Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, réagit au grave incendie de l'usine Lubrizol classée Seveso à Rouen.
Alors que le gouvernement, en plein déni de réalité, tente de rassurer la population avec un discours tranquillisant digne des plus beaux régimes totalitaires, #Rouen subit une véritable catastrophe écologique
Invitée sur LCP, Agnès Buzyn tente de résumer la situation : « C’est une loi qui confronte la science, les progrès scientifiques, avec les dési… le… les… les choix d’une société et avec des douleurs individuelles. »
Le lapsus est là, il est clair. La loi de Madame Buzyn mettra en effet la science au service des désirs individuels. En l’occurrence ici, le désir d’avoir un enfant deviendra, dans la loi, le droit à l’enfant.
Peu importe si de nombreux pédopsychiatres, médecins et autres scientifiques alertent sur les dangers de cette « PMA pour toutes ».
En 2019, le père est apparemment remplaçable, substituable. Non nécessaire. En atteste cet échange entre la ministre et la journaliste, apparemment toutes deux sur la même longueur d’onde.
La journaliste — Un père c’est une fonction symbolique, ça peut être femme ? Agnès Buzyn — Ça peut être une femme, évidemment, ça peut être une altérité qui est trouvée ailleurs dans la famille, on le voit, ça peut être des oncles, ça peut être heu… La journaliste — Une grand-mère. Agnès Buzyn — Une grand-mère (rires).
Un père ça peut être un cactus. Un chat ça peut être une vache. 8 = 125.
L’entretien complet est ici (entretien qui a été mis en privé par LCP sur leur chaîne Dailymotion, mais que l’on peut continuer à visionner depuis leur site).
Entre la gestion catastrophique d’EDF (notamment à cause des syndicats), l’Union Européenne et sa politique capitaliste d’ouverture obligatoire à la concurrence et les mensonges du gouvernement Macron, les augmentations hallucinantes et successives des prix de l’électricité sont le résultat d’un combo de bêtises idéologiques et de magouilles politiques.
Entre + 3,5 et + 4 % ! Voici, selon des calculs validés par plusieurs sources, la hausse que les tarifs de l’électricité risquent de subir au 1er janvier 2020. Soit une soixantaine d’euros supplémentaires sur la facture d’un ménage se chauffant à l’électricité. Et une trentaine d’euros pour ceux qui utilisent un autre moyen de chauffage. Cette augmentation est le résultat d’une bataille entre l’État, la Commission européenne, EDF et les autres fournisseurs d’électricité. Explications.
Le 10 septembre, nous dévoilions les dessous d’un accord confidentiel obtenu par la France auprès de la Commission européenne pour obtenir le feu vert sur la scission d’EDF. En échange de la séparation de ses activités de distribution (Enedis) et de production (le nucléaire), EDF verrait le prix de son électricité d’origine nucléaire (Arenh), qu’elle a obligation de vendre à ses concurrents, revalorisée à 45 euros le mégawattheure (MWh), au lieu des 42 euros actuellement. Une mauvaise nouvelle pour les consommateurs. En achetant leur électricité plus chère, les concurrents d’EDF seraient également obligés de relever leurs prix.
Pour limiter cette hausse, le gouvernement avait promis en contrepartie aux concurrents d’EDF de relever le plafond de l’accès régulé à l’Arenh de 100 à 150 TWh. De quoi leur faire regagner par le volume ce qu’ils auraient perdu par le prix.
Mais patatras ! L’exécutif a, selon nos informations, l’intention de faire machine arrière. Le prix de l’Arenh pourrait bien rester à son niveau d’aujourd’hui. Mais auquel cas, son plafond demeurera lui aussi identique. Or, dans ce cas, les concurrents d’EDF seront obligés de se rabattre pour leurs achats sur ce qu’on appelle le marché de gros, une sorte de bourse de l’électricité, où les prix sont généralement plus chers. Achetant leur électricité plus chère, ils seront également obligés de la revendre à leurs clients plus chère.
L’effet pervers est que les tarifs régulés d’EDF étant eux-mêmes corrélés à ces prix, tout le monde sera au final perdant. Les 8 millions de clients des fournisseurs alternatifs, comme les 25 millions d’abonnés aux tarifs régulés.
Cette manœuvre permet à EDF d’être gagnante financièrement, en limitant à ses concurrents l’accès à son énergie nucléaire. Mais pourquoi le gouvernement favorise-t-il ainsi l’opérateur historique ? « Il faut absolument sauver le soldat EDF », confie une source proche du dossier. « L’entreprise est plombée par une dette nette de 37 milliards d’euros. Et tant pis si ce sont les particuliers qui trinquent. » Après le 20 novembre, date limite pour que les alternatifs puissent déposer leurs demandes d’achats d’Arenh, il sera de toute façon trop tard. Le gouvernement ne sera plus en mesure de prendre l’arrêté lui autorisant à relever ce fameux plafond.
Au risque de passer pour le cousin mal dégrossi habitant la campagne profonde, débarquant avec ses croquenots crottés dans un salon XVIIIe avec parquet en marqueterie, tapisseries chamarrées et lustres en cristal, faisons choir, sans tarder, ce monument d’intense tartufferie qui consiste à dire tout le bien, avéré ou reconstruit, que l’on pense d’une personne, une fois celle-ci montée dans le train roulant à toute vitesse vers saint Pierre.
À peine quelques heures que l’ancien président de la République a tiré sa révérence que pleuvent, déjà, grenades laudatives et gravas apologétiques, les uns et les autres, à droite, au centre et à gauche, dans un rare et artificiel moment d’union nationale, s’efforçant, avec plus ou moins de talent et d’imagination, de tresser les lauriers hagiographiques du « grand homme ».
La vie est une succession de bilans. La mort, un inventaire. Celui de Jacques Chirac, énarque passé rapidement à la vie politique, au point d’en faire une profession à temps plein pendant quarante ans, présente un lourd passif.
Passons sur son engagement de jeunesse aux côtés du Parti communiste « français » – les guillemets s’imposent d’autant plus qu’en ce temps-là, le parti des « 75.000 fusillés » avait les yeux de Chimène pour Moscou. Notons, toutefois que, s’il est des erreurs qui peuvent être fécondes, Chirac persista avec constance, toute sa vie, dans son tropisme gauchisant.
Mais que doit-on retenir du personnage depuis le fameux « appel de Cochin » du 6 décembre 1978, lorsque ce dernier, alors déjà maire de Paris et président du jeune RPR, fustigeait le « parti de l’étranger » en visant l’UDF giscardienne taxée de vouloir vassaliser la France à l’Europe ? Rien ! Ce fut une imposture médiatique de taille que d’attribuer à celui-ci une posture idéologique qui devait bien plus à Marie-France Garaud et à Pierre Juillet, ses proches conseillers d’alors, lesquels regretteront amèrement d’avoir choisi ce cheval boiteux pour défendre le projet d’une France au sein d’une confédération européenne de nations indépendantes.
Politicien roué comme savaient en fabriquer les deux Républiques devancières dont il sut prolonger, sous la Ve gaullienne, les plus détestables pratiques, disposé à tous les renoncements comme à toutes les trahisons, cet « immobile à grand pas », selon l’éloquente expression d’Éric Zemmour, n’aura jamais aussi bien appliqué ce précepte attribué au bon docteur Queuille (ancien ministre, élu de Corrèze) en vertu duquel « il n’est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout ».
Ses deux mandats de chef de l’État furent catastrophiques : démantèlement accéléré des services publics sur ordre de Bruxelles, aggravation du chômage, de la dette publique, de l’immigration de masse (souvenons-nous des illégales occupations d’églises et autres lieux), embrasement des banlieues, asservissement à l’Union européenne (désavoué par 55 % des Français en 2005), déséquilibre institutionnel avec l’instauration du quinquennat (issu d’un référendum aussi inutile que fortement abstentionniste).
En outre, en dépit de ses affinités pro-arabes, il sut remarquablement s’attirer certaines grâces en jetant l’opprobre sur la France, l’accusant d’avoir collaboré avec l’occupant dans la déportation des Juifs de France. Ce faisant, l’homme de l’ironique « fracture sociale » raviva les plaies douloureuses du « temps où les Français ne s’aimaient pas » et, par cette repentance à laquelle aucun de ses prédécesseurs n’avait voulu succomber, introduisit le ferment de la haine de soi dans un pays déjà en proie au doute identitaire.
Ne parlons même pas de sa lâcheté tactique qui le conduira, au lendemain du 21 avril 2002, à triompher à la Pyrrhus en confisquant le débat d’entre-deux-tours et en divisant un peu plus la société française.
Jacques Chirac est mort. Cela arrive à tout le monde, un jour ou l'autre.
Cinq mots peuvent résumer cet homme et sa longue carrière : mensonge, imposture, supercherie, cynisme et immobilisme.
Non, Chirac n'était pas « sympa ». C'était un tueur politique rusé et malfaisant qui porte une lourde responsabilité dans la décadence de la France.
Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire
La réaction de Thomas Joly, Secrétaire général du PdF :
La mort de #Chirac, symbole de cette fausse droite qui s'est toujours couchée devant la gauche, ça m’en touche une sans faire bouger l’autre pic.twitter.com/oqdoPFU2F3
Le dernier épisode de Rambo (Last Blood) semble provoquer une véritable descente d'organes chez les journalistes des rubriques culture et cinéma. C'est sûr qu'un mâle blanc ultra-viril dézinguant à tout va des Chicanos qui ont enlevé sa fille d'adoption, ça tranche avec les films d'auteur pro-migrants et pro-LGBT dont ils raffolent.
Extrait d'une « critique » d'un certain Stéphane Gobbo, « Chef de la rubrique culture au journal Le Temps, journaliste culturel spécialisé en cinéma et musiques actuelles » (sic) :
Rambo en croisade facho chez les Mexicanos.
Le cinquième épisode des aventures du vétéran incarné depuis 1982 par Sylvester Stallone est un film idéologiquement abject.
[…] Car dans le monde merveilleux de John Rambo, il convient de protéger les bons Américains de cette menace venue du Sud.
A la fin du film, lorsqu’il aura arraché à mains nues le cœur du chef de cette bande de dégénérés, la violence ne se réglant pour lui que par la violence, il pourra se reposer sous son porche et justifier en voix off sa croisade sanguinaire. Derrière le soleil couchant, on croirait alors distinguer un panneau affichant «Vote Trump» en lettres lumineuses.
Plus qu’un navet, Rambo : Last Blood est un abject film de propagande facho.
Il ne se passe plus une journée désormais sans que les élites qui dirigent les sociétés occidentales œuvrent à la destruction de tout ce qui a fait notre si belle civilisation européenne depuis des millénaires.
Nos enfants, premières victimes d’un système devenu dingue
On assiste ainsi à l’ouverture des frontières et à l’immigration massive, qui transforme ethniquement et progressivement la population depuis des décennies en France notamment. Et à ses conséquences, en matière d’insécurité, de violences, de chocs culturels, de nouvelles religiosités, de changement radical de façon de vivre, en particulier dans les grandes métropoles.
On assiste également chaque jour à la mise en place d’une véritable dictature LGBT qui s’instaure. Il devient interdit (sous peine de sanctions judiciaires) de dénoncer un groupe d’influence ultra-minoritaire qui pourtant s’affiche absolument partout (de la Gay Pride du village aux revendications communautaires les plus délirantes) et qui veut profondément transformer notre société (il risque toutefois de déchanter face à la montée d’une religion qui n’est pas réputée pour sa tolérance vis-à-vis des LGBT). Chacun revendique désormais « le droit à » appartenir à sa toute petite communauté étriquée, et surtout, à imposer ce droit à tous, y compris jusque dans les institutions qui sont pourtant normalement garantes d’une forme de neutralité.
Parallèlement, la famille traditionnelle, celle qui est à la base de toute vie humaine sur terre, et cela dans le monde entier et depuis le début de notre espèce, est moquée, ringardisée, et vouée, si l’on en croit certains alchimistes fous, à n’être « qu’un modèle familial parmi d’autres ». De quoi vous mettre bien la rage, quand vous entendez que la PMA et le « droit d’avoir deux mamans » n’engendreront aucun souci – les fous prenant exemple sur les familles monoparentales qui sont foison en France – alors même que justement, depuis l’avènement de ces familles brisées, monoparentales, où les gamins n’ont plus aucun repère, il n’y a jamais eu autant de violences, de traumatismes, de déviances.
Certains « experts », certains « chroniqueurs » payés par nos impôts, certains décideurs politiques ne devront pas être oubliés au regard de l’Histoire pour leur rôle tragique dans le délitement total de notre société, au profit de toutes petites minorités, de toutes petites niches, parfois totalement délirantes, qui voudraient s’imposer à la majorité des individus.
Parallèlement encore, alors que les métropoles se métamorphosent ethniquement et culturellement (les Blancs conscients se repliant progressivement là où la diversité n’existe pas, ce qui est inadmissible pour nos décideurs), nos écoles, nos collectivités, nos facultés, nos institutions commencent à accepter, et à diffuser, toute une idéologie visant à culpabiliser les Blancs – qui sont, il faut le rappeler, les propriétaires initiaux du continent qui s’appelle l’Europe. Le Blanc est un colonisateur, le Blanc est un privilégié (surtout si c’est un homme), le Blanc est un raciste, le Blanc, le Blanc, le Blanc… Paradoxalement, ce sont les antiracistes qui ont provoqué la racialisation du débat, et cela dans toutes les strates de la société.
Et nos enfants là-dedans ? Ce sont les premières victimes de ce système devenu dingue. Pas une journée sans qu’ils rentrent de l’école avec la tête pleine de propagande. Dans les écoles publiques comme dans les écoles privées, on leur organise aujourd’hui, alors qu’ils savent à peine lire, écrire, compter, des journées d’échange sur les migrants et leur accueil. Ils n’apprennent pas l’histoire de la Bretagne ou l’histoire de France à l’école, mais déjà, on leur organise des spectacles burundais ou des repas africains à la cantine, et la maîtresse croit original de passer un trimestre sur l’étude de tel ou tel pays exotique. C’est du vécu. C’est du concret. Ils apprennent à « s’ouvrir à l’autre » sans savoir qui ils sont eux-mêmes.
Pour nos enfants, remporter la bataille des cerveaux
On veut voler l’innocence de nos enfants. En leur apprenant également, alors qu’ils ne savent pas écrire, lire, compter, que des enfants peuvent avoir deux mamans ou deux papas. Que des enfants et des adultes changent de sexe. Que les Blancs qu’ils sont seraient les méchants de l’histoire. Que nos enfants sont de vilains pollueurs et de mauvais écolos. Qu’il ne faut pas répondre quand on nous agresse. Qu’il faut impérativement qu’ils se mélangent et qu’ils s’ouvrent à l’autre alors même qu’ils ne savent pas quoi mélanger ni apporter. Jusque sous le sapin de Noël, où certains voudraient que l’on offre presque par principe une tenue de danseuse étoile à notre garçon et des robots guerriers à notre fille, ils viennent nous mettre le couteau sous la gorge. Ces exemples ne sont pas anodins.
Comment voulez-vous qu’un petit garçon à qui l’on apprend qu’il est un salaud de Blanc et que l’on cherche à féminiser devienne un jour, un homme fort ? Comment voulez-vous qu’il s’en sorte dans la vie si l’école ne remplit plus son rôle et ne lui apprend plus à lire, à écrire, à compter, à se situer dans le temps et dans l’espace, mais à devenir un « citoyen du monde » ?
Alors que faire étant donné que nos libertés se restreignent chaque jour qui passe ? Les multinationales et leurs valets (nos dirigeants d’États occidentaux) veulent prendre le contrôle du cerveau de nos enfants. C’est aussi pour cela que la famille traditionnelle, solide, enracinée, est attaquée : en la détruisant, vous offrez aux multinationales qui régissent le monde désormais, des cerveaux nettement plus disponibles, des êtres vidés de leurs substances, prêts à obéir, et à servir. La fabrique du consentement, nous en revenons toujours et encore là. Après avoir fait accepter tout et n’importe quoi aux cerveaux adultes, il fallait passer à la vitesse supérieure, et prendre possession des cerveaux d’enfants. Pour contrôler dès l’enfance. Ce qu’ils doivent penser. Ce qu’ils doivent porter. Avec quoi ils doivent jouer. Ce qu’ils doivent aimer et regarder.
Ce qui est absolument fascinant, c’est que tout cela se passe sans la moindre impression de violence, de dictature, de totalitarisme. Il n’y a ni camps de concentration cachés, ni exécutions, ni tortures. Notre société occidentale EST devenue un camp de concentration géant. Un camp dans lequel les gens ont l’impression d’être heureux et libres. Un camp d’extermination volontaire des hommes, par le conditionnement. Redoutable.
Que faire donc, pour échapper à cela ? Se battre, remporter, au moins pour soi et ses enfants, la bataille des cerveaux. Fabriquer et éduquer des hommes et des femmes libres au milieu des ruines. Se constituer un espace et le défendre avec acharnement, quoiqu’il en coûte, contre quiconque voudrait y pénétrer pour y distiller une idéologie nuisible. Se fabriquer son îlot de liberté, son repaire de pirates. Devenir réfractaire. Et, en dernier recours, fuir, à la recherche d’un espace de liberté comme il en existe encore, en Europe, mais aussi sur d’autres endroits du globe. Mais dans tous les cas, ne jamais renoncer, ne jamais plier, ne jamais céder, et avoir toujours en tête les 7 lettres qui forment le mot LIBERTÉ.
Pour nos enfants, pour leurs enfants, pour les enfants de leurs enfants. Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir.
Dans le deuxième tome de ses Mémoires, intitulé « Tribun du peuple » qui sortira le 2 octobre, l'ancien président et cofondateur du Front national, exclu du parti en 2015, égratigne sans ménagement sa fille Marine.
« Elle n'a pas confiance en elle. Cela explique ses fautes. Son côté dictatorial » et « elle peine à s'entourer ».
« On se focalise sur son débat raté avec Emmanuel Macron (entre les deux tours de la présidentielle en 2017, ndlr), mais elle a commis beaucoup d'autres fautes depuis l'erreur initiale de mon éviction », poursuit celui qui a été exclu de son propre parti en 2015 après des propos jugés polémiques par la bien-pensance mémorielle.
Jean-Marie Le Pen lui reproche une « ouverture à gauche » avec son conseiller Florian Philippot, qui a quitté le parti depuis, et sa « recherche éperdue de dédiabolisation au moment où le diable devient populaire ».
Quant au parti, il considère qu'il est « dramatiquement seul ». Le RN « n'engrène sur nulle force concrète, sauf, naguère, celle de ses militants, qui tend à diminuer », écrit-il.
Il fustige le changement de nom opéré en juin 2018, une « erreur enfantine ». « Lorsqu'un mouvement vous emmène au second tour de l'élection présidentielle, ce n'est pas si mal, au nom de quelle idéologie fumeuse se lancer dans une mutation contre-productive ? » demande-t-il.
Il faut se souvenir de ce que déclarait Jean-Paul Sartre, dans Libération, le jour de la mort de Franco : « Le jour de sa mort est un jour de fête, un vrai jour de fête que je compte bien célébrer. Je trouve que la meilleure façon de donner envie aux Français que Franco meure, c'est de publier son portrait. Il a une gueule qui appelle exactement un coup de couteau ou de guillotine. Sa tête porte presque quarante ans d'assassinats auxquels il s'est livré. Mussolini était un salaud, Hitler avait une gueule antipathique, mais ils n'avaient pas cette gueule abominable de salaud latin. »
Le vrai salaud, le salaud intégral dans la fausseté de son esprit déformé et vicieux, c'était Sartre bien sûr.
Et ce sont ceux qui aujourd'hui viennent d'obtenir l'exhumation du Général Franco, lui qui a sauvé son pays de la terreur rouge.
Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire
Christoff Bzh, auteur compositeur interprète, souhaite enregistrer son second album et appelle à un financement participatif.
« En 2017, j'ai sorti mon premier album "l'armée du silence", qui a rencontré un succès d'estime. Fort de cette expérience, je reviens vers vous afin de vous proposer le digne successeur de mon premier opus, qui s'intitulera "Au crépuscule des braves". Ce nouvel album restera dans la veine de ce que proposait le premier, à savoir de la chanson à textes engagée. Je vous promets une œuvre singulière, surprenante, musicale et toujours enracinée. Le financement servira à m'affranchir des frais de studio (enregistrement, mixage, mastering...) d'au moins 12 titres. »
Marlène Schiappa n’a jamais craint le ridicule et le prouve encore une fois. Sur les réseaux sociaux, la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes ainsi que de la lutte pour les discriminations n’a pas hésité à se transformer en homme, rapporte le Huffington Post. Plus précisément, en prenant les traits d’un homme avec son visage. Sur son compte Twitter, elle a relayé la campagne de communication du collectif « Wearesista », un collectif de gauchistes aigries qui prétend défendre les femmes.
À travers son message, Marlène Schiappa questionne : « Pour lever des fonds, faut-il devenir un homme ? ». Une référence directe au slogan du collectif d’entrepreneuses qui stigmatise la difficulté de levée de fonds pour les femmes désirant créer leur entreprise. En particulier dans le numérique. Elles demandent : « Faut-il devenir un homme pour lever des fonds ? »
On pourrait répondre à ces bonnes femmes qu'il vaut mieux être sérieux, innovant et performant pour trouver des investisseurs que de prétendre être discriminées en fonction de leur sexe, toutefois on peut douter qu'elles renoncent si facilement à leur fonds de commerce victimaire...
« Faut-il devenir un homme pour lever des fonds ? »
Je soutiens depuis New-York et l’ #AGNU la campagne de @wearesista pour promouvoir les femmes entrepreneuses et start-uppeuses 👩🏽💻
Nous y travaillons dans le cadre de la loi pour l’émancipation économique des femmes. #Sistapic.twitter.com/ZJIiDo4k7b
Le processus législatif suit son cours et le projet de loi bioéthique cru 2019 entre, mardi 24, en première discussion à l’Assemblée nationale. L’ouverture de la procréation médicalement assistée aux femmes seules ou en couple en est la mesure emblématique qui déchaîne bien des passions, celle de l’auteur de ces lignes comprise, mais d’autres dispositions y figurent, pas plus acceptables moralement. Il serait bon de ne pas oublier ces autres dérives.
Prenons la congélation des ovocytes. Les femmes sont naturellement soumises à une horloge biologique plus draconienne en matière de procréation. Bien avant le coup de sifflet final de la ménopause, la fécondité féminine diminue avec l’âge et accentue les facteurs de risques, tant pour elles que pour les enfants à naître. Celles qui veulent accéder à des responsabilités professionnelles sont confrontées à un dilemme : doivent-elles mettre en veille leur carrière pour cet enfant ? La technique permet de prélever les ovules, puis de les congeler pour les féconder et les implanter ultérieurement, une fois que les premières mais essentielles marches de l’ascension professionnelle auront été franchies. Bien sûr, c’est s’exposer aux risques d’échecs d’une PMA classique, ce que ne disent pas ou si peu les promoteurs de ces coûteuses techniques. Et puis, surtout, c’est soumettre sa fécondité comme mère aux priorités d’un employeur. Google, Apple et Facebook facilitent ou financent cette pratique. Que les députés aient proposé un amendement visant à interdire un tel financement ne rend pas cette intrusion de l’entreprise ou de l’employeur dans la vie privée des personnes plus tolérable.
C’est tout aussi éloquent pour ce qui concerne les embryons (des ovules fécondés) qui deviennent un simple matériel de recherche de plus en plus anodin. La loi qui ne faisait pas de distinction entre embryon et cellules souches embryonnaires permettra à ces dernières de devenir l’objet de recherches sans autorisation préalable, une simple déclaration devenant suffisante. Il sera permis d’effectuer des recherches à partir de ces cellules afin de créer des gamètes artificiels (sperme ou ovule). En outre, il sera permis de créer des embryons transgéniques ou des embryons chimères (combiner dans un embryon des cellules d’animaux et d’hommes). La durée d’expérimentation sur un embryon et les cellules souches est portée de 7 à 14 jours. Le Golem et Frankenstein n’étaient, tout compte fait, pas des fictions, juste de tristes prophéties.
Pour ce qui concerne les évolutions du diagnostic prénatal, il y a des nouveautés. Dans le cas de procréation médicalement assistée, le diagnostic préimplantatoire n’était autorisé qu’en cas de risque avéré de maladie rendue probable par un contexte médical, et demain, c’est par arrêté pris au ministère de la Santé que seront édictées des recommandations (pas des injonctions, notez bien !). Cela ressemble furieusement à un chèque en blanc. De même, l’élargissement presque sans limite du champ d’investigation des diagnostics in utero ne doit-il pas être compris comme une volonté de trier les bébés à naître ? Certes, madame le ministre Agnès Buzyn se défend publiquement de tout eugénisme. Que c’est hypocrite ! Des investisseurs se félicitent en catimini de l’émergence prochaine du marché du bébé parfait : ils sont patients.
De plus savants que moi seraient plus compétents que moi pour expliquer et commenter ces dérives, et je ne me sens pas capable de jauger d’un point de vue éthique certaines dispositions, comme les dons croisés en cas de greffes. Mais outre la PMA sans père, il y a de nombreuses autres raisons de descendre dans la rue, par exemple à Paris, le 6 octobre, à la manifestation Marchons Enfants, pour tenter de mettre un terme à ces asservissements des corps et de la procréation à des intérêts privés.
Ce n’est pas faute de prévenir et d’alerter nos compatriotes depuis des années, et pour Ouistreham depuis le début de l'afflux de clandestins en 2016.
Audrey, 27 ans, militante d’extrême gauche et opposante aux actions du Parti de la France à Ouistreham, a choisi de ne pas écouter nos mises en garde. Résultat, elle est décédée lundi dernier, assassinée de 14 coups de couteau par un migrant qu'elle hébergeait chez elle.
Nous ne le répéterons jamais assez : l’immigration tue. Les pro-migrants, en enrôlant la jeunesse dans leur folie immigrationniste, sont les co-responsables des meurtres sordides qui envoient des jeunes Français au cimetière chaque semaine.
Nous dénonçons également le puant « mouvement de la jeunesse caennaise » qui, au lieu de se terrer au fond de son trou à rats, en tant que responsables de la mort d’Audrey, publie au contraire un communiqué trompeur dans lequel l’origine de la mort de la jeune gauchiste n’est pas mentionnée. A croire que cet écœurant « mouvement » espère convaincre d’autres jeunes Français d’aller se faire tuer par des migrants au nom de leur sacro-saint vivre-ensemble.
Nous appelons la jeunesse normande à lutter contre cette gauche pro-migrants qui assassine l’avenir des nôtres, nous appelons la jeunesse normande à rejoindre nos rangs !
Accorder aux femmes seules et aux couples lesbiens le droit de filiation par insémination artificielle constitue une étape supplémentaire sur le chemin de la désagrégation de la famille et de la destruction de la société. Un chemin qui se poursuivra bientôt, n'en doutons pas, par la légalisation de l'abomination qu'est la Gestation pour autrui (GPA).
Pour le Parti de la France qui considère qu'une famille c’est un père, une mère et des enfants, la PMA doit être réservée aux couples hommes/femmes qui ne peuvent avoir naturellement d'enfants.
Le PdF, fidèle à la conception traditionnelle de la famille qui constitue un des socles de notre civilisation et aux principes de l'ordre naturel, appelle à la mobilisation le dimanche 6 octobre contre ces dérives mortelles.
Ainsi, on apprend ce lundi que le président de la République a signé, le 20 septembre, un décret limitant les avantages concédés aux anciens Premiers ministres. Qu’on se rassure, pas question de remplacer leur voiture avec chauffeur par une carte Navigo. La voiture avec chauffeur, l’un des derniers symboles phalliques de notre République, c’est à vie, c’est cadeau. Donc, potentiellement pour longtemps, si l’on s’en tient à la statistique.
Les choses, en plus, se feront progressivement, comme l’a expliqué Marie Delarue, sans doute histoire de ne pas brusquer. La force de l’habitude, c’est justement qu’on s’habitue. Ce qu’on appelle les avantages acquis ou acquis sociaux. D’aucuns diront privilèges. Mais on ne peut tout de même pas demander à Édith Cresson, qui fut Premier ministre dix mois et dix-huit jours, il y a vingt-sept ans, de renoncer comme ça, subitement, à ce petit avantage bien commode ou à cette commodité bien avantageuse. Du reste, c’est là qu’on voit que notre République est vraiment « sociale », comme le précise la Constitution. Raboter sans trop écorcher, c’est tout un art. Pas du bricolage.
Puisqu’on en est au rabot, comment, alors, ne pas évoquer celui que les plus de soixante-dix ans vont connaître, l’an prochain. Dorénavant, ce « segment de la population française », qui, au passage, a largement voté Emmanuel Macron en 2017, ne sera plus exonéré de cotisations patronales lorsqu’il emploie quelqu’un à domicile. À partir de 2020, cette exonération sera réservée aux personnes en perte d’autonomie. Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement, explique benoîtement : « L’abattement permet aussi bien d’avoir quelqu’un qui vient vous accompagner à domicile quand vous êtes dans la difficulté ou la dépendance que de vous payer un jardinier. » Ah, « se payer un jardinier » ! Tout de suite, dans l’imaginaire populaire, on voit un parc avec des allées de gravier blanc, du gazon à perte de vue, des haies de buis et des arbres centenaires. Donc, plus question d’aider ces « salauds de vieux riches ». République sociale, qu’on vous disait. Comment ne pas être d’accord avec ça ?
Bon, la Sibeth aurait pu évoquer ces seniors (car il faut dire comme ça, c’est mieux que vieux) qui pourraient se payer un chauffeur, mais non, elle n’a pas eu l’idée. Bizarre. Comme quoi, en tout cas, la démagogie, c’est pas seulement quand on est dans l’opposition. Donc, la petite dame de 72 balais et plus si affinités, veuve de son état mais qui, pour autant, n’est pas dans les clous de la dépendance, faudra donc qu’elle paye les cotisations patronales pour la taille de ses thuyas, donc qu’elle rabote sur son budget, ou bien qu’elle se remette rapidement au jardinage. Après tout, un peu d’exercice, ça ne fait pas de mal, à cet âge. Autre solution, encore : renoncer à habiter sa maison avec ses souvenirs pour s’enfermer dans un petit appartement. Dernière station avant l’hospice. Et puis, comme elle a déjà bien gentiment accepté l’augmentation de sa CSG en 2018, il n’y a pas de raison qu’elle se mette à râler maintenant.
Selon Les Échos, cette mesure devrait permettre d’économiser 310 millions d’euros en 2020. Histoire de fixer les esprits et de rassurer ceux qui s’inquiéteraient pour les vieux jours de nos retraités de la République, l’équivalent temps plein d’environ 500 anciens locataires de l’Élysée (calcul fait par votre serviteur à partir des chiffres communiqués par Matignon en juin dernier), les cotisations patronales des chauffeurs restant évidemment à charge de l’État.