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Le blog politique de Thomas JOLY

Les élèves sont nuls en français ? Adaptons la langue à leur niveau !

10 Octobre 2024, 06:12am

Publié par Thomas Joly

Les élèves sont nuls en français ? Adaptons la langue à leur niveau !

La chose est entendue : les compétences des petits Français dans l’expression écrite de leur langue sont globalement mauvaises. Le CSEN (Conseil scientifique de l’Education nationale) en convient : « Les performances des élèves français en orthographe sont loin d’être satisfaisantes ».

Avec ou sans classement Pisa, on constate que la chose s’accroît d’année en année. Que faire alors ? Ce qu’on fait pour tout dans ce pays quand la température est trop élevée : on casse le thermomètre.

La fin de l’accord du participe passé avec l'auxiliaire avoir ?

C’est ainsi que ledit CSEN, dressant cet implacable constat – il est « inutile de s’acharner à enseigner des orthographes maîtrisées par une minorité de francophones » – nous délivre ses judicieuses préconisations. Au premier chef, la suppression de l’accord du participe passé avec l’auxiliaire avoir, exercice périlleux s’il en est lorsque le complément d’objet direct est placé avant le verbe.

Eh oui ! Cette règle est une épouvantable torture pour nos cerveaux contemporains. Les chiffres le disent : si les Français sont de plus en plus crasses dans notre belle langue, « les erreurs les plus nombreuses concernent l’orthographe grammaticale, le cas le plus notoire étant celui de l’accord du participe passé avec l’auxiliaire avoir et le complément antéposé » (voir définition ci-dessus). Exemple : « j’ai mangé une pomme », mais « la pomme que j’ai mangée ».

Moins de 20 % des élèves maîtrisent cette règle à l’issue du primaire, assure le CSEN et « elle tombe en désuétude chez les adultes ». D’où cette préconisation : « avec l’auxiliaire avoir, invariabilité du participe passé et avec l’auxiliaire être, accord systématique avec le sujet ». Non seulement ce toilettage libérerait les Français d’un gros souci existentiel, mais « ces deux choix libéreraient énormément de temps en classe, qui pourrait être consacré à des enseignements portant plus généralement sur la production écrite ». En phonétique peut-être ?

Où est passé le féminin ?

A vrai dire, il y a pire que l’accord en question ici, mais c’en est sans doute une conséquence : c’est la quasi disparition de tout accord, participe passé ou simple adjectif, au féminin, cela à l’oral comme à l’écrit. Paradoxe d’un temps où les femmes n’ont jamais autant été à l’honneur, elles ont disparu du français avec l’ignorance de la grammaire.

La chose s’est tellement répandue qu’on en vient même à des aberrations : confusion des pronoms personnels (il pour elle), disparition des pronoms relatifs (laquelle, auxquelles), etc. Exemple parmi des milliers d’autres, ceci, entendu lundi matin à la radio : « L’attaque du Hamas le 7 octobre est-il (sic) aussi un choc français ? ».

C’est dans ce contexte qu’on entend répandre l’écriture inclusive, qu’on l’impose même dans certaines universités. Mais qu’importe, puisque tout cela est noyé dans le «  globish », cet « étrange mélange entre le français et une sorte d’anglais mondialisé », comme écrit notre confrère Valeurs actuelles qui consacre un article au sujet.

Trop d'anglicismes

Alors qu’Emmanuel Macron vient de fanfaronner au sommet de la Francophonie, l’Académie française, qui s’alarme de l’inflation galopante des anglicismes dans « la communication institutionnelle », a publié en septembre N'ayons pas peur de parler français (Plon), un livre qui reprend les conclusions de son rapport de 2022 sur le sujet.

L’académie est allée piocher dans les ministères, administrations, SNCF, mairies, universités, écoles, organismes de formation, fondations, sites touristiques… Partout l‘anglais est préféré au français technique. Le ministère de la Transition Ecologique décline ainsi ses « agents intrapreneurs, développeurs, product owner, business developer, coach produits, UX designer ». Chez son voisin de la Santé, on apprend que la politique repose sur un concept essentiel : « One health ». Du côté de la Sécurité sanitaire, on se renseigne auprès du « Helpdesk biocides : Un service national d’assistance » ; une plateforme de documentation devenue « le sharepoint de la communauté ». Mais c’est peut-être le ministère de l’Agriculture qui remporte la palme avec sa start-up Agriloops, qui a « reçu le soutien du Food’Inn Lab d’AgroParisTech ». Quiconque à affaire avec une administration sait qu’il doit en passer par ce charabia. Si l’objectif n’est pas formulé, les conséquences sont évidentes : « une double fracture linguistique, sociale et générationnelle » ce qui est dramatique s’agissant ici des services de l’Etat.

Marie Delarue

Source : https://www.bvoltaire.fr

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Pour l'Université de Liège, c'est l'homme « blanc, hétérosexuel et chrétien » qui détruit la planète

8 Octobre 2024, 06:19am

Publié par Thomas Joly

La rentrée universitaire apporte son lot d’informations symptomatiques de l’état de nos sociétés. Après la Sorbonne nouvelle et ses cours queer décolonialistes, voilà l’université de Liège - ULiège, pour les intimes - et son wokisme. Le cours « Transition et Durabilité », innovation de l’année 2024-2025, a fait émerger une pépite…

Le cours en question est divisé en de multiples leçons. Dont celle-ci, de Pierre Stassart : « Nous sommes entrés dans l’Anthropocène ! » BV a pu se la procurer. On y lit qu’il existe « un consensus scientifique sur la dégradation des conditions d’habitabilité de la Terre et sur la responsabilité de l’homme ». L’homme ? Entendons-nous bien. Il ne s’agit pas de « l’action d’une espèce qui pourrait faire croire que l’origine du basculement est l’humanité alors qu’il s’agit de l’homme "occidental" blanc, chrétien, hétérosexuel ». Le professeur décline quelques aspects de ce mal : le capitalisme, la colonisation ou le patriarcat… En tout cas, l’homme blanc, « pour faire simple ».

Une affirmation hasardeuse ?

Surpris, voire choqués, quelques étudiants ont signalé cet enseignement à la députée au Parlement de Wallonie-Bruxelles Stéphanie Cortisse (Mouvement réformateur), présidente de la commission de l’Éducation et de la Promotion de la recherche scientifique. Elle s’insurge : « Qu'est-ce que la couleur de peau, la religion et l'orientation sexuelle viennent faire là-dedans ? ! » Cela relève, dit-elle encore, du « bourrage de crâne ». Il y a de cela : ce cours transversal est obligatoire pour tous les étudiants inscrits en licence, qu’ils étudient le droit, les lettres, l’architecture ou une autre des onze matières dispensées…

Qui plus est, cette culpabilité écologique de « l'homme blanc, chrétien et hétérosexuel » est « discriminatoire », comme l’affirme Stéphanie Cortisse, puisque c’est « une simple affirmation qui n'est nullement étayée ». L’ULiège a beau dire que le cours s’appuie « sur une recherche scientifique de pointe », concoctée par cinquante-quatre « experts », on est en présence d’un postulat frappé au coin du wokisme.

Une université en plein « progrès »

Mais qu’attendre de l’université de Liège ? Au diable la philosophie, la sociologie ou la médecine vétérinaire, l’université semble obsédée par la « Transition sociale et environnementale ». Et par les « réfugiés » (comprenez : les migrants, les clandestins), auxquels elle donne accès à des cours avec toutes les facilités requises. Quant aux Belges de souche, ils peuvent se consoler en suivant un autre cours - « Des migrations internationales à la superdiversité » (sic) - pour apprendre à « déconstruire certains mythes », toujours « sur base d’arguments scientifiques ».

Sur la question palestinienne, la rectrice a pu rassurer les étudiants fin mai, alors que les plus militants d’entre eux occupaient le bâtiment central de l’université : non, ULiège n’est engagée dans aucun partenariat avec Israël et « n'a aucune intention de s'y engager. » Ouf ! Écologie, migrations, Palestine, que manque-t-il à l’appel ? Le genre. Eh bien, le 11 octobre aura lieu la conférence de rentrée du Conseil Genre et Égalité. Au menu : « Quel(s) genre(s) d'auteur·e êtes-vous ? Autorat, rapports de pouvoir et (in)visibilisation dans le monde de la recherche. »

Remercions ce professeur de l’université de Liège qui a, en une formule, synthétisé le wokisme avec ce portrait-robot du coupable idéal : « l’homme "occidental" blanc, chrétien, hétérosexuel ». Tous les ingrédients y sont - racisme, christianophobie et sexisme -, sans oublier l'indispensable masochisme. Contactées ce 7 octobre, ni l’université de Liège ni sa rectrice, Anne-Sophie Nyssen, n’ont donné suite à nos courriels.

Samuel Martin

Source : https://www.bvoltaire.fr

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Commémoration du 7 octobre : la France n'a pas à prendre parti dans ce conflit étranger

7 Octobre 2024, 06:47am

Publié par Thomas Joly

Commémoration du 7 octobre : la France n'a pas à prendre parti dans ce conflit étranger

En ce jour de commémoration de l'attaque barbare du Hamas contre des civils israéliens le 7 octobre 2023 qui a déclenché de sanglantes représailles en Palestine, on peut dresser trois constats :

- La plupart des millions d'afro-musulmans qui vivent en France sont solidaires avec les Palestiniens et ne portent pas spécialement les juifs dans leur cœur.
- L'ensemble de la classe politique est fanatiquement pro-israélienne, à l'exception de l'extrême-gauche qui a fait le choix du vote islamo-communautaire.
- La position de neutralité dans cet affrontement entre moyen-orientaux n'est portée que par le Parti de la France, alors qu'elle est partagée par une majorité de Français qui s'agacent de l'importation de ce conflit étranger chez nous.

La France n'a aucun intérêt à soutenir un camp contre un autre dans cette guerre sans fin entre juifs et Arabes.

Que ceux qui s'enflamment pour cette cause étrangère aillent se battre là-bas et nous foutent la paix ici.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Affaire Auradou-Jegou : deux rugbymen victimes de MeToo ?

7 Octobre 2024, 06:31am

Publié par Thomas Joly

Une affaire qui se dégonfle comme une baudruche. Vendredi 4 octobre, le parquet de Mendoza, où est instruite l’enquête contre Hugo Auradou et Oscar Jegou, accusés de viol aggravé en Argentine, s’est prononcé pour un non-lieu. Ce dernier sera étudié lors d’une audience à huis clos fixée au 18 octobre par le juge chargé du dossier. « La défense a demandé le non-lieu devant le parquet, et le parquet soutient le non-lieu et demande une audience auprès du juge », a déclaré à l’AFP le porte-parole du parquet de Mendoza.

Une accusation bien fragile

C’est un nouveau coup dur pour l’accusation qui enchaîne en réalité les revers depuis le début de la procédure. Dès le mois d’août, soit un mois après le dépôt de plainte, le parquet avait décidé de ne pas prolonger la détention provisoire des deux sportifs, évoquant déjà les « contradictions internes et périphériques évidentes dans le récit de la plaignante ». La découverte d’images de vidéosurveillance invalidant le récit initial de l’accusation et l’absence manifeste de « symptômes cliniques de stress post-traumatique » ont également joué en faveur des Français.

Versée au dossier il y a quelques jours, une expertise psychiatrique est encore venue entamer un peu plus la crédibilité de la plaignante. Les deux praticiens co-auteurs du document notent ainsi « une série d’inconsistances et de contradictions qui dessinent globalement un récit peu vraisemblable ». L’expertise met aussi à mal la spontanéité de la femme, relevant un « récit teinté d’influences externes évidentes, notamment de son amie » avec qui elle avait eu peu après les faits une conversation « rieuse » par messages audios.

Le tribunal médiatico-féministe

En réalité, rien donc dans le dossier n’incriminait sérieusement les deux rugbymen. Aucun élément ne plaidait contre eux. Depuis le début, ils affirmaient que les relations sexuelles avec la plaignante, une femme de 39 ans rencontrée en discothèque dans la nuit du 6 au 7 juillet, étaient consenties. Mais l’opinion publique a tout de suite été d’un autre avis. « Il faut croire toutes les femmes qui parlent », paraît-il. Voilà le résultat. Quelques jours après les faits reprochés, les Français croupissaient déjà dans les geôles du centre de détention transitoire du pôle juridique de Mendoza. « Cela doit être ici. Les crimes ont été commis ici », affirmait alors, sans la moindre précaution, le porte-parole du parquet argentin.

En France, les deux athlètes ont subi un traitement tout aussi injuste. Leur image publique a été allègrement salie par des médias acquis aux théories néo-féministes les plus vindicatives et a fait l'objet d'amalgame avec d'autres faits, tragiques, comme le meurtre d'une femme de rugbyman, par exemple dans Le Monde. Parmi les médias qui ont jeté en pâture les deux rugbymen, Envoyé Spécial qui choisit de mettre en avant la version de la plaignante - avec force détails sordides - alors que celle-ci avait déjà été démentie par de nombreux éléments factuels (vidéo, audio...) rendus publics par le procureur de Mendoza.

Selon toute vraisemblance, Hugo Auradou et Oscar Jegou intégreront dans les prochaines semaines le club de moins en moins exclusif des hommes injustement mis en cause pour des crimes sexuels. Ils y côtoieront Luc Besson, Benjamin Mendy, Gérald Darmanin, Kevin Spacey, Ibrahim Maalouf, Ary Abittan, et tant d’autres célébrités traînées dans la boue par l’idéologie MeToo selon laquelle toute femme accusatrice doit être crue sur parole.

Jean Kast

Source : https://www.bvoltaire.fr

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Décès de Michel Blanc, acteur populaire emblématique

4 Octobre 2024, 07:00am

Publié par Thomas Joly

Décès de Michel Blanc, acteur populaire emblématique

Comédien qui a fait rire des millions de Français, Michel Blanc est décédé subitement la nuit dernière.

Même si c'était un gauchiste, ses films étaient relativement peu imprégnés d'idéologie. Il incarnait un certain cinéma populaire typiquement franchouillard apprécié par toute une génération.

Qu'il repose en paix.

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Thomas Joly et quatres cadres du Parti de la France scandaleusement placés en garde à vue !

3 Octobre 2024, 20:09pm

Publié par Thomas Joly

Thomas Joly et quatres cadres du Parti de la France scandaleusement placés en garde à vue !

Communiqué du Parti de la France

Ce jeudi 3 octobre, Thomas Joly, Pierre-Nicolas Nups, Maxime Morlon, Alexandre Hinger et Thomas Petit étaient convoqués dans plusieurs gendarmeries suite à une enquête, diligentée par le Parquet de Nancy, en rapport avec l'affiche du Parti de la France « Donnons un avenir aux enfants blancs ».

La garde à vue a duré pas moins de 9 heures alors que les 5 auditionnés ont usé de leur droit à garder le silence et qu'ils ont chacun remis une déclaration libre sur papier réfutant tout caractère illégal de l'affiche incriminée et démontrant l'interprétation malveillante qui en a été faite par des adversaires politiques.

Ces persécutions politico-judiciaires resteront sans effet sur la volonté des cadres du Parti de la France de dire la vérité et de défendre le peuple français envers et contre tout.

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Discours de politique générale de Michel Barnier : 1h30 d'incantations et de vœux pieux

2 Octobre 2024, 06:15am

Publié par Thomas Joly

Discours de politique générale de Michel Barnier : 1h30 d'incantations et de vœux pieux

Comme prévu, il ne fallait pas attendre grand chose du discours de politique générale de Michel Barnier à l'Assemblée nationale : 1h30 d'incantations et de vœux pieux en essayant de ne fâcher personne, sous les lazzis des sales gauchistes du Nouveau Front Populaire.

Marine Le Pen n'a pas manqué, lors de sa prise de parole, de l'avertir qu'elle le tenait fermement par les couilles et que le RN scruterait avec un œil acéré les actes et l'attitude de ce gouvernement vis-à-vis des 11 millions d'électeurs patriotes.

Reste à voir ce qui ressortira pour les Français de ce cirque républicain qui n'amuse plus grand monde...

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Assistants parlementaires RN : un procès en sorcellerie

30 Septembre 2024, 06:54am

Publié par Thomas Joly

Assistants parlementaires RN : un procès en sorcellerie

Le très médiatisé procès sur les assistants parlementaires du RN est une nouvelle manipulation politico-judiciaire.

D'une part, il s'agit d'une pratique banale de l'ensemble des formations politiques qui placent des militants de confiance aux fonctions d'assistants dans les assemblées locales, nationales ou européennes. Quoi de plus normal ?

D'autre part, à quel titre ces assistants devraient-ils se contenter d'étudier le calibrage du salami élaboré par les technocrates de la Commission européenne ou autre norme bureaucratique insupportable sans pouvoir exercer la moindre activité politique ?

Tout ceci n'a aucun sens. Le poste d'assistant a un objectif éminemment politique et libre à l'élu qui l'embauche de lui fixer les tâches qu'il souhaite.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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L'AFRICANISATION DU FOOTBALL FRANÇAIS - Chronique Sportive par Frédéric Avalli

30 Septembre 2024, 06:21am

Publié par Thomas Joly

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Rediffusion du Bistrot du Parti de la France du 27/09/24

30 Septembre 2024, 06:20am

Publié par Thomas Joly

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Le Parti de la France souhaite un joyeux 90e anniversaire à Brigitte Bardot !

28 Septembre 2024, 13:59pm

Publié par Thomas Joly

Le Parti de la France souhaite un joyeux 90e anniversaire à Brigitte Bardot !

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