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Le blog politique de Thomas JOLY

Conférence nationaliste à Mulhouse : « Face à l'invasion migratoire, résistance européenne ! »

21 Novembre 2017, 07:39am

Publié par Thomas Joly

Conférence nationaliste à Mulhouse : « Face à l'invasion migratoire, résistance européenne ! »

Conférence nationaliste avec la présence de :

- Hervé van Laethem, mouvement Nation, Belgique.
- Thomas Joly, Parti de la France.
- Alexandre Gabriac, Civitas.
- Samuel Klay, Résistance Helvétique, Suisse.

Le thème : Face à l'invasion migratoire : Résistance Européenne !

La conférence aura lieu le dimanche 17 décembre 2017 dans le secteur de Mulhouse, l'adresse sera donnée le jour-même dans la matinée uniquement à ceux qui se seront inscrits au numéro de téléphone : 06.37.12.93.81.

L'ouverture des portes débutera vers 13h30, et la conférence commencera pour 14h.

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Cinéma : le porno et la violence extrême, oui ! La cigarette, non !

21 Novembre 2017, 07:36am

Publié par Thomas Joly

Jusqu’en février dernier – il y a moins d’un an, donc -, tout film qui « comporte des scènes de sexe non simulées ou de très grande violence » était en principe automatiquement interdit aux moins de 18 ans. Considérée comme une offense à la liberté de création et une faveur accordée aux catholiques traditionalistes, cette mesure a été « adoucie » par un décret du gouvernement Hollande « afin de redonner plus de liberté d’appréciation à la commission de classification des films du Centre national du cinéma (CNC), chargée de donner des avis ».

Au centre de la polémique d’alors, les films Baise-moi, Antichrist ou encore Nymphomaniac, mettant tous en scène des malades du sexe et de la violence, et contre lesquels l’association Promouvoir avait engagé des procédures. On cria donc à la censure et l’on prit les dispositions citées plus haut pour que nos ados puissent se repaître à loisir de sexe extrême, alcool, drogue et gâchette.

Mais, convenons-en, tout cela reste encore un peu limité « dans le champ des possibles ». Alors, pour compléter ce tableau hautement éducatif, les petits et grands écrans nous proposent aujourd’hui de façon quasi systématique, sans violence cette fois mais avec beaucoup d’insistance et de gros plans, des scènes d’amours homosexuelles. Là encore, on est tenu d’approuver : c’est l’évolution sociétale qui veut cela et le septième art se doit d’être le reflet de son temps. Fermez le ban.

Un temps cependant très hygiéniste. Pour notre bien à tous. Raison pour laquelle, n’en doutons pas, madame Nadine Grelet-Certenais, sénateur PS de la Sarthe, a interpellé le ministre de la Santé Agnès Buzyn sur « la responsabilité du cinéma sur le tabagisme en France ». Parce que le porno et la violence extrême, oui ! Mais la cigarette, non, pas question !

Alors que les sénateurs votaient la mesure portant sur l’augmentation du prix du tabac d’ici 2020, la dame s’est emportée : « Il faut aller au-delà du porte-monnaie […] en s’intéressant notamment aux incitations culturelles à fumer… » « Je pense, par exemple, au cinéma qui valorise la pratique. » Et pas qu’un peu ! Parce qu’elle a compté, madame Grelet-Certenais : « La Ligue contre le cancer démontre dans une étude que 70 % des nouveaux films français mettent à l’image au moins une fois (sic) une personne en train de fumer. » Sachant qu’un film dure en moyenne une heure et demie à deux heures, je vous laisse calculer le temps d’apparition de la clope à l’écran. Qu’importe, elle en est sûre : « Ça participe peu ou prou à banaliser l’usage, si ce n’est à le promouvoir, auprès des enfants et des adolescents qui sont les premiers consommateurs de séries et de films, sur Internet notamment. »

Madame Buzyn, qui veille sur notre santé avec l’attention d’une mère chatte sur sa portée, a grandement approuvé : « Je ne comprends pas l’importance de la cigarette dans le cinéma français. » Et d’annoncer qu’elle prendrait, en accord avec sa consœur Françoise Nyssen, ministre de la Culture, des mesures restrictives « dans le cadre du second plan national de réduction du tabagisme ». Une piste est d’ores et déjà à l’étude : celle préconisée par l’OMS en 2016, à savoir l’interdiction aux moins de 18 ans des films où les personnages fument. Parce que le porno et la violence extrême, oui ! Mais la cigarette, non, pas question (bis) !

Ces gens-là sont fous. Complètement dingues. Déjantés. Dangereux. Si on les laisse faire, ils imposeront bientôt à nos enfants des ateliers d’éducation à la sodomie le matin, d’antiracisme à midi et de rééducation contre la cigarette l’après-midi. Pour leur bien. Et le pire, c’est qu’ils en sont sans doute persuadés !

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Jean-Paul II : « Je vois l'Église affligée d'une plaie mortelle, elle se nomme l'islamisme »

21 Novembre 2017, 07:28am

Publié par Thomas Joly

Mgr Mauro Longhi, du presbytère de la Prélature de l'Opus Dei, très souvent en contact étroit avec le Pape polonais au cours de son long pontificat. De 1985 à 1995, le jeune économiste bocconien Mauro Longhi (qui sera ordonné prêtre en 1995) a accompagné et accueilli le Pape Wojtyla dans ses promenades à ski et en montagne. Parmi les nombreuses anecdotes racontées, cependant, l'épisode qui a le plus frappé le public de l'ermitage de Bienno, et qui s'inscrit dans le cadre de l'une des nombreuses promenades sur le Massif du Gran Sasso, est sans doute celui qui concerne l'Islam et l'Europe :

« C'est alors que Wojtyla change de ton et de voix et, me faisant partager l'une de ses visions nocturnes, il me dit: "Rappelle-le à ceux que tu rencontreras dans l'Église du troisième millénaire. Je vois l'Église affligée d'une plaie mortelle. Plus profonde, plus douloureuse que celles de ce millénaire" - se référant à celles du communisme et du totalitarisme nazi -. "Elle se nomme l'islamisme. Ils envahiront l'Europe. J'ai vu les hordes venir de l'Occident vers l'Orient", et il me fait une par une la description des pays : du Maroc à la Libye en passant par l’Égypte, et ainsi de suite jusqu'à la partie orientale. Le Saint-Père ajoute: "Ils envahiront l'Europe, l'Europe sera une cave, vieilles reliques, pénombre, toiles d'araignée. Souvenirs familiaux. Vous, Église du troisième millénaire, vous devrez contenir l'invasion. Mais pas avec des armes, les armes ne suffiront pas, avec votre foi vécue intégralement" »

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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Abdelhakim Dekhar : le stade sénile, ultime et pathologique de l’antiracisme

21 Novembre 2017, 07:23am

Publié par Thomas Joly

À 52 ans, Abdelhakim Dekhar, renvoyé aux assises par la cour d’appel de Paris pour récidives de tentative d’assassinat, enlèvement et séquestration, risque la perpétuité. Son procès, qui vient de commencer, s’achèvera le 24 novembre.

En 1994, Dekhar, dit « Toumi », avait été mêlé à la cavale meurtrière de Florence Rey et Audry Maupin, deux sympathisants de l’ultra-gauche, à qui il avait fourni le fusil à pompe utilisé pour attaquer une préfourrière, à Pantin ; Dekkar avait servi de guet, avant que les deux criminels, fuyant dans Paris, ne tuent trois policiers et un chauffeur de taxi. En 1998, Dekhar avait finalement été condamné à quatre ans de prison pour « association de malfaiteurs ».

Le 15 novembre 2013, il pénétrait, armé d’un fusil à pompe (encore), dans le hall de BFM-TV, où il avait menacé Philippe Antoine, le rédacteur en chef de la chaîne. La prochaine fois, je vous louperai pas », avait-il lancé. Trois jours plus tard, c’est à Libération qu’il faisait irruption, faisant feu sur un assistant photographe et le blessant grièvement à la poitrine, avant de fuir et de tirer, sur le parvis de la Défense, en direction de deux employées de la Société générale, puis de fuir à nouveau en prenant en otage un automobiliste. On le retrouva finalement, groggy, à l’arrière d’une voiture, à Bois-Colombes : il avait tenté de se suicider en avalant des médicaments.

Les motivations de Dekhar sont, encore aujourd’hui, à la faveur de ce procès devant la cour d’assises, inexplicablement présentées dans la presse comme « floues » et « incohérentes ». Elles sont très claires, au contraire. Ses attaques contre des journalistes, Dekhar les présentait comme un « acte politique » : il s’agissait, à l’en croire, de secouer l’opinion publique à propos des « bourgeois », des « faiseurs de pognon » et du capitalisme « par essence fasciste », en tuant des propagandistes, d’« infâmes journaputes », « payés pour faire avaler des mensonges ». Davantage, il voulait mettre en lumière, lui qui se compare à Mandela, les « conditions des gens de [son] origine et la politique menée à leur encontre », et « la gestion des banlieues », cette « entreprise […] d’élimination soft de type génocide ».

La pathologie antifa est ici à son dernier degré : Dekhar ramène à ses délires ségrégationnistes tout ce qui n’est pas lui, et sa prétendue condition de victime. Il s’est tellement pris pour un martyr qu’il a voulu tuer des innocents pour dénoncer un apartheid qui n’existe que dans ses divagations paranoïaques. Mieux encore : n’ayant aucun nazi à mettre en joue, il a tourné son fusil à pompe vers des journalistes qui, dans leur immense majorité, n’ont jamais cessé – comble de l’oxymore ironique – d’être les servants de dangereux crétins comme lui, dont ils ont alimenté la paranoïa, à qui ils ont complaisamment tendu le miroir de l’illusion victimaire, le poussant à croire qu’il vivait sous le régime de Pieter Botha. En essayant de tuer des journalistes, Dekhar a tenté de tuer sa névrose : il représente, à cet égard, le stade sénile, ultime et pathologique de l’antiracisme.

Bruno Lafourcade

Source : http://bvoltaire.com

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René, 63 ans, tire sur son cambrioleur et le tue, il est mis en examen et écroué pour « homicide volontaire »

20 Novembre 2017, 07:25am

Publié par Thomas Joly

Le « suspect », âgé de 63 ans, a ouvert le feu, dans la nuit de mardi à mercredi, sur deux voleurs qui tentaient de cambrioler sa grange, à Vançais dans les Deux-Sèvres. Parvenant à prendre la fuite, l’un d’eux, blessé au thorax, est mort avant l’arrivée du Samu. L’autre a été blessé à la jambe.

Le sexagénaire a été mis en examen vendredi pour « homicide volontaire » et « tentative d’homicide volontaire », et écroué, a-t-on appris auprès du parquet de Poitiers. Le propriétaire a ouvert le feu sur deux délinquants qui tentaient de cambrioler sa grange, située de l’autre côté de la rue par rapport à son domicile de Vançais.

Le tireur a utilisé une carabine 22 Long rifle munie d’un laser et d’une lampe torche, une arme que le suspect a dit avoir achetée « pour se protéger », a précisé jeudi le procureur de la République de Poitiers, Michel Garrandaux, lors d’une conférence de presse.

Le Parti de la France est favorable à ce que les Français puissent se défendre en cas d'effraction de leur domicile. La présomption de légitime défense doit s'appliquer aux victimes, la loi ne doit pas protéger la racaille contre les honnêtes citoyens.

Source : http://fdesouche.com

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Le syndicat Sud Education du 93 propose une formation interdite aux Blancs

20 Novembre 2017, 07:14am

Publié par Thomas Joly

Le syndicat Sud-Education 93 organise un stage syndical ! « Au croisement des oppressions – Où en est-on de l’antiracisme à l’école ? » les 18 et 19 décembre à Saint-Denis. Certains ateliers sont organisés en « non mixité »; le journal du stage précise en « non mixité raciale ». Parmi les intervenants, Marwan Muhammad, ancien porte-parole du CCIF (Comité contre l’islamophobie en France).

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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L’Homo festivus se marie (avec lui-même)

20 Novembre 2017, 07:13am

Publié par Thomas Joly

Oyez, braves gens, oyez la grande, la bonne nouvelle : il se marie, l’Homo festivus, cette incarnation de l’homme de notre temps qui, en remplaçant, selon Philippe Muray, l’Homo sapiens lui-même, est en train de submerger le monde sous les flots de son rire frivole, égoïste et niais. Voilà : notre homme se marie, et pas avec n’importe qui. Il fait un mariage vraiment fortuné : il se marie, épatez-vous tous et vous toutes… avec lui/elle-même.

Lorsque j’ai entendu pour la première fois parler d’une telle auto-folie, mais une folie qui requiert quand même la participation complaisante d’amis et d’invités, j’ai cru, franchement, qu’il s’agissait d’un de ces bobards qu’on appelle maintenant fake news. Mais non, la chose est tout à fait sérieuse et elle est en train de se développer (faites un tour sur Google : vous y retrouverez même d’avisés commerçants qui vous proposeront leurs services pour votre auto-mariage).

Je croyais aussi qu’aucune autorité civile ou religieuse (mais avec le pape François, on ne sait jamais…) ne se prêterait à une telle loufoquerie dépourvue, faut-il supposer, du moindre effet juridique. Je le croyais jusqu’au moment où j’ai appris qu’en Espagne, une conseillère municipale de Podemos (rien de plus logique !) avait déjà béni un de ces délires égotistes.

Des délires qui ne vont pas sans poser bien des questions pratiques. Celle des rapports sexuels, par exemple. Cela est pourtant facile à régler. Outre que plusieurs des (auto)fiancées sont en ménage avec quelqu’un qui, lui aussi, peut participer aux noces en tant qu’invité, la question sexuelle ne pose aucun problème : il suffit d’avoir recours à l’auto-service qui, d’après d’autres malheureux – mais ceux-là sont déjà hors circulation –, engendrait surdité et maux divers. Soit, mais… que se passe-t-il en cas de divorce ? Comment fait-on pour divorcer de soi-même ? Faudrait-il se suicider ? L’auto-mariage serait-il devenu, dès lors, la seule union conjugale vraiment indissoluble ?

Pour bien préciser les choses, celui qui se marie n’est pas exactement l’Homo festivus. C’est plutôt la Mulier festiva, car le phénomène ne concerne, du moins pour l’instant, que l’ancien « sexe faible », aujourd’hui devenu « le premier sexe », aussi hautain que… « opprimé ».

Il est probable que les anciens mâles ne tarderont pas longtemps à se marier aussi avec eux-mêmes, mais en attendant, on peut se demander si une des raisons dernières de notre déchéance ne se trouve pas dans l’actuel suprémacisme féministe : dans cette croissante féminisation de la société dont parle quelqu’un comme Éric Zemmour.

Moi, moi, moi, moi… et rien que moi, proclame l’Homo, la Mulier ou le Vir festivus, cette mutation anthropologique consistant, entre autres, à embrasser les égarements les plus saugrenus : depuis l’auto-mariage jusqu’à l’idéologie de genre, qui conçoit l’identité sexuelle comme une simple affaire de goût ou de choix personnel. Lorsque plus rien ne soutient le monde et la vie, lorsque tout s’enfonce dans le puits noir du non-sens, lorsque le nihilisme parvient à sa phase ultime, c’est alors, en effet, que le dernier homme envahit la Terre entière.

« Voici ! Je vous montre le dernier homme », écrit Nietzsche dans le Zarathoustra.

« “ Amour ? Création ? Désir ? Étoile ? Qu’est cela ? ” – ainsi demande le dernier homme et il cligne de l’œil. La terre sera alors devenue plus petite, et sur elle sautillera le dernier homme qui rapetisse tout. Sa race est indestructible comme celle du puceron ; le dernier homme vit le plus longtemps. “ Nous avons inventé le bonheur ” – disent les derniers hommes, et ils clignent de l’œil. […] On a son petit plaisir pour le jour et son petit plaisir pour la nuit : mais on prend soin de sa santé. »

Pas de doute, le dernier homme prend bien soin de sa santé. C’est même l’une de ses plus grandes obsessions. Mais ce dont il ne prend nul soin, c’est d’écarter la mort en vie.

Javier Portella

Source : http://bvoltaire.com

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Un « Français d’origine marocaine » tente de poignarder des policiers espagnols au cri de « Allah akbar » et se prend une bastos

19 Novembre 2017, 15:19pm

Publié par Thomas Joly

La police espagnole a été contrainte d’ouvrir le feu sur un individu suspect qui leur fonçait dessus en hurlant « Allah Akbar ». Le « Français d’origine marocaine » (sic) a été blessé à la hanche mais, hélas, ses jours ne seraient pas en danger.

L’affaire s’est déroulée la nuit dernière à la hauteur du péage de La Jonquera, à la frontière avec la France, peu après minuit. La Guardia Civil a invité un véhicule a s’arrêter afin de procéder à son contrôle. Les policiers ont eu rapidement leur attention attirée, non pas par la conductrice mais par un individu ayant une attitude « étrange », assis à l’arrière du véhicule. Les policiers de la Mossos d’Esquadra sont également arrivés sur place.

« Il paraissait manipuler quelque chose à l’intérieur du véhicule, la police lui a demandé de sortir, il a fini par sortir avec quelque chose dans les mains et s’est dirigé vers les agents », a précisé le porte-parole de la police, ajoutant que le suspect a hurlé « Allah Akbar ».

Malgré les injonctions des policiers lui demandant de s’arrêter, le français a poursuivi sa course. Les policiers ont alors tiré en l’air afin d’intimider le suspect, qui ne s’est pas arrêté. L’homme a finalement été neutralisé d’une balle au niveau de la hanche. L'islamiste à papiers français a été transféré à l’hôpital Josep Trueta de Gerone, où il a été opéré.

Source : http://breizatao.com

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Le nègre devient le prête-plume : la grande lessive de la langue française continue

19 Novembre 2017, 10:30am

Publié par Thomas Joly

Pendant qu’en Libye, des Noirs sont vendus comme esclaves, M. Louis-Georges Tin, qui dirige le Conseil représentatif des associations noires, a une mission autrement urgente : la purification de la langue ; il a le sens des priorités. Justement, aujourd’hui, le voilà qui exulte : il vient d’obtenir de Mme Nyssen, ministre de la Culture, que le mot nègre, dans le sens de « nègre littéraire », disparaisse et soit remplacé par « prête-plume ». Bientôt, sans doute, M. Tin rejoindra-t-il Mlle Lââm, philosophe moraliste, qui exigeait il y a peu du CSA qu’il fasse changer le titre Dix petits nègres et réclamait le boycott de la chaîne qui diffusait le feuilleton adapté du fameux roman d’Agatha Christie.

Ces attaques répétées contre le langage (écriture inclusive, féminisation des métiers, suppression du « neutre » dans les masculins génériques, interdiction de certains mots) correspondent évidemment à une censure progressive de la pensée, à sa javellisation : il s’agit que le Français de souche expie. On n’essaiera pas d’opposer à M. Tin que sa conception littérale, anachronique de la langue française, en effaçant d’un coup d’un seul l’histoire de celle-ci, fait honte à l’intelligence ; ce monsieur est là pour javelliser, non pour nous écouter.

Qui est-il, d’ailleurs, ce Louis-Georges Tin ? Il s’est essayé à la critique littéraire au journal Le Monde, brièvement, d’ailleurs, peut-être parce que l’hilarité que provoquaient ses stupéfiants articles devenait trop humiliante pour lui (il y discriminait positivement Abd al Malik et le rap, dont il soulignait le rôle civilisateur : « Ce n’est pas le moindre des mérites du slam et du rap, écrivait-il, que d’avoir démocratisé en France le goût de la poésie ») ; surtout, dans le civil, il est « militant homosexuel et militant noir », ce qui l’a conduit à créer l’association Homonormalités, le Comité IDAHO, la Journée mondiale contre l’homophobie, la lesbophobie, la biphobie et la transphobie, l’Observatoire de l’hétérosexualité, sans compter le CRAN, donc – et quantité d’autres inutilités à subventions qui servent à faire croire qu’elles sont utiles. (Une de ses plus glorieuses tartuffiades consistait dans une grève de la faim pour demander que les Nations unies votent la dépénalisation de l’homosexualité dans le monde…)

Toutes ces choses ne servent donc à rien, sinon à faire de leur promoteur un de nos meilleurs ratisseurs de discriminations en tous genres, un ratiboiseur hyper-sphérique, un rafleur tous azimuts, un faucheur qui fauche le plus large possible. Il a eu, à ce sujet, cet aveu époustouflant : « Si l’on compte toutes les personnes discriminées, femmes, jeunes, personnes âgées, handicapées, homosexuels, noirs, arabes, asiatiques, juifs, personnes vivant dans les quartiers défavorisés, etc., cela fait plus de quatre-vingts pour cent de la population française. Par ailleurs, ceux qui ne sont pas dans ces quatre-vingts pour cent ont été jeunes un jour, sont appelés à vieillir également, et sont donc exposés à la discrimination à ce double titre. Bref, cent pour cent des Français sont discriminables ! »

Cent pour cent, pas tout à fait, car on notera que, si la ségrégation est un royaume où le soleil ne se couche jamais, elle ne concerne jamais les Français de souche, condamnés à payer pour des crimes dont ils ne sont pas coupables au profit de gens qui n’en furent pas victimes.

Bruno Lafourcade

Source : http://bvoltaire.com

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Les suicides de policiers en 2017 battent des records

19 Novembre 2017, 10:16am

Publié par Thomas Joly

« On n’en peut plus, on ne sait plus à qui se confier et où se situe notre avenir. »

Voilà ce qu’ont dû ruminer les huit policiers et les deux gendarmes avant de mettre fin à leurs jours la semaine dernière. Comme le souligne Le Parisien, en une semaine, le commissaire Antoine Boutonnet, ancien responsable de la lutte contre le hooliganisme, un capitaine de 45 ans du commissariat d’Alfortville (Val-de-Marne) et trois gardiens de la paix dont deux femmes ont mis fin à leurs jours. La première, âgée de 32 ans, agent de la police aux frontières (PAF), a été découverte pendue dans un centre de rétention, la seconde s’est tuée avec un fusil de chasse dans un bois.

Depuis le début de l’année, ce sont 47 policiers et 16 gendarmes qui se sont suicidés. Le chiffre de 2016 (43) était dépassé dés la fin septembre. Depuis 25 ans, 1.135 policiers ont mis fin à leurs jours. On le voit, le plan anti-suicide validé par l’ex-ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve est loin d’être convaincant.

Pourtant, au ministère, les cerveaux s’activent et phosphorent au maximum car ces morts constituent un sujet particulièrement dramatique. J’en sais quelque chose, ayant eu moi-même un gendarme qui s’est tué avec son arme de service. Or, les autorités atténuent souvent certaines causes en niant les difficultés de service, camouflant ainsi en partie la réalité du quotidien à laquelle est confronté le policier.

Mais quelles sont les raisons possibles d’un tel acte autodestructeur dans la police ?

D’abord des raisons personnelles : lorsque des problèmes familiaux (divorce, adultère, relations difficiles parents ou enfants) arrivent à leur paroxysme, des individus plus vulnérables peuvent disjoncter. De la même manière, les problèmes de maladies graves, d’argent, d’addiction peuvent aussi pousser les fonctionnaires à retourner leurs armes contre eux-mêmes.

Tout citoyen peut avoir un coup de blues, un « pet au casque », comme on dit dans l’armée, mais tout citoyen n’a pas la chance ou plutôt la malchance d’avoir dans sa table de nuit un 9 mm parabellum. Comme le souligne une source ministérielle pour les policiers : « L’autorisation de pouvoir prendre son arme chez soi en raison de la menace d’attentats a pu être un élément facilitateur. »

Ensuite des raisons professionnelles : « La problématique du suicide est multifonctionnelle mais les mauvaises conditions de travail, le manque de considération, un management parfois trop rude sont des réalités que l’on ne peut exclure », soulignait Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint du syndicat Alliance. De plus, les tracas professionnels induisent la causalité privée, c’est souvent le mélange des deux qui va entraîner l’implosion.

Enfin, il est primordial de mentionner ce qui apparaît comme une constante dans de nombreux cas, la manière dont se voient traiter les fonctionnaires à la fois par les « racailles » de banlieues, la justice et les grands médias. Pris entre ces différents étaux, ils se retrouvent finalement désavoués par une hiérarchie aux ordres, une justice idéologisée et la pensée unique retranscrite par les médias « mainstream ».

Car comment peuvent-ils ne pas être blessés quand ils voient à la télévision le président de la République de l’époque s’épancher au chevet de Théo. Comment ne seraient-ils pas désespérés quand ce dernier salue chez l’interpellé « un jeune qui a toujours été connu pour un comportement exemplaire » ?

Il est clair que les banlieues difficiles provoquent découragement, colère et engendrent la peur. Les dernières manifestations de ras-le-bol en dehors des syndicats des forces de l’ordre en sont le parfait reflet.

J-P Fabre Bernadac

Source : http://bvoltaire.com

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L'État islamique menace le Vatican, la dhimmitude et la xénophilie de Bergoglio n'auront servi à rien

18 Novembre 2017, 15:36pm

Publié par Thomas Joly

Un terroriste islamique dans une voiture, sur l’avenue de la Conciliation à Rome, se dirigeant vers la basilique Saint-Pierre : c’est l’image inquiétante apparue sur Wada Media Foundation, une organisation, comme le souligne Il Messagero, très proche de Daesh.

Sur la même image apparaît aussi une kalachnikov et un petit sac à dos sur le siège à côté du conducteur. Le rétroviseur reflète un homme avec un passe-montagne noir. Un écrit en grand domine l’image : Christmas blood, Noël de sang. En-dessous, un autre écrit plus petit : dans cette attente.

Au Vatican personne ne veut donner de crédit ni commenter cette menace inquiétante. Tout va bien, aucun danger concret, sont le leitmotiv répété à satiété.

Pourtant ce fut durant les fêtes de Noël qu’eut lieu l’attaque islamiste de Berlin de l’an dernier. L’année précédente un terroriste musulman armé d’un fusil avait fait un massacre durant une soirée de Noël en Californie.

Probablement, c’est aussi à cause de ce climat d’insécurité liée au terrorisme islamiste que le maire de Paris, sans vouloir l’avouer pour autant, a du interdire le traditionnel marché de Noël sur les Champs-Élysées.

De fait, les fêtes de Noël, par leur caractère chrétien, ne peuvent qu’être une cible privilégiée des djihadistes musulmans. Divers médias américains ont d’ailleurs rappelé que les années passées Daesh a plusieurs fois publié des manifestes sur la conquête islamiste de Rome la Croisée. Mais ne nous y trompons pas : cette dernière a déjà commencé, pas de façon guerrière mais ni de façon pacifique… Le Grand Remplacement en marche grâce aux immenses vagues de clandestins venus d’Afrique et majoritairement musulmans n’est qu’une forme détournée de conquête des territoires occidentaux et de civilisation chrétienne !

Source : http://medias-presse.info

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Tuerie du Bataclan : encore une « victime » mythomane !

18 Novembre 2017, 15:22pm

Publié par Thomas Joly

Cédric Rey est un survivant. Un rescapé du massacre du Bataclan. Une victime emblématique de la barbarie. Un héros ordinaire, aussi. Au lendemain du 13 novembre 2015, il affirme : « J’étais en train d’appuyer sur la plaie d’un blessé qui s’était effondré sur le boulevard quand j’ai relevé la tête. J’ai vu un type devant l’entrée du Bataclan. Il avait sa kalachnikov en bandoulière, elle était pointée vers moi. Au même moment, une femme est passée entre nous en courant. Elle a pris les balles. »

Poignant et tragique à la fois. De quoi bouleverser lecteurs, auditeurs et téléspectateurs. Aux uns, il exhibe son tatouage, depuis fétiche, une Marianne pleurant une larme de sang et juste ornée de ces chiffres : 13/11/15 ; on ne saurait faire plus sobre. Aux autres, il explique comment chercher à se reconstruire : « C’est bizarre, mais des fois, j’ai presque envie de revenir au soir des attentats. »

En attendant, il fait œuvre de résilience, organise des « apéros-thérapie » au sein d’un groupe de victimes, Life for Paris. Bref, un homme d’exception, ambulancier de profession et pompier volontaire à ses heures. Celui qu’on donnerait volontiers en exemple si ce gendre idéal, ce citoyen modèle, n’était aussi un modèle de mythomanie…

En effet, la supercherie vient enfin d’être mise au jour par nos confrères de Libération, ceux-là mêmes qui, en toute bonne foi, avaient relayé en premier son récit. La vérité, c’est que le soir du drame, Cédric Rey arrive chez lui, dans les Yvelines, entend la nouvelle à la radio et fait immédiatement demi-tour en voiture pour se mêler aux survivants. Les forces de l’ordre, sûrement moins crédules que les journalistes, ont tôt fait de douter et de faire parler son téléphone portable, pendant que lui parle devant micros et caméras de télévision. « Il souffrait d’un manque de reconnaissance », remarquent aujourd’hui ses collègues. On voit ça.

Soyons justes, il ne s’agit pas du premier et encore moins du dernier baratineur du genre, après (et au choix) la fille du RER D, la tondue imaginaire ou le rabbin qui se poignarde tout seul. Déjà, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, il y avait en France tant de dizaines de milliers de cartes d’anciens résistants en circulation que certains esprits forts se demandaient comment les Allemands s’étaient débrouillés pour rester chez nous plus qu’un simple week-end…

La partition est la même et seul change le registre : avant, les menteurs se faisaient passer pour des héros alors qu’aujourd’hui, le statut de victime est autrement plus gratifiant ; ce qui en dit long sur l’état de notre société. Bien sûr, le phénomène, lui aussi un peu victime de son propre succès, connaît une indéniable inflation. En attendant l’explosion de cette nouvelle bulle spéculative ?

Car, désormais, tout le monde est victime. Les femmes et les homosexuels. Les immigrés et les travestis. Les jeunes et les vieux. Les unijambistes et les ragondins. Les chrétiens et les musulmans. Les Noirs et les juifs, surtout Sammy Davis, Jr., qui, non content d’être borgne, cumulait les deux handicaps. Les goitreux et les pauvres, sans oublier les pauvres goitreux. Les minorités visibles et invisibles. Nous sommes tous issus de peuples qui ont beaucoup souffert. La discrimination est partout. À tel point que seront bientôt discriminés les seuls qui n’auront été victimes de rien.

« Comment, vous n’êtes pas victime ?
« Ben non, je vois pas…
« Ce mec est d’un ringard. Viens ma chérie, partons. De toutes façons, on s’ennuyait à mourir dans cette réception. »

Sacré Cédric Rey, qui rêvait d’être victime et qui se trouve par deux fois exaucé : victime de la mode et de sa propre mythomanie. De quoi relancer le débat sur le cumul des mandats.

Nicolas Gauthier

Source : http://bvoltaire.com

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Jérôme Bourbon agressé par un membre de la secte des « Brigandes »

17 Novembre 2017, 19:43pm

Publié par Thomas Joly

Le directeur de Rivarol, Jérôme Bourbon, s'est fait agressé aujourd'hui à Paris par un certain Antoine Duvivier, grouillot de la secte de Joël Labruyère, vieux gourou initiateur du groupe nullissime « Les Brigandes » qui a tenté, sans succès, d'infiltrer le milieu nationaliste.

Le différend viendrait du fait que Jérôme Bourbon a refusé de céder aux menaces lui intimant de faire retirer du net le dossier sulfureux que son journal avait publié sur cette communauté d'illuminés, qui vivent entassés dans des conditions particulièrement glauques.

Incapables de porter plainte pour diffamation contre l'hebdomadaire d'opposition nationale (quel aveu !), les membres de la secte ont préféré agresser physiquement son directeur, peu connu pour être un bagarreur (quel courage !).

Pour lire l'enquête en question sur cette bande de fous et de folles furieuses, cliquez ici

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Un responsable musulman exige le doublement des mosquées contre l’arrêt des prières de rue

17 Novembre 2017, 07:45am

Publié par Thomas Joly

Abdallah Zekri, membre du Conseil Français du Culte Musulman lié au gouvernement, a exigé le doublement du nombre de mosquées en France contre l’arrêt des prières de rue islamistes.

Cette exigence fait suite aux prières de rue illégales de Clichy-la-Garenne où des islamistes se rassemblent devant la maire chaque vendredi pour exiger une mosquée.

Zekri, lui-même partisan de l’expansionnisme musulman, rejoint ainsi les revendications de l’UOIF, la branche des Frères Musulmans en France, qui exige « 6.000 mosquées » à court terme.

Source : http://breizatao.com

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