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Le blog politique de Thomas JOLY

Inflation, travailleurs pauvres, matraquage fiscal : ça suffit !

12 Septembre 2023, 06:36am

Publié par Thomas Joly

Inflation, travailleurs pauvres, matraquage fiscal : ça suffit !

De nombreux artisans et entrepreneurs se plaignent, à raison, de ne plus trouver personne à embaucher, en particulier des jeunes.

Toutefois, comment reprocher aux Français d'hésiter à accepter un SMIC à 1.383 € qui ne permet pas de pouvoir vivre décemment ? Alors même que les minimas sociaux et les aides diverses cumulées permettent un revenu quasi-similaire.

En cette période d'inflation fulgurante et de stagnation des salaires, le nombre de travailleurs pauvres explose.

Notre système d'assistanat néo-communiste financé par des prélèvements colossaux - tant pour les employeurs que pour les salariés - accélère l'effondrement économique du pays provoqué par la folie des Banques centrales et de nos gouvernants.

Le Parti de la France s'engage à en finir avec ce système socialiste qui ruine le pays, à redonner le goût de l'effort et du travail aux Français afin qu'ils puissent vivre dignement de leur emploi sans que l'État ne les saigne à blanc.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Jonathan Sturel présente son dernier ouvrage, « L'arrière petit-fils »

12 Septembre 2023, 06:17am

Publié par Thomas Joly

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Alexandre Hinger reçoit le Président du Parti de la France

10 Septembre 2023, 16:58pm

Publié par Thomas Joly

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Le rugby, c’est l’amour de la France et le rejet de Macron !

9 Septembre 2023, 09:09am

Publié par Thomas Joly

Avec ce score de 27 à 13 contre les redoutables All Blacks de Nouvelle Zélande, l'équipe de France de rugby ne pouvait pas mieux entrer dans la compétition. On oubliera le démarrage laborieux des Bleus, ils n'en ont que davantage de mérite. Le coup d’envoi est donné ! Pendant sept semaines, la France s’apprête à vivre au rythme de la Coupe du monde et du XV de France. Drapeaux tricolores, « Marseillaise » et chants basques emplissent les stades, les bars et les rues, et redonnent à la France un souffle de patriotisme. Un souffle qui a décoiffé au passage le président Macron, copieusement sifflé par le Stade de France lors d'une courte intervention avant le match.

Il y avait là sans doute une réaction à cette tentative épaisse de récupération politique.  Surtout, le public du rugby n'est apparemment pas celui du président de la République. Question de valeurs, plus qu'apparentes dans la communication de ce sport ancré dans le sud-ouest, la culture rurale et la terre que labourent les mêlées.

Une cérémonie bien française

Ainsi, pour lancer cet événement hors normes, quoi de mieux que de confier la mise en scène de la cérémonie d’ouverture au plus français des acteurs : Jean Dujardin. Casquette de Gavroche vissée sur la tête, marcel blanc et baguette sous le bras, l’acteur oscarisé, accompagné de centaines d’artistes et figurants, orchestre une célébration de « l’art de vivre à la française ». Artisans de nos terroirs, chefs étoilés, acteurs, danseurs étoiles… tous les talents de l’Hexagone ont répondu présent pour célébrer la France devant un public gonflé à bloc.

Sur la pelouse du Stade de France, au son de la « Peña Baiona », les chefs étoilés Guy Savoy et Hélène Darroze défilent aux côtés du chef pâtissier Pierre Hermé et de Joël Puech, le plus célèbre ostréiculteur du bassin d’Arcachon. Avec eux, boulangers, artisans charcutiers et sommeliers participent à la fête. Au centre du terrain, Alice Renavand, danseuse étoile de l’Opéra de Paris, incarne, au bras de Jean Dujardin, l’élégance à la française. Un décor poétique pour montrer aux caméras du monde entier les richesses et la beauté de notre pays.

Le « rugby de terroir »

Cette réunion d’artistes, de bons vivants et de fins gourmets est loin d’être un hasard. Car le rugby, d’origine anglaise, est devenu au fil des ans une tradition française, une partie intégrante de notre patrimoine. La sélection du XV de France, annoncée dans une vidéo aux accents très terroir, en est l’incarnation. De Castelnau-Magnoac à Brive-la-Gaillarde en passant par Saint-Jean-de-Luz, Pau, Vire et Nouméa, les joueurs, par leurs origines et leurs accents, nous font voyager aux quatre coins de la France. Enfin, une diversité qui fait du bien!

Et que dire des expressions de l’Ovalie qui sentent bon la ruralité. Nul doute qu’au cours de cette Coupe du monde, nous entendrons ainsi des journalistes sportifs parler de « saucisson » pour qualifier une mauvaise passe ou s’inquiéter que « le cochon soit dans le maïs » pour signifier que l’adversaire est encore capable de revenir au score et de remporter le match. Que dire de l’esprit de camaraderie, des chants venus de nos provinces, de la convivialité des bistrots et des soirées dans les bars à commenter le match de la veille devant un verre de vin et un bon saucisson du Sud-Ouest. Pour David Beresford, auteur anglais de Frères d’armes, un récit de l’âge d’or du rugby français, francophile et passionné du ballon ovale, joint par BV, les Français, à défaut d’avoir inventé le rugby, l’ont réinventé et en ont fait « un sport de terroir ».

Tant pis si des esprits chagrins trouvent à dénigrer cet éloge de la France et cet élan de patriotisme, loin en effet du mondialisme destructeur qui sous-tend le macronisme. Comme le rappelait Jean Dujardin, au printemps dernier, « le plus gros problème de ce pays est qu’il ne s’aime pas assez ». Alors, profitons de cette parenthèse de la Coupe du monde pour célébrer et redire notre amour de la France. Allez les Bleus !

Clémence de Longraye

Source : http://bvoltaire.fr

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Rediffusion du Forum du Parti de la France du 07/09/23

8 Septembre 2023, 06:55am

Publié par Thomas Joly

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La France s’enfonce dans la pauvreté

8 Septembre 2023, 06:35am

Publié par Thomas Joly

C’est l’affaire qui secoue le Landerneau depuis le début de la semaine : le don de 10 millions d’euros de la famille Arnault aux Restos du cœur.

Une honte, crie la gauche épouvantée par cet humanisme « ostensible », comme écrit Libé. Eh oui, ainsi va la France : ici, quand les riches donnent aux pauvres, la gauche qui brunche se pince le nez. Et tout les braillards de La France insoumise de s’égosiller, faisant assaut de mensonges et contre-vérités. Les entreprises de Bernard Arnault font vivre 160.000 salariés à travers le monde. 15.000 ont été recrutés sur le seul territoire français en 2022, ce dont on devrait se réjouir. Mais non. Et les brailleries des insurgés empêchent de se pencher sur le vrai problème : non pas la fortune de la famille Arnault mais la faillite en cascade des associations d’aide aux nécessiteux.

Car si Bernard Arnault a donné 10 millions d’euros aux Restos du cœur, ce n’est pas seulement parce que l’association fondée par Coluche a vu douze de ses camions vandalisés par des abrutis, mais bien parce qu’elle annonce un déficit à venir de 35 millions d’euros. Lui emboîtant le pas, c’est aussi la Croix-Rouge qui appelle à l’aide et annonce, elle, s'attendre « à un déficit global compris entre 45 et 50 millions d'euros cette année ».

Du Secours catholique aux Restos du cœur en passant par tout ce que la France peut compter d’organismes de « bienfaisance », on appelle à l’aide et à la générosité du bon peuple. Tous se disent débordés par l’affluence. Ainsi, dans son baromètre Ipsos publié ce mercredi, le Secours populaire écrit que « près d’un Français sur cinq (18 %) vit à découvert, une hausse de trois points par rapport à 2022 ». « Nous sommes dans une situation où la question de la faim réintervient dans la vie quotidienne de millions de familles sur notre territoire », dit la secrétaire générale, sur France Info.

En cause, principalement, l’inflation et la hausse des coûts de l’énergie. Il ressort ainsi de cette enquête que « 63 % des personnes dont le revenu mensuel net du foyer est inférieur à 1.200 euros par mois déclarent avoir du mal à payer certains actes médicaux (+10 points en un an) et 57 % (+10 points) à se procurer une alimentation saine permettant de faire trois repas par jour ».

Alors, bien sûr, le Français qui paie des impôts se demande ce qu’on fait de tout « ce pognon de dingue ». Comment se fait-il que l’État « prodigue », qui distribue des aides à tout va, depuis les préservatifs jusqu’aux serviettes hygiéniques en passant par le chèque énergie et le chèque rentrée, n’arrive pas à enrayer la descente aux enfers de tant de nos concitoyens ?

Osera-t-on, d’abord, poser les questions qui fâchent : qui sont ces « Français » dont on parle ici ? Combien d’étrangers parmi les affamés, combien de mères seules dont l’époux est reparti au bled ? Et combien, parmi ceux qui frappent à la porte des associations, ont des boulots sous-payés ? Combien sont des esclaves de « la start-up nation » chère à Macron, livreurs de sushis et autres Uber-shit à la solde des bobos ?

Un nouveau scandale est en train de monter : celui des crèches, comme, hier, celui des EHPAD. En principe – je souligne –, un titulaire du CAP petite enfance, comme un ASH en EHPAD, gagne le SMIC. Avec les tripatouillages horaires, c’est souvent moins. Tout comme les agents de l’ALSH (accueil de loisirs sans hébergement) qui s’occupent de vos enfants hors du temps scolaire, rémunérés ici par la commune largement en dessous du SMIC : de 6 à 8,50 euros de l’heure, quand le SMIC horaire vient de passer à 11,52 euros (11,07 euros en 2022). Cela, pour un travail souvent épuisant auprès des enfants et de lourdes responsabilités dans une société qui ne tolère plus l’exercice de l’autorité.

Qui peut vivre avec cela ?

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Il n'y a aucune urgence climatique

8 Septembre 2023, 06:24am

Publié par Thomas Joly

Il n'y a aucune urgence climatique

La climatologue Judith Curry, une climatologue américaine de premier plan, explique que la science a été corrompue par la politique et qu’il n’y a pas d’« urgence climatique ». Judith Curry, qui est présidente et cofondatrice du Réseau d’applications des prévisions climatiques, qui a occupé la chaire des sciences de la terre et de l’atmosphère pendant 13 ans, qui est un ancien membre du comité de recherche sur le climat du Conseil national américain de la recherche, membre de l’American Meteorological Society, de l’American Association for the Advancement of Science et de l’American Geophysical Union, a publié plus d’une centaine d’articles scientifiques, et a codirigé plusieurs ouvrages majeurs sur le climat. Ses recherches portent sur les ouragans, la télé- détection, la modélisation atmosphérique, les climats polaires, les interactions air-mer, les modèles climatiques. Elle connaît a priori son sujet, en tout cas mieux que Sandrine Rousseau. Elle était interviewée dans le Marc Morano Show sur TNT Radio Live. Elle s’est moquée des prédictions selon lesquelles la Terre entre dans l’ère « de l’ébullition mondiale », rappelant que les records de chaleur ne remettent pas en question les limites de la survie humaine et que le froid tue beaucoup plus de gens que la chaleur. Elle note aussi perfidement qu’aux Etats-Unis, la population des 50 comtés les plus exposés à un « risque de chaleur extrême » a augmenté en moyenne de 4,7 % entre 2016 et 2020, et les localités où le risque climatique est relativement faible ont vu leur population diminuer. « Soit ils sont tous idiots », dit-elle, soit, le « risque climatique » est une amplification médiatique.

Se moquant du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, très en pointe sur le sujet, elle conclut : « Je me demande qui invente ce genre d’âneries pour Guterres ». Judith Curry n’est pas seule, loin de là. Plus de 1 600 scientifiques, dont deux lauréats du prix Nobel, viennent de déclarer que « l’urgence climatique est un mythe » et qu’ils « s’opposent fermement à la politique néfaste et irréaliste de réduction nette des émissions de CO2 » qui est préconisée dans le monde entier. Ils ne nient pas l’effet nocif des gaz à effet de serre, mais remettent en question l’hystérie provoquée par le récit d’une catastrophe imminente, demandant aux autres scientifiques de « s’attaquer aux incertitudes et aux exagérations dans leurs prévisions du réchauffement climatique ». Ils affirment que la politique et la frénésie journalistique ont propulsé une hystérie apocalyptique sur le changement climatique. Leur conclusion : « la science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques ».

Le Docteur John F. Clauser, lauréat du prix Nobel de physique 2022, a déclaré, quant à lui : « La science climatique erronée s’est métastasée en une pseudo-science journalistique massive et choquante. À son tour, cette pseudo-science est devenue un bouc émissaire pour une grande variété d’autres maux sans rapport. Elle a été promue et étendues par des agents de marketing commercial, des politiciens, des journalistes, des agences gouvernementales et des écologistes tout aussi malavisés ».

Robert Spieler

Source : Rivarol

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+ 28 % de demandes d’asile : von der Leyen a fait de l’Europe une passoire

7 Septembre 2023, 06:28am

Publié par Thomas Joly

C’est devenu un rituel. Tous les trois à six mois, les chiffres de l’immigration européenne tombent. Et à chaque fois, le même constat s’impose : l’Europe fait face à une submersion migratoire et rien ne semble fait pour empêcher cette vague d’engloutir le Vieux Continent. Cette fois encore, l’Agence de l’Union européenne pour l’asile constate une énième augmentation (+28 %) des demandes d’asile déposées au sein de l’UE, en Suisse et en Norvège. Avec 519.000 demandes déposées au cours du premier semestre, l’année 2023 est, selon les premières estimations, en passe d’égaler – si ce n’est dépasser – les niveaux record atteints en 2015 et 2016, lors de la précédente crise migratoire. « D’après les tendances actuelles, les demandes pourraient excéder un million d’ici la fin de l’année », observe ainsi l’agence européenne. En France, les réactions ne se sont pas fait attendre longtemps. Côté Rassemblement national, Marine Le Pen dénonce une nouvelle fois ce « torrent migratoire » qui déferle sur l’Europe. Jordan Bardella, quant à lui, accuse « Bruxelles » d’encourager « le dévoiement du droit d’asile ». De son côté, Nicolas Dupont-Aignan appelle la France à « retrouver la maîtrise de ses frontières nationales ».

Un appel d'air migratoire

Une indignation partagée par de nombreux responsables politiques, car l’immigration en Europe n’a jamais été aussi forte que depuis cinq ans. En effet, à cette explosion des demandes d’asile, il convient d’ajouter les chiffres de l’immigration clandestine qui, eux aussi, connaissent une forte hausse depuis plusieurs années. L’an passé, 330.000 passages illégaux ont été comptabilisés aux frontières extérieures de l’Union européenne par l’agence Frontex en charge du contrôle des frontières européennes. Un record depuis 2016 ! Et sur les trois premiers mois de 2023, déjà 54.000 passages clandestins ont été détectés, soit une augmentation de 26 % par rapport au premier trimestre 2022. À l’exception de l’année 2020 marquée par la crise sanitaire et le ralentissement des migrations, le mandat d’Ursula von der Leyen aura donc été marqué par une forte hausse de l’immigration légale et illégale. Et ce, alors que la présidente de la Commission avait promis de « redoubler d’effort ».

Les échecs de la Commission sont nombreux. Côté asile, tout d’abord, la politique d’Ursula von der Leyen n’a fait que créer un appel d’air. Alors que nombre d’élus dénoncent le dévoiement du droit d’asile, devenu filière d’immigration clandestine, et que les États membres luttent contre le franchissement illégal de leurs frontières, Ursula von der Leyen a fait savoir, par la voix de sa commissaire aux Affaires intérieures, Ylva Johansson, que « les refoulements sont clairement illégaux : les gens ont le droit de demander l’asile ». Autrement dit, les États membres doivent accueillir tout migrant qui se réclamerait du droit d’asile, y compris les clandestins.

Sur la question de la protection des frontières extérieures, ensuite, la présidente de la Commission s’est également illustrée par son inaction. Malgré les demandes insistantes d’États membres, confrontés à une forte pression migratoire, de construire des murs, l’ancien ministre allemand a refusé de leur apporter un soutien financier. Selon elle, dresser des barbelés aux frontières extérieures de l’Union européenne serait « contraire aux valeurs de l’Europe ». Elle a simplement accepté l’achat de caméras de surveillance, bien mois dissuasives…

Enfin, avec son Pacte sur la migration et l'asile, promis depuis le début de son mandat, Ursula von der Leyen, loin de vouloir limiter, contrôler ou, a minima, maîtriser l’immigration en Europe, souhaite simplement organiser les flux migratoires. Les passeurs et l’immigration ont donc de belles années devant eux…

Restent, alors, les élections européennes de 2024 pour changer le visage de la Commission et, qui sait, peut-être, endiguer la submersion migratoire qui menace déjà l’Europe.

Clémence de Longraye

Source : http://bvoltaire.fr

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Emmanuel Macron annonce une « conférence sociale » en octobre, nous sommes sauvés !

7 Septembre 2023, 06:09am

Publié par Thomas Joly

Emmanuel Macron annonce une « conférence sociale » en octobre, nous sommes sauvés !

Voilà qui va rassurer et passionner les Français : Emmanuel Macron annonce la tenue d'une « conférence sociale » au mois d'octobre, sous l'égide de la chaleureuse Elisabeth Borne.

Sûrement sera-t-il expliqué aux Français, lors de cet énième raout démago-républicain, que tout ne va pas si mal et qu'ils devraient se plaindre un peu moins fort de l'explosion des prix du carburant, des denrées alimentaires, de l’énergie, des impôts locaux, etc.

L'« action » du gouvernement y sera célébrée et les « partenaires sociaux » (comprendre la lie syndicale socialo-communiste) prendront leurs postures habituelles de pseudo-défenseurs des travailleurs.

Qui peut encore accorder le moindre crédit à ces comités Théodule qui n'aboutissent absolument jamais à quelque chose de concret ?

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Le Forum du Parti de la France fait sa rentrée jeudi 7 septembre !

6 Septembre 2023, 19:45pm

Publié par Thomas Joly

Le Forum du Parti de la France fait sa rentrée jeudi 7 septembre !

Jeudi 7 septembre, le Forum du PdF fait sa rentrée ! Alexandre Hinger reçoit pour l'occasion Bruno Hirout et Yvan Benedetti.

L'émission sera consacrée aux événements marquants du mois d'août et traitera également de l'actualité politique.

C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram : https://t.me/partidelafrance

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Plus que les déterminismes sociaux, l’égalitarisme est facteur d’inégalités

6 Septembre 2023, 06:30am

Publié par Thomas Joly

L'égalité des chances n'existe pas à la naissance. Les déterminismes sociaux sont une réalité à laquelle il est difficile d'échapper. Les conditions de logement, l'environnement culturel et familial, le quartier où l'on habite, l'école où l'on est affecté peuvent influer sur la réussite scolaire d'un enfant. Les enfants de milieux défavorisés sont-ils donc condamnés à l'échec ? Ils ne le seraient pas si l'école n'avait pas renoncé à sa mission d'instruction, d'émancipation et de promotion sociale.

Sur France Culture, le sociologue Bernard Lahire a souligné que le rapport au livre et à la lecture, dès la petite enfance, est déterminant. Au demeurant, si l'on en croit des recherches récentes, la numérisation et le survol en ligne sont, pour tous, des obstacles à une lecture sérieuse. Mais quand des parents ne parlent pas le français ou ne savent pas ce qu'est un livre, quand l'enfant n'a pas d'endroit pour faire ses devoirs ni personne pour lui donner des explications, il paraît évident qu'il a plus de mal à progresser dans ses études. 

L'école, précisément, devrait remédier à ces inégalités sociales en apportant aux enfants ce qu'ils ne peuvent trouver dans leurs familles. Aucun élève, s'il a du talent, ne devrait pâtir de sa condition sociale. Chacun se souvient de Louis Germain, qui intervint auprès des parents d'Albert Camus pour les convaincre de lui faire poursuivre ses études au lycée d'Alger. On prétend que l'école s'est démocratisée, mais il y a 50 ans, les enfants d'ouvriers ou de paysans étaient plus nombreux qu'aujourd'hui dans les filières sélectives.

La méritocratie abandonnée

Le problème, c'est qu'on a abandonné l'idéal républicain de l'école, ce qu'on n'ose même plus qualifier de méritocratie, de peur de passer pour un horrible réactionnaire. L'égalitarisme a tellement perverti les esprits qu'il est interdit de laisser entendre qu'il pourrait y avoir de bons et de mauvais élèves. Les bourses scolaires sont distribuées indifféremment, les classements, les compositions trimestrielles ont disparu, les devoirs à la maison sont proscrits. Pis encore : on a renoncé à l'exigence pour ne pas pénaliser ceux qui réussissent moins bien que les autres.

Il ne s'agit pas, comme l'avait déclaré Vincent Peillon, dans une formulation pour le moins contestable, « d'arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel » – il y avait quelque chose de totalitaire dans son propos –, mais de corriger des inégalités pour permettre à tous les élèves studieux, quel que soit leur milieu d'origine, de développer leurs talents et de tendre vers l'excellence. En aidant matériellement et en accompagnant tous les élèves méritants.

Sirènes égalitaristes

La plupart des gouvernements, depuis des décennies, à gauche comme à droite ou au centre, ont cédé, par démagogie ou par idéologie, aux préjugés égalitaristes. Le doublement d'une classe est proscrit, on met en place, sous différentes appellations, des « programmes personnalisés de réussite éducative » pour faire semblant d'agir, on pratique une fuite en avant en remettant à la classe suivante le soin de remédier aux lacunes précédemment accumulées, on fonce dans le mur...

Les gens au pouvoir se gargarisent de belles intentions, proclament que chacun doit avoir sa chance, feignent de croire que le système éducatif fonctionne. Dans les faits, c'est à chaque famille de se débrouiller, de trouver les bons tuyaux, les bonnes filières, les bons établissements. Ceux qui disposent de moyens matériels et de réseaux y arrivent mieux que d'autres. Les fils à papa ont toujours existé, ils se sont juste donnés « la peine de naître », comme disait Figaro. Mais beaucoup d'enfants sont laissés pour compte, parmi lesquels combien de Mozart assassinés !

Philippe Kerlouan

Source : http://bvoltaire.fr

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La Cour de cassation contre la vérité historique sur le Maréchal Pétain

5 Septembre 2023, 19:19pm

Publié par Thomas Joly

La Cour de cassation contre la vérité historique sur le Maréchal Pétain

La Cour de cassation a décidé, ce jour, de casser la décision de la Cour d’appel de Paris qui avait relaxé Éric Zemmour du délit de contestation de crime contre l’humanité, pour avoir déclaré que le maréchal Pétain avait « sauvé des Juifs français» . Quand bien même le Maréchal n'a jamais été condamné pour crime contre l'humanité.

Nous saluons une nouvelle fois le courage d'Éric Zemmour sur cette question. Le Président de Reconquête ne fait d'ailleurs que rappeler l'avis de nombreux historiens, notamment juifs, qui estiment que le maréchal Pétain fut « l’élément principal qui explique comment 75 % des Juifs de France ont survécu » (Alain Michel, historien, juif et rabbin).

Nous rappelons que le Parti de la France est favorable à l'abrogation de toutes les « lois mémorielles », souhaitant que les historiens puissent travailler en toute liberté et indépendance, sans risques de poursuites judiciaires, afin de réviser ou non l'Histoire dans la recherche de la vérité, ce qui est le métier même d'historien.

Maxime Leroy - Délégué général adjoint du Parti de la France

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La victoire de la horde de rats sur le lion isolé

5 Septembre 2023, 06:12am

Publié par Thomas Joly

La victoire de la horde de rats sur le lion isolé

Pour la poignée de citadins privilégiés et socialement domestiqués qui fait grandir ses gosses à l’abri du chaos, Chalureau est un plouc raciste doublé d’un imbécile, le vestige d’un passé qu’ils abhorrent.

Pour les classes populaires de province que leur condition sociale a assigné à résidence dans la France Libanisée, cette affaire n’est qu’un fait divers totalement banal, une simple scène de leur vie quotidienne.

Dans la cour de l’école, dans la rue, dans les rames de métro, sur les terrains de sport, et jusque dans les bals de nos campagnes les plus reculées, le face à face prophétisé par Gérard Collomb a déjà commencé, entre des communautés qui ne partagent rien et ne veulent pas vivre ensemble.

Il n’y a ni gentils ni méchants, ni héros ni salauds.

Le petit blanc Bastien Chalureau et le descendant d’immigré Yannick Larguet sont les victimes collatérales de 50 ans de libéralisme post soixante-huitard qui a plongé une génération entière de Français dans l’enfer du multiculturalisme et le poison de la violence inter communautaire.

Jérémy Bouhy

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Présidentielles : au secours, Édouard Philippe revient !

5 Septembre 2023, 06:05am

Publié par Thomas Joly

À peine Emmanuel Macron réélu, le bloc du centre et de la droite se cherche déjà un nouveau héraut pour l’élection présidentielle de 2027. Édouard Philippe serait, paraît-il, le nouvel élu... par les sondages seulement, en attendant que les électeurs confirment ou non leurs pronostics. À en croire celui publié dans l’édition dominicale du Parisien, l’ancien Premier ministre serait donc en tête des enquêtes d’opinion.

Ainsi séduirait-il 33 % des sondés, sur l’ensemble du corps électoral, contre 30 % pour Marine Le Pen. Quant aux sympathisants de droite, ils seraient 60 % à lui apporter leurs suffrages, contre 40 % à la même Marine Le Pen. Quoique tout cela puisse sembler un brin précipité – cette élection n’aura lieu que dans quatre ans –, on voit bien ce qui hante le sommeil du monde médiatico-politique : la possible arrivée au pouvoir de Marine Le Pen.

Tous obsédés par Marine Le Pen

David Doukhan, rédacteur en chef du service politique du Parisien, affirme ainsi : « Pendant ce temps, Marine Le Pen gagne du terrain, élection après élection. Et la gauche est pour l’instant dominée par La France insoumise dont le programme et la stratégie sont si clivants. Par conséquent, le centre droit, masse électorale modérée, importante et stable, est un enjeu décisif. Qui pour en devenir le champion ? »

Qui ? Édouard Philippe, pour les tenants d’une alliance allant du centre gauche à la droite. Ou encore Gérald Darmanin, pour ceux qui opteraient plutôt pour une union censée réunir la droite et le centre droit, sans négliger les électorats macroniste et zemmourien, tel que théorisé par Nicolas Sarkozy. Bref, cinquante nuances de macronisme, censées incarner un « bloc élitaire » ou « bourgeois » contre le « bloc populaire » des « laissés-pour-compte », histoire de reprendre la phraséologie mariniste.

Faire du neuf avec du vieux

Mais pour redonner vie à ce « bloc », encore faut-il faire semblant de faire du neuf avec du vieux. Ce qui paraît assez jouable pour le ministre de l’Intérieur, sorte de sous-Nicolas Sarkozy, en un peu moins distingué, et qui, dans ce sondage, n’attirerait que 17 % du corps électoral et 44 % des sympathisants de droite, l’est déjà nettement moins dans le cas d’Édouard Philippe.

Car l’homme censé incarner le nouvel espoir centriste n’est pas neuf : Jeanson-de-Sailly et ENA, avocat d’affaires pour des cabinets internationaux et membre éminent de la French-American Foundation, soit l’un de ces Young Leaders formatés par le soft power américain. L’un de ses camarades de promotion n'est autre qu'un certain Emmanuel Macron.

Le bon élève du système…

Politiquement, l'itinéraire de Philippe est tout aussi classique. Militant rocardien, il rallie Alain Juppé, devient l’un des membres fondateurs de l’UMP avant de faire un détour chez François Fillon, qu'il lâchera pour le même Emmanuel Macron.

Tenu pour faire partie du lobby nucléaire français, Édouard Philippe n’hésite pas, en tant que Premier ministre, à faire fermer la centrale de Fessenheim. Ce qui ne l’empêchera pas, en tant que maire du Havre, d’empêcher la fermeture d’une centrale à charbon en 2017. On n’oubliera pas, non plus, qu’il fut l’un des responsables de la jacquerie des gilets jaunes, s’entêtant à imposer la limitation à 80 km/h sur les routes nationales, à rebours de l’Élysée qui voyait en cette mesure un diktat vexatoire. La répression qui a suivi, avec ses cortèges d’yeux crevés et de mains arrachées, fut encore menée sous sa responsabilité. De même, entre autres titres de gloire, qu’une réforme avortée du système des retraites, en 2020, finalement adoptée au 49.3, précédant ainsi les coups de force d’Élisabeth Borne.

Le confinement lui permet encore de montrer toute l’étendue de sa versatilité. Le 13 mars de la même année, il assure, sur TF1, que « le port du masque est inutile en population générale », avant de se raviser. Tout comme il reconnaîtra avoir « évolué sur la question de la PMA », alors qu’il était contre, quelques années plus tôt.

Voilà donc celui qui serait le champion de la droite et du centre droit pour 2027 ! Ses électeurs se laisseront-ils plumer une fois de plus ?

Nicolas Gauthier

Source : http://bvoltaire.fr

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