À Apt (84), harcelée depuis des semaines par leur voisin africain irascible, une mère de famille a craqué et a eu une altercation avec lui et sa smala. La scène a été filmée et diffusée sur les réseaux sociaux. Aussitôt un déferlement de haine s'est déclenché sur Twitter, relayé par les débiles mentaux de la Ligue de Défense Noire Africaine (LDNA), groupuscule raciste anti-blancs, dont le leader se faisant appeler Egountchi Behanzina été condamné, entre autres, en 2014 à sept ans de prison pour viol sur personne vulnérable.
Une poignée d'entre-eux est venue parader, en toute impunité et en plein confinement, devant la maison que la famille française a fui après avoir reçu de nombreuses menaces de mort.
Retrouvez tous les détails de cette histoire écœurante ici.
« Nul n'est prophète en son pays », dit le proverbe. Le professeur Raoult est devenu malgré lui la preuve vivante et éclatante de ce vieux proverbe.
Voila qu'un centre de recherche chinois confirme l'efficacité du traitement du professeur Raoult : sur un test portant sur 568 patients déjà lourdement atteints, le taux de létalité serait de 45,8 % pour les patients n'ayant pas reçu le traitement à la chloroquine, de seulement de 18,8 % pour ceux qui l'auraient reçus… Étude publiée sur la plate forme scientifique Medrxivce le 1er mai. D'autres pays n'ont pas attendu pour acheter en masse de la chloroquine : Trump, Poutine, et tant d'autres n'ont pas lésiné sur les moyens pour s'en procurer.
Pendant ce temps en France, le professeur Raoult serait-il couronné par ses pairs, les médias, les politiques ? Sommes nous fiers de compter parmi nos compatriotes celui qui semble avoir trouvé la solution à la pandémie ? Ses travaux sont-ils défendus au plus haut niveau par nos élites scientifiques ?
Depuis une semaine, le professeur Raoult semble bien au contraire faire l'objet d'une véritable chasse aux sorcières. A l'émission de Christophe Beaugrand sur LCI, le médecin Gerald Kierseck commentant la sortie du professeur du CHU de Marseille, en voiture et sous les acclamations de la foule, s'est livré à une charge contre le médecin provençal : gourou, rock star, ce n'est plus un médecin, sa notoriété lui monte à la tête, voila ce que les téléspectateurs ont entendu. Sans que personne sur le plateau ne vienne contredire ni même modérer ses propos. On a rappelé qu'il sortait un livre en librairie en ce moment : ne cherche-t-il pas d'abord à se faire de la publicité ? On lui a même reproché sa voiture, une Dacia : Didier Raoult fait ainsi dans le populisme… Personne ne s'est demandé si la popularité de Raoult à Marseille n'était pas due tout simplement au succès de son traitement, pour lequel les gens faisaient la queue devant l'hôpital où il exerce.
L'interview par la fielleuse Apolline de Malherbe sur BFMTV a été un véritable chemin parsemé de mines, de sous entendus sournois et mal intentionnés. Là encore, tout y est passé : soupçon de populisme, de quête de notoriété, on a eu droit à des attaques sur le physique et le look du professeur, questionné sur sa barbe et sa bague à tête de mort. On se demande après cela si l'on est bien en France, pays de liberté, ou en Arabie Saoudite pour avoir à répondre de sa tenue vestimentaire. Il lui fut demandé s'il n'était pas gêné de se sentir si seul : « Mais une majorité de médecins prescrit mon traitement et me soutient ! » a-t-il répondu. Tout ceci relève de techniques journalistiques bien connues pour discréditer l'invité, on multiplie les questions à message allant toutes dans le même sens pour orienter l'opinion sur sa personnalité, le présenter comme un franc tireur, isolé, un savant fou, un apprenti sorcier qui cherche à se rendre populaire. Au moment de présenter son livre, sorti le 26 mars, il dut subir la remarque perfide : « Ça tombe bien, tout de même… »
Mais la question clé de l'entretien fut posée à la fin : « Avec toutes ces polémiques, n'avez vous pas envie de quitter la France ? » Réponse : « Non, je suis Français, et j'aime ce pays malgré sa bizarrerie et même si je dois en faire les frais aujourd'hui. » Et oui, Didier Raoult n'est pas de ces chercheurs qui sillonnent la planète pour se vendre au plus offrant, c'est un patriote, issu d'une famille où l'on est décoré de la légion d'honneur depuis plusieurs générations, comme il l'a rappelé. Enraciné à Marseille, c'est là qu'il travaille, et il reste fidèle à sa ville et à sa population, malgré sa réputation désormais mondiale. Le professeur Raoult veut sauver des vies, et non pas faire les affaires des vendus aux laboratoires pharmaceutiques, comme plusieurs membres du fameux comité scientifique de Macron, qui lui même a reçu des fonds de l'industrie du médicament pour financer sa campagne de 2017... Raoult cherche avant tout à aider les patients, il respecte le serment d'Hippocrate quand d'autres se servent des malades pour faire de l'argent… Et c'est pour cela qu'il essuie les foudres et quolibets des médias et de la soit disant élite de la profession…
Nicole Belloubet ne remercie pas le professeur Raoult. Grâce au Covid-19, les prisons sont désormais passées sous la barre des 100 % d’occupation. Serait-il possible d’arrêter cet énergumène dans sa recherche de traitement de la maladie ?
Le ministre n’en revient pas. « La situation est sans précédent » annonce-t-elle au journal Le Monde. Et dire qu’il suffisait de libérer 5.300 détenus en fin de peine pour qu’il y ait moins de monde en prison. C’est inouï. Ajoutez à cela la mise au chômage technique des délinquants du fait de ce confinement et nous arrivons au chiffre extraordinaire de 11.500 personnes disparues des prisons françaises. Un vrai miracle !
Aussitôt, la clique gauchiste de se jeter sur l’information. Hourrah ! Youpi ! « Ce qui paraissait inatteignable est devenu en peu de temps réalisable », jubile la directrice française de l’Observation international des prisons (OIP). Vous voyez bien qu’avec une bonne pandémie, ça marche ! Néanmoins, l’observatrice est inquiète. Passée cette éclaircie sanitaire, nous pourrions avoir « une remontée en flèche des incarcérations ». Zut, alors. « Nous aurions alors raté une opportunité inédite », ajoute-t-elle, sans plus d’explication.
Une large ouverture des portes de prison conjuguée à une absence de condamnations pourraient entraîner un taux d’occupation proche de zéro ! Nicole Belloubet doit comprendre ce concept mathématique, certes assez complexe, mais réalisable.
Dominique Raimbourg, un ancien député socialiste conservé dans du formol à l’Institut Pasteur, émet une idée lumineuse : « Il s’agit non de freiner l’entrée de condamnés en prison, mais d’accélérer la sortie de ceux qui sont proches de la fin de peine en cas d’entrée d’un nouveau détenu en surnombre. »
Effectivement, pourquoi ne pas organiser un jeu de chaises musicales ? Après deux heures de prison, le pensionnaire se verrait poussé vers la sortie, contournerait le bâtiment et reviendrait par la porte d’entrée après qu’il eut agressé un passant dans une rue adjacente. Des idées, des solutions en direct du bocal.
La Cour européenne des droits de l’homme avait alerté la France. Elle devait « envisager l’adoption de mesures visant à supprimer le surpeuplement ». Mais lesquelles ? Peut-être construire des pri…
Le journal Ouest-France, qui commente l’info, arrive à toutes jambes pour mettre le holà à l’idée qui menace de tomber sous le sens : « Des mesures qui ne peuvent pas se résumer aux seules promesses de nouvelles places de prisons. » Qui pourraient consister également en une lutte sans merci contre la délinquance, hélas, le Kärcher™ est en panne. Ni l’une ni l’autre, donc. Retour à la case départ. Seuls des éléments extérieurs naturels apporteront la solution. Pandémie, tempête, séisme, astéroïde… Avec un peu de chance.
Geoffroy Roux de Bézieux, le président du MEDEF, le syndicat du CAC 40, ne fait pas dans la nuance. Dans un entretien au Figaro du 10 avril dernier, il déclarait que pour sortir de la crise économique imputée au coronavirus, les Français devraient travailler plus longtemps, avoir moins de congés payés et accepter de perdre des jours fériés. La rengaine n’est pas nouvelle. Elle démontre qu’en digne héritier des négriers industriels des XIXe et XXe siècles, le MEDEF s’accroche encore à de vieilles lunes.
L’automatisation, l’informatique et la robotisation modifient durablement les conditions de travail. Déjà, à la fin des années 1960, les grands patrons ont poussé Pompidou à privilégier l’immigration de main-d’œuvre étrangère aux dépens de l’installation, certes coûteuse au départ, des premières chaînes de montage automatiques qui auraient probablement évité l’actuel « Grand Remplacement » [comme cela a été le cas au Japon].
Sans la pandémie de Covid– 19, le mois de mai 2020 eut été propice à de courts séjours touristiques grâce à quatre sympathiques « ponts » : les 1er, 2 et 3 mai; les 8, 9 et 10 mai; les 21, 22, 23 et 24 mai pour l’Ascension, et même les 30 et 31 mai ainsi que le 1er juin pour la Pentecôte. Tous ces ponts ne peuvent qu’enrager les hiérarques du grand patronat. Ils aimeraient un monde dans lequel les salariés trimeraient deux cents heures par semaine pour un demi euro et donneraient à leur direction cent, deux cents ou trois cents euros chaque mois dans l’espoir de garder leur emploi.
Le MEDEF ne représente qu’une minorité de patrons, vrais bureaucrates du capital. Ce ne sont pas des capitaines d’industrie audacieux prêts à hypothéquer leurs biens personnels pour la bonne marche de leur entreprise. Ces aventuriers économiques se retrouvent chez les artisans, les indépendants et les chefs des petites et moyennes entreprises, soit les plus affectés par le confinement imbécile et pour qui les aides exceptionnelles de l’État sont compliquées à obtenir en raison d’une paperasserie administrative proliférante.
En 2020, la productivité française ne repose plus sur la durée journalière du temps de travail, les 35 heures par semaine, les cinq semaines de congés payés, le repos dominical et les onze jours fériés (hors particularités propres à l’Outre-mer). La demande du grand patronat de les réduire rejoint les exigences répétées des multiculturalistes qui remplaceraient volontiers une à deux fêtes chrétiennes par une à deux autres fêtes monothéistes exogènes. Les deux groupes œuvrent de concert.
Déplorable Premier ministre du sinistre Chirac, le Poitevin Jean-Pierre Raffarin a rétabli en 2004 la corvée seigneuriale avec la « journée de solidarité » prévue à l’origine pour parasiter le lundi de Pentecôte. Il s’agissait par un jour de travail gratuit de financer la dépendance des personnes âgées sans jamais solliciter le capital et les « parlementeurs ». Le pognon ainsi soutiré aux travailleurs permet en fait de rembourser les intérêts de la dette abyssale de l’Hexagone.
Reporter le plus tard possible l’âge légal de la retraite, rogner sur les congés payés, augmenter la durée hebdomadaire et quotidienne du temps de travail, supprimer des jours fériés, voilà les propositions soi-disant innovantes d’une clique patronale aveugle aux nouveaux enjeux. Ces bouffons déphasés s’enferrent dans leur incompétence libérale policière progressiste et continuent à regarder la décennie 2020 avec les lunettes de 1880 ! Le grand patronat composé de fonctionnaires salariés pantouflards payés à coup de stock options et de parachutes dorés ne saisit pas l’imbrication croissante des questions sociale, écologique et nationale (ou identitaire). Peu importe, il sera tôt ou tard éjecté et remplacé par une élite nouvelle consciente des nouveaux défis.
Et s’il faut abroger des jours fériés, plutôt que de s’attaquer aux célébrations chrétiennes, que la « Ripoublique » hexagonale commence par réduire les siennes. Abolissons les funestes 8 Mai et 14 Juillet ! On ne peut pas se satisfaire de la sujétion de l’Europe par le bolchévisme de Wall Street et de la City. On ne peut pas non plus fêter la prise d’une forteresse royale qui n’accueillait qu’un noble incestueux, un fou, un apprenti-régicide et quatre faux monnayeurs. On ne doit pas non plus se féliciter de la fête organisée un an plus tard sur le Champ de Mars parisien et dont le déroulement cacha l’évidente duplicité des parties en présence.
Sans réclamer la reconnaissance officielle du 10 juillet 1940, il serait bien que le 27 juillet devienne la nouvelle fête nationale française en souvenir de la victoire de Bouvines en 1214. Allié au jeune prince des Romains Frédéric de Hohenstaufen et du pape Innocent III, le roi de France Philippe II Auguste gagna grâce aux milices communales des bourgs francs du Nord sur les troupes anglaises du roi Jean sans Terre, d’un comte de Flandre félon et de l’usurpateur impérial le guelfe Otton IV. Si on peut encore vibrer à l’évocation du sacre des souverains français à Reims, le récit de la Fête de la Fédération n’émeut guère. L’historien médiéviste et résistant français Marc Bloch voyait dans le ravissement commun de ces deux événements une preuve marquante de francité. Pour la circonstance, notre européanité l’emporte nettement.
Le soutien scolaire en période de déconfinement semble démarrer en fanfare, à en juger des premiers exercices de coloriage de nos beaux départements de France. La copie en a été rendue ce jeudi 30 avril dernier. Il y a ceux qui sont rouges de honte, les autres verts de rage ; bref : orange, ô désespoir !
Ainsi, la Haute-Corse se trouve frappée du rouge de l’infamie. Et Gilles Simeoni, président de l’exécutif de l’île de Beauté, de prévenir, un brin agacé : « La carte publiée ce soir par le gouvernement laisse les Corses plus que perplexes. Nous attendons des explications » (France Info). Il a vite été entendu, puisque l’agence régionale de santé locale a tôt précisé : « Cet indicateur est en décalage avec le nombre de cas testés positifs », tout en promettant « une fiabilisation et une correction des données au plus vite ».
Les habitants du Cher, à défaut d’être aussi susceptibles que nos amis corses, n’en sont pas moins énervés. François Cormier-Bouligeon, député socialiste local, pointe du doigt une « erreur » administrative et annonce, pas content du tout : « Après échange avec monsieur le préfet et l’ARS, nous avons demandé une rectification rapide. »
Dans le Lot, lui aussi frappé marqué au fer rouge, ça ne va guère mieux. Jean-Marc Vayssouze-Faure, maire apparenté socialiste de Cahors, récemment réélu dès le premier tour, déplore, dans Le Figaro : « Une heure avant sa divulgation, je me suis entretenu avec le directeur de notre centre hospitalier qui me confirmait que nous n’avions jamais eu si peu de cas en réanimation, avec une seule personne prise en charge. » Mais restons positifs, cette dernière sera au moins sûre que tout le personnel sera à ses petits soins.
Et Serge Rigal, lui aussi socialiste et président du conseil général, de voir rouge à son tour : « Depuis quinze jours, la situation est stable et maîtrisée ; il n’y a pas de nouveaux cas. Non, franchement, il faut qu’on m’explique. » Ce que tente, d’ailleurs, de faire Étienne Guyot, préfet d’Occitanie et de Haute-Garonne : « Je crois que c’est la première fois qu’on publie ce type de carte, dont il faut peut-être rôder l’outil… » Vraiment ? Il n’empêche que ce haut fonctionnaire n’a pas tort, il ne faut pas voir les choses tout en noir, ce qui n’interdit pas non plus de rire jaune.
En attendant, ce sont de plus en plus de Français qui en voient de toutes les couleurs, des vertes et des pas mûres, tout en ayant un peu l’impression d’avoir été faits marron.
Au 30 avril, la France comptait 39 millions de personnes dont les seuls revenus proviennent de l'État, des caisses sociales et des collectivités. Faisons le point :
3,5 millions de chômeurs toutes catégories.
11,3 millions de chômeurs à temps partiel
5,5 millions de fonctionnaires (État, collectivités, caisses sociales, hôpitaux)
3,5 millions d'allocataires aux minimas sociaux (RSA, ASS)
1,1 million de titulaires de l'allocation adulte handicapé.
14,3 millions de retraités
Faites le compte, ce sont près de 39 millions de personnes qui ne vivent que de revenus de l'État, sur une population totale de 67 millions : soit près de 60 %... Cela veut donc dire que 40 % des Français qui tirent leurs revenus du secteur marchand doivent assurer les revenus de 60 % d'autres... Et encore, ce chiffre ne tient pas compte des allocations que touchent les fameux 40 % qui ne vivent pas exclusivement de revenus de l'état : allocations familiales, allocations logement, prime d'activité, etc.
Je tiens à être clair : la présentation que je fais de ces données statistiques ne vise pas à opposer certaines catégories de Français à d'autres. D'ailleurs, la situation de ceux qui perçoivent l'essentiel de leurs revenus de l'État est très diverse : certains travaillent, d'autres ont travaillé (retraités) d'autres sont à l’arrêt provisoire à cause du coronavirus. Je veux seulement montrer à quel point la situation actuelle est intenable, même à court terme. Dans ce chiffre de 60 % de Français qui tirent leurs revenus de l'État, 20 % sont ceux qui sont aujourd'hui au chômage partiel, donc temporaire. En théorie, seulement, car il est évident que la reprise du travail va s'étaler sur plusieurs semaines, donc le chômage partiel ne disparaîtra pas d'un coup le 11 mai, comme par enchantement. La décrue sera progressive, délicate, il y aura pendant encore au moins deux mois un très grand nombre de chômeurs partiel. Et après ? Les vacances vont arriver, on ne sait pas encore si le déconfinement autorisera la libre circulation. Mais il est sur que la saison touristique sera terriblement gâchée quoiqu'il arrive : la hantise de la « deuxième vague », la perte de revenus considérables des Français comme des européens qui projetaient de visiter la France va faire de cette année 2020 une saison noire, où l'on se contentera de sauver ce qui peut l’être. Mais le plus probable, c'est qu'un grand nombre de faillites, dans l’hôtellerie, la restauration, le commerce de proximité, l'artisanat, va faire exploser le niveau du chômage en France : le gouvernement parle d'un niveau de 20 % au deuxième semestre 2020, soit le double du chômage « habituel ». De quoi provoquer une faillite du système de protection sociale, qui est d'ores et déjà plombé par les déficits de l'assurance maladie (41 milliards de déficit sur deux mois de pandémie). Et derrière, une crise sociale sans précédent, une déflagration qui va secouer notre pays, et fera sans doute passer la révolte des gilets jaunes pour un gentil rassemblement de grincheux.
Il existe deux manières de fêter le 1er mai ; deux approches antagonistes qui témoignent que pour certains la lutte des classes, même repeinte aux couleurs rouges, roses et arc-en-ciel de l'extrême gauche mondialiste, écolo et sociétale, restent une réalité tandis que pour d'autres la valeur Travail répond de la cohésion nationale.
La première est celle de ceux qui s'inscrivent dans la très gauche ligne des organisations syndicales et politiques qui initièrent aux États-Unis d'abord, en France ensuite à partir de 1889 sous l'impulsion de la Deuxième Internationale, le 1er mai comme journée internationale des travailleurs destinée à activer les luttes et à célébrer les actions ouvrières et révolutionnaires. Ceux là, CGT et FO en tête, suivies de près par l'ensemble des structures du Système, feignent d'oublier que ce jour fut décidé férié par la loi du 24 avril 1941.
La seconde est la nôtre. Nationalistes et nationaux ont toujours eu à cœur de chanter les vertus du travail et d'appeler à la considération sociale que la Nation doit à ses travailleurs. Notre 1er mai à nous est la fête du travail et de la concorde sociale. Travail accompli indispensable à la force et à la prospérité de la France, nécessaire à la vie des familles et utile à la conscience morale que chacun doit avoir de soi. Concorde sociale qui est un des piliers fondamentaux de l'édifice national.
Dans cette France aujourd'hui à l'arrêt, où bien des deuils et des angoisses étreignent le coeur de nos compatriotes, où le chômage, boosté par la crise du COVID-19 et sa dramatique gestion gouvernementale, ne cesse de déployer ses ailes de corbeau, où une crise économique et sociale bien plus ravageuse que la crise sanitaire se dessine, où règnent la confusion et l'oubli des valeurs, où des populations venues d'ailleurs pèsent à la baisse depuis cinquante ans sur les salaires ou vivent dans une oisiveté rendue possible par les trafics, il est bon de rappeler que la recherche de l'accomplissement professionnel de chacun est le gage premier et permanent de l'intérêt général et de l'ambition nationale.
Le travail ne saurait être une fin en soi. Le développement de l'Homme suppose que soit laissée une place importante à la culture, à la pensée, à la famille, à la religion, à la vie privée et au temps dit libre.
Mais il ne saurait exister de Nation grande, libre et puissante sans que ses enfants ne consentissent l'effort de la servir, dans le courage, la constance et la volonté de bien faire, là où le sort, le choix, la nécessité ou le talent les ont conduits à œuvrer.
Fêtons ce 1er mai si particulier, à l'intérieur de nous même, en attendant les fêtes grandioses qui seront celles des célébrations du travail dans l’État national pour lequel nous nous battons et dont l'édification à venir est la raison même de notre engagement.
Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France
Comme si l’humanité n’était assez éprouvée, voilà que survient une nouvelle plaie d’Égypte, avec Greta Thunberg qui ressort du bois, tel le premier pangolin venu. Et la gosse de riches en question d’annoncer à grand renfort de trompettes qu’elle fera don à l’UNICEF des 100.000 dollars reçus de la part de Human Act, ONG danoise. Accès de générosité ou simple transfert de fonds ? On est en droit de s’interroger.
Loin de nous l’idée blasphématoire de railler cette nouvelle Jeanne d’Arc à couettes et sourire en forme de grimace boudeuse, surtout à la lecture de ce communiqué : « Comme la crise du climat, la pandémie de coronavirus est une crise pour les droits des enfants. » Tiens donc, hormis le fait qu’on ne voit pas très bien ce que « les droits des enfants » viennent faire dans ce boutre, on croyait au contraire que les personnes âgées – de vieux enfants, assurément – demeuraient victimes de prédilection de ladite pandémie.
La preuve en est, à en croire L’Express du 24 mars dernier, que sainte Greta aurait, elle aussi, été diagnostiquée positive au Covid-19 : « Il y a environ dix jours, j’ai commencé à ressentir certains symptômes… » Pour faire comme ses copines, déjà allergiques au gluten ? Heureusement, cet hebdomadaire nous rassure : « L’adolescente de 17 ans dit aujourd’hui être “pratiquement remise”, mais raconte ne s’être “presque pas sentie malade”. “Mon dernier rhume était bien pire que ça !”, ajoute-t-elle. »
Alors, vilain rhume ou péril mondial ? Épidémie frappant en priorité les plus jeunes ? Ou les plus vieux ? Il faudrait savoir. De même, cette charmante enfant préconisait une nouvelle grève, « numérique », celle-là, face aux « recommandations visant à limiter les rassemblements », nous dit Le Figaro de ce 30 avril. On avait cru imaginer, consignes sanitaires obligent, que ces « rassemblements » n’étaient pas bons pour la santé. Mais Greta Thunberg, climatologue de circonstance, est peut-être aussi épidémiologiste d’occasion… Quoi qu’il en soit, oserait-on lui suggérer que le concept de grève consiste à mettre son salaire, soit son unique moyen de subsistance, dans la balance afin d’obtenir tel ou tel avantage ? Oui.
En effet, ces grèves, qu’elles soient « climatiques » ou « numériques », déclenchées par des gamins ou des gamines n’engageant que le seul argent de poche que les parents veulent bien leur donner, sonnent comme une sorte d’insulte au peuple ouvrier. Celui du Front populaire de jadis, des gilets jaunes de naguère et de cette France d’aujourd’hui n’ayant d’autre choix que de faire tourner une France en état de quasi-faillite.
Si le père et la mère ayant enfanté ce petit monstre d’égoïsme narquois, si ces médias béats devant tant de niaiserie satisfaite, assuraient leur travail d’éducation et d’information, ils feraient bloc pour répondre en chœur à la petite Greta Thunberg : « Monte ranger ta chambre, va faire tes devoirs et, surtout, apprends à sourire aux grandes personnes. »
Si 100.000 dollars versés par une association humanitaire sont le prix à payer pour son babillage, pourquoi ne pas lever quelques fonds pour acheter son silence ?
Voilà qui ne pourrait faire que du bien aux malades et réconforter les bien-portants. Personnellement, je suis prêt à mettre la main au portefeuille et à vider mon Livret A.
À grands enjeux, grands sacrifices. Tout le monde sait ça.
L’imam Salem de Villefranche-Sur-Saône : « Chaque fois que tu passes devant un cimetière de non-musulmans, tu dois dire : "je vous annonce l’enfer" »
A cause de l’égoïsme ou de l’aveuglement d’une grande part des Français actuels – qui ont voté continûment pour des crapules antifrançaises –, non seulement l’héritage de leurs ancêtres est détruit (avec l’effacement de la France sur tous les plans : politique, ethnique, civilisationnel), mais leurs ancêtres se feront maudire jusque dans leur tombe, sur leur sol…
Dans la série des grands comiques involontaires de ce temps, plus cocasse encore que Sibeth, Jack Lang tient incontestablement une place de choix.
Précurseur du « en même temps » macronien, prêt à dire tout et son contraire et à retomber en permanence sur ses pattes de mouche, léger comme l’insignifiance incarnée, inventeur invétéré des fadaises les plus invraisemblables, ce bobo supérieur de la place des Vosges vient régulièrement dans les médias étaler son sourire jeune lifté et son visage à l’esthétique chirurgicale ou tartiner les plateaux de ses paroles précieuses comme un bijou de pacotille. Et s’il en avait fait l’un de ses personnages, Molière aurait pu l’appeler Philamouche, Anarchon ou Sotinet.
C’est ainsi que, dans une interview au Parisien, il nous livre ses considérations sur la situation de notre pays et sa culture, si culture il y a ou il reste, proposant même un « New Deal » et piétinant, au passage, sa propre action puisqu’il évoque toute cette créativité oubliée par l’administration culturelle qu’il a lui même installée…
Car enfin, qui a mis en place – au théâtre, par exemple – cette caste de directeurs metteurs en scène ministériels aussi prétentieux que conformistes et dénués de talent, et qui s’autoreproduisent depuis trente ans et se gavent de l’argent public pour faire tous la même chose en même temps ?
Qui a mis en place cet entre-soi et toutes ces coteries d’avant-gardistes estampillées DRAC, ces réseaux fermés et formatés jusqu’à la caricature et ce monde de la culture aux pétitions multiples et variées qui font, aujourd’hui, l’art officiel, si loin de cette créativité qu’il évoque ? Qui a mis en place le système qui empêche ce dont il parle d’exister ?
À qui doit-on (faudrait-il lui rappeler) cette déliquescence, sinon à ce ministre qui, après l’élection de Mitterrand, a fait de son ministère un outil de propagande, embrigadant par la subvention tous les apprentis politicartistes, futurs chiens de garde du pouvoir socialiste. Et aujourd’hui encore, quel metteur en scène ou auteur ministériel, quel peintre ou sculpteur dit contemporain, quel compositeur officiel n’est pas pétri de ce fatras idéologique bébête et progressiste, cher aux bobos et aux cultureux de gauche ? Trente ans, quarante ans que dure cette conformité subventionnée !
Mais voilà que notre phénix culturel des vieux beaux de ces bois, cet ex-ministre de la Culture défenseur de l’arabe et de l’anglais contre le français, cet adepte de la farce festive sur commande arrive, tel un sauveur de l’humanité, face la crise actuelle. Et de proposer un « New Deal », original et révolutionnaire comme un hamburger du McDo socialiste. Il faut, comme lorsqu’il était ministre, que l’État finance davantage, via une armada de nouveaux bureaucrates culturels, les faiseurs de courbettes, les courtisans idéologues et les électrons des petits marquis. Et ceux qui ne veulent pas tourner en rond autour d’eux, pas un rond ! Ainsi, ils n’existeront plus, ils ne râleront plus, ou dans le désert. Que voilà du nouveau, et de la nouvelle « dealerie » ! Du Jack Lang pur sucre : flatterie, courtisanerie, mondanités de gauche, clientélisme culturel avec l’argent du contribuable… Que voilà de la culture qui va remettre le pays et la République en marche ! Et notre mégalomane des salons d’inscrire son « New Deal » culturel dans l’Histoire : Roosevelt, le Front populaire, Jean Vilar, et… le « New Deal » de Jack Lang !
Son « New Deal », c’est comme réparer les dégâts de sa propre politique culturelle, en refaisant la même chose : on prend les mêmes, et les mêmes recettes, et on recommence. C’est un peu comme lorsque France Inter invite la momie pédagogique Meirieu pour dire ce qu’il faut faire pour résoudre la crise dans l’Éducation nationale. Jack Lang, c’est le culot personnifié : plus culotté que lui, tu deviens le roi Dagobert.
Sacré Jack Lang, va ! Si les personnages de Tartuffe, Trissotin et M. Jourdain n’existaient pas, il les inventerait et les incarnerait à lui tout seul. Aussi sûr qu’au XVIIe, il n’aurait pas subventionné Molière, l’auteur le plus subversif de son temps, et qui faisait le contraire des metteurs en scène ministériels de l’ère Lang : un théâtre insolent et libre !
Dans une vidéo publiée sur Twitter, le syndicat Alliance Police Nationale montre un contrôle ordinaire de police dans une enclave afro-musulmane, en indiquant les délits commis et les peines encourues par les personnes contrôlées ; ainsi que la complicité de la justice qui n'a poursuivi aucun des individus interpellés...
Officiel : @lepenjm célèbrera ce 1er mai par un message depuis son domicile et ne se rendra pas place des Pyramides à Paris, par respect des règles qui s'imposent à tous.
Depuis quelques semaines, la BCE et le gouvernement nous annoncent des plans d'aides colossaux. 550 milliards d'euros pour la BCE, 100 milliards d'euros en France, sans compter la garantie de 300 milliards pour inciter les banques à prêter de l'argent. Dans les autres pays européens, les sommes débloquées sont tout aussi impressionnantes : 50 milliards d'euros en Italie, 100 milliards en Espagne, 1.100 milliards en Allemagne ! De bonnes nouvelles ? De toute façon, la situation impose ces mesures, faute de quoi de nombreuses familles n'auraient même plus le minimum pour vivre en période de confinement, entre les indépendants, les travailleurs au chômage...
Sauf que voila : ces sommes sont issues de la fabrication artificielle de monnaie, la « planche à billets », comme on dit familièrement. Ces liquidités créées de toute pièce vont abonder considérablement la masse monétaire. Et en face, la production ne suivra pas, en tout cas ne suivra pas tout de suite, même après le déconfinement, le temps que les usines redémarrent, que la machine économique se remette en place. Surtout que le déconfinement est prévu pour s'étendre dans la durée, ralentissant ainsi la reprise... Nous allons donc nous trouver en plein dans la situation typique génératrice de l'inflation : masse monétaire pléthorique pour une production qui ne suit pas...
Les plus de cinquante ans s'en souviennent, la France a connu un épisode semblable, quoique bien moins grave, au lendemain de la victoire de Mitterrand en 1981 : on avait augmenté le SMIC, les minimas sociaux, les interventions de l'État, bref on avait gonflé artificiellement la masse monétaire, espérant soutenir la croissance par la demande. Sauf que la relance de la production ne se décrète pas du jour au lendemain, cela relève au moins du moyen terme, six mois à un an. Entre temps, les gens avaient plus d'argent entre leurs mains, et on a pallié à la pénurie relative par des importations : le franc a dévissé, l'inflation a flambé. Au bout d'un an de cette politique, avec des revenus nominaux bien supérieurs, les Français avaient pourtant subi une perte considérable de pouvoir d'achat. Au point qu'en 1983, le gouvernement Mauroy dut décréter l'interdiction de sortir du territoire Français avec plus de 2.000 francs par personne pour arrêter l'hémorragie...
C'est exactement ce qui risque de se produire dans quelques semaines, si les gouvernements ne privilégient pas les entreprises, ne mettent pas tout en œuvre pour faciliter leur redémarrage rapide. Cela demande du volontarisme, mais aussi du doigté, du savoir-faire, pour agir dans le bon timing.
Croyez-vous encore aux capacités de ce gouvernement pour œuvrer avec le sang froid, le bon sens et la précision nécessaire ? Pour le moment, il est constamment à contre temps, à la remorque des événements, en train de colmater les brèches qu'il ne voit jamais venir. Il faudra donc probablement se préparer au pire, une fois de plus...