 44 heures allongée sur un brancard. Admise pour des problèmes d’oxygénation, la patiente est laissée dans les couloirs, sans couverture. Il faut attendre 24 heures pour qu’un premier médecin vienne à son chevet. Quelques heures plus tard, le diagnostic tombe : l’octogénaire souffre d’une infection urinaire, de déshydratation, d’une insuffisance rénale et d’œdèmes aux membres inférieurs. Mais faute de place en service de gériatrie aiguë, la patiente est replacée dans les couloirs puis finalement renvoyée vers son EHPAD. Traumatisée par ces 44 heures passées aux urgences, Josette refuse de s’alimenter et décède quelques jours plus tard. Révoltée, sa fille, Marie-Pierre, décide de porter plainte contre l’hôpital pour « délaissement d’une personne hors d’état de se protéger ». Comme Josette, Achata, 79 ans, admise pour détresse respiratoire en octobre dernier, décède aux urgences après avoir attendu plus de six heures pour être prise en charge.

Renforcer les effectifs

Ces cas sont malheureusement nombreux. « Tous les jours, nous sommes confrontés à ces choix insupportables, à ces situations insolvables d’une responsabilité démesurée, faute de moyen et face à un système défaillant où on laisse les urgentistes répondre seuls là où tous les autres ont fermé la porte », alerte SAMU Urgences de France, le syndicat des professionnels de médecine d’urgence. Confrontés à une situation critique, ces professionnels de santé décident de déclarer les « morts inattendues » dénombrées dans les activités d’urgence (attente, manque de soins…). En décembre 2022, 32 ont été comptabilisés sur 21 départements. Sur les quinze premiers jours de janvier, le syndicat comptait déjà huit morts inattendues.

Pour répondre à cette crise, les sénateurs ont adopté, contre l’avis du gouvernement, un texte pour fixer un nombre minimal de soignants par patient. Avec une telle mesure, « l’hôpital redeviendra plus attractif pour les soignants », assure un collectif de patients et médecins, dans les colonnes du Monde. L’hôpital redevenu attractif pourra ainsi peut-être espérer renforcer ses effectifs. Mais un long chemin reste à parcourir et une importante réforme s’avère nécessaire pour répondre à la crise actuelle.

Gabrielle Cluzel

Source : http://bvoltaire.fr

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Un ancien videur explique le comportement de la racaille en boîte de nuit

3 Février 2023, 19:49pm

Publié par Thomas Joly

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