Le monument aux Girondins, à Bordeaux, a été recouvert mardi 27 juin de slogans islamistes par un sympathisant de l’État Islamique.
Âgé de 34 ans, l’auteur – un converti à l’islam – hurlait « allahou akbar » en direction des passants alors qu’il taguait le monument. Il a finalement été interpellé par la police. Un drapeau de l’État Islamique a été retrouvé à son domicile par les enquêteurs.
Le journal Sud Ouest a tenté de désinformer la population en occultant la nature du message délivré par le sympathisant djihadiste, préférant au surplus évoquer le cas d’un « déséquilibré » (source) : « C’est un individu connu des services de police pour être très perturbé psychologiquement qui a été interpellé ce mardi, en fin d’après-midi, place des Quinconces, en plein coeur de Bordeaux. Cet homme de 34 ans a été arrêté par la police alors qu’il venait de taguer des lettres de l’alphabet arabe sur la colonne des Girondins. Lorsqu’il a été appréhendé, il aurait également prononcé des mots en arabe. »
Il ne s’agit pas de « lettres de l’alphabet arabe » mais de mots arabes écrits en lettres romaines. Deux termes ont été utilisés : « shirk » et « koufr ».
Le premier, péjoratif, désigne pour les musulmans le péché de « polythéisme » ainsi que toute forme « d’idolâtrie », le culte devant être exclusivement réservé à « allah » (voir ici).
Le second, « koufr », désigne la « mécréance » et toutes les personnes qui s’en rendent coupables en refusant de reconnaître l’islam pour seule et unique religion. Les « mécréants » sont ainsi qualifiés de « kouffars » par les djihadistes.
Suite à une opération conjointe menée par la Suède et la France, le site de téléchargement illégal peer to peerTorrent411 (alias T411) n’est plus depuis dimanche soir. Le parquet de Rennes annonce fièrement des arrestations côté français et la SACEM (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) se gausse de ce coup de filet, les méchants pirates faisant du mal à la création.
Les ayants droit sont, comme d’habitude, d’une mauvaise foi crasse puisque jamais il n’a été démontré que le piratage nuisait aux entrées de cinéma (c’est même plutôt l’inverse, la fréquentation ayant explosé). Ensuite, freiner la diffusion d’œuvres sur Internet permet de maintenir à flot sa petite entreprise de l’entre-soi où l’argent public du CNC (Centre national du cinéma) permet de continuer à produire des croûtes bobo-centrées (aussi appelées « films d’auteur ») que personne ne nous envie ou à rémunérer les hilarants Dany Boon et Kev Adams (toute trace d’ironie serait fortuite).
À la rigueur, les lobbys font pression, ils sont dans leur rôle, on ne leur demande pas d’œuvrer pour diffuser la culture ; ça se saurait, sinon. Par contre, cela est le rôle d’un gouvernement. A fortiori quand ce gouvernement se veut « djeunz » et branché numérique. À l’occasion de la rédaction de ce papier, j’ai découvert notre ministre de la Culture, madame Nyssen. La société civile, c’est le renouveau, ça a du bon, nous a-t-on martelé. On repassera pour la modernité, en tout cas.
Faut-il expliquer à Madame le Ministre qu’en 2017, aucune offre légale ne permet de pouvoir profiter complètement de la culture ? Netflix a le mérite d’exister (encore que le gouvernement de l’époque lui a bien mis des bâtons dans les roues en l’obligeant à financer notre exception culturelle, ce qui donna… Marseille) mais il est soumis à la chronologie des médias, ce principe archaïque qui veut que le film pour lequel on fait de la promo et qu’on te donne envie de voir ne sortira que trois ans plus tard sur les plates-formes légales (dites de SVoD/Subscription Video on Demand). Une éternité, à l’ère d’Internet.
De même, faut-il rappeler que sur T411, on trouvait aussi bien le dernier blockbuster que des vieux documentaires remasterisés depuis des VHS (Video Home System) et introuvables ailleurs.
On trouvait des chansons d’artistes qui ne sont pas disponibles en France. Beaucoup de livres, programmes et dessins animés qui n’étaient plus licenciés ou tombés dans le domaine public. On y trouvait donc tout et n’importe quoi.
Loin de moi l’idée de défendre le piratage. Encore que, contrairement à ce que les lobbys veulent faire croire, le piratage n’est pas du vol. En droit, le vol est une infraction qui consiste en la soustraction frauduleuse de la chose d’autrui. Soit l’exact opposé du piratage, qui ne subtilise rien mais duplique. Le fait est qu’aujourd’hui, en cumulant des abonnements à Netflix, Canal+ et Spotify (soit la bagatelle de 50 à 60 € selon les formules), vous n’avez accès qu’à une partie restreinte des catalogues musicaux et cinématographiques.
La taxe sur la copie privée était pourtant claire : partir du principe que vous alliez pirater et vous faire payer cette faute dès l’achat d’un disque dur ou d’une clé USB (Universal Serial Bus) afin de compenser le supposé manque à gagner des ayants droit. De facto, c’est une autorisation à pirater en raisonnant par l’absurde.
Le pire, finalement, c’est que notre Jupiter trouve plus important d’empêcher un boutonneux de trouver son dernier épisode de One Piece plutôt que de fermer les sites dédiés à la propagande terroriste qui fleurissent sur le Net comme les points d’irritation sur une épilation du maillot. Il faut aussi croire que le téléchargement illégal est plus facile à contrôler qu’un fiché S disposant d’une autorisation de détention d’armes à feu.
Les autorités italiennes ont décidé d’agrandir le camp de migrants de Vintimille, a annoncé la Croix-Rouge, mercredi 28 juin.
« Nous avons eu des instructions de la préfecture d’Imperia pour accueillir tous ceux qui le veulent, sans limite numérique », a annoncé l’attachée de presse de la Croix-Rouge.
« Des travaux sont en cours pour ajouter 20 préfabriqués et arriver à 500 places (contre 360) et des tentes seront aussi montées en cas de nécessité », a précisé Fiammetta Cogliolo, attachée de presse de l’organisation humanitaire.
Le camp de Vintimille n’a pas de pendant du côté français et les élus locaux des Alpes-Maritimes refusent dans leur grande majorité d’ouvrir un centre d’accueil et d’orientation. Des migrants, en majorité des Soudanais, ont pris le chemin de la France. Entre 170 et 200 d’entre eux ont été interpellés en montagne près de Castellar, sur les hauteurs de Menton, après avoir été dénoncés par des bergers. Ils ont été renvoyés en Italie.
En centre-ville, Marseille met en place un périmètre de sauvegarde du commerce avec un droit des préemption des baux et des murs. La majorité assume ne plus vouloir de snacks ou de téléphonie et souhaite privilégier le haut de gamme.
Par étapes, après avoir amorcé un renouvellement de la population dans plusieurs pans du centre-ville (comprendre : remettre des Français à la place des Nord-Africains), la municipalité veut exercer un droit de regard sur l’implantation commerciale. En février, le conseil municipal a d’abord approuvé le principe de délimitation d’un périmètre de sauvegarde du commerce de proximité : bas de la rue de la République, Colbert, Réformés, Canebière, Lieutaud, Rome, Préfecture et Breteuil.
« On assume ne plus vouloir certains types de commerces comme les snacks et les magasins de téléphonie pour privilégier les commerces de bouche de qualité ou les artisans », n’y va pas par quatre chemins Yves Moraine (LR), président du groupe de la majorité. Snacks, type « chiche kebabs » reconnaît Solange Biaggi, mais également enseigne de déstockage alimentaire ou bazars ne sont plus les bienvenus. « La préemption sert à dire ce qu’on ne veut pas et doit nous aider à ce que l’on veut », résume Jean-Claude Gondard, directeur général des services. Et l’adjointe aux commerces l’assure, « il y a une demande des personnes qui vivent en centre-ville » pour d’autres enseignes. « On veut une charte de qualité », plaide-t-elle. Près d’1,5 million d’euros vont être investis.
Il était bien temps que les élus marseillais s'aperçoivent que le centre-ville se transformait en souk du Tiers-Monde...
Pour leur premier jour à l’Assemblée nationale, les « Insoumis » sont arrivés sans cravate. C’est leur « premier coup d’éclat », claironne Le Huffington Post, rapportant ces propos bravaches de Jean-luc Mélenchon : « Il y avait des sans-culottes, il y aura maintenant des sans-cravates. »
Ne pas mettre de cravate serait « insoumis » ? La bonne blague. Rien de plus conventionnel, au contraire. N’importe quel adolescent sait qu’aller au lycée avec cet objet demande une sacrée dose d’anticonformisme et de témérité. Il ne faut pas avoir peur des quolibets ni des ricanements, quand tous les autres – profs ou élèves, garçons et filles – sont sapés dans le même genre passe-muraille négligé. Si Mélenchon, eu égard à son âge, peut à la rigueur être passé à côté – en imaginant qu’il ait vécu en anachorète dans une cave depuis la fin des années 60 -, ses comparses peuvent difficilement l’ignorer.
Cela serait signe que « le peuple rentre à l’Assemblée » ? Tu parles.
Cultiver le style débraillé n’est pas la marque du prolo mais le snobisme du bobo. On pourrait dire son luxe, car si l’étudiant à la Sorbonne fréquentant Nuit debout peut, sans dommage, traîner hirsute et dépenaillé sur le bitume parisien, l’apprenti pâtissier, frais émoulu de son CAP, ne peut prendre les mêmes privautés dans l’hôtel-restaurant où il est employé. Et sa cravate Auchan coûte une misère, en tout cas infiniment moins cher que bien des accessoires prisés par les antifas.
Ses électeurs sont-ils fiers d’être représentés par Les Bronzés à l’Assemblée ? On peine à le croire. Parce qu’ils ont peu de moyens, ils n’auraient pas le droit, une fois de plus, comme pour leurs nouilles et leurs yaourts, qu’à des élus low cost au packaging cheap ?
Alexis Corbière et Jean-Luc Mélenchon fustigent ce qu’ils appellent un « code vestimentaire » imposé. Qui s’appelle aussi le respect, ou la politesse, et fait que l’on ne se rend pas, par exemple, à l’enterrement de sa grand-mère en tongs et caleçon hawaïen ou au mariage de sa belle-sœur en bleu de travail. Faut-il qu’il ait trop regardé Les Tuche pour imaginer le peuple aussi hermétique à toute notion d’éducation ? Que voulait donc dire le mot « endimanché » sinon, pour les milieux populaires, s’habiller autrement qu’à l’ordinaire pour les grandes occasions ?
Pour envoyer du rêve, il va falloir trouver d’autres coups d’éclat que celui-là. Pour le moment, La France insoumise n’est, tristement, que la France mal mise.
Le mythe « d’Al-Andalous », c’est l’Espagne musulmane passée et parée de toutes les vertus par contraste avec une Europe chrétienne qui aurait été en revanche la plus obscurantiste des civilisations.
Le territoire comme enjeu de rivalités géopolitiques peut donc être irréel, mythifié, voire rêvé ou pleuré, comme cela est le cas d’Al-Andalous (l’Espagne musulmane de 711 à 1492) ou de la Sicile islamique du passé, territoires clés du supposé Age d’or islamique de jadis, puis, bien sûr, de la Palestine occupée, pleurée du Maroc au Pakistan par la supposée Oumma. Dans ce cas, la perte du territoire associé à un Age d’or, tel qu’Al-Andalous ou la Palestine constitue une représentation géopolitique suffisamment puissante pour mobiliser, nombre de militants de l’islamisme radical et pour justifier une forme d’irrédentisme politico-religieux. Celle-ci est incarnée notamment par les mouvements salafistes sunnites radicaux revendiquant la reconquête des « territoires perdus », ce qui est le cas de la nébuleuse terroriste d’Al-Qaïda et d’autres mouvements islamistes salafistes nostalgiques du califat déchu, désireux de le rétablir glorieusement sur toute la surface de la terre par le djihad, la lutte politique et le prosélytisme. L’âge d’or islamique andalou justifierait ainsi pour les islamistes radicaux l’islamisation de l’Europe, et la récupération des territoires perdus de l’Espagne islamique passée, des Balkans ou de la Sicile aussi impérative que celle de la Palestine mythifiée également qualifiée de « perdue ». Aussi les islamistes salafistes qui ont pour référence suprême l’époque mythifiée et exemplaire des premiers musulmans et du Prophète, les « Salaf », les « Pieux ancêtres », voient dans le mythe de l’Age d’Or glorieux de l’Islam, qu’il s’agisse des Salaf de l’époque de Mahomet ou des Califats ultérieurs de Damas, Bagdad ou Cordoue, expliquent les échecs présents du monde islamique, selon eux déchéant, par l’éloignement de la pureté de la foi mythifiée des premiers conquérants et des grands califats et la contamination des musulmans modernes par les idées impies des occidentaux.
L’aristocrate rouge François Goullet de Rugy est le nouveau président de l’Assemblée nationale.
Président du parti écologiste, candidat à la primaire de la gauche pour la présidentielle de 2017, très éphémère soutien de Benoît Hamon avant de rapidement passer dans le camp d’Emmanuel Macron, François de Rugy est favorable à de nombreux projets mortifères.
Défenseur du « mariage » homosexuel et de l’adoption d’enfants par des homosexuels. Par ailleurs, François Goullet de Rugy considère que l’avortement et la procréation médicalement assistée sont des « étapes dans l’émancipation des individus » !
Il est partisan de la légalisation du cannabis, de l’euthanasie, du suicide assisté, de la procréation médicalement assistée et de la gestation pour autrui.
Plus de 100.000 musulmans se sont rassemblés dans le parc du centre-ville de Birmingham (Grande-Bretagne) pour la célébration de l’Aïd el-Fitr, la plus importante d’Europe.
Alors même que la Grande-Bretagne a été récemment frappée de plein fouet par le terrorisme islamique, les musulmans se pavanent avec arrogance dans les lieux publics pour fêter la fin du faux jeûne du Ramadan, sous le regard bienveillant des médias...
Le face-à-face a parfois été tendu. Des agriculteurs du département du Nord ont chassé près d'une centaine de familles de gens du voyage qui souhaitaient s'installer sur un champ, dimanche 25 juin, à Comines, a expliqué le journal La Voix du Nord. Si l'année dernière, la cohabitation s'était pourtant bien passée, cette année, il aura fallu l’intervention de la police et de la gendarmerie pour calmer les esprits.
Dimanche, environ 120 caravanes commencent à s'installer sur la ZA Schumann de Comines. Quelques-unes sont encore en chemin lorsque des agriculteurs "venus en nombre" se mettent à barrer la route avec des tracteurs et des camionnettes. Certaines caravanes sont encerclées par les machines agricoles et l'affrontement commence à se tendre. Point culminant : lorsque les agriculteurs menacent de déverser une tonne de lisier devant le terrain occupé.
"On a voulu défendre nos terres. Et on a été menacé avec une batte de base-ball", a expliqué un agriculteur. Finalement, la tension est retombée après quelques heures de pourparlers et l’apparition de la police et de la gendarmerie. Un des agriculteurs, "très éprouvé, est resté en observation la nuit à l’hôpital de Dron" a toutefoisexpliqué La Voix du Nord, qui indique également que la circulation a été perturbée. En fin d’après-midi, les caravanes ont quitté les terres de la discorde à la recherche d'un terrain à envahir, qu’elles ont finalement trouvé quelques kilomètres plus loin.
"On a voulu défendre nos terres. Et on a été menacé avec une batte de base-ball", a expliqué un agriculteur. Finalement, la tension est retombée après quelques heures de pourparlers et l’apparition de la police et de la gendarmerie. Un des agriculteurs, "très éprouvé, est resté en observation la nuit à l’hôpital de Dron" a toutefoisexpliqué La Voix du Nord, qui indique également que la circulation a été perturbée. En fin d’après-midi, les caravanes ont quitté les terres de la discorde à la recherche d'un terrain disponible, qu’elles ont finalement trouvé quelques kilomètres plus loin.
"On a voulu défendre nos terres. Et on a été menacé avec une batte de base-ball", a expliqué un agriculteur. Finalement, la tension est retombée après quelques heures de pourparlers et l’apparition de la police et de la gendarmerie. Un des agriculteurs, "très éprouvé, est resté en observation la nuit à l’hôpital de Dron" a toutefoisexpliqué La Voix du Nord, qui indique également que la circulation a été perturbée. En fin d’après-midi, les caravanes ont quitté les terres de la discorde à la recherche d'un terrain disponible, qu’elles ont finalement trouvé quelques kilomètres plus loin.
"On a voulu défendre nos terres. Et on a été menacé avec une batte de base-ball", a expliqué un agriculteur. Finalement, la tension est retombée après quelques heures de pourparlers et l’apparition de la police et de la gendarmerie. Un des agriculteurs, "très éprouvé, est resté en observation la nuit à l’hôpital de Dron" a toutefoisexpliqué La Voix du Nord, qui indique également que la circulation a été perturbée. En fin d’après-midi, les caravanes ont quitté les terres de la discorde à la recherche d'un terrain disponible, qu’elles ont finalement trouvé quelques kilomètres plus loin.
"On a voulu défendre nos terres. Et on a été menacé avec une batte de base-ball", a expliqué un agriculteur. Finalement, la tension est retombée après quelques heures de pourparlers et l’apparition de la police et de la gendarmerie. Un des agriculteurs, "très éprouvé, est resté en observation la nuit à l’hôpital de Dron" a toutefoisexpliqué La Voix du Nord, qui indique également que la circulation a été perturbée. En fin d’après-midi, les caravanes ont quitté les terres de la discorde à la recherche d'un terrain disponible, qu’elles ont finalement trouvé quelques kilomètres plus loin.
"On a voulu défendre nos terres. Et on a été menacé avec une batte de base-ball", a expliqué un agriculteur. Finalement, la tension est retombée après quelques heures de pourparlers et l’apparition de la police et de la gendarmerie. Un des agriculteurs, "très éprouvé, est resté en observation la nuit à l’hôpital de Dron" a toutefoisexpliqué La Voix du Nord, qui indique également que la circulation a été perturbée. En fin d’après-midi, les caravanes ont quitté les terres de la discorde à la recherche d'un terrain disponible, qu’elles ont finalement trouvé quelques kilomètres plus loin.
C’est une grande victoire pour le président Donald Trump : l’interdiction de territoires pour les ressortissants de 7 pays musulmans touchés par le terrorisme islamique a été validée par la Cour Suprême, la plus haute autorité du pays.
Prononcée dès la première semaine de la présidence, les juges de gauche affiliés au Parti Démocrate avait bloqué cette décision, permettant à de nombreux éléments suspects de continuer à pénétrer sur le sol américain.
L’interdiction sera cependant étudiée au fond en automne par la Cour Suprême.
La ville de Chambéry, dans le département de la Savoie, a tenu à tirer le feu d’artifice de la fête nationale française du 14 juillet le… samedi 24 juin 2017. Explication officielle : célébrer les 50 ans de la création du quartier de Chambéry-le-Haut.
En réalité, ce quartier est une enclave afro-musulmane régulièrement frappée par des émeutes raciales (voir ici). Et la date choisie pour le feu d’artifice – le samedi 24 juin au soir – correspond exactement à la fin du mois du ramadan (source).
Une manière détournée pour la municipalité de financer une célébration islamique avec l’argent des contribuables, sans leur aval et au mépris de la loi.
Lors des élections municipales du 11 juin, la maire sortante de Lampedusa ,Giusi Nicolini, n’a recueilli que 900 voix sur 4.000 suffrages. Un échec cuisant pour celle qui se verra remettre, le 27 juin, le Prix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix et qui a été encensée par les plus grands partisans de l'invasion de l'Europe : le pape François, Barack Obama, Matéo Renzi, etc.
Les citoyens de Lampedusa ont logiquement sanctionné celle qui était devenue l'égérie de tous les immigrationnistes fanatiques italiens. Bon débarras !
Jusqu’où ira l’abomination ? A Montréal, le lobby LGBT s’extasie devant « Lactatia », le surnom donné à un petit garçon de 8 ans à peine, transformé en drag-queen par ses parents, des dégénérés arborant piercings et badges antifas.
Leur enfant est devenu une bête de cirque pour événements homosexuels et transgenres.
Pour Émile Duport, l’avortement est un sujet humanitaire et social plus que politique, et une question trop passionnelle pour faire l’objet d’un débat de fond sur les réseaux sociaux. Pour attirer l’attention de l’opinion, les Survivants, dont il est le fondateur, misent donc sur une approche plus émotionnelle, par l’image.
Ils ne veulent pas se poser en donneurs de leçons mais rappeler que l’avortement est, pour les femmes qui le subissent, un véritable traumatisme et que sa cause essentielle n’est autre qu’un « manque de ressources psychologiques et spirituelles pour affronter la vie ».
Sylvie Goulard, reine d’un jour ? Au ministère de la Défense, assurément. Elle aura tenu quatre semaines avant d’entonner « Le Chant du départ », emmenant au passage et en retraite Marielle de Sarnez et François Bayrou, soit la dream team du MoDem, façon Chagrin d’amour et leur tube éphémère, « Chacun fait c’qui lui plaît ».
En l’occurrence, Sylvie Goulard aura au moins fait ce qui lui plaisait, à savoir s’extirper du guêpier des affaires du MoDem commençant à dangereusement s’accumuler sur sa petite tête, si pleine et si bien faite. Cette dame n’est effectivement pas la première venue – la preuve par son pedigree.
Ainsi est-elle de ces cerveaux pensants ayant fait de l’Europe ce qu’elle est devenue ; ce n’est pas par hasard qu’on devient conseillère particulière de l’Italien Romano Prodi tout en pilotant le projet de Constitution européenne de Valéry Giscard d’Estaing. D’autres de ses propos n’ont rien non plus d’anodin : « Les Européens voudraient être aussi forts que si l’Europe était unie, conserver autant de souveraineté nationale que si elle ne l’était pas. Cette contradiction est devenue intenable. » Voilà qui est à la fois bien dit et parfaitement cohérent. Et explique encore que, le 15 septembre 2010, elle puisse fonder, avec entre autres Daniel Cohn-Bendit, le groupe Spinelli, dont l’objectif est de « promouvoir le fédéralisme européen ».
Mais dans ce dispositif de poupées russes, les Américains ne sont jamais bien loin. Ainsi, tel que révélé par Sylvie Goulard en personne dans la dernière livraison du Journal du dimanche, d’octobre 2013 à janvier 2016, le fulgurant ministre de la Défense aura tout de même palpé plus de 270.000 euros du Council for the Future of Europe. De quoi s’agit-il ?
Tout simplement d’un de ces innombrables groupes de réflexion – et souvent de pression – qui nous viennent des USA.
Certains ne sont que des cache-sexes de la CIA, l’Heritage Foundation ou les universités Open Society du milliardaire George Soros ; mais aucun d’entre eux ne saurait fonctionner sans l’aval de ces mêmes services. Cela s’appelle le soft power, au contraire du hard power, reposant plus sur la politique de la canonnière. Là, ce soft power, Sylvie Goulard est en plein dedans et ne s’en cache même pas, ayant révélé noir sur blanc le montant de ses émoluments dans sa « déclaration des intérêts financiers des députés » au Parlement européen, et ce, en janvier 2016.
Jadis, il suffisait de s’acquitter de trente deniers pour le prix de la trahison. Augmentation du coût de la vie oblige, il en vaut désormais plus de dix mille euros bruts mensuels. On notera encore que son riche sponsor, Nicolas Berggruen, fondateur du comité Théodule en question, ainsi que du très influent Berggruen Institute on Governance – en gros, comment le Nouveau Monde est censé apprendre à l’Ancien à mieux gérer ses affaires –, fait partie des premières fortunes mondiales, à en croire Forbes, magazine américain connu pour être des mieux informés en la matière.
Il y a bien longtemps que le soft power en question est devenu secret de Polichinelle. Il est en revanche plus intrigant que les médias français n’y accordent que si peu d’attention. Mais à cela aussi, nous sommes malheureusement habitués.
Il n’y a guère de chances pour que Sylvie Goulard se retrouve à la rue : au contraire des caniveaux, les puissants réseaux ne sont pas faits que pour les chiens. Le profil de son successeur à ce poste régalien demeure malgré tout plus rassurant : Florence Parly n’est qu’une énarque sans goût ni odeur ni couleur. De cabinets ministériels en direction financière d’Air France, elle n’a causé ni miracles ni catastrophes.
Après, comment savoir le véritable mot de la fin ? Emmanuel Macron n’a-t-il laissé partir Sylvie Goulard que pour les carambouilles à deux balles d’un parti alors moribond, le MoDem ? Ou l’a-t-il discrètement exfiltrée du gouvernement parce qu’objective agente d’influence ? Dans les deux cas de figure, elle ne devrait arracher de larmes à personne.