Donald Trump a précisé lundi les mesures qu'il envisage pour lutter contre l'épidémie d'overdoses aux opiacés aux États-Unis, y compris l'exécution des trafiquants de drogue, une proposition pourtant critiquée par les pseudo-experts mais vrais gauchistes.
Lors d'un déplacement à Manchester, dans le New Hampshire, l'un des États les plus ravagés par la consommation de drogue, le président américain a déclaré que les États-Unis devaient se montrer "durs" dans cette lutte contre les opiacés.
"Et cette dureté implique la peine de mort", a-t-il dit, sans préciser quel degré d'infraction à la législation sur les stupéfiants méritait à ses yeux la peine capitale.
Nicolas Sarkozy est actuellement entendu dans les locaux de la police judiciaire, à Nanterre.
Selon une source judiciaire qui s’est confiée au journal Le Monde, l’ancien chef de l’État a été placé en garde à vue ce mardi matin pour être entendu sur le présumé financement libyen de sa campagne en 2007.
C’est la première fois que Nicolas Sarkozy est entendu dans le cadre de cette enquête qui a démarré en 2013. La garde à vue de l’ancien président de la République peut durer jusqu’à 48 heures. Un de ses très proches, Brice Hortefeux, qui fut ministre de l’Intérieur durant son quinquennat, est pour sa part entendu en audition libre.
L’affaire démarre en 2012
L’affaire a démarré après la publication en 2012 d’un document de Mediapart évoquant un financement de la campagne victorieuse de Nicolas Sarkozy en 2007 du colonel Khadafi.
Depuis, plusieurs témoignages sont venus confirmer cette thèse. Le Monde rappelle que Ziad Takieddine est le premier à avoir parlé. L’homme d’affaires a raconté avoir rapporté de Libye quelque cinq millions d’euros en liquide qu’il aurait remis à Claude Guéant et Nicolas Sarkozy entre 2006 et 2007, alors qu’il était ministre de l’Intérieur.
Une version des faits fournie également par Abdallah Senoussi, l’ancien directeur du renseignement militaire du régime libyen devant le procureur général du Conseil national de transition libyen.
Nicolas Sarkozy nie les faits
Les enquêteurs ont aussi avancé sur la piste Alexandre Djouhri, soupçonné d’être l’intermédiaire entre Nicolas Sarkozy et Bechir Saleh, l’argentier du colonel Kadhafi. Djouhri est actuellement incarcéré à Londres dans l’attente de son éventuelle remise en France.
L’enquête porte sur des chefs de corruption active et passive, trafic d’influence, faux et usage de faux, abus de biens sociaux et blanchiment, complicité et recel de ces infractions.
Le Président du Parti de la France invite les membres du gouvernement à montrer l'exemple pour l'accueil des clandestins.
J'attends avec impatience que les membres du gouvernement accueillent des migrants chez eux. Ce serait bien la moindre des choses qu'ils montrent l'exemple au bon peuple...
Elle ne fonctionnera pas avant 2024, mais la future ligne 16 du métro commence déjà à tourner… sur les réseaux sociaux. Ce week-end, un internaute a posté sur Twitter une carte, à la manière des lignes RATP affichée dans les métros, de cette future ligne du réseau Grand Paris Express, qui doit relier Saint-Denis-Pleyel à Noisy-Champs en traversant la Seine-Saint-Denis.
Il n’en fallait pas plus pour que la ligne 16, dont les travaux préparatoires ont à peine commencé, stimule l’imagination des Twittos. Avec un angle d’attaque favori : cette future ligne de banlieue, traversant des villes colonisées ayant chacune des quartiers africanisés aux réputations sulfureuses, deviendrait à coup sûr une ligne dangereuse.
« Future ligne de l’enfer », « Un escape game », « un parcours de survie », « Faudra valider son Navigo ET une attestation d’assurance pour monter dans une rame de la ligne 16 »… Les Twittos ont rivalisé d’imagination pour décrire « la cousine de la ligne 13 ». A force de comparaison parfois guerrière avec des mangas, jeux vidéo ou films d’action, ils imaginent des contrôleurs surarmés ou formés aux arts martiaux.
Ce buzz parfois drôle mais plutôt négatif sur les quartiers envahis traversés a au moins permis de faire connaître le projet, en le rendant concret pour ceux qui ne le connaissaient pas encore. Le Grand Paris Express en a ainsi profité pour mettre en avant, sur les réseaux sociaux, les avantages de la future ligne : des temps de trajets divisés par trois… « et vous pourrez même tweeter dans le métro » !
La scène s’est déroulée ce dimanche, vers 15 heures. Des dizaines d'Africains clandestins, menés par des agitateurs d'extrême-gauche, ont investi la Basilique de Saint-Denis en soutien aux migrants et sans-papiers. Le collectif Coordination des sans-papiers a déployé une banderole pour dénoncer le projet de loi « Asile - Immigration ».
Les forces de l’ordre ont été réquisitionnées pour évacuer les manifestants. Afin d’éviter tout débordement, la police a lâchement jugé préférable de fermer l’édifice à 17h30. La messe a été annulée.
Face à cette profanation, le Parti de la France ne restera pas sans réaction.
Le chef nigérian d’un restaurant propose à ses clients blancs de payer plus cher que ceux de couleur afin d’« évoquer les écarts de salaires », d’après BFM.
Au Saartj, un restaurant de La Nouvelle-Orléans, la plus grande ville de l’État de Louisiane, on propose à la clientèle blanche de payer son repas 2,5 fois plus cher que celui de sa clientèle de couleur.
Tunde We, à la tête de ce restaurant nigérian, s’est dit inspiré par le mouvement raciste Black Lives Matter. Le nom de son établissement fait référence à Saartjie Baartman, surnommée la « Vénus hottentote », une femme noire née en Afrique du Sud au 18e siècle réduite en esclavage et devenue une attraction foraine en France à cause de son étrange morphologie.
Tunde We assure que 78 % de ses clients blancs ont accepté de payer leur repas 30 dollars (24 euros) au lieu des 12 dollars (10 euros). Mais selon lui, c’est la pression sociale et la culpabilité qui les a poussés à accepter, rapporte BFM.
Imaginons un instant le degré d'hystérie et de haine des Afro-Américains, ainsi que des médias, si un restaurateur blanc s'aventurait à faire de même.
Alors que notre pays est dans une situation économique, fiscale, identitaire, démographique, sécuritaire, culturelle et sociale catastrophique, le premier ministre Édouard Philippe n'a rien trouvé de mieux à annoncer que sa volonté de réduire au silence ses opposants sur internet.
En qualifiant de « racistes » ceux qui ne partagent pas l'opinion du gouvernement sur les questions migratoires, Édouard Philippe veut tout simplement rendre illégale toute proposition de programme qui ne serait pas de gauche.
Comme justificatif de point de départ de la réflexion du gouvernement, les journalistes évoquent « un contexte de flambée des actes antisémites et anti-musulmans après les attentats de 2015.
On croit rêver ! Le problème n'est donc pas le terrorisme, mais les réactions au terrorisme ! C'est tout simplement hallucinant de bêtise.
Une fois de plus, le gouvernement, complaisamment relayé par une presse aussi servile que communiste, utilise des menaces imaginaires pour faire passer de vraies lois régressives en matière de droits de l'homme de droite.
Contre cette clique de crypto-communistes qui nous fabriquent le meilleur des mondes antifascistes, rejoignez la seule authentique résistance au politiquement correct, rejoignez le Parti de la France !
Samedi 17 mars, le restaurant qui accueillait une cinquantaine de nationalistes affichait complet pour ce repas au cours duquel Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, et Boris Le Lay, en exil politique à l'étranger, sont intervenus.
Après un mot d'accueil de David Martin, Thomas Joly a rappelé la justesse et la nécessité vitale du combat politique mené par le Parti de la France. Puis à l'issue du déjeuner, Boris Le Lay, avec le talent qu'on lui connaît, s'est adressé à l'assistance par vidéo interposée.
C'est dans un esprit de résistance et de reconquête que les convives se sont quittés, chargés pour certains de matériel de propagande du PdF.
40 ans après l'assassinat de François Duprat, Carl Lang réclame la levée du secret d'État sur les circonstances de sa mort.
Le 18 mars 1978 François Duprat, membre du bureau politique du FN et candidat à la députation en Seine maritime était assassiné, victime d'un attentat à la bombe. Nous voulons savoir qui a tué François Duprat et il est temps, après 40 ans, que le secret d'Etat soit enfin levé.
Chronique d’agressions attendues. Chronique d’une mort attendue ?
Paul Golding vient juste d’être écroué, et déjà il est la cible d’une attaque dans le quartier de haute sécurité de la prison d’Elmley. Il s’est défendu et a réussi à s’en sortir… Pour cette fois. Les deux agresseurs ont été inculpés, mais cela ne dissuadera pas les autres de s’en prendre à nouveau au responsable de Britain First.
Le vrai scandale est qu’un Paul Golding puisse se retrouver en prison pour plusieurs mois pour avoir juste dénoncé la pédophilie et le viol de petites filles par des musulmans… Et que sa vie soit en danger !
Le personnel de la prison aurait fait une demande pour qu’il soit changé de prison. Qu’est-ce que ça changera ? Il y a des musulmans partout… dans toutes les prisons d’Europe.
Comment peut-on laisser un Paul Golding exposé aux risques d’assassinat qu’il encourt ?
Même nous qui ne sommes que des citoyens lambda alertons depuis des lustres sur les risques courus par les anti-islam en prison eu égard à la forte densité musulmane dans les geôles européennes. Et les prisons anglaises sont terribles.
Sur Twitter, Carl Lang décrypte le dessein de cette république qui organise la disparition du peuple français et de notre civilisation toute entière.
Cette république n'organise pas uniquement la colonisation étrangère de la France : Elle met aussi en oeuvre le grand déracinement culturel et spirituel du peuple français.
L’affaire Linky est exemplaire des blocages dans lesquels la société française s’englue ; elle démontre à quel point d’irrationalité est parvenu le simulacre de débat abrité et arbitré par les réseaux sociaux. Quatre types de critiques sont adressés à cet appareil qui, rappelons-le, n’est rien d’autre qu’un dispositif destiné à la facturation d’une énergie consommée.
Il est dangereux pour la santé. C’est de loin le plus stupide argument. Comme toutes les machines utilisant un courant électrique, quel qu’il soit, ce compteur induit des champs électriques et magnétiques : votre téléphone en produit, pas mal, votre plaque à induction encore plus, et l’ancien compteur également. Les centaines d’appareils qui sont dans notre entourage créent un brouillard électro-magnétique constant, avec des intensités variables, au sein duquel Linky est quasiment invisible. Faut-il supprimer les ordinateurs, les ascenseurs, les automobiles, l’éclairage public, la radio, etc. ?
Au sein de l’ignorance soupçonneuse, trois lettres mystérieuses ont fait leur chemin : CPL, pour courant porteur en ligne, sigle affublé de tous les dangers. De quoi s’agit-il ? Tout simplement d’utiliser les câbles de transport d’énergie électrique pour véhiculer des informations électroniquement codées. Un peu comme si l’on se passait d’un câble d’imprimante pour la relier à un ordinateur. Mais, me direz-vous, on le fait déjà en Wi-Fi, par exemple. Eh oui, et cela produit des émissions supérieures à celles du CPL !
La technologie CPL n’a rien de nouveau : les babiphones, nombre de récepteurs ADSL et les compteurs les plus récents l’utilisent. Dans tous les cas, le rayonnement décroît fortement avec l’éloignement ; à un mètre, il est imperceptible. Linky utilise le CPL, quelques dizaines de secondes par jour, avec des intensités et des fréquences plus faibles que nombre d’autres appareils domestiques, et de toute façon négligeables au sein de l’environnement actuel.
Il est cher et payé par le consommateur. Cher, non ; coûteux, sans doute. Fallait-il que l’État prenne en charge la dépense, fallait-il le faire payer par l’entreprise, déjà fortement endettée ? Peut être, mais EDF, dont Enedis est la filiale à 100 %, est toujours sous le contrôle de l’État, donc faire payer l’entreprise, c’est faire payer l’État, c’est-à-dire nous. Or, chacun de nous a un compteur électrique, donc, de toute façon, c’est nous qui payons !
Il ne sert à rien. Si : à compter. C’est même pour cela qu’il existe. Il est, du reste, plus fiable que les anciens et plus sourcilleux sur les dépassements de capacité. En gros, votre consommation facturée sera plus exacte qu’auparavant.
Indiscutablement, Linky va servir à Enedis à avoir une vue technique d’ensemble du réseau basse tension sur lequel, actuellement, aucun capteur n’est présent. Observation, aussi, des consommations immédiates, ce qui est un enjeu écologique car cela permet de mieux utiliser les sources de production les moins polluantes.
Linky peut aussi renseigner le client sur la répartition de sa consommation journalière, et même mettre sous tension tel ou tel réseau, permettant le déclenchement au moment opportun d’appareils fortement consommateurs. Plus tard, cela fera l’objet d’offres commerciales tendant à lisser les pics de consommation qui sont coûteux en production. On peut imaginer qu’en cas de surproduction – éolienne, par exemple -, Linky sera capable de distribuer au meilleur coût le surplus.
Il nous espionne. Bien moins que nos banquiers ! C’est le seul argument qui mérite attention. Aujourd’hui, Linky se contente d’enregistrer votre consommation par plages de dix minutes, et de transmettre le résultat journalier durant la nuit. Ses capacités pourraient être augmentées pour détecter plus finement les moments et sources de consommation. Est-ce grave ? Est-ce une violation de l’intimité ? Si oui, il faut maintenir l’interdit, mais alors aussi contraindre les banques à ne pas révéler à leurs opérateurs le bénéficiaire de vos paiements, et même ne plus faire apparaître le moment exact d’une transaction…
Et puis, n’y a-t-il pas, en France, non pas un Big Brother mais de multiples grands frères infiniment plus redoutables ?
La vie a ses ironies qui jamais ne cessent de nous réjouir. Naguère, nos amis de gauche manifestaient pour faire « libérer leurs camarades emprisonnés » ; cause plus ou moins juste, mais ni moins ni plus que celle de leurs homologues de droite. Aujourd’hui, cette même gauche – à moins qu’il ne s’agisse de sa descendance, adultérine autant qu’ingrate -, défile dans la rue pour mettre les trublions en prison ou au chômage. Démonstration par Bertrand Cantat.
L’affaire remonte à 2003. À la suite d’une querelle conjugale, Marie Trintignant tombe sous les coups de son compagnon du moment, le chanteur de Noir Désir. Lequel écope de huit ans de prison au tribunal de Vilnius, en Lituanie. Il en purge quatre, bénéficiant d’une remise de peine pour bonne conduite, à l’instar du premier justiciable venu. En bonne logique, les compteurs auraient vocation à être mis à zéro. Un peu comme lors d’une confession, lorsque les péchés avoués et pardonnés ne doivent plus être remis sur la table par celui qui tient de Dieu son étrange pouvoir d’absolution. La justice d’ici-bas s’est finalement toujours inspirée de celle de tout là-haut, et ce n’est pas plus mal ainsi.
La première à ne pas l’entendre de cette oreille est Nadine Trintignant, mère de la défunte : « Comment ose-t-il ? Je trouve honteux, indécent, dégueulasse qu’il aille sur scène. » Des sentiments aussi légitimes que compréhensibles. Mais est-ce une raison pour que d’autres, n’ayant vécu ce drame que de loin, viennent ensuite empêcher le même Bertrand Cantat de continuer à exercer son métier, sachant que ce qui vaut pour les facteurs vaut aussi pour les chanteurs ?
C’est pour lui d’autant plus crucial que, ses trois compères de Noir Désir l’ayant abandonné, il lui faut désormais entamer une carrière en solo, laquelle commence déjà à prendre du plomb dans l’aile avant même d’avoir véritablement commencé. Il s’en explique en ces termes : « Je comprends qu’être programmé dans le cadre de festivals cet été puisse poser problème, d’où ma décision de me retirer de ceux-ci. De cette manière, ces derniers n’auront plus à subir des pressions de toutes natures. »
Les « pressions » en question persistent néanmoins, Bertrand Cantat ayant dû annuler un concert à Istres, alors qu’il peinait à assurer celui de Grenoble, le 13 mars dernier. Ce, pour cause de troubles à cet ordre public que notre troubadour dénonçait dans une autre vie, puisque tenu pour « ordre » quasiment « fasciste » ; soit rien de bien nouveau, même pour « l’ordre » en question.
Ironie, écrivions-nous plus haut. C’est vrai qu’il n’y a pas si longtemps, le prédicateur de Noirdez – tel qu’on disait naguère, sorte de mot de passe entre groupies transies – en appelait à une sorte d’insurrection générale. Pas la lutte armée, bien sûr, Universal, la multinationale du disque qui l’employait alors, n’aurait pas goûté ce vocable par trop viril ; mais au moins un petit bout de révolte adolescente, façon Téléphone et sa « Bombe humaine », une décennie plus tôt. Seulement voilà, cette même « lutte » se retourne aujourd’hui contre lui.
Bertrand Cantat, toujours, sur Facebook : « Nous sommes à Grenoble où j’ai voulu entamer une discussion avec quelques personnes qui manifestaient leur hostilité devant la salle. À peine apparu, un déchaînement de violence, d’insultes, une pluie de coups, aucune possibilité de discuter, de la violence, seulement de la violence. »
Un peu comme celle des antifas contre ce Front national qui, lui aussi, a toujours eu un peu de mal à assurer ses meetings en tournée ? Nous n’en sommes pas loin.
Pour que l’ironie plus haut évoquée soit complète, il ne manquerait plus que Bertrand Cantat, déjà en butte aux menées hystériques d’une meute progressiste dont il fut naguère le héraut, lâche ce cri du cœur : « Que fait la police ? »
Là, ce serait fromage et dessert, apéro et vin à volonté. Encore un effort, camarade Bertrand, pour que la rigolade soit au zénith, à défaut de cet Olympia prévu pour ce joli mois de mai prochain, en pleine commémoration de cette autre blague que fut le millésime 1968.
Jean-Marie Le Pen a abordé le problème de l'immigration comme jamais sa fille ne l'aurait fait, par souci de dédiabolisation. Il a dit la vérité et ce que les Français attendent, Darmanin n'a fait que répondre à côté et tenté, de manière grotesque, de faire dans le pathos en brandissant une photo de son grand-père harki.
L'invité surprise de Gérald Darmanin sera donc Jean-Marie Le Pen. C'est l'ancien président du Front national qui a été choisi par la production pour affronter le ministre de l'Action et des Comptes publics lors l'Emission politique sur France 2. En octobre, lorsque Marine Le Pen était l'invitée de l'émission, c'était à l'inverse Gérald Darmanin qui était l'adversaire de la présidente du Front national lors du débat. C'est la première fois que le ministre, visé récemment par deux plaintes, sera l'invité principal de cette émission diffusée en première partie de soirée.
Lors de l'émission, Gérald Darmanin devra également débattre avec l'ancien candidat à la présidentielle du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) Olivier Besancenot. Il est également allé tourner une séquence dans un bal du 13e arrondissement de Paris avec des retraités.