Le caractère terroriste de l’attaque d’Amiens se précise.
Lundi soir, 3 hommes ont mené des attaques successives sur des personnes choisies au hasard dans les rues d’Amiens, les tabassant à l’aide d’armes blanches (couteau, tournevis, batte de baseball).
Vendredi, le conducteur du groupe, une racaille âgée de 21 ans, comparaissait pour apologie du terrorisme. Ses propos devant les policiers qui l’ont arrêté : « Les attentats n’arrivent pas par hasard. France, pays de merde. Vous méritez ce qui est arrivé à Paris. Vous allez brûler. »
Les chefs d’accusation sont nombreux : violences avec armes, violences en réunion, vols en réunion, conduite sans permis, dégradations graves et rébellion. Chaque auteur est poursuivi pour 12 à 19 infractions.
Nous avons sans doute besoin de cette vidéo pour le découvrir, puisque nous avons appris à ne plus voir avec nos yeux, et que l’évidence ou le bon sens ne sont plus des sources fiables aux yeux de la connerie gauchiste. Quand on voit des terroristes, on a l’impression de voir la même famille. Et pas une famille de chez nous.
C'est officiel, le gouvernement a imposé le prélèvement de l'impôt sur le revenu à la source à partir du 1er janvier 2019.
Concrètement, vous ne serez plus en relation avec l’État pour le paiement de votre impôt sur le revenu. En effet, chaque mois, l’État ira se servir directement sur votre salaire, c'est ce qu'on appelle un braquage.
Travaillez, vous êtes braqués !
Cette annonce du gouvernement (source) est un triple scandale.
Premièrement, cette mesure fait sauter une barrière entre l'employeur et la vie privée des Français.
Deuxièmement, ce braquage de l'argent des Français à la source empêche toute contestation, tout désaccord avec l'Administration, on peut parler de dictature, ou au mieux de mise sous tutelle des travailleurs français.
Troisièmement, cette annonce est l'occasion de rappeler que l'impôt sur le revenu est un vol caractérisé. En effet, l'argent que gagnent les travailleurs s'appelle un salaire net, ce qui veut dire que l’État s'est déjà immiscé une fois entre l'employeur et l'employé, et c'est sur le salaire de ce travail déjà taxé que l’État prélève "l'impôt sur le revenu" ! L’État se gave deux fois sur notre labeur !
Avec le Parti de la France au pouvoir, l’État n'ira pas chercher l'argent dans la poche des travailleurs français mais dans celle des escrocs, des profiteurs et des voleurs !
La « droitosphère » semble se féliciter des condamnations récentes à de la prison avec sursis, pour apologie du terrorisme, d’un militant de La France insoumise qui s’était réjoui de la mort du colonel Beltrame.
Mais aussi de la condamnation à de la prison avec sursis de cette militante vegan qui avait écrit, suite à la mort du boucher du Super U de Trèbes : « Ben quoi, ça vous choque un assassin qui se fait tuer par un terroriste ? Pas moi, j’ai zéro compassion pour lui ; il y a quand même une justice. »
Et une partie de cette « droitosphère » ou « réacosphère » d’applaudir les propositions de Laurent Wauquiez d’interner les fichés S.
Mais êtes-vous devenus fous ? Bien entendu que ces propos sont dégueulasses et scandaleux, mais ce ne sont que des écrits. En applaudissant ces condamnations, vous ne pourrez pas, demain, pleurer ici parce que des militants défenseurs de la famille seront incarcérés pour avoir été trop agités dans des manifestations.
Vous ne pourrez pas hurler « liberté d’expression » et vous plaindre de la censure de vos médias, de vos sites Internet préférés, de vos réseaux sociaux, puisque vous aurez applaudi au lynchage médiatique et judiciaire de deux idiots, certes, mais qui ne méritent pas des peines de prison. Vous validez la corde qui servira à nous pendre.
En réclamant l’internement des fichés S, vous montrez que vous êtes au même niveau que certains politiciens : au niveau du néant. Vous ne savez pas qu’une fiche S n’est qu’un outil temporaire, et qu’elle n’indique nullement une dangerosité potentielle.
Vous ne savez pas que votre petit-fils, votre neveu, vos amis ont été ou sont peut-être temporairement fichés S, pour avoir participé à une manifestation, à un match de football, à un meeting politique. Ils vous remercieront le jour où on les mettra en prison parce que des hystériques auront hurlé à l’internement des fichés S sans savoir de quoi ils parlent.
Une partie de la réacosphère, de la droitosphère, restera indécrottable, de l’autre côté de la barricade : le côté du système, le côté de l’ordre établi, le côté de la réaction, le côté de la nostalgie et de la frustration permanente. Toujours à scander « la police avec nous » même quand celle-ci vous gaze et vous arrête. Toujours à compter sur un éternel sauveur qui n’arrivera pourtant jamais. Vous êtes en train de condamner votre descendance, prenez-en conscience.
Entre mercredi et jeudi, entre l’hommage national au colonel Beltrame à Paris et celui des funérailles à Trèbes et Carcassonne, nous avons tous été émus par les images et les éléments de langage attendus en pareilles circonstances : cercueils, cérémonies, « Marseillaise », témoignages, tous pleins d’émotion et de dignité.
Aux Invalides, avec la perfection de l’architecture, de la musique militaire et du discours, l’hommage fut à l’unisson de l’héroïsme du colonel Beltrame, et à son exigence d’excellence (pour ses hommes et lui-même) et d’absolu. Une seule fausse note : le Président donnant la main à son épouse pour suivre le cercueil. En ces circonstances, il n’était pas en couple à l’enterrement d’un ami. Il était le chef de l’État, chef des armées rendant solennellement hommage à un « héros français », comme il venait de le dire lui-même.
À l’extérieur des Invalides, BFM TV était allé recueillir les réactions des anonymes venus, eux aussi, rendre hommage, sous la pluie, au colonel Beltrame. Disons-le d’emblée : des Parisiens, d’un certain âge, bourgeois, cultivés et, pour l’essentiel, de la France de droite – et pas de la droite qui ne sait pas où elle est. Avec cette France bien élevée (qui a toujours quelque utilité pour les médias « mainstream » qui la détestent pourtant), BFM TV était assuré d’obtenir des phrases claires avec les mots attendus, et de la mesure : « héros », « patrie », etc. Tous y étaient. Mais n’étaient-ils pas assez explicites pour qu’ils soient si mal traduits par la journaliste et sur le plateau en « fierté », « dignité » ? Les Français parlent aux Français, mais BFM TV et Ruth Elkrief ont un drôle de logiciel de traduction qui n’arrive pas à rendre ces mots pourtant « transparents », comme l’on dit à nos élèves… Il faudra nous expliquer. Mais il y eut un autre mot que le logiciel BFM n’admit pas : celui d’un monsieur au langage toujours aussi châtié, portant une petite médaille, clairement articulé : « colère ». Je ne sais comment ce mot avait réussi à se glisser en direct. Mais il était bien présent sur le parcours du convoi funèbre, lui aussi, le mot « colère », tout aussi recueilli, ordonné et au garde-à-vous que les pierres et les soldats de la cour d’honneur.
Jeudi, dans l’Aude : autres places, autres églises, autres pierres de ces villages qui nous sont tellement familiers. Des larmes encore. MM. Collomb, Philippe et Mme Belloubet ont pris le relais du Président Macron, et la presse locale celui de BFM TV. Et une France plus populaire est là, avec son accent à elle, et ses fulgurances. Et, malgré son « journalistiquement correct » habituel, même La Dépêche n’a pu éviter, à Trèbes, de recueillir celle-ci, d’une jeune femme devant l’église :
« “Cette cérémonie, juste avant la messe, mais de qui se moque-t-on ?” Et de dénoncer “l’indécence” du monde politique. “Ils nous expliquent qu’il était fiché S mais qu’il ne devait jamais passer à l’acte. Nous, on voit le résultat. Ce sont eux qui se sont fait buter” (Elle montre du doigt deux gendarmes en faction près de l’église), “et c’est nous qui enterrons nos morts. Ils [les membres du gouvernement et le Premier ministre, NDLR] devraient avoir honte d’être là, ce sont eux, le terreau du terrorisme. »
Colère. À Paris comme à Trèbes, et partout dans le pays, la colère avait tenu à être là.
Le dernier sondage ELABE pour BFMTV révèle qu’une majorité de Français ne sont pas satisfaits la politique de l’État en matière de lutte antiterroriste.
Alors que le Conseil Constitutionnel a validé ce jeudi 29 mars la dernière loi de lutte antiterroriste d’octobre 2017, les Français restent insatisfaits par l’action de l’État. 58% considèrent en effet que le président de la République et le gouvernement ne mettent pas en œuvre tous les moyens nécessaires à la lutte contre la menace terroriste en France. Concernant le rétablissement de l’état d’urgence, les Français se montrent plus partagés : 52% considèrent que la mesure serait efficace pour lutter contre le terrorisme et la radicalisation, et 48% qu’elle ne le serait pas.
Le sondage ELABE pour BFMTV révèle surtout que 80% des Français sont favorables à l’expulsion du territoire français des individus fichés S de nationalité étrangère. 78% veulent interdire le retour des Français partis en Irak et en Syrie. 73% demandent de mettre en rétention administrative (internement) les individus fichés S jugés les plus dangereux. Enfin 72% sont favorables pour déchoir de la nationalité française les individus binationaux condamnés pour terrorisme. Ce sondage a été réalisé auprès d’un échantillon de 1.005 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Contrairement à nos gouvernants, complétement tétanisés par les lobbies du « vivre ensemble », les Français ont la volonté de foutre dehors ces fanatiques dégénérés qui veulent décapiter les kouffars.
Suite à l'hommage national au Colonel Beltrame, Carl Lang, Président du Parti de la France, rappelle que toutes les cérémonies et les éloges d'usage n'effaceront pas les responsabilités de nos gouvernants.
La République a rendu un hommage émouvant aux victimes françaises, civiles et militaires, de sa politique migratoire. Mais les mots n'effacent pas les morts et les discours ne feront pas oublier les responsabilités.
On pourrait revenir sur les propos abjects de cet ancien candidat de la France insoumise, sur l'indécence de ces politiques pompiers pyromanes qui en rajoutent dans l'émotion suite au sacrifice et au martyre du colonel Beltrame, sur le pathétique de certains de ces politiques riant pendant l'hommage à cet officier, mais non d'autres le feront mieux que moi.
Non, il s'agit de dire que ce qui s'est passé à Trèbes est juste la énième preuve que le vivre-ensemble est une blague, une foutaise, un mensonge criminel... Le terroriste qui a frappé dans l'Aude n'était pas un Syrien, mais un bi-national (franco-marocain), déjà condamné pour des faits de délinquance « classiques », issu d'une cité qui a montré son visage à des journalistes qui se sont pris le réel en pleine face. Le visage d'une société vivant sur noter sol, de noter argent via les aides sociales, mais qui nous hait, nous méprise et qui attend la moindre occasion de nous faire la guerre, même larvée. Pour preuve la compagne du terroriste, Française convertie à l'islam, qui considère que son compagnon n'a pas assez tué...
Non, l'assimilation et l'intégration ne fonctionnent pas, il est temps de l'acter et de considérer qu'en plus de l'arrêt total de toute immigration il faudra mettre en place la remigration, d'abord pour la sécurité de noter pays et de nos compatriotes car oui toute société muticulturelle est par essence une société multiconflictuelle.
Non on ne mène pas la guerre contre l'ennemi islamiste uniquement en Syrie, en Irak ou au Mali, mais d'abord chez nous conter cet cinquième colonne en nommant clairement les choses, en montrant que les aides sociales financent cette société islamique en France, en établissant les liens entre délinquance et terrorisme, et en prouvant que ces gens ne pourront jamais devenir de bons Français.
Tel est le rôle de la droite nationale : dire clairement, justement les choses sans caricature ni outrance incapacitante, marteler ses solutions, ne pas lâcher un pouce de terrain...
Ils ont, par idéologie pour les uns, par cupidité pour certains, par facilité pour les autres, organisé l'arrivée massive de millions d'immigrés sur notre sol national.
Ils ont encouragé ou entretenu le sentiment pervers d' une culpabilité coloniale de la France.
Ils ont détruit, les uns après les autres, les murs porteurs et les colonnes de force de notre cohésion civique que sont la famille, l'école, l'armée et la mémoire nationale.
Ils ont, d'années en années, systématiquement affaibli nos outils de défense et de sécurité.
Ils ont abaissé jusque à les rendre inopérants les réflexes moraux et patriotiques sans lesquels les nations se décomposent.
Ils ont cassé l’État, érodé son autorité, renoncé à son action de volonté.
Ils ont abdiqué toute ambition française de peser sur les affaires du monde.
Ils se sont vautrés dans leurs jeux politiciens, claniques et partisans quand il leur aurait appartenu de se situer au dessus des calculs subalternes et des ambitions personnelles qui ne sont que passions enfantines.
Ils ont abandonné des pans entiers de notre territoire aux bandes organisées, à la racaille et à la propagande des imams.
Ils sont responsables des centaines de morts massacrés au nom d'Allah sur notre terre chrétienne de France, comme ils le seront de ceux qui, immanquablement, tomberont dans les mois et les années à venir, sous les coups des fanatiques islamiques.
Mis, ces quarante dernières années, à la tête de l’État pour le servir, défendre et promouvoir la Nation, faire respecter la République, ils ont failli.
Ils sont responsables et coupables.
Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron... Ça suffit !
Notre combat politique est global, total et illimité jusqu'à ce que soit abattu ce Système mortifère.
Aucune alliance, aucune union, aucun « consensus républicain », aucun compromis avec ces gens là !
Jean-François Touzé Membre du Bureau politique du Parti de la France
Il est, comme ça, des séries noires qui s’apparentent à la fameuse formule, attribuée en son temps à Jacques Chirac, selon laquelle « les emmerdes arrivent toujours en escadrille ». Sauf qu’en d’autres circonstances, c’est-à-dire en dehors de l’égorgement intentionnel d’un gendarme lors d’une attaque terroriste, ces fameuses « séries noires » alimentent habituellement et en abondance la rubrique des faits divers de la presse quotidienne régionale.
Dans la matinée de ce jeudi, une voiture a foncé sur des chasseurs alpins du 7e BCA (le fameux et légendaire « 7 » à la fière et indestructible devise « de fer et d’acier ») près d’une caserne à Varces-Allières-et-Risset (Isère), non loin de Grenoble, sans, heureusement, que l’on ait à déplorer de victimes parmi les militaires. Et l’auteur de cet acte a fini par être interpellé par les policiers de la brigade de recherche et d’intervention.
Comme un air de déjà-vu, si l’on en croit Le Dauphiné qui relate que « le 1er janvier 2016, en début d’après-midi, quatre militaires du 93e régiment d’artillerie de montagne (Varces), en patrouille dans le cadre de l’opération Sentinelle devant la grande mosquée de Valence, avaient été attaqués par un automobiliste qui, au volant d’une Peugeot 307 SW rouge, leur avait foncé dessus, à trois reprises ».
Il faut être aveugle ou de singulière mauvaise foi pour ne pas voir dans cette réplique au mode opératoire quasi similaire – de la cible militaire jusqu’au véhicule incriminé qui serait une voiture volée de la marque Peugeot – un acte criminel délibéré s’inscrivant précisément dans le contexte de la récente et meurtrière attaque de Trèbes (Aude). Le suspect ayant même proféré des insultes en arabe, il est encore plus malaisé de ne pas en déduire, avec le plus élémentaire bon sens, que nous ne sommes pas en présence d’un mahométan dans ses grandes œuvres djihadiques.
En résumé, à écouter les principaux médias télévisés, « l’on ne sait rien du profil de l’automobiliste, mais l’on sait que ces actes n’ont pas de caractère terroriste ». D’une manière générale, ce type de commentaire ressortit bien souvent à l’argument d’autorité – parce qu’émis par un média –, voire à la pétition de principe. La valeur à y accorder est donc à peu près insignifiante ou nulle, tant le recours à des notions comme celle de terrorisme, voire d’attentat, s’avère plutôt délicat au regard de notre Code pénal. En d’autres termes, les journalistes, y compris « spécialisés » (ou peu s’en faut), n’y entendent fifre.
Il convient, en effet, de se reporter aux articles 421-1 à 421-2-6 pour avoir une idée de ce que la société entend réprimer lorsqu’elle incrimine de la sorte tel ou tel agissement criminel commis « en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur ».
Or, on ne demande pas à un journaliste de faire office de juridisme patenté, mais de rapporter les faits avec le maximum d’honnêteté et le minimum de parti pris – sauf, en cas contraire, à annoncer préalablement la couleur, le journalisme d’opinion n’étant pas moins acceptable que celui d’investigation.
De fait, il importe de ne pas prendre les gens pour des imbéciles et d’accepter de regarder ce que l’on voit. En l’occurrence, une approche purement factuelle de l’événement n’interdit pas de tirer explicitement les conclusions qui s’imposent d’évidence. Ainsi, sans s’abriter derrière des périphrases et autres duperies euphémistiques, doit-on considérer que l’homme qui voulait écraser des militaires souhaitait symboliquement attenter à l’État et notamment à sa politique – plutôt pusillanime – d’éradication de l’islamisme hors de ses frontières, notamment en Afrique – des éléments du 7e BCA étaient partis combattre au Mali. La parlure arabisante de l’auteur nous renseigne, qui plus est, sur ses origines extra-européennes, ce qui oblige, volens nolens, à un amalgame d’autant plus salutaire qu’il ose montrer l’ennemi en ses multiples avatars (loup solitaire ou chien de meute).
Pratiquer autrement relève du mensonge par omission, voire d’une dénégation obstinée et suspecte du réel à des fins clairement manipulatoires et dolosives. Tel est, hélas, l’état pitoyable dans lequel se trouve majoritairement le journalisme nord-coréen européen.
Un automobiliste a foncé sur des militaires jeudi 29 mars peu avant 9h près de la caserne de Varces-Allières-et-Risset (Isère), rapporte France Bleu Isère. Il n’y a pas de blessé, mais les militaires sont choqués et le conducteur est en fuite. « Des militaires qui sortaient faire leur sport le matin ont été agressés, dans un premier temps verbalement, insultés », a indiqué à France Info une source militaire au sein du 93e régiment d’artillerie de montagne, puis le véhicule a fait demi-tour « de façon à essayer de les écraser ».
Ces militaires de la caserne de Varces-Allières-et-Risset venaient de partir pour leur footing, ils couraient au bord de la route quand une voiture arrivant en sens inverse a foncé sur eux. Les soldats ont réussi à éviter le véhicule en se jetant dans le fossé. La voiture a continué sa route et est activement recherchée.
L'islamiste a menacé verbalement en français et en arabe le groupe de militaires et a tenté de renverser un deuxième groupe, le conducteur musulman a pris la fuite au volant de la voiture, qui utilisait une fausse plaque d'immatriculation.
Des tags hostiles au colonel Beltrame et glorifiant l'auteur de l'attaque ont été découverts hier et cette nuit à Grenoble.
Laurent Wauquiez, président des Républicains, semble confondre, en dépit de sa formation universitaire de très haut niveau, la nation France avec la république (sans majuscule), qui est une forme, parmi d’autres, de régime politique, ou avec la République (avec une majuscule), qui est l’État de droit qui gère cette république.
Il a, en effet, proposé, le 27 mars 2018, lors d’un entretien accordé au journal Le Parisien, à la suite de l’attentat islamiste de Trèbes, « de créer un délit d’incitation à la haine de la République » en précisant : « On a trop d’individus étrangers radicalisés sur notre territoire. Tous les gens qui nourrissent les réseaux intégristes doivent pouvoir être expulsés. »
Mais, M. Wauquiez, ce n’est pas contre la république que les terroristes agissent, c’est contre la France ! Et la nation française n’a pas attendu 1789 pour exister. Les frontières de la Gaule telles qu’elles ont été définies par Strabon, géographe et historien grec (64 av. J.-C., 23 ap. J.-C.), ressemblaient aux frontières de la France actuelle.
La naissance d’une nation, chez les Celtes (dont les Gaulois constituaient la branche la plus importante), s’apparentait à celle d’un être humain. Elle était donc pourvue d’un corps : le pays, l’espace géographique contenu à l’intérieur de frontières. Pour la Gaule, leurs délimitations étaient faciles : selon l’historien Ernest Desjardins, « c’est le pays renfermé entre le Rhin, les Alpes, les Pyrénées et la mer ».
Elle était aussi animée par une âme : le peuple. Et, même, elle était dotée d’un signe zodiacal, puisque les Celtes s’en référaient à la disposition des étoiles au moment de s’approprier un territoire ou de fonder une ville. La France n’a donc pas commencé sa vie à la Révolution mais bien avant, lorsqu’elle fut reconnue pour la première fois en tant que nation, paradoxalement, par son envahisseur : Rome.
La vie d’une nation est son histoire, avec son caractère, ses égarements, ses moments de grâce, ses périodes sombres ou lumineuses, comme tout un chacun. Les événements les plus terribles, pour une nation, sont ceux où le peuple se déchire en deux ou plusieurs factions, ce qu’on appelle guerres civiles comme les guerres de religion, la Deuxième Guerre mondiale, la guerre d’Algérie. Mais la période la plus atroce de l’Histoire de France fut celle qu’engendra la Révolution française, qui fit naître la Première République.
Le changement de régime a vu, en effet, se perpétrer toutes les horreurs possibles qu’on croyait l’exclusivité d’une Histoire plus tardive :
– Le génocide vendéen : massacres en masse (des dizaines de milliers d’hommes, d’enfants, de femmes découpés en morceaux, jetés vivants dans des fours à pain, noyés par bateaux entiers…), camps de concentration (sur treize mille prisonniers, il en meurt onze mille), tannages de peaux humaines… L’un des génocidaires, Turreau, dira : « Il faut exterminer tous les hommes qui ont pris les armes, et frapper avec eux leurs pères, leurs femmes, leurs sœurs et leurs enfants. La Vendée doit n’être qu’un grand cimetière. »
– La Terreur : faut-il parler de la systématisation des massacres perpétrés sous la Terreur par la guillotine ? Le mot même de « terrorisme » trouve son origine dans cette période. La décapitation n’a pas été inventée par les islamistes, même s’ils la pratiquent d’une manière moins « policée ».
– Le modèle : faut-il rappeler que toutes les utopies révolutionnaires sanglantes qui ont suivi la Révolution française ont pris exemple sur elle, causant des millions de morts ?
L’Histoire de France n’a pas vécu là ses plus beaux jours. Pourquoi les revendiquer ? Tomberons-nous sous le coup de la loi proposée par M. Wauquiez en dénonçant ces horreurs ?
Bien sûr, il y eut des périodes de bonheur et de gloire au cours des cinq Républiques qui virent naître des personnages admirables, mais beaucoup d’entre eux n’étaient-ils pas français avant d’être républicains ?
L’APF (Alliance for Peace and Freedom) est un parti pan-européen dont NATION fait partie et qui regroupe des partis nationalistes de toute l’Europe (qui reprend des partis et élus d’Allemagne, d’Italie, d’Espagne, de Grèce, de Slovaquie, de Tchéquie et de Belgique.
Et depuis quelques jours, l’APF compte un membre de plus et particulièrement prestigieux puisque c’est Jean-Marie Le Pen qui a rejoint à son tour l’APF.
L’arrivé de ce défenseur historique des principes du nationalisme est un événement politique marquant qui arrive à un moment de grand changement en Europe. Tandis que les vieilles politiques marxistes et libérales disparaissent à l’Est et sont affaiblies en Europe de l’Ouest, l’idée d’une Europe de traditions, de souverainetés et d’identité commence à poindre à l’horizon.
Jean-Marie Le Pen représente pour les nationalistes en général, et pour l’APF en particulier, un point de référence extraordinaire. Il est pour tous les Européens, l’incarnation même d’une histoire de cohérence idéologique et de résistance. Pour les combattants de notre continent, notre Jean-Marie Le Pen est un homme d’une valeur et d’un courage incroyables.
Nous accueillons Jean-Marie Le Pen comme un guide et un exemple à une époque de changements révolutionnaires en Europe.
Qui s'étonnera de cet irrespect sidérant, de cette indécence sordide de la part de la racaille d'extrême-gauche ? Ces gens sont véritablement à vomir...
On pourrait résumer cela en quelques mots : « crise d’adolescence radicale », « rien dans le crâne, tout dans le portable », « djihadisme LOL »…
La compagne de Redouane Lakdim, le terroriste de Trèbes, assassin de quatre personnes et qui en a blessé quinze autres, est en garde à vue depuis deux jours. Elle a 18 ans, non seulement ne renie rien de la folie meurtrière de son compagnon mais aurait regretté qu’il n’ait pas fait davantage de victimes dans notre France, pays de « mécréants ». Lorsque les policiers l’ont interpellée, elle aussi a crié « Allah akbar », et si elle nie toute implication dans l’équipée meurtrière de Lakdim, elle a curieusement posté, au matin de l’attentat, une sourate disant que « les mécréants étaient promis à l’enfer ».
Cette douce jeune fille se prénomme Marine. On nous dit qu’elle s’est convertie à l’âge de 14 ans, radicalisée à 15, devenant la compagne de Lakdim qu’elle avait, paraît-il, l’intention d’épouser prochainement. Elle a aujourd’hui 18 ans, est sans profession. On imagine qu’elle a dû passer moins de temps sur les bancs du collège que sur son smartphone. Connue comme son petit ami pour des délits de droit commun, elle passait en effet beaucoup de temps à cracher sa haine de la France sur les réseaux sociaux, ce qui lui a valu d’être fichée S, elle aussi, pour sa radicalisation islamiste.
Dans cette époque où les agissements du porc Weinstein et de ses épigones ont entraîné le retour d’un féminisme larmoyant qui veut voir en toute femme une innocente victime, on hésite à se pencher sur ces adolescentes tentées par la sauvagerie meurtrière. Et pourtant, contrairement à une idée reçue, les jeunes filles sont majoritaires parmi les adolescents radicalisés. C’est en tout cas ce que disaient les chiffres du ministère de l’Intérieur en août 2016, quand, après l’assassinat du père Hamel à Saint-Étienne-du-Rouvray, une gamine de 16 ans a été arrêtée à Melun, en Seine-et-Marne. Elle était prête, elle aussi, à passer à l’acte.
Les faits sont là mais rien ne change dans les discours. La gauche continue de nier ce qui relève de l’évidence quand des salauds ne se réjouissent pas carrément de la mort d’un homme parce qu’il est militaire… On nous dira, comme toujours, que Redouane Lakdim sentait peser sur son dos le poids de la colonisation, de la relégation, de la misère, du chômage… Qu’au fond il n’a fait que venger la mémoire de ses pairs. On connaît la rengaine.
Et sa petite amie ? Mystère…
En ce mois d’août 2016, un policier de haut rang confiait au Figaro que les jeunes filles se laissent hameçonner par « le “kit de vie” qui leur est proposé : “trouver le prince charmant”, “s’engager dans l’humanitaire” et “fonder une famille pour repeupler un califat fantasmé” ». Piéger également par « le “pilonnage” de messages, parfois une centaine par jour, qu’elles reçoivent une fois sous influence de leur gourou : “Comment es-tu habillée ? Quelles prières as-tu faites ? Qui as-tu rencontré ? As-tu serré la main à un homme aujourd’hui ? Ne sors pas seule”. » Il ajoutait également que les filles seraient davantage « partantes » (alors pour la Syrie) car « elles pensent qu’elles ne seront a priori pas envoyées au combat comme les garçons ».
À cette même époque, le magazine Psychologies donnait la parole au thérapeute familial Serge Hefez qui suivait plusieurs de ces jeunes filles, converties à un islam extrémiste. Il y confiait la sidération de parents découvrant la seconde vie de leur adolescente : « Bien moins malmenées par la vie que d’autres, certaines adolescentes s’enflamment pour une cause qui présente surtout l’immense avantage de les opposer en tout point à leurs parents. »