Le père du djihadiste Karim Cheurfi, qui avait tué le policier Xavier Jugelé sur les Champs-Elysées en avril 2017, a été condamné jeudi à Bobigny à 18 mois de prison dont 12 avec sursis pour apologie du terrorisme. Jugé en comparution immédiate, Salah Cheurfi, 66 ans, avait tenu le 3 janvier devant des policiers des propos donnant raison à son fils et menacé de mort les fonctionnaires. Le parquet avait requis dix mois de prison et son incarcération immédiate.
Chacun peut observer les efforts désespérés du système socialiste occidental pour se maintenir à flots. Qu’il s’agisse de la victoire de Donald Trump ou du sécessionnisme britannique suite au Brexit, l’oligarchie dominant la structure de pouvoir occidentale au travers de divers organismes internationaux – UE, Davos, Otan, etc. – refuse de reconnaître la nature systémique de la crise.
Effondrement du socialisme occidental
La classe politico-médiatique, avant-garde de cette oligarchie, préfère scruter chez leurs opposants les causes de cette crise : « fake news », « populisme », « islamophobie » sont autant de slogans repris par la machine médiatique pour caractériser les sources d’information alternatives, l’envie de changement politique radical ou le refus de l’immigration de remplacement voulue par les sans-frontiéristes, de gauche comme du patronat et de la finance.
Plus fondamentalement, c’est cette imbrication d’États socialistes reposant sur une fiscalité massive et une centralisation toujours plus accrue des pouvoirs qui est en voie d’implosion. La génération d’après-guerre, qui a fait sienne le dogme antifasciste comme celui de l’égalitarisme, se retrouve à court de nouveaux contribuables, faute d’avoir fait suffisamment d’enfants. L’immigration du tiers-monde, censée sauver les fonds de retraite, se révèle être une menace politique, culturelle et économique dont la dénonciation par les nouvelles générations est disqualifiée au nom de la religion antiraciste et égalitariste.
C’est-à-dire l’idéologie de la génération dominant le système politique actuel.
Une fois ces États socialistes en banqueroute pour cause d’effondrement du système de retraite et de santé, les cartes politiques seront rebattues. Des États entiers auront disparus ou seront réduits à l’état de fictions administratives en raison de l’écroulement de leur système fiscal central.
Désintégration des vieilles entités impériales
Si cette perspective paraît encore incertaine au plus grand nombre, le jusqu’au boutisme de l’oligarchie anti-Brexit mènera, à terme, à l’éclatement du Royaume-Uni. Il atteindra,d’ici 25 ans, à son état du 10e siècle : éclaté en régions. Le facteur racial et religieux y jouant un rôle évident : Sadiq Khan, l’actuel maire musulman de Londres, a dès le lendemain du Brexit affirmer vouloir que Londres fasse sécession (source).
La même chose attend l’État français et l’État espagnol. Et la diabolisation des nationalismes séparatistes ne changera rien à leur situation objective : en faillite, libanisés ethniquement, plus rien ne justifie de leur maintien dans les faits. L’utopie socialiste et multiculturelle se révélera, comme jadis en URSS ou en Yougoslavie, pour ce qu’elle est : un échec fondamental sanglant.
Le téléfilm Départ vers l’inconnu (WDR/ARD Degeto), le mercredi 14 février 2018, à 20h15, raconte l’histoire d’une famille fuyant un État totalitaire dans des circonstances périlleuses, avec une perspective peu commune.
Dans un futur proche, l’Europe s’est effondrée dans le chaos. Dans bien des pays, les extrémistes de droite ont pris le pouvoir. L’ancienne démocratie allemande est devenue un système totalitaire qui persécute les dissidents, les musulmans et les homosexuels.
L’avocat Jan Schneider (Fabian Busch) a plaidé en faveur de victimes dépossédées. Quand il apprend que le régime veut l’emprisonner à nouveau, il décide de fuir. Son objectif est l’Union Sud-Africaine, qui jouit d’une stabilité politique et économique après un boom économique.
Soit la science-fiction poussée à son paroxysme...
La direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) de Paris a eu connaissance des messages d’un des tueurs du père Hamel une semaine avant l’assassinat du religieux. Le terroriste y évoquait une attaque dans une église, mentionnait Saint-Étienne-du-Rouvray… Une fois le prêtre assassiné, la DRPP a alors postdaté deux documents afin de masquer sa passivité. Révélations sur les pratiques du service de renseignement parisien.
C’est décidé, Brigitte Macron ne sera plus derrière son mari lors des cérémonies, mais à côté. Plus question de faire la bobonne effacée, yeux baissés et Tupperware® dans le sac à main. Dans la catégorie « surf sur vague féministe », une championne se dessine. Pour être sur la photo, toutes les causes sont bonnes à prendre.
Parmi les résolutions pour 2018, madame Macron a décidé d’exister en dehors de son mari. D’après les services concernés, le rachat du scooter de François Hollande est la limite du genre. La borne à ne pas dépasser.
Dans le cadre de l’égalité homme-femme jusqu’au-boutiste, est-il bien normal que la première dame n’assiste pas au Conseil des ministres ? En quel honneur doit-elle rester confinée dans la cuisine à surveiller le pot-au-feu ? Par manque de place autour de la table, Brigitte Macron doit pouvoir s’asseoir sur les genoux du Président pendant qu’il chapeaute cette réunion hebdomadaire. À côté dans les cérémonies, dessus dans les assemblées et sur ses épaules le 14 juillet pour ne rien rater du défilé.
Mais Brigitte Macron n’est pas femme à galéjade. La une des magazines lui a fait prendre conscience de l’immensité de son rôle. Outre un voyage prévu à Cavaillon pour la remise du « Melon d’or », la première dame a décidé de se concentrer sur quelques dossiers prioritaires comme le handicap, l’exclusion, les accidents de la vie… Débuter par une visite au siège du PS marquerait sa détermination à prendre ces problèmes à bras-le-corps…
Manque aux dossiers chauds précités : la faim dans le monde. Excepté ce thème qu’elle laisse pour la suivante, Brigitte Macron ne fait que reprendre le rôle de dame patronnesse institué par on ne sait plus qui. La femme de Vercingétorix, peut-être… Monsieur Cléopâtre… Rien de nouveau. La différence est l’emballage du message dans une communication prétentieuse visant à faire croire que cette première dame va rénover la fonction…
La seule nouveauté est l’énorme melon de l’intéressée.
L’attaque terroriste commise en Irlande par un ressortissant égyptien a été largement tue par les médias d’état français. Elle a fait un mort et deux blessés avant-hier (voir ici).
Lors de son transfert depuis le poste de police où il était détenu, Mohamed Morei, l’auteur présumé, a été violemment pris à parti par la foule irlandaise (voir vidéo ci-dessous).
Le chef de L’État français, Emmanuel Macron, a annoncé qu’une loi permettant au gouvernement de censurer l’internet sera prochainement promulguée.
Comme de juste, l’annonce de cette censure de type chinoise (voir ici) a été hypocritement avancée au nom « de la démocratie ».
« Nous allons faire évoluer notre dispositif juridique pour protéger la vie démocratique de ces fausses nouvelles », a déclaré le chef de L’État lors de ses vœux à la presse, en indiquant que « le contenu de ce texte sera détaillé dans les semaines qui viennent ».
Ainsi, « les plateformes se verront imposer des obligations de transparence accrue sur tous les contenus sponsorisés afin de rendre publique l’identité des annonceurs et de ceux qui les contrôlent, mais aussi de limiter les montants consacrés à ces contenus », a-t-il précisé.
« En cas de propagation d’une fausse nouvelle, il sera possible de saisir le juge à travers une nouvelle action en référé permettant le cas échéant de supprimer le contenu mis en cause, de déréférencer le site, de fermer le compte utilisateur concerné, voire de bloquer l’accès au site internet », a-t-il poursuivi.
Concrètement, le gouvernement français décrétera unilatéralement qu’une information est fausse et pourra en conséquence censurer les sites qui l’ont diffusée. S’y ajoute la censure des personnes ayant des opinions jugées déviantes par le gouvernement et les intérêts qu’il défend.
A contrario, la presse d’état (radio, écrite ou télévisée) ne sera pas concernée et pourra continuer à désinformer l’opinion publique au profit du gouvernement.
En septembre 2015, au moment de la catastrophe migratoire qui s’abattait sur l’Europe, la radio d’état France Inter avait dénoncé le « fantasme de l’infiltration » djihadiste au sein des flots de migrants. Deux mois plus tard, après l’attentat du Bataclan par des djihadistes venus de Syrie, France Inter modifiait en catimini son titre.
La mesure de déréférencement a été prise pour la première fois contre Breizatao.com en avril dernier à l’initiative du ministre socialiste de la Justice, Jean-Jacques Urvoas. Elle n’avait cependant été obtenue que sur pression politique auprès de l’entreprise Google.
Cette mesure de filtrage gouvernemental sera donc systématisée et visera tout l’internet. Si des lois de censure existent déjà pour réprimer les opinions déviantes (lois Pleven, Fabius-Gayssot, Taubira, Lellouche), elles agissaient en aval et non en amont.
Grave crise de confiance pour le régime
Ce gigantesque dispositif gouvernemental de censure en temps réel de l’internet français vise à protéger un système politique qui affronte une très grave crise de confiance : seuls 43 % des électeurs ont voté pour Emmanuel Macron contre le Front National au second tour des élections présidentielles de mai 2017 (source).
La majorité des électeurs a adopté une position d’hostilité au système politique : au total, 57 % des électeurs ont voté au profit de Marine Le Pen, s’est abstenue ou a voté blanc. Cela n’intègre pas les non-inscrits (3 millions).
Ils étaient 62 % à avoir plébiscité le régime et voté pour Jacques Chirac, dans les mêmes circonstances, en 2002.
Une censure initiée par la gauche globaliste occidentale
Les contenus visés seront tous ceux que le gouvernement estime incarner une menace pour l’agenda politique qu’il promeut. En l’occurrence tous les acteurs de l’internet francophone jugés trop à droite par la gauche globaliste occidentale, notamment sur la question de l’immigration ou de l’islamisation.
Cette censure avait été annoncée dès novembre 2016 par Barack Obama lors d’un voyage en Grèce (source).
Avec la chute électorale du socialisme international en Occident – victoire de Trump, Brexit, disparition du PS français, affaiblissement historique du SPD allemand – le système globaliste qu’il a largement façonné veut donc contenir la volonté de changement populaire par la censure.
Un système démocratique laisse par définition aux citoyens la liberté d’examen et de critique pour forger leur opinion et n’impose donc aucune vérité officielle par la force de la censure et de la répression d’état. En voulant définir et imposer ce qu’il considère comme la vérité, le gouvernement démontre qu’il est conscient de la défiance populaire massive qu’il rencontre.
Eurêka ! Gérard Collomb a trouvé l’origine de la violence des banlieues. Au micro d’Europe 1, l’inventeur de l’eau chaude nous livre le fruit de ses recherches : c’est la faute à l’urbanisme.
« J’étais à Champigny, hier. Lorsque l’on voit ces grandes barres, on se dit qu’il y a un aspect totalement inhumain qui ne peut générer que de la violence. Donc, ce sont des réformes de fond qu’il faut mener à bien. »
Réhabilitation des quartiers : le retour. Subventions, travaux coûteux et inutiles… On prend les mêmes et tout recommence à l’identique. Boniments débités tristement… Maintes fois ressassés… Il suffisait, à Europe 1, de rediffuser l’interview d’un ministre de l’Intérieur des années 1980/2000… Même bla-bla, mêmes propositions creuses… Dans le grenier des vieilles mesures inefficaces, Collomb propose la mise en place d’une « police de sécurité ». En tant que ministre des pléonasmes, il est à son maximum. Et rien que des policiers équipés d’uniformes tous pareils ! Cette fois-ci, on ne rigole plus.
À l’écoute de ce discours usé jusqu’à la corde, l’auditeur se demande s’il n’est pas sur Radio Nostalgie. Gérard Collomb fait peut-être partie de la tournée Âge tendre ? « La faute à l’urbanisme » est à la politique ce que « Les Démons de minuit » sont à la chanson… Le tube incontournable des années 80, mais interprété cette fois-ci sur un ton monocorde façon Grand Corps Malade… C’est la touche de modernité du Gérard. Son côté slameur.
Les personnages qui occupent le poste de ministre de l’Intérieur semblent maraboutés par la fonction. À peine assis derrière le bureau, les voilà croyant qu’un tabasseur de flics deviendra doux comme un agneau pour peu qu’on le loge dans un immeuble moins long et un peu moins haut… L’idée est originale. C’est la magie de la place Beauvau. Si des voitures sont incendiées c’est parce que leurs couleurs sont trop agressives. Ces rouges, ces bleu marine vous électrisent le jeune de banlieue… Un vaste programme de recoloration des véhicules serait nécessaire… La notion d’incompatibilité des cultures est bien rangée sous le tapis volant du ministre. Sujet tabou. Réputé intouchable. « T’y touches, t’es mort » : la maxime est inscrite en lettres d’or au-dessus du bureau. Alors, on brode… Les barres de béton, l’urbanisme bla-bla-bla… Dans Paris même, des bandes ultra-violentes proviennent de quartiers sans barres de béton, sans urbanisme inhumain, sans éloignement du centre…
À la fin de son interview soporifique, Gérard Collomb est sorti dehors et puis est monté en haut de son ministère pour régler la mise au point de sa première priorité : la police de sécurité. Quatre pléonasmes dans la même journée. Le job est épuisant.
Tant que l’ordre de faire feu sur les racailles qui les agressent ne sera pas donné aux forces de l’ordre, toute énième jérémiade de leurs syndicats restera lettre morte. Tant que les honnêtes citoyens ne pourront pas faire usage de leur arme légalement détenue pour se défendre et défendre leur famille, les agresseurs auront le dessus. Au risque de rabâcher une évidence : les conditions d’exercice de la légitime défense sont à desserrer de toute urgence.
Comme prévu, dès début 2018, les délinquants continuent de régner en maîtres
De jour, comme de nuit, la racaille peut continuer à bomber le torse. Elle ne craint pas grand-chose.
La faute à qui ? A une certaine justice laxiste qui permet sans cesse l’émergence et la sécurité de la pègre. En son temps, le juge Pierre Michel avait mis son nez dans d’étranges complicités.
La faute à qui ? Au plus haut niveau des gouvernements successifs qui ont fait du policier de terrain une cible vivante terrorisée à l’idée de dégainer son arme de poing, terrorisée non par la racaille qui veut sa peau, mais par sa hiérarchie suprême, prête à l’envoyer en prison, tant les conditions de la riposte sont inadaptées.
La faute à qui ? Aux syndicats de policiers pas vraiment virulents. D’ailleurs, éloquent est le nombre de manifestants qu’ils drainent par rapport au nombre de ceux qui l’an passé, non syndiqués, ont crié leur ras-le-bol plusieurs jours dans Paris.
Au nom du Parti de la France, je souhaite une très bonne année à tous les défenseurs de notre civilisation. Que 2018 soit l'année de la remigration des parasites extra-européens, du retour à l'ordre naturel, du réveil de nos compatriotes et de la renaissance française. Haut les cœurs ! Entrez dans l'espérance !
Bien de l’eau a coulé sous les ponts depuis l’affaire Dreyfus. Mais il reste des sujets qu’il est malséant d’aborder lors des repas de famille. La politique en fait partie. La République en marche sait pourtant que « les repas de famille donnent souvent lieu à des débats politiques… particulièrement pendant les fêtes ! » Et s’en réjouit car elle voit là l’occasion rêvée de faire sa propagande.
L’an dernier, quand Emmanuel Macron n’était encore que candidat à la succession de François Hollande, l’équipe de campagne d’En Marche ! avait envoyé à ses militants un courriel les invitant à se faire les ambassadeurs de leur favori. En leur indiquant quelques sujets à aborder pour « alimenter [les] conversations ». Fort de ce qui a manifestement été un succès, Christophe Castaner remet le couvert pour vanter la politique du désormais Président, si l’on en croit Le Dauphiné libéré.
La règle du jeu est simple. Dans la famille Trucmuche, la majorité a déjà pioché l’adhérent LREM. Celui-ci va devoir, le temps d’un réveillon, convaincre tous les membres de sa famille de rejoindre les Marcheurs. Mais si le principe est à la portée de tous les entendements, en pratique, l’exercice peut se révéler délicat. Car le parcours est semé d’embûches, les Trucmuche imaginés par M. Castaner comptant dans leurs rangs des grincheux de toutes obédiences : de l’« oncle sceptique sur la capacité du président à réformer le pays » au « cousin soucieux du sort des sans-abris (sic) », en passant par la mamie et la maman inquiètes de leur propre sort (l’augmentation de la CSG des retraités et autres taxes), sans oublier l’écolo qui, lui, tremble pour la planète en cette période de réchauffement climatique.
Que les 350.000 adhérents LREM se rassurent : grâce aux « éléments de conversation », nom festif donné aux habituels « éléments de langage », persuader tous ces bourrus devient un jeu d’enfant. Il suffit d’apprendre par cœur quelques phrases toutes simples (« Le président agit et vite. Il fait ce qu’il a dit pendant la campagne. »), « deux chiffres : 138.000 places d’hébergement ouvertes […] ; hausse de 18 % du budget de l’intégration », un flegmatique « Mamie, cela ne te concerne pas » et un tonitruant « #MakeOurPlanetGreatAgain ».
Les récalcitrants qui ne seront pas ralliés à la cause du Président après le foie gras courront sans nul doute payer leur cotisation avant la bûche. Sinon, il restera à jouer la dernière carte fournie par LREM, le valet d’atout : déclamer, en contemplant sa coupe de champagne façon Hamlet devant son crâne : « Souvenez-vous, au même moment l’année dernière, Emmanuel Macron n’était qu’une “bulle médiatique”, “qu’il n’aurait pas de majorité”, “qu’il ne ferait pas le poids face à Trump ou Poutine”. En un an, nous avons déjoué tous les pronostics et démontré que impossible n’est pas français. » Cette phrase impossible n’est effectivement pas française, mais chut ! il ne serait pas très charitable de leur gâcher la fête.
Des citoyens de Palerme et des responsables religieux se sont rassemblés le 27 décembre pour accueillir la poupée noire de l’enfant Jésus offerte par une famille de migrants sri lankais. Selon le prêtre gauchiste, Giuseppe Garofalo, ce cadeau est « un geste de solidarité ».
Jusqu’où la folie humaine peut-elle conduire ? Searah Deysach, l’étrange mère d’un « enfant non genro-conformiste » vend via internet de faux pénis « extra-petits » pour les enfants transgenres de moins de cinq ans.
Il s’agit de « garnitures » en silicone destinées aux petites filles qui s’identifient à des petits garçons.
Le site TransKids commercialise différents modèles de prothèses sexuelles pour petites filles transgenres : au choix, « circoncis » ou non et déclinés en plusieurs coloris – noix de cajou, caramel et noisette – et en plusieurs tailles pour des enfants de 5 à 8 ans.
Ces articles, classés dans la catégorie « extra-petits », font partie d’un certain nombre de produits pour enfants transgenres. Outre les livres et albums à colorier d’un genre particulier, le site vend des sacs (à l’effigie des tortues ninja et autres superhéros) pour ranger leur faux sexeainsi que des gadgets pour permettre aux petites filles de « pisser debout ».
« Souviens-toi que l’entraînement perfectionne ! » dit le commentaire.
Searah Deysach, la gérante du site, s’occupe depuis plusieurs années d’autres sites dédiés aux sexualités « non conformistes » et gère également un sex-shop. Tout ceci explique peut-être pourquoi elle dit avoir un enfant « non genro-conformiste », non ?