Depuis qu'il a quitté le Front national, Florian Philippot ne cesse de critiquer Marine Le Pen. Dans Libération ce jeudi 30 novembre, il se lâche totalement. "On avait Marine, mais on a retrouvé Le Pen", déclare-t-il d'abord. Jusqu'ici, rien de très créatif. Puis, l'ex-numéro 2 du FN lance : "Je la croyais du marbre dont on fait les statues. Elle est de la faïence dont on fait les bidets".
Rien à voir donc avec les mots doux qu'il adressait jadis à celle qu'autrefois il voulait placer à l'Élysée.
Bras droit, ami et confident, il s'est retrouvé sous le feu des critiques après les échecs de la présidentielle et des législatives et a été placé à l'autre bout de la table à Brachay. "C’est là que j’ai compris. Je la connais par cœur. Je la vois encore ricaner comme une sotte", affirme-t-il aujourd'hui.
Le gouvernement devrait entériner dès le début de l'année prochaine l'abaissement de 10 km/h sur une grande partie du réseau secondaire (nationales et départementales), révèle Le Point. Les deux-voies non séparées passeraient à 80 km/h au lieu de 90 km/h.
Cela va évidemment réduire la marge autorisée pour effectuer le dépassement d'un véhicule lent. L'association 40 Millions d'automobilistes explique ainsi que l'Angleterre, avec une vitesse limitée à 96 km/h sur son réseau secondaire (60 miles par heure) fait face à deux fois moins d'accidents qu'en France.
Cette mesure n'aura naturellement aucun impact sur la sécurité routière mais permettra de verbaliser encore plus d'automobilistes qui n'en peuvent plus de se traîner en pleine ligne droite sur une Départementale ou une Nationale.
A noter que la prochaine trouvaille gouvernementale en matière de persécution des Français sera, dans quelques temps, l'abaissement du taux légal d'alcool à 0,2 g dans le sang pour les conducteurs. Alors même qu'il n'existe aucune étude en mesure de prouver qu'un taux à 0,3 g ait le moindre impact sur les réflexes d'un automobiliste...
Voici ce que propose Carl Lang, Président du Parti de la France, pour aider au développement de l'Afrique :
L'Afrique a besoin de capitaux et de compétences pour se développer. C'est le moment de favoriser une grande politique de coopération basée sur le retour au pays des expatriés africains formés en Europe. L'Afrique a besoin des africains!
Suite à la diffusion sur Twitter de vidéos djihadistes par Donald Trump visant dénoncer les crimes islamistes, le maire musulman de Londres, le pakistanais Sadiq Khan, a fait savoir que le président américain n’était « pas le bienvenu » en Grande-Bretagne.
Dans un communiqué, l’ancien avocat de membres d’Al Qaeda (lire ici) s’en prend violemment au chef d’état américain, dénonçant son usage de « Twitter pour promouvoir un groupe extrémiste qui existe seulement afin de semer la division et la haine », faisant référence à Britain First, un parti britannique à l’origine de la diffusion des vidéos des exactions djihadistes (voir ici).
Sans surprise, l’édile musulman n’a pas condamné les organisations islamistes se livrant aux exactions filmées, c’est-à-dire l’objet même du message de Donald Trump.
Sadiq Khan a exigé qu’aucun voyage du président américain ne soit permis en Grande-Bretagne. « J’ai déjà appelé Theresa May à annuler sa mal-avisée offre de visite d’état au président Trump. Après ce dernier incident (sic), il est de plus en plus clair que toute visite du président Trump en Grande-Bretagne ne sera pas la bienvenue » a menacé le maire musulman.
« Pourquoi l’université est une cible privilégiée des islamistes et de leurs faux-nez, les Indigènes de la République ? », s’interroge ingénument, sur son blog, l’élue socialiste de la région Île-de-France, Céline Pina, par ailleurs auteur, en 2016, d’un brûlot remarqué intitulé Silence coupable et éloquemment sous-titré « Islamistes : ils ne sont grands que parce que nos élites sont à genoux ». Sa dénonciation d’un Salon de la femme musulmane à Pontoise l’avait sortie de l’anonymat puisqu’elle avait dû endurer les griefs bilieux des responsables de son parti.
Et la même de répondre : « Si l’Université est aussi massivement investie, c’est pour la même raison que Tariq Ramadan, qui n’est pas universitaire, se présente comme professeur à Oxford : le titre universitaire notabilise, renforce et donne autorité autant à l’homme qu’à l’idéologie. C’est une arme de légitimation massive », ajoutant que « c’est ainsi que pour crédibiliser leur idéologie, la hisser à la hauteur d’un savoir et lui donner les apparences de la science, les islamistes tentent de noyauter le monde universitaire ».
C’est un fait éminemment constatable que, depuis une vingtaine d’années, nombre d’universités en France sont progressivement investies par un islam à visage voilé. Les modus operandi sont divers, de la petite association étudiante à vocation cultuelle dont on finit par découvrir qu’elle abrite une salle de prière clandestine – comme ce fut le cas, il y a quelques années, à l’IUT de Saint-Denis – à l’intégration, au sein des équipes pédagogiques, de maîtres de conférences dont, pour certains profils, un observateur avisé se demanderait, perplexe – mais finalement peu dupe –, comment l’impétrant a-t-il pu décrocher et sa thèse et sa qualification par le Conseil national des universités (CNU) et son poste au sein de l’université ?
Le phénomène n’est pas seulement local, puisque le ministère de l’Enseignement supérieur, qui est seul habilité à délivrer les diplômes autant qu’à certifier les formations dispensées au sein des universités, doit faire face à la concurrence effrénée et pullulante des instituts mahométans privés de formation (tels l’Institut européen des sciences humaines, émanation des Frères musulmans, l’Institut d’études islamiques de Paris, l’Institut international des sciences islamiques, l’Institut méditerranéen d’études musulmanes d’Aix-en-Provence ou encore l’Institut Avicenne des sciences humaines basé à Lille).
Résultat : l’État se laisse tranquillement déborder, faible de sa résignation comme de son aboulie. Un DU de finance islamique finira par ouvrir à Paris-Dauphine en 2010 quand, un an auparavant, l’Institut européen des sciences humaines de Saint-Denis précité avait obtenu, par arrêté du recteur d’académie de Créteil, la reconnaissance de ses formations initiales en langue arabe et en théologie musulmane.
Le phénomène n’est pas seulement national puisqu’en Suisse, l’université de Fribourg accueille un Centre suisse pour l’islam et la sociét et que l’Institut d’études de la culture et de la religion musulmanes a été créé au sein de l’université Goethe de Francfort, portant ainsi à cinq (avec Erlangen-Nuremberg, Tübingen, Osnabrück et Münster) le nombre d’universités allemandes dispensant des cours de théologie islamique.
Pendant ce temps, comme une bombe explosant en silence, les Étudiants musulmans de France (EMF) viennent de décrocher leur premier siège au sein du conseil d’administration de l’université de Lille. Une victoire idéologique incontestable pour ces islamistes à peine pubères qui ne craignent pas de s’afficher aux côtés des racistes anti-blancs des Indigènes de la Républiques, d’apporter leur soutien au Secours islamique de France ou aux anti-islamophobes du CCIF jusqu’à même faire partie, encore récemment, du bureau national de l’UOIF.
Une chose est certaine : les musulmans ont compris que la conquête politique se gagne d’abord par les batailles idéologiques. La porosité intellectuelle de l’université française permet ce gramscisme islamique.
On ne savait pas les sages de la rue Cambon adepte des champignons hallucinogènes, mais le récent rapport de la Cour des comptes sur l’avenir de l’assurance maladie vaut son pesant de mescaline. Parce qu’il contient à peu près tout ce qui manque pour décourager définitivement les rares étudiants en médecine qui auraient encore l’extravagance de se destiner à la médecine libérale…
On y trouve pêle-mêle la fin de la liberté d’installation, la rémunération « à la performance », plus de contrôles des honoraires libres, des horaires d’ouverture des cabinets plus prolongés, sans parler d’un nouveau fromage pour fonctionnaires appelé « Agence de santé » (le cran au-dessus de « nommer une commission »…).
Il n’est pas inutile de rappeler que les hommes de l’État ont délibérément réduit le nombre de médecins en instaurant, en 1988, le MICA (mécanisme d’incitation à la cessation d’activité), permettant aux praticiens libéraux de prendre avec huit ans d’avance une retraite presque à taux plein, ce que beaucoup firent. Et, cinq ans plus tard, le numerus clausus à l’entrée des études atteignait son point le plus bas avec 3.500, ce pourquoi nous manquons maintenant de médecins quadragénaires dans la force de l’âge, tandis qu’un quart des médecins actifs seront en retraite en 2025.
Mais, en réalité, ce ne sont pas les médecins qui manquent, c’est le temps qu’ils ont à consacrer aux patients ; parce que l’administratif mange 25 % de leur temps de travail, et qu’ils n’ont plus les moyens de le confier à une secrétaire.
Avec des facs de médecine occupées aux deux tiers par des filles, le médecin type d’aujourd’hui est une trentenaire née sous Mitterrand et son ministère du Temps libre, qui a eu vingt ans sous Jospin et ses 35 heures, et ne veut plus travailler comme ses confrères nés sous de Gaulle, voire sous Coty. Et c’est légitime. Elle préfère donc le salariat.
Près de chez moi vient de s’installer, dans un centre de santé municipal, une jeune femme, salariée donc : 4.500 € nets par mois pour 29 heures de travail. Demandez à votre médecin combien d’heures il doit travailler pour qu’il lui reste ça, net imposable, chaque mois ? Et la salariée aura Mutuelle, Carte Orange, Ticket Restaurant®, congé de maternité le jour venu (en libéral : zéro), des arrêts de travail avec indemnités journalières au 3e jour (en libéral, c’est au 90e !), aucun investissement à faire, aucun papier URSSAF, Sécu, RSI, aucune comptabilité à tenir… Voilà pourquoi seuls 9 % seulement des étudiants s’installent en libéral. Alors penser, comme les comptables de la Cour des comptes, qu’on améliorera ce score en obligeant ces jeunes femmes, souvent mères, à visser leur plaque à Mézy-les-Deux-Pognes, où il n’y a plus ni école, ni poste, ni épicerie, ni emploi pour leurs conjoints, relève de la pathologie mentale ; surtout si, en plus, elles doivent garder le cabinet ouvert jusqu’à minuit un jour sur trois.
Quant aux zones « surdotées » en médecins, à part peut-être Cannes, Nice ou le XVIe arrondissement de Paris, on se demande où la Cour des comptes en trouve encore ? Autre perle du président Didier Migaud : « Le fait que les trois quarts des passages aux urgences ne soient pas suivis d’hospitalisation est un bon indicateur de la mauvaise organisation des soins entre la ville et l’hôpital. » Ah bon ? Vous vous cassez un doigt le matin, l’hôpital vous fait une radio à 11 h, vous plâtre à midi et vous sortez à 13 h : c’était un passage inutile ? Certes, un médecin de ville aurait su faire tout ça aussi, à ceci près qu’au tarif de la Sécu, il ne serait pas rentré dans ses frais. Alors que le moindre passage à l’hôpital rapporte à celui-ci 250 €, raison pour laquelle les centres 15 qui y sont généralement situés y drainent un maximum de « bobologie ». Prétexte pour réclamer ensuite du personnel supplémentaire avec l’alibi du « on est débordé »…
Enfin, si ces élucubrations de vieux sages en fin de banquet sont, par leur apparent bon sens, susceptibles d’être naïvement approuvées par une majorité de Français, ceux-ci ne doivent pas oublier que si on commence à assigner d’autorité un médecin à un territoire, on finira inéluctablement par assigner chaque Français à un médecin, ce qui sera la fin du libre choix. Sommes-nous prêts à accepter un système qui fait depuis trop longtemps le malheur des Britanniques ?
On inaugurait mercredi 29 novembre, place Marianne à Berlin, une installation qui porte le titre de « Musée des martyrs ». On y montre des personnalités de l’Histoire du monde qui sont morts pour leurs convictions. Comme Socrate (469-399 avant J.-C.) et Sainte Apolline d’Alexandrie (3e siècle), ou encore Martin Luther King (1929-1968).
À la fin de la série, on trouve Ismaël Omar Mustafaï, l’un des islamistes de Paris qui ont massacré 89 personnes le 13 novembre 2015 dans la salle de concert du Bataclan.
On apprend par le guide audio qu’il croyait devoir se sacrifier pour lutter contre la culture occidentale. L’original de son billet d’entrée figure parmi les objets exposés.
« Les artistes veulent élargir la notion de martyr », explique Ricarda Ciontos de l’association Nordwind qui dirige l’installation sur le plan artistique. L’association Nordwind est financée par les impôts via le Fonds culturel de la capitale et la Fondation pour la culture de la République fédérale.
Les deux artistes danois, Ida Grarup Nielsen et Henrik Grimbäck, qui ont conçu cette série de martyrs ont déjà montré leur installation l’an dernier au Danemark et ont recueilli de vives critiques. Mais ils n’en démordent pas. Ils veulent montrer, « au-delà de tout jugement de valeur », des gens qui sont prêts à sacrifier leur vie.
Nikki Hurst s’est retrouvée avec de sérieuses blessures au visage et une blessure à la tête après avoir été poussée et tabassée au cours de ce que la police qualifie d’agression avec la « circonstance aggravante de haine raciale ».
La femme de 32 ans avait marché à Batley, West Yorks, quand elle a été approchée par trois hommes asiatiques (« asiatique » au Royaume-Uni désigne tous les phénotypes du continent, notamment les très nombreux Pakistanais).
Elle a affirmé avoir été jetée au sol et rouée de coups vers 18h45, le jour d’Halloween, rapporte le quotidien Huddersfield Daily Examiner.
Pendant ce temps, le 1er Ministre, Theresa May, ne trouve rien de mieux à faire que de s'en prendre à Donald Trump parce qu'il ose diffuser sur Twitter des vidéos d'agressions commises par des afro-musulmans.
Le héros national croate Slobodan Praljak est mort après s’être empoisonné lors de son procès imposé par les ploutocraties occidentales. Préférant mourir debout plutôt que de se soumettre, le général croate ayant lutté pour la liberté de la Croatie contre les islamo-bosniaque est sorti par la grande porte.
Agé de 72 ans, Slobodan Praljak a entendu le pseudo-tribunal confirmer sa condamnation à 20 ans de prison pour avoir résisté à la menace islamo-bosniaque entre 1993 et 1994, avant de dire « Je rejette votre verdict », de sortir une fiole et d’en avaler le contenu.
Cet ingénieur devenu directeur de théâtre n’était pas un militaire à l’origine, mais la guerre venue, il a vite gravi les échelons des forces croates. Haut responsable des forces armées de la république croate de Herceg-Bosna qui a combattu les musulmans bosniaques.
Pour de nombreux Croates, Praljak est un héros et sa mort spectaculaire a encore renforcé ce sentiment. La semaine dernière, la présidente Kolinda Grabar-Kitarovic avait rédigé un message d’hommage, lu lors d’une promotion d’un ouvrage en son honneur, « Général Praljak ».
« La contribution du général Slobodan Praljak a été d’une immense importance à la fois pour la défense de la Croatie et de la Serbie contre l’agression grand serbe et pour la survie du peuple croate sur son territoire historique durant la guerre patriotique », avait déclaré la présidente.
Avant l’annonce de la mort de M. Praljak dans les médias croates, la présidente avait interrompu « en urgence » un voyage en Islande. A ses yeux, il incarnait la « vérité qu’il a sans relâche défendue après la guerre ».
L’image la plus symbolique de cette guerre dans la guerre fut la destruction en novembre 1993 du « Stari Most », un pont édifié par l’envahisseur turc musulman à Mostar.
Héros jugé par les laquais de la justice globaliste, Praljak est rentré dans l’Histoire.
François Ruffin, député de La France insoumise et palmé à Cannes, cette année, pour Merci patron, documentaire consacré à Bernard Arnault, patron du consortium mondial LVMH, n’est pas forcément le « mauvais garçon » qu’on croit. Parcours assez classique pour un gauchiste : il fait ses classes chez les jésuites, puis chez Daniel Mermet, dont l’émission « Là-bas si j’y suis », fait les belles heures de France Inter, ambiance géopolitique façon poil à gratter.
Désormais, c’est chez les mélenchonistes que ça démange et qu’on se gratte, donc ; soit depuis la mise en ligne de sa dernière vidéo. La phrase qui fait tache et mouche à la fois ? « Aujourd’hui, La France insoumise peut être reconnue comme la force d’opposition. Et, en même temps, je ne suis pas sûr que les gens nous donnent les clefs du pays pour le gouverner. » Pis : « J’éprouve un certain vertige à l’idée qu’on puisse détenir le pouvoir. Je ne nous sens pas prêts. » Immédiatement, Alexis Corbière, le bras droit de Jean-Luc Mélenchon, allume un contre-feu sur Europe 1, assurant que François Ruffin est un « garçon modeste », un « gentil garçon ».
Un « garçon » lucide, peut-être, lorsqu’il avertit : « Le défi qu’on aurait en face de nous, il est colossal. Qui sont les techniciens sur lesquels on va pouvoir s’appuyer ? Ce ne sont pas les technos de Bercy, les inspecteurs des finances, qui vont être pour un programme de transformation avec La France insoumise. […] Il va falloir affronter le Sénat, le MEDEF, les médias, la Commission européenne, la Banque centrale, le Conseil constitutionnel. On va être dans une situation conflictuelle vachement forte avec des gens qui ne seront pas préparés à ce niveau de pouvoir, de responsabilité. »
La vérité oblige à dire que tout cela n’est pas faux. Et même vrai pour tout mouvement prétendant offrir une alternative plutôt qu’une alternance. Cette culture de gouvernement ne s’acquiert pas du jour au lendemain, le Front national en sait quelque chose. En 2007, il y était évidemment plus préparé qu’en 2002. En 2012 plus qu’en 2007. En 2017 encore un peu plus qu’en 2012 ; et pourtant… Domestiquer un système qu’on combat en permanence ? Demander à ses tenants de collaborer à leur éradication programmée ?
Vaste programme et équation d’autant plus impossible à résoudre que les mouvements de type révolutionnaire, de droite comme de gauche, ont renoncé à la lutte armée depuis belle lurette, hormis quelques émeutes de rue dont les fauteurs ont à peu près autant de conscience politique que le chat du voisin. Octobre 1917, c’était il y a un siècle. Et le général Boulanger ne nous rajeunit pas non plus.
L’autre possibilité consiste, évidemment, à subvertir ce même système de l’intérieur, avec les résultats qu’on sait. Les militants d’Occident et du PFN ont infiltré l’UDF et le RPR. Pour donner des Claude Goasguen et des Patrick Devedjian. Leurs homologues trotskistes ont fait de même du Parti socialiste. Avec, au bout du compte… un Harlem Désir et un Jean-Christophe Cambadélis. Plus récemment, ce sont ceux de la Manif pour tous qui tentent encore de « droitiser » la droite. Tout ça pour aboutir sur un Laurent Wauquiez, l’homme qui pétoche plus vite que son ombre…
Certes, il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre ou de réussir pour persévérer. D’ailleurs, les activistes de gauche n’ont-ils pas fini par imposer leurs idées sociétales, avec immigrés en vente libre, bébés fabriqués dans le tiers-monde et LGBT mondialisés ? Ceux de droite ne sont-ils pas non plus parvenus à faire de même en matière de sécurité et d’immigration, phénomènes dont personne ne songerait aujourd’hui à prétendre qu’ils soient respectivement « fantasme » ou « chance pour la France » ?
D’un côté comme de l’autre, la bataille des idées est gagnée. De l’autre comme de l’un, cela ne signifie pas pour autant que tel ou tel puisse parvenir aux plus hautes fonctions – les seules qui comptent, à la fin des fins.
Que la question posée par François Ruffin soit bonne ou mauvaise n’est pas le problème, tant elle est légitime et méritait d’être posée.
Donald Trump a relayé aujourd'hui sur son compte Twitter une série de vidéos publiées par une responsable politique britannique d'extrême droite. Ces trois vidéos, tweetées par Jayda Fransen, vice-présidente du parti d'extrême droite Britain First, montrent des exactions commises par des musulmans.
Plutôt que de s'indigner et d'enquêter sur les crimes commis sur les vidéos publiées, la presse internationale s'offusque que le Président américain ose révéler au monde entier ce que les médias omettent de faire par islamophilie pathologique.
Et ras-le-bol de cette Afrique qui nous reproche depuis 57 ans la colonisation et qui n’arrête pas de réclamer du pognon et des visas.
Une étudiante nous reproche notre interventionnisme en Afrique.
Mais si nous n’avions pas envoyé nos chasseurs stopper les colonnes de jihadistes qui fondaient sur Bamako, tout le Sahel subirait aujourd’hui le joug des islamistes, y compris le Burkina !
Et quand il y a une épidémie d’Ebola c’est l’OMS qui s’en occupe, pas l’Afrique.
L’Afrique est incapable de se débrouiller seule.
Que les Français partent ? OK, ils auront les Chinois qui n’attendent que ça.
1 milliard d’Africains produisent moins que le PIB français.
Si quelqu’un humilie l’Afrique, ce sont les Africains eux-mêmes par leur incapacité à faire fructifier l’héritage colonial.
En 1960, tous ces pays étaient viables et plus riches que l’Asie hors Japon.
Aujourd’hui, la Corée du Sud ou Taiwan sont 30 fois plus riches que le Kenya ou la Côte d’Ivoire.
Mais un Asiatique ça bosse dur et ça ne pleurniche pas.
Et pourtant l’Afrique a englouti 90% de l’aide internationale depuis un demi siècle.
Mais guerres, corruption, insécurité, rivalités tribales ont ruiné le continent.
Le pays le plus riche du monde en sous-sol, c’est la RDC, ex Congo belge.
Mais il fait partie des pays les plus pauvres de la planète avec un PIB/hab de moins de 500 dollars par an.
« L’Algérie a déboursé 9 millions d’euros pour assurer le retour dans la dignité de 10.000 femmes et enfants migrants africains dans leurs pays d’origine », a indiqué la présidente du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), Fafa Sid Lakhdar Benzerrouki, dans une déclaration à la presse en marge d’une journée d’étude sur la violence faite aux femmes en Afrique.
« Ces clandestins étaient exploités par des réseaux de traite d’être humains et de prostitution », a-t-elle ajouté, relayée par l’Agence de presse officielle.
L’humoriste musulman d’origine sénégalaise Omar Sy s’est engagé en faveur de l’insurrection islamiste rohingya qui déstabilise la Birmanie depuis plusieurs années avec l’appui d’états connus pour leur soutien au djihadisme, dont le Pakistan.
L’acteur français se mobilise à l’appel d’une star des réseaux sociaux pour porter assistance à la minorité musulmane de Birmanie qui subit, selon le Haut-Commissaire aux droits de l’Homme Zeid Ra’ad Al Hussein, un véritable « nettoyage ethnique ».
À l’appel de la star des réseaux sociaux Jérôme Jarre, qui avait en mars 2017 lancé une opération similaire en Somalie contre la famine, Omar Sy se mobilise pour venir en aide aux Rohingyas. L’acteur a posté hier sur ses comptes Twitter, Instagram et Facebook une vidéo prise depuis un camp bangladais où s’entassent des milliers de familles de cette ethnie musulmane chassée de l’État d’Arakan, dans le nord-ouest du pays. Depuis octobre 2016, une insurrection violente de « L’Armée du salut des Rohingyas de l’Arakan », ayant entraîné la mort de nombreux militaires birmans, a conduit à une réaction considérée comme disproportionnée de la part de l’armée birmane. Aujourd’hui, on compterait plus de 500.000 réfugiés Rohingyas installés de l’autre côté de la frontière, au Bangladesh.
Le Sénégalais a été jusqu’à appeler à l’aide le président islamiste turc Recep Tayyip Erdogan, affilié à la confrérie radicale des Frères Musulmans.
L’opération antiterroriste menée par l’armée birmane vise à stopper, une fois pour toute, l’entreprise de déstabilisation de la province riche en gaz et en pétrole de Rakine par des éléments subversifs du djihadisme international.
Les musulmans bengalis dits « Rohingyas » sont en effet encadrés par des terroristes musulmans armés et entraînés par le Pakistan (lire ici).
Ces migrants clandestins musulmans ont été expulsés vers le Bangladesh au terme d’une campagne de restauration de l’ordre par le gouvernement birman. Une campagne soutenue par la Chine et l’Inde dont les intérêts convergent rarement.
Vous souvenez-vous de cette illustration de livre d’histoire de jadis ? Charlemagne félicite les élèves issus de familles pauvres mais travailleurs, et blâme les fils de barons, fainéants comme les monarques d’une dynastie récemment déchue. Quelle belle allégorie de l’école de la IIIe République, juste parce que récompensant le mérite ! Rendons-lui cette justice, des Louis Germain y ont fait éclore l’intelligence de divers Albert Camus.
Aux États-Unis, la race remplace la classe sociale comme facteur d’injustice qui induit des inégalités. La discrimination positive devrait corriger ça, mais elle est sur la sellette. Harvard, sans doute l’université mondiale la plus prestigieuse, est visée par une action en justice initiée par un activiste, Edward Blum, et un groupe d’étudiants d’origine asiatique. Ils se sentent discriminés par les critères raciaux de recrutement de Harvard qui favoriseraient les Hispaniques et les Afro-Américains. L’injonction d’un juge fédéral devrait obliger l’université à remettre à ses opposants une masse de données substantielles afin d’analyser les distorsions faites aux critères purement objectifs de sélection. Même si la Cour suprême a admis que puisse être utilisée la préférence raciale, elle interdit les quotas et les discriminations individuelles. Or, la proportion des étudiants asiatiques demeure stable alors que le nombre de leurs candidatures a explosé…
Il faut bien sélectionner, Harvard ne peut pas offrir (ou plutôt vendre) de cursus d’étude à tous ceux qui en auraient envie. L’argent ou le pouvoir peuvent jouer un rôle, mais même si les seuls critères de sélection méritocratique étaient utilisés dans ces prestigieuses universités, un marché de substitution privé accessible aux seuls enfants de nababs serait créé. Nonobstant les imperfections de la métrologie du mérite qui ne relèvent pas de la science exacte, une décision sur des critères raciaux semble profondément injuste pour ceux qui sont évincés à cause de leur couleur de peau. Et le niveau des étudiants et des diplômes baisse.
Sélection ! Le gros mot est lâché, le concept est même présenté comme une nécessité, tant pis pour les pédagogistes. En France, nous avons un pire (80 % d’une classe d’âge au baccalauréat) qui côtoie un autre pire (un numerus clausus de médecin tellement restrictif que l’on en manque et doit en importer) ou un troisième (la sélection par tirage au sort). Des jeunes qui poursuivent jusqu’en licence des études qui ne débouchent sur rien, même pas sur un diplôme, et des grandes écoles qui, pour la majorité, ne recrutent que sur la capacité de bachotage : mémoire, imitation, résistance au stress. Certains établissements ont aussi mis en place des cursus d’accession parallèle pour faire de la discrimination positive. Que nous sommes loin du mythe de la méritocratie républicaine !
Il y a une profonde malhonnêteté à ne pas, dès l’adolescence, confronter un jeune avec la vie en ce qu’elle a parfois de cruel ou d’injuste. La sélection fait partie des mécanismes du fonctionnement social. Rendre ces critères les plus objectifs possible, avec l’humilité de savoir que c’est un brin illusoire, est bien sûr essentiel, de même que permettre aux vrais nécessiteux méritants de s’affranchir des contraintes économiques qui brideraient leurs ambitions. Mais vendre à des jeunes l’illusion d’un monde où tous peuvent accéder à des études supérieures débouchant sur des emplois hautement qualifiés est un mensonge inepte et révoltant. Et cessons d’imaginer que la discrimination positive résout le moindre problème.