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Le blog politique de Thomas JOLY

François, Nicolas, Alain : les has been font leur come-back !

13 Novembre 2017, 07:18am

Publié par Thomas Joly

En une semaine, ils ont fait leur réapparition sur les écrans. Ils ? Les vaincus de Macron, les perdants, les has been – pour ne pas dire les « had been » – de la politique française. Les battus du monde d’avant. Un come-back de tous les instants, sur presque tous les sujets. Et cela nous laisse un sentiment partagé : pitié pour eux, admiration pour ce Président qui les a poliment rangés dans le grenier de la République.

Le premier à revenir, ce fut François Hollande. Après les piques et les conseils adressés à son successeur, qui sut saisir son destin en se faisant le Brutus d’un César déjà moribond, il est de toutes les commémorations : 11 novembre, mais aussi 13 novembre, puisqu’il fut le Président qui « géra » cela. Il multiplie également les conférences, pendant que ses conseillers essaient de nous faire vibrer sur la gestion de l’affaire Merci pour ce moment dans les coulisses de l’Élysée. Réaction des Français ? Elle est catégorique. Les Français ne veulent absolument pas revoir M. Hollande. Dans le sondage Elabe pour Les Échos et Radio Classique, il perd six points en un mois, à 16 % de bonnes opinions ! Et la part des mauvaises opinions à son égard progresse à 71 %. Du jamais vu pour un ancien Président.

Pour le 11 novembre, le Président Macron a pris soin d’inviter également M. Sarkozy. Et, à l’occasion de l’hommage rendu à Clemenceau, M. Sarkozy n’a pas hésité à se comparer au Tigre ! Les temps ont changé, mais pas M. Sarkozy. Cela devrait conduire M. Wauquiez à relativiser les conseils que vient de lui donner son ancien mentor : « Celui qui ne rassemble pas, qui pense qu’une famille politique, c’est une secte, ne peut pas défendre ses convictions. » Le parcours de M. Sarkozy, dans les temps nouveaux du macronisme, n’est peut-être pas le modèle à suivre.

Ce souci des usages républicains, qui honore M. Macron, particulièrement auprès de l’électorat âgé et qui eut la faiblesse de voter un jour pour un Sarkozy ou un Hollande (et cela fait beaucoup de monde), le sert bien au-delà : la photo souligne le contraste, rappelle la jeunesse et la nouveauté de celui qui a tout balayé du monde d’avant. Et le monde d’avant, tel qu’en lui-même, se prête de bonne grâce à marteler le message. MM. Hollande et Sarkozy ? De splendides utilités dans le ballet macronien. De petites lueurs déclinantes qui en font un Roi-Soleil.

Mais nous allions oublier un dernier revenant. Le meilleur pour la fin : M. Juppé. D’après Sud-Ouest, il a été enthousiasmé par le discours de M. Macron sur l’Europe à la Sorbonne et souhaite participer, pour les prochaines élections européennes, à un grand courant pro-européen que conduirait le chef de l’État. Rien d’étonnant du point de vue politique. Rien d’étonnant non plus, d’un point de vue médiatique, que les brumes bordelaises de novembre poussent M. Juppé à vouloir lui aussi capter un peu de la lumière macronienne.

Mais on se demande si M. Macron a vraiment intérêt à ce rapprochement. Deux anciens Présidents, qui incarnèrent chacun, avec leurs défauts, la droite et la gauche d’avant, cela a du sens. Mais M. Juppé, qui ne fut jamais Président et qui n’incarna finalement qu’un gaullisme creux, un centrisme indécis et une béatitude confondante sur les questions d’Europe et d’immigration, est-ce vraiment utile ? N’a-t-il pas déjà donné avec M. Bayrou ? Maintenant qu’il est Président, quelle utilité de ringardiser sa personne et son projet par un Juppé qui n’a cessé de se « bayrouiser » ? N’a-t-il pas pris, avec M. Philippe, un technocrate falot que l’on dit bon gestionnaire, le meilleur de ce qu’il avait à prendre chez M. Juppé ? Pourquoi vouloir aller plus loin dans cette voie ?

À moins que le macronisme ne soit qu’un juppéisme juvénile.

Pascal Célérier

Source : http://bvoltaire.com

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Les supporters marocains saccagent Bruxelles et piétinent la tombe du soldat inconnu à Paris pour célébrer la victoire de leur équipe

12 Novembre 2017, 11:07am

Publié par Thomas Joly

Les supporters marocains saccagent Bruxelles et piétinent la tombe du soldat inconnu à Paris pour célébrer la victoire de leur équipe
Les supporters marocains saccagent Bruxelles et piétinent la tombe du soldat inconnu à Paris pour célébrer la victoire de leur équipe
Les supporters marocains saccagent Bruxelles et piétinent la tombe du soldat inconnu à Paris pour célébrer la victoire de leur équipe
Les supporters marocains saccagent Bruxelles et piétinent la tombe du soldat inconnu à Paris pour célébrer la victoire de leur équipe
Les supporters marocains saccagent Bruxelles et piétinent la tombe du soldat inconnu à Paris pour célébrer la victoire de leur équipe

Pour fêter la qualification de leur équipe de football pour la coupe du monde, des milliers de Marocains (dont sûrement un bon nombre sont soi-disant « Français ») sont descendus dans les rues de plusieurs villes de France, mais aussi à Bruxelles où ils ont exprimé leur « joie » en saccageant tout sur leur passage et en incendiant des voitures...

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Carl Lang étrille France 2 qui préfère rendre hommage à un fusillé plutôt qu'à un combattant mort pour la France face à l'ennemi

12 Novembre 2017, 10:41am

Publié par Thomas Joly

Carl Lang, Président du Parti de la France, a réagi sur twitter suite au choix de la rédaction de France 2 pour la commémoration du 11 novembre.

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Vidéos et photos de la conférence-débat à Bruxelles du 11 novembre 2017

12 Novembre 2017, 10:12am

Publié par Thomas Joly

Vidéos et photos de la conférence-débat à Bruxelles du 11 novembre 2017
Vidéos et photos de la conférence-débat à Bruxelles du 11 novembre 2017
Vidéos et photos de la conférence-débat à Bruxelles du 11 novembre 2017
Vidéos et photos de la conférence-débat à Bruxelles du 11 novembre 2017
Vidéos et photos de la conférence-débat à Bruxelles du 11 novembre 2017
Vidéos et photos de la conférence-débat à Bruxelles du 11 novembre 2017
Vidéos et photos de la conférence-débat à Bruxelles du 11 novembre 2017
Vidéos et photos de la conférence-débat à Bruxelles du 11 novembre 2017

Samedi 11 novembre 2017, une conférence-débat s'est déroulée à Bruxelles avec Hervé Van Laethem (Nation), Thomas Joly (Parti de la France), Alain Escada (Civitas), Roland Hélie (Synthèse Nationale) et Frédéric Ranson (N-SA/Flandre).

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Ahmed et ses potes agressent sexuellement trois collégiennes, le principal demande aux victimes de s’habiller moins « sexy »

10 Novembre 2017, 07:41am

Publié par Thomas Joly

Au cours de l’automne 2016, trois filles suédoises de 14 ans ont été les victimes d’une série d’agressions sexuelles commises par des jeunes hommes issus de l’immigration. Les abus ont eu lieu dans une école à Malmö.

Seul Ahmed, un jeune homme âgé de 16 ans, a été reconnu coupable de délits. Ahmed avait frappé les filles sur les fesses, touché leurs seins et essayé de tirer une des jupes des filles avec leurs amis.

« La première fois que nous avons parlé avec lui, il a dit que la raison pour laquelle il nous agressait c'est parce que nous étions érotiques et que nous ne nous couvrions pas assez », a déclaré une jeune victime au journal.

Le directeur du collège a indiqué aux jeunes filles qu’elles devraient davantage se couvrir et s’habiller moins « sexy ».

Le 5 octobre 2017, le tribunal du district de Malmö a annoncé le verdict. Ahmed a été reconnu coupable de trois cas d’agressions sexuelles et a été condamné à la peine dérisoire de 50 heures de travail d’intérêt général et ne sera évidemment pas expulsé dans son pays d'origine.

Source : http://fdesouche.com

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Le tag raciste à l'académie militaire était l'oeuvre d'un élève-officier noir

10 Novembre 2017, 07:40am

Publié par Thomas Joly

Fin septembre, le général Jay Silveria, directeur d'une académie militaire américaine, était subitement passé à la postérité. Dans un discours de quelques minutes, il avait dénoncé avec emphase et trémolos des tags racistes visant cinq Noirs de son établissement. Mais quelques semaines plus tard, on découvrait que l'auteur des insultes haineuses n'était autre... que l'une des victimes visée par les messages insultants !

Quand le général Silviera s'est exprimé pour dénoncer les inscriptions racistes à l'Académie de l'armée de l'air de Colorado Springs, imaginait-il qu'il toucherait autant de monde ?

Son discours devant 1.500 élèves-officiers a eu un impact important et a été abondamment relayé par la presse gauchiste nationale et internationale.

Aujourd'hui, on apprend que tout le monde a été mystifié : l'auteur des messages haineux placardés sur certaines portes était en fait l'un des occupants des chambres visées, un jeune Noir donc, qui voulait sûrement lui-aussi avoir son quart d'heure de gloire victimaire.

L'académie assure qu'il avait d'autres problèmes, qu'elle ne le compte plus parmi ses membres. Mais cette découverte jette un froid.

Cela affaiblit la position de tous ceux qui dénoncent hystériquement les prétendus crimes racistes. D'autant que d'autres « manipulations » du même genre ont déjà été relevées ces dernières semaines, dans des universités du Kansas ou du Michigan par exemple.

Tout ceci donne quelques arguments à ceux qui mettent en cause les statistiques montrant que les actions « haineuses » ont augmenté dans le pays depuis l'élection de Donald Trump.

Source : http://rfi.fr

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Charlie, Charlie, morne Plenel…

10 Novembre 2017, 07:11am

Publié par Thomas Joly

Nouvelle tempête dans le verre d’eau tiédasse du microcosme médiatico-parisien, révélatrice du climat poisseux de délation tous azimuts (du si délicat « Balance ton porc » aux vraies-fausses fraudes fiscales des « Paradise Papers ») qu’entretient cette pestilentielle camarilla de démocrasseux de la « gôche » hygiéniste et savonarolesque.

Ce petit jeu malsain devait forcément leur p… à la figure. Depuis quelques jours, les co(allah)bos diversitaires défouraillent à tout va et règlent leurs comptes entre eux, comme aux temps révolus de ces Saint-Barthélemy du Mitan qui avaient le mérite de purger la pègre tout en facilitant le travail des condés.

On ne sait par quel bout prendre cette affaire où le vert et le rouge se côtoient de manière si intime qu’à la perversité des connivences se joint bien souvent le vice des désordres intrinsèques. Le prédicateur Tariq Ramadan, petit-fils d’Hassan el-Banna fondateur de la secte islamiste des Frères musulmans (et continuateur intellectuel d’icelui), s’est retrouvé à son tour accusé de viol par d’anciennes étudiantes et des converties salafistes désormais repenties.

Au lèche-babouche a très rapidement succédé le lynchage, sans passer par la case « lâchage ». Mais surtout, les éclaboussures des exploits de notre Sardanapale ès dissimulations (dénommées taqîya en islam) ont également entaché notre Edwy Plenel national qui est au journalisme d’investigation ce que la Tchéka léniniste fut à l’habeas corpus. Notre doulos trotskiste à la moustache stalinienne a été littéralement enchristé par Charlie Hebdo, lequel, fort de sa nouvelle et surnaturelle immunité juridico-financière post-attentats, l’a tout simplement accusé de complicité avec le sieur Ramadan.

Pas de quoi fouetter une chamelle, car il est de notoriété publique que Plenel entretient des relations très proches avec Ramadan dont Eugénie Bastié, dans le mensuel Causeur, nous rappelle qu’en janvier 2015, « le patron de Mediapart et l’intellectuel musulman [ont prêché] sur le “droit à l’insertion pour tous”, et “les difficultés de la Jeunesse Musulmane en France” » lors d’une journée organisée et soutenue majoritairement par diverses associations communautaires islamiques, dont « “Oumma work”, qui met en relation des musulmans et des entreprises acceptant le port des signes religieux ou “France Manassik”, agence de voyages qui organise des voyages à La Mecque. »

Figure de proue de l’« islamosphère », selon les termes du Figaro Magazine (6-7 octobre), Plenel n’a, de plus, jamais caché ses accointances avec Ramadan, allant le décrire comme « un intellectuel très respectable. […] On a parlé trois heures et demie, nous n’avions aucun désaccord sur le fond. […] Encore une fois, je le lis et je l’écoute et je ne vois pas d’ambiguïté » (« Le Petit Journal », Canal+, janvier 2015).

Dhimmi intégral, Plenel ne peut être cochon (et pour cause !) qui s’en dédit, puisque son ouvrage Pour les musulmans (La Découverte, 2014) a tout de même été traduit en arabe par Abdellatif El Korchi, professeur d’histoire à Grenoble, pour Al-Doha Magazine, « revue culturelle qatarie », en vérité « déclinaison pour les intellos arabophones de l’appareil de propagande des Frères musulmans, dont le vaisseau amiral est la chaîne d’information télévisée multilingue Al-Jazira », d’après Luc Rosenzweig (Causeur, juin 2015).

Et puis qu’y a-t-il d’étonnant à ce qu’un dissimulateur professionnel mahométan et un entriste trotskiste professionnel, telles d’invasives mérules, participent de concert à la même entreprise de destruction xénophage des fondements ethnoculturels de nos sociétés occidentales moribondes ?

Aristide Leucate

Source : http://bvoltaire.com

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À Ouistreham, même les migrants en ont marre des migrants !

10 Novembre 2017, 07:02am

Publié par Thomas Joly

C'est LE sketch de la semaine, voire du mois !

Des migrants soudanais ont demandé aux associations gauchistes de Ouistreham d'arrêter de leur donner à manger, car ces distributions de nourriture attirent de nouveaux migrants qui créent des "tensions" ! (source : Ouest-France)

Depuis le temps que nous disons que l'aide aux clandestins constitue un appel d'air à tous les rebuts de la planète, voilà que ce sont les Soudanais qui nous donnent raison, là où les journalistes et la gauche ne savent rien faire d'autre que nous accuser de catastrophisme.

Et au-delà de ça, il est révélateur que les migrants soudanais se plaignent des autres migrants, alors que les journalistes et la gauche nous accusent de créer des "fake news" lorsque c'est nous qui rendons publics les témoignages des riverains excédés par les clandestins.

La morale de cette histoire, c'est que la situation ne nous permet plus d'attendre que nos adversaires politiques ouvrent les yeux, c'est nous qui sommes dans le réel, c'est à nous de rendre Ouistreham à ses habitants !

Source : http://pdf14.com

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Compte-rendu du procès de Thomas Joly à Beauvais

9 Novembre 2017, 23:10pm

Publié par Thomas Joly

Ce jeudi 9 novembre 2017 se tenait au tribunal correctionnel de Beauvais, le procès de Thomas Joly, accusé d’avoir mis en ligne sur son blog des photos « violentes » de nature à contrevenir à l’article 222-33-3 du Code Pénal qui sanctionne : « l’enregistrement et la diffusion d’images de violence portant atteinte volontaire à l’intégrité de la personne ».

Il s’agissait en l’espèce des images de deux victimes du terrorisme islamique : James Wright Foley, décapité à Raqqa le 19 août 2014 et Hervé Cornara, décapité à Saint Quentin Fallavier en Isère le 26 juin 2015.

Le président du Tribunal rappelle le chef d’accusation à l’encontre du prévenu puis donne la parole à Thomas Joly qui comparait libre, tout en ayant subi six heures de garde à vue le 19 février 2016 pour cette même affaire.

Mais ce dernier n’a pas l’intention de se laisser intimider : il revendique haut et fort son engagement politique en qualité de secrétaire du Parti de la France (le PDF, parti créé par Carl Lang en 2009) auquel contribue son blog qui dénonce notamment le terrorisme islamique. Pour lui, toute cette procédure est le fruit du « politiquement correct ». Quant à la dénonciation à l’origine de la poursuite pénale, elle rappelle nous dit-il les heures les plus sombres de notre histoire… Ce à quoi le Président du Tribunal répond qu’on n’est pas ici dans le politiquement correct mais dans une salle d’audience, au pénal ! Ça commence très fort !

Thomas Joly précise que son blog n’est pas destiné aux mineurs et qu’il n’y a pas que les militants du Parti de la France, qui dénoncent le terrorisme islamique. Il évoque la diffusion massive de la photo du cadavre du petit Aylan Kurdi découvert sur une plage de Turquie le 2 septembre 2015 sans que personne ne saisisse les tribunaux en dépit du caractère émotionnel et violent de cette image, qui a fait le tour de la planète.

« J’ai usé de ma liberté d’expression » dit-il, ce à quoi le juge répond que si la liberté d’expression est un droit fondamental, elle souffre aussi de certaines limites !

Maître Pierre-Marie Bonneau, avocat de Thomas Joly et spécialiste de droit pénal, lui demande alors s’il a reçu une quelconque désapprobation de la part des familles des personnes décapitées, à propos de la diffusion de ces photos sur son blog. Réponse : « non, et si tel avait été le cas, j’aurais immédiatement réagi ! ».

La parole est ensuite donnée au Procureur de la République. Il tente de prouver que l’infraction est constituée : pour lui, pas de doute sur la matérialité des faits, ni sur l’intention de diffuser des images violentes. Il y a bien volonté de choquer et de surcroît sur un site accessible à des mineurs ! Puis il ose opposer le travail d’information de Thomas Joly à celui de la « presse classique » qui elle « se conforme à la Loi » ! Quel euphémisme pour désigner les médias du système ! C’est oublier un peu vite ces vertueux journalistes qui n’ont pas hésité à passer en boucle les images du petit Aylan Kurdi dans le but de vendre à l’opinion publique européenne l’idée d’une ouverture totale des frontières et par voie de conséquence l’acceptation d’une immigration massive !

L’article de Loi 222-33-3 nous dit que « le présent article n’est pas applicable lorsque l’enregistrement ou la diffusion résulte de l’exercice normal d’une profession ayant pour objet d’informer le public ou est réalisé afin de servir de preuve en justice ». En clair, cela voudrait dire qu’il y aurait des « informateurs protégés » et d’autres qui ne le seraient pas, dans ce beau pays de France ! Bref, une liberté d’expression à géométrie variable que la Cour Européenne de Strasbourg n’apprécierait guère !

Le procureur demande deux mois de prison avec sursis et 4.000 € d’amende à Thomas Joly qui, selon lui, a « dépassé les limites ». Murmures dans la salle !

Maître Pierre-Marie Bonneau, du barreau de Toulouse commence alors sa plaidoirie. Pour lui, l’image à elle seule ne véhicule pas un « message » violent. L’image n’a été choisie que pour illustrer, par un banal « copier/coller » un article dont le contenu n’a curieusement jamais été évoqué au cours du procès. Il ne s’agit pas non plus d’un « enregistrement ». Un « message » selon Maître Bonneau est une construction intellectuelle qui ne se limite pas à la simple constatation de l’image. L’image n’est ici qu’une illustration destinée à parfaire une information. D’ailleurs ici l’image ne trahit pas le sens de l’article auquel elle est associée.

Le blog, poursuit-il, s’adresse à des personnes qui s’intéressent à la politique. Il n’a pas vocation à attirer les mineurs. Ce n’est pas un blog de scoutisme destiné à la jeunesse ! De plus, les photos incriminées sont facilement accessibles au grand public et elles le sont encore aujourd’hui à l’heure du procès, ce que le lecteur pourra aisément vérifier, au moins en ce qui concerne celles d’Hervé Cornara (NDLC : j’ai recensé cinq sites en quelques clics permettant d’accéder à cette image).

De plus, l’élément intentionnel n’est nullement démontré. Plusieurs arrêts de la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’Homme), rappellent la nécessité, en matière de liberté d’expression, de prendre en compte la légitimité du but recherché : ici illustrer un article et non vouloir choquer en montrant du sang dégoulinant ! Faut-il préciser qu’aucune accusation d’incitation à la haine raciale n’a été engagée à l’encontre de M. Joly et que son casier judiciaire est parfaitement vide.
Pas de parties civiles à l’audience, ni de demandes de dommages et intérêts. On se demande alors bien qui sont les personnes lésées par les agissements de M. Joly !

En conclusion, Maître Bonneau invite les juges à ne pas se laisser aller dans ce genre de dérive consistant à détourner une procédure pour faire taire celui dont la parole ne plait pas. Il plaide donc la relaxe de son client.

Thomas Joly reprend la parole en dernier, selon l’usage, pour expliquer que tous les partis politiques ont dit qu’on était en guerre contre le terrorisme et qu’il ne croyait pas avoir commis une infraction.

Source : http://ripostelaique.com

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Vidéo et photos à la sortie du tribunal de Beauvais jeudi 9 novembre

9 Novembre 2017, 20:13pm

Publié par Thomas Joly

Dans la joie et la bonne humeur propres à ceux qui ont raison, moi-même et quelques militants du Parti de la France étions au Tribunal de Beauvais aujourd'hui pour mon audience. Le jugement sera rendu le 23 novembre. Un compte-rendu détaillé de l'audience sera publié sous peu. Mon avocat a fait une brillante plaidoirie.

Merci à tous pour votre soutien, en particulier à ceux qui ont pu se libérer.

Quoi qu'il advienne je serai toujours en première ligne face à l'invasion afro-musulmane et personne ne me fera taire ! Me ne frego !

Vidéo et photos à la sortie du tribunal de Beauvais jeudi 9 novembre
Vidéo et photos à la sortie du tribunal de Beauvais jeudi 9 novembre
Vidéo et photos à la sortie du tribunal de Beauvais jeudi 9 novembre
Vidéo et photos à la sortie du tribunal de Beauvais jeudi 9 novembre
Vidéo et photos à la sortie du tribunal de Beauvais jeudi 9 novembre
Vidéo et photos à la sortie du tribunal de Beauvais jeudi 9 novembre

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La grosse Mariah Carey accusée de harcélement sexuel et de racisme anti-blanc

8 Novembre 2017, 07:52am

Publié par Thomas Joly

Son ancien garde du corps affirme qu’elle l’a constamment humilié, ainsi que son collègue, en le qualifiant de nazi, de skinhead, de membre du KKK et de suprémaciste blanc.

Anello dit aussi que Mariah « voulait être entourée de Noirs, pas de Blancs. »

Le projet de poursuite fait également état d’allégations de harcèlement sexuel, alléguant qu’elle a commis « des actes sexuels dans l’intention qu’ils soient vus par Anello ».

Source : http://fdesouche.com

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300 profs de français tarés refusent d'enseigner que le masculin l'emporte sur le féminin

8 Novembre 2017, 07:48am

Publié par Thomas Joly

Mettant en avant les problèmes d'égalité entre femmes et hommes que suscite cette règle, 314 enseignants ont décidé de ne plus l'enseigner. Et tant pis pour les élèves qui devront jongler entre la grammaire des uns et celle des autres.

Dans une tribune publiée sur le site Internet Slate.fr, 314 professeurs de français font savoir qu'ils renoncent à enseigner la règle grammaticale selon laquelle le masculin l'emporte sur le féminin. Pour se justifier, ils avancent que la règle est - relativement - récente, puisqu'elle date du XVIIe siècle et qu'elle pousse ceux qui l'utilisent à promouvoir un stéréotype selon lequel l'homme serait supérieur à la femme.

À la place, ces enseignants souhaitent privilégier l'accord “de proximité”, c'est-à-dire que les les adjectifs et participes passés avec le substantif le plus proche. Ce qui donnerait par exemple, comme le citent les auteurs de ce manifeste : “On peut aller sur le lac, en bateaux à vapeur ou petits-bateaux, et visiter les coteaux et montagnes voisines” (Dr Linarix, Guide pratique de la Savoie et Haute-Savoie médicale et pittoresque, 1896).

À l'heure où le langage SMS se généralise et où les fautes d'orthographe se font plus fréquentes, ce projet, qui n'a évidemment reçu l'assentiment de personne ni dans les rangs de l'Académie française ni au ministère de l'Education nationale, risque seulement d'embrouiller un peu plus les élèves. Que se passera-t-il quand ils changeront d'enseignant ? Devront-ils changer de règle chaque année ? Et le jour du baccalauréat, que se passe-t-il si un tenant de l'une des deux règles voit passer une copie qui utilise l'autre ? Autant de questions qui restent en suspens…

Source : http://valeursactuelles.com

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Harcèlement : elles sont devenues folles !

8 Novembre 2017, 07:23am

Publié par Thomas Joly

Invitée de la journaliste Léa Salamé dans son magazine « Stupéfiant ! », sur France 2, l’actrice Sara Forestier y est apparue le cheveu savamment gras et plat, le visage comme à la sortie du lit et vêtue d’un informe ensemble de jogging, genre Babygro pour adulte.

Un acte féministo-politique, à l’entendre, puisqu’au nom de la lutte contre le harcèlement sexuel et les clichés, elle a refusé d’être coiffée et maquillée pour cette émission.

Les clichés… pour une actrice. C’est à mourir de rire, ou de pleurer.

Sara Forestier a commencé sa carrière d’actrice à 13 ans. Elle en a aujourd’hui 31, et déjà trente-quatre films et téléfilms à son actif, plus un long et trois courts métrages comme réalisatrice. Bref, elle passe son temps devant puis derrière une caméra, ce qui ne lui a sans doute pas laissé beaucoup de temps pour autre chose (faire des études et essayer de penser, par exemple). Mais son statut d’actrice lui ouvre les plateaux et le crachoir qui va avec, car sa jolie frimousse est bien, quoi qu’elle en dise, son meilleur atout.

Sara Forestier n’en est pas à une contradiction près. Ainsi, elle s’insurge devant Léa Salamé contre « l’injonction à être sexy ». « Je me sentais heurtée quand on me demandait de prendre des poses… pourquoi je devrais être sexy sur les photos ? » demande-t-elle. Elle enchaîne : « C’est pareil, il y a une tradition avec les comédiennes qui font des photos nues dans Lui. Moi, je comprends pas. C’est comme le maquillage… Moi, j’adore le maquillage, j’adore la féminité… mais… »

Mais… en effet. Et comme les images sont parfois cruelles, on la voit alors à l’écran en train de minauder sur le tapis rouge, à Cannes, dans des poses outrageusement… sexy ?

« On a une responsabilité, dans le cinéma ou dans les médias […] on représente une image de la femme », dit-elle. Certes.

Et en se présentant aux téléspectateurs comme si elle sortait de son lit, elle représente aussi une image de la femme qui, celle-là, n’est pas particulièrement flatteuse. En outre, c’est à mon avis un manque de respect vis-à-vis du public, mais je crains que cette conception n’échappe à sa génération…

Pauvres petites actrices si malheureuses d’être désirées, c’est la bouillie dans leur tête.

Car c’est la même Sara Forestier qui, en 2009, sur le plateau d’« On n’est pas couché », venait appuyer les propos de Tariq Ramadan en affirmant son soutien au port du voile islamique – un signe de liberté, à l’entendre. Propos renouvelés dans une interview en 2011, dit sa fiche Wikipédia.

Enfin, la jeune femme est parfois adepte du coup de poing… contre ses partenaires ! C’est ainsi qu’en avril dernier, elle a été licenciée par la production du film Bonhomme « pour des motifs d’agression, menaces, injures et abandon du plateau ». Arrivée en retard sur le tournage où l’on n’attendait plus qu’elle, et alors que son partenaire Nicolas Duvauchelle lui en faisait la remarque, elle s’est alors jetée sur lui. « Ivre de rage, elle s’est mise à menacer Nicolas, à le traiter de tous les noms, notamment de “déchet du cinéma français”, avant de lui coller une violente gifle », rapportait alors le magazine Voici. Et la demoiselle de quitter le plateau sans plus d’explications.

Commentaires tartuffesques du milieu : « Elle a une vie amoureuse difficile. Si elle réagit comme ça, c’est qu’au fond elle est très fragile. » Pauvre chérie.

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.com

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Pour remporter un prix, parler des nazis serait donc la meilleure des garanties ?

8 Novembre 2017, 07:22am

Publié par Thomas Joly

Les prix Goncourt et Renaudot ont été respectivement décernés, lundi, à Éric Vuillard pour L’Ordre du jour, et Olivier Guez pour La Disparition de Josef Mengele. Passons sur le fait que cette « manne pour les maisons d’édition » – comme l’appellent Les Échos – a fait la part belle aux Éditions Actes Sud, fondées par le ministre de la Culture Françoise Nyssen : un début de polémique est né, s’apparentant à celle d’Agnès Buzyn avec ses onze vaccins… mais qui ne tient pas l’examen critique. Un auteur ne doit pas être puni parce qu’il a publié dans telle ou telle maison d’édition – encore que si toutes les maisons d’édition, petites et grandes, étaient à égalité sur la ligne de départ des sélections, cela se saurait, mais enfin… -, et il est indéniable qu’Actes Sud, par le passé, a su dénicher de vraies perles. Il n’est pas improbable, donc, qu’elle en soit encore capable.

La vraie question soulevée par l’ensemble de la presse est ailleurs : « Les nazis [sont-ils] les sujets préférés des prix littéraires ? » (Huffington Post).

Depuis vingt ans, a relevé le site, un quart des ouvrages primés par les quatre principaux prix littéraires (Goncourt, Goncourt des lycéens, Renaudot, Fémina) ont trait à la Deuxième Guerre mondiale. Et cette année, c’est belote et rebelote, fromage et dessert, Goncourt et Renaudot.

Certes, c’est dans ce contexte historique que Zweig, Mann, Vercors, Buzzati, Némirovsky, et d’autres encore, ont planté leur décor pour leurs plus beaux romans. Il n’y a pas de mauvais sujet, il n’y a que de mauvais écrivains. Mais quand la source d’inspiration ne se renouvelle pas, quand le thème devient aussi attendu dans un Goncourt que les roucoulements dans un Barbara Cartland, on a des raisons d’être inquiet pour la littérature française, comme un prof de lycée se soucierait de voir tous ses élèves, un jour de dissertation libre, s’engouffrer en rang d’oignons dans la même tarte à la crème.

Car le premier écueil est là : à trop rabâcher un sujet, il devient galvaudé, remâché, cuit et recuit dans la soupe comme un vieil os à moelle sans goût. Si l’idée est de banaliser le nazisme, pas de problème, les gars, faut continuer.

L’autre, évidemment, est de voir les candidats intérioriser l’idée : pour gagner, il faut dire que le nazisme, c’est méchant, comme Miss France trouve que le cancer, c’est mal. Enfoncer les portes ouvertes, ce n’est pas grave en soi, nous sommes d’accord, mais ce n’est pas forcément ce que l’on attend d’un chef-d’œuvre de la littérature.

Évoquant le docteur Mengele, personnage central de son bouquin primé par le Renaudot, Olivier Guez, écrivain et scénariste de 43 ans (plus tout à fait un ado, donc), parle d’un « sale type », d’un « personnage abject et médiocre ». Qui lui donnerait tort, en effet ? Mais même pour une rédaction de 3e, c’est un peu court, jeune homme.

La reductio ad hilterum – au sens propre – règne en maître sur Politiquementcorrectland. Elle est comme une housse sur le siège de la pensée, qui la fige dans le temps. Jusque dans la littérature où, par paresse autant que par opportunisme, on rapporte tout (c’est tellement reposant) à une magnitude sur l’échelle de Hitler.

Gageons que même le concours d’éloquence d’un modeste lycée de province aurait prévu, dans son barème, une case « originalité du sujet » et une autre « imagination ». Mais le Goncourt et le Renaudot sont tellement au-dessus de tout cela.

Gabrielle Cluzel

Source : http://bvoltaire.com

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Autriche : Les demandeurs d’asile coûtent plus cher que l’armée

8 Novembre 2017, 07:14am

Publié par Thomas Joly

Dans les négociations de coalition en cours, le FPÖ appelle à la réduction des services de base pour les demandeurs d’asile, écrit le journal autrichien Krone. Le parti veut « plus d’avantages en nature au lieu de prestations en espèces », de sorte à mettre fin à l’effet « d’aspiration […] de l’immigration économique ».

Selon le ministre des Finances autrichien, Hans Jörg Schelling, les coûts pour les réfugiés s’élèveront cette année à environ 1,8 milliard d’euros. Pour mettre les coûts en relation avec d’autres dépenses gouvernementales, Krone dresse la liste des dépenses de l’armée – qui s’élèverait à 1,9 milliard d’euros en 2017.

Pour illustrer ce que l’État dépense exactement son argent d’impôt dans la politique d’asile, le journal a renvoyé un exposé détaillé des taux publié mardi par « Addendum » (de), le projet médiatique du patron de Red Bull Dietrich Mateschitz.

Il y est dit que la plus grande partie des dépenses liées aux demandeurs d’asile le sont dans le « système universel ». Cet élément devrait coûter entre 0,98 et 1,3 milliard d’euros.

Le budget pour le revenu minimum se situe entre 434 et 449 millions d’euros et le poste pour la politique du marché du travail s’élève de 155 à 338 millions d’euros.

Les autres coûts comprennent l’intégration des demandeurs d’asile (133 millions d’euros), l’asile (entre 114 et 138 millions d’euros), l’éducation (entre 80 et 168 millions d’euros), les prestations familiales (73 millions d’euros) et l’assistance sur place (61 millions d’euros). « Addendum » estime dans son rapport que les dépenses d’asile pour 2017 seront compris entre 2,1 et 3,1 milliards d’euros.

« En fait, étant donné de nombreux projets de loi » conservateurs « on peut supposer qu’il ne s’agit que d’une prévision prudente des coûts réels encourus par la vague migratoire de ces dernières années en Autriche », explique « Addendum ».

Source : http://suavelos.eu

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