Un musulman, âgé de 26 ans, a été placé d’office à l’hôpital psychiatrique Edouard-Toulouse après avoir commis des actes de cruauté envers son chien, un staffordshire, rapporte La Provence.
L’individu a expliqué aux enquêteurs qu’il souhaitait purifier le logement de sa famille. Selon lui, l’Islam interdit la présence des chiens dans un foyer.
L’individu se serait rendu samedi dernier au domicile de la famille, qui réside dans la cité afro-musulmane de La Castellane, dans le 16e arrondissement de Marseille.
Sans explication, il l’aurait pris le chien, un staffordshire. Puis il l’aurait pendu, égorgé et finalement brûlé. Le corps de la bête a été retrouvé dans un terrain vague.
Alors que le Front national et sa présidente Marine Le Pen évoquaient depuis des semaines le Congrès de Lille qui s'est tenu ces 10 et 11 mars, ainsi que le changement de nom du parti, la nouvelle appellation qui a été choisie... n'est pas disponible.
En effet, immédiatement après la proposition de la candidate vaincue de la dernière présidentielle de rebaptiser le FN en "Rassemblement national", il est apparu que le nom avait déjà été déposé auprès de l'Institut national de la propriété intellectuelle. Et via un communiqué diffusé sur Twitter ce dimanche, le propriétaire du nom a expliqué qu'il ne comptait absolument pas le céder au Front national.
Il s'agit d'Igor Kurek, un gaulliste et ancien proche de Charles Pasqua, désormais à la tête d'un mouvement souverainiste, le "Rassemblement pour la France", mais aussi donc d'un "Rassemblement national". Et comme l'explique très clairement le communiqué publié par le compte Twitter aux 300 abonnés du "RN" (dont Marine Le Pen), le Front ne pourra pas utiliser son nouveau nom.
Comme le relate L'Opinion, ce Rassemblement national d'Igor Kurek est une association loi de 1901, enregistrée dans les règles à la préfecture de Paris et qui a donc déjà présenté des candidats à des élections. Le journal précise aussi que le nom et son logo ont été déposés au nom de Kurek en 2013... principalement pour nuire à Florian Philippot, alors numéro 2 du FN.
Et le RN ne se prive d'ailleurs pas d'ironiser sur cette situation ubuesque: "Le rassemblement national de l'amateurisme de la première opposante auto-proclamée", débute effectivement le texte. Pas sûr que le FN apprécie l'ironie de la situation.
Suite à l'annonce par Marine Le Pen du nouveau nom qu'elle a choisi pour son parti, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, a réagi sur Twitter.
Choisir comme nouveau nom « Rassemblement National » alors que Marine Le Pen n'a fait que diviser son camp et épurer son parti depuis des années relève du foutage de gueule
Carl Lang, Président du Parti de la France, a réagi sur Twitter à ce qu'il est ressorti du Congrès du Front National (bientôt Rassemblement National).
Éliminer Jean-Marie Le Pen et enterrer une fois pour toute le Front National: La gauche, la classe politique du système et la caste médiatique en rêvaient depuis 40 ans. C'est Marine Le Pen qui le fait. Ils ne pouvaient rêver mieux...
Quatre-vingts policiers se mêlent chaque jour aux voyageurs et parcourent les lignes du métro parisien dans le but d’appréhender ces hommes qui profitent de la forte affluence pour agresser sexuellement des passagères.
Sur le quai, on peut déjà détecter les agresseurs potentiels : « Ils se positionnent en retrait, dos au mur, pour mieux repérer leur victime », décrypte Maxime, l’un des policiers. « Ils peuvent laisser passer deux ou trois rames, pour soudain rentrer, ressortir, monter dans le wagon suivant… puis faire demi-tour et prendre le métro en sens inverse. Ces hommes vont rester debout, là où il y a le plus de monde, le regard dirigé vers le bas. On passe la journée à observer les gens, leur regard, les mains, le tour de la ceinture, à surveiller les comportements incohérents. Dès qu’on en trouve un bizarre, on va le filocher (le suivre, NDLR) . Avant, ces prédateurs ne se doutaient pas que des policiers pouvaient être sur eux ; aujourd’hui, ils savent. » Leurs profils ? « Tous âges – 12 à 86 ans -, tous milieux socioprofessionnels, toutes nationalités. » Costumes cravates comme joggings, mais « souvent les poches décousues, pour se caresser ». Ils sont concentrés sur le nord du réseau RATP, les lignes 2, 4 et 13. « Elles traversent les secteurs les plus criminogènes de Paris et sont empruntées par pas mal de touristes », commente Fabien, coéquipier de Maxime. « Même s’il y a eu des Européens et aussi un Chinois, depuis plus de dix ans que je fais ce métier, les auteurs que j’ai interpellés sont pour une très très grosse majorité d’origine maghrébine. » Quant aux victimes, ce sont des ados comme des retraitées. Et des hommes aussi, de plus en plus.
Affluence record samedi après-midi à la Librairie française (5 rue Auguste Batholdi dans le XVe) où Jean-Marie Le Pen dédicaçait son livre. Une file impressionnante de Parisiens venus acheter les Mémoires du Président d'honneur du FN... Une ambiance bon enfant qui tranchait avec la morosité régnante, dit-on, au congrès de Lille...
Rendons un hommage tout particulier au Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY, héros et martyr de la Patrie, fusillé il y a aujourd’hui 55 années, le 11 Mars 1963.
Jean-Marie BASTIEN-THIRY était Lorrain, Polytechnicien, Lieutenant-colonel dans l’Armée de l’air et l’inventeur de deux missiles antichars, les SS-10 et SS-11. Il avait 36 ans et laissait une veuve et trois petites orphelines.
Organisateur de l’opération du Petit-Clamart, le Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY aura tout sacrifié, sa famille et sa vie, pour l'honneur de la France. Il nous a laissé, en versant son sang, un message, un exemple à méditer, à admirer et à suivre.
Alors que les tireurs du Petit-Clamart seront graciés par De Gaulle, celui-ci refusera d’accorder sa grâce au Colonel BASTIEN-THIRY.
Jean-Marie BASTIEN-THIRY est l’exemple parfait du dévouement, du courage, de l’abnégation, du don de soi et du sacrifice de sa vie envers la Patrie. Il est l’honneur de l’Armée Française.
Homme de Foi, grand Catholique, il mourra comme un saint, marchant vers le peloton d’exécution son chapelet à la main, après avoir entendu la Messe. Refusant d’avoir les yeux bandés, il regardera la mort droit dans les yeux avant de pouvoir contempler ensuite la Vie Eternelle. Il sera le dernier condamné à mort à avoir été fusillé en France.
Assassiné sur ordre de celui qui aura trahi l’Algérie Française et livré des dizaines de milliers de Harkis et Pieds-noirs aux tortures les plus innommables des bouchers fellouzes du FLN, le Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY demeure un Français modèle, un héroïque soldat dont le nom restera pour toujours inscrit sur le Martyrologe de notre pays.
Que Jean-Marie BASTIEN-THIRY repose en paix, aux côtés de tous les Morts pour la France, dans le Paradis des Héros, des Martyrs et des Soldats.
Ce n'est pas une nouveauté, mais en ces temps où beaucoup de nationaux ou de patriotes n'osent remettre en cause ces lois castrant les Français, il est utile de rappeler la position sans concession du Président du Parti de la France sur ce sujet.
Alors qu'il tournait un reportage en Italie, le patriote anglais Tommy Robinson s'est fait agressé par un clandestin africain surexcité qui menaçait de le tuer. D'une droite dévastatrice il a calmé les ardeurs meurtrière de l'individu.
Un bel exemple de résistance virile face à l'arrogance et la haine des envahisseurs afro-musulmans.
Sur cette vidéo de 10 minutes, tournée le 8 mars, quelques heures après que ma voiture ait été brûlée dans la nuit (la seule sur cinquante véhicules stationnés dans la rue), j’ai décidé de rendre public, et de dévoiler un ensemble de faits troublants qui me sont arrivés depuis près de trois ans… date à laquelle Cazeneuve a donné l’ordre au Parquet de diligenter une enquête sur le fonctionnement de Riposte Laïque.
Je ne suis pas paranoïaque, ni complotiste, pour reprendre le mot à la mode. Sans doute quelques événements survenus n’ont-ils rien à voir avec mes activités. Mais l’accumulation de ce que je révèle est tout de même très troublante.
J’évoque la pression de nombreux amis, qui nous supplient, devant les risques qui s’aggravent, de quitter la France, et je précise où nous en sommes de notre réflexion, sur cette question.
J’explique enfin, à la fin de cette vidéo, le contexte liberticide dans lequel nous évoluons, avec une grosse offensive de ce régime contre les sites de la réinformation, avec l’alibi fallacieux de lutter contre la haine.
Véritable imposture de ce pouvoir et des antiracistes qui le somment d’aller plus loin, puisque la haine, dans ce pays, est véhiculée par un livre, Le coran, et une religion, l’islam, qui demandent juste à leurs fidèles d’islamiser le pays et de tuer tous les infidèles, dans ses textes sacrés.
Je remercie encore, pour finir, tous les donateurs de Riposte Laïque, qui nous ont permis de voir l’avenir de manière moins sombre, et de nous donner les moyens de poursuivre le combat.
Vous verrez, dans les prochains jours, que ce ne sont pas des paroles en l’air.
Quatre personnes ont été poignardées dans la soirée du 7 mars à Vienne. Les victimes se trouvent dans un état grave. On ignore encore les motivations de l’assaillant. Un suspect afghan a été interpellé par les forces de l’ordre dans la nuit.
Quatre personnes ont été blessées le 7 mars vers 19h45 lors d’une attaque au couteau à Vienne, en Autriche, selon la police locale. L’assaillant a pris la fuite immédiatement après avoir poignardé ses victimes. Un suspect afghan de 23 ans a été interpellé dans la nuit.
Selon la police, citée par le quotidien autrichien Kurier, trois victimes seraient membres d’une même famille – un couple autrichien de 67 et 56 ans et leur fille de 17 ans, dont le pronostic vital est engagé, selon un porte-parole de la police viennoise.
Une seconde attaque au couteau a eu lieu à quelques mètres de là, sans que l’on sache si elle avait un lien avec la première. Le quatrième blessé est un ressortissant tchétchène de 20 ans.
Alors que le président du CRIF a annoncé la création d’un « Observatoire de la haine sur le Net », le chef de l’État a affirmé vouloir conduire dans les mois qui viennent, au niveau européen, « un combat permettant de légiférer » pour contraindre les opérateurs à retirer dans les meilleurs délais « les contenus haineux du Web ». En France, une mission sera confiée à Gil Taïeb, vice-président du CRIF, et à l’écrivain franco-algérien Karim Amellal, sur la lutte contre le racisme et l’antisémitisme sur Internet. « Aucune piste ne sera écartée, y compris la possibilité de légiférer », a affirmé M. Macron.
Sous le titre Haine sur Internet : le plaidoyer d’associations pour muscler la loi française, sous-titré Cinq associations antiracistes interpellent le gouvernement pour modifier la loi punissant les contenus illégaux sur Internet, le site du quotidien Le Monde publie un article de Martin Untersinger qui a eu droit de la part de ses petits copains de consulter 14 propositions de modifications législatives pour que la France s’enfonce encore un peu plus dans le flicage de la pensée.
Elles émanent d’associations pour qui les lois liberticides (Pleven, Gayssot, Taubira) ne permettent pas d’emmener assez de monde devant les deux tribunaux du régime (la 17e Chambre et les médias). Pour elles, il y a encore trop de Français qui pensent mal, qui écrivent mal, qui publient mal, qui analysent mal.
La France déjà championne du monde de la censure sur Internet, la France qui occupe une peu glorieuse 39e place en matière de liberté de la presse et est une “démocratie imparfaite” dans le classement “Indice de démocratie” de The Ecomist Group derrière le Botswana, le Cap vert ou l’Uruguay, peut mieux faire dans le bâillonnement, l’étouffement, l’aveuglement, l’assourdissement.
Ces associations sont les habituelles associations soutenant l’universalisme totalitaire, le vivre-ensemble obligatoire: SOS Racisme, la Licra, l’UEJF (Union des Etudiants Juifs de France), – association juive pro-palestienne –, autrement dit une poule militant pour la protection des renards. Pour elles, le cadre législatif actuel « n’est plus adapté pour lutter efficacement contre les contenus à caractère raciste, antisémite, négationniste et discriminatoire ».
« Il y a un besoin de muscler le dispositif pour faire face à l’impact que peuvent avoir les contenus haineux » dit Sacha Ghozlan, le président de l’UEJF.
Muscler la loi ou museler la parole ?
Les fils de putes idéologiques de ceux qui en 1968 criaient qu’il était interdit d’interdire détestent la parole libre, la pensée libre, l’analyse libre. Ce sont des censeurs qui ne dépareilleraient pas en Chine.
Ces associations voudraient que la loi oblige les hébergeurs de sites à recueillir davantage « d’éléments d’identification » de leurs utilisateurs à la création de leurs comptes (adresses courriel, noms, téléphone) afin qu’il n’y ait plus d’anonymat et qu’ainsi des poursuites soient très vite engagées.
Elles souhaitent également, si les éléments permettant d’identifier leur auteur sont insuffisants, qu’un juge ferme les profils Facebook et les comptes YouTube dès qu’il y a – sans doute selon leurs propres critères – un contenu illégal.
Elles veulent aussi qu’un simple courriel suffise à signaler un contenu illégal et non plus comme aujourd’hui, une lettre recommandée.
Elles réclament un dispositif obligatoire d’accès aisé à tous les internautes sur les plateformes pour qu’ils signalent les contenus diffamatoires, injurieux et négationnistes.
Elles ont l’oreille de Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’Etat chargé du numérique au sein du régime Macron-Philippe. Pour lui, la loi française « ne fonctionne pas bien sur les paroles de haine ».
Evidemment la Commission européenne est sur la même longueur d’onde. Depuis des mois, elle enjoint les grands réseaux sociaux de faire la chasse aux contenus illégaux (comprendre les contenus critiques envers l’immigration, l’islam…)
Le racisme anti-blanc ne sera pas concerné… puisqu’il n’existe pas.
Ces associations sont des milices qui affichent ouvertement leur amour de la dictature, de l’information passées sous silence.
A ce rythme-là, elles ne vont pas tarder à demander le nettoyage de nos bibliothèques: Houellebecq, Zemmour, Rioufol, Raspail, Sansal…
A propos, combien de morts à mettre à l’actif de ceux qui écrivent sur les réseaux sociaux ?
Et combien de morts de la part de Momo et des siens à Paris, Londres, Nice, Madrid, Bruxelles, Stockholm, Manchester, Barcelone… ?
Je propose à Sopo (SOS Racisme), à Ghozlan (UEJF), à Stasi (le bien nommé patron de la Licra) qu’ils méditent ces paroles du Général de Gaulle rapportées par son fils dans De Gaulle mon père (Plon 2003) : « Si une communauté n’est pas acceptée, c’est parce qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quant elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous pour imposer ses mœurs ».
Le ministre de la Culture a annoncé un plan pour l’éducation aux médias, en trois volets : « Une amplification sans précédent de l’action des associations et de l’engagement des journalistes qui font cette sensibilisation dans les écoles ; ce même déploiement au sein des bibliothèques-médiathèques et la création d’une plateforme commune des sociétés de l’audiovisuel public pour le décryptage de l’information et l’éducation aux médias. » Quel programme ambitieux, n’est-ce pas ? Presque indigeste dans sa formulation.
Il faut dire qu’avec toutes les fake news qui circulent, avec ces adolescents qui répètent à l’envi que « c’est vrai », puisque « c’est écrit sur Internet », il faut bien faire quelque chose ! Alors, on va les éduquer aux médias. Notre ministre cite, notamment, parmi les partenaires de cette action, l’association Entre les lignes, rassemblant des journalistes de l’Agence France-Presse et du Monde, qui anime des ateliers auprès de jeunes collégiens et lycéens. Leur objectif ? « Susciter l’esprit critique des générations futures, exercer leur œil et les sensibiliser aux sources et aux fausses informations. »
Le ministre de la Culture leur adresse ainsi un certificat de respectabilité. Ils le méritent sans doute parfois, mais pas plus que les autres. Comme dans toute la presse, leurs écrits traduisent leur manière de voir, leur sensibilité politique, et même leurs préjugés. Se présenter comme un modèle est quelque peu prétentieux. Le seul critère qui permette de mesurer la valeur d’un journal, c’est son degré d’honnêteté intellectuelle. Ce n’est pas si courant.
Les professeurs n’ont pas attendu cette initiative pour chercher à développer l’esprit critique de leurs élèves. C’était la grande mode, autrefois, de confronter le traitement d’une même information dans plusieurs journaux. Très instructif ! Nul besoin de « fausses nouvelles » pour comprendre qu’en partant de la même matière, on peut dire tout et son contraire. Selon ce qu’on retient, omet, souligne, l’information prend une autre signification.
Rien de nouveau, donc, sous le soleil. Sinon qu’on ouvre le ban, qu’on se donne de l’importance, qu’on se prend au sérieux : on s’organise, on met en garde, on veut donner des leçons. D’où tire-t-on sa légitimité ? À supposer qu’il soit utile d’analyser avec les élèves le processus de rédaction ou de pratiquer des espèces de travaux pratiques journalistiques, encore faudrait-il avoir recours à un éventail représentatif de journaux. Mais on peut craindre que la sélection ne soit dure, les choix manichéens : ceux qui ne se conforment pas à la pensée unique seront immédiatement signalés comme suspects ou dangereux.
Il ne suffit pas de mises en garde pour développer le jugement critique. Surtout quand elles sont à sens unique. Sinon, on formera des esprits plus prompts à réagir par réflexes conditionnés qu’à réfléchir par eux-mêmes. Le chien de Pavlov, quelle perspective enthousiasmante ! Pour ne pas se laisser piper par de fausses apparences, ne pas être abusé par des propos trompeurs, pour approcher la vérité, il faut avoir l’esprit curieux, puiser à diverses sources, refuser le prêt-à-porter intellectuel.
Rien n’est plus contraire à la liberté de l’esprit que la soumission à la pensée unique.