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Le blog politique de Thomas JOLY

Olivier Véran, nouvel ambassadeur de la marque Lacoste ?

18 Janvier 2021, 07:37am

Publié par Thomas Joly

Ce matin j'allume Cnews pour avoir un bruit de fond pendant que je règle quelques affaires, et je vois apparaître Véran en plein exercice d'auto-congratulation, consciencieusement dissimulé derrière son masque... Lacoste ! Le célèbre logo de la marque (un crocodile) figure en bonne place sur le masque noir, transformant notre brave ministre en panneau publicitaire gratuit pour la marque.

Aussitôt je m'interroge : est-ce bien légal ? Puisque dans ce pays tout est absolument et exagérément encadré par un million de textes, de lois, de codes et de décrets, n'y a-t-il pas, au milieu de ce fatras juridique, un petit article qui règlemente l'activité publicitaire, quelque chose en rapport avec la concurrence d'une part, et, pourquoi pas dans ces choses un peu oubliées que l'on appelle la déontologie et la neutralité du service public, un texte qui impose à un représentant de l'autorité publique de ne pas faire de publicité ostentatoire pour une marque en particulier ?

Véran assure-t-il la promotion de la marque Lacoste gracieusement ou en échange de quelque rétribution ? Car attention, on ne parle pas ici d'un ministre qui porterait le caleçon, les chaussures ou la chemise d'une marque en particulier, ce qu'il aurait évidemment le droit de faire. On parle d'un ministre qui, sur l'endroit que l'on regarde en premier chez lui, c'est-à-dire son visage, exhibe ouvertement et par définition ostensiblement le logo absolument reconnaissable d'une marque en particulier. Est-ce bien son rôle ?

Puisqu'on parle de Véran, j'en profite pour saluer sa connaissance profonde des finesses esthétiques de notre belle langue française. Par exemple, dans cette même intervention publicitaire pour Lacoste, il a prononcé au milieu d'une phrase cette formule d'un genre original et puissant : « La réponse elle est non ».

« La réponse elle est non », mais franchement qui parle comme ça ?

Jonathan Sturel

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La fabrication du vaccin contre le Covid : le jackpot pour les laboratoires pharmaceutiques ?

18 Janvier 2021, 07:33am

Publié par Thomas Joly

Avec la fabrication du vaccin contre le Covid-19, l’industrie pharmaceutique a vu des milliards d’euros posés sur sa table par les grandes puissances.

Source : http://lalettrepatriote.com

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Covid, vaccin, la généticienne Alexandra Henrion-Caude nous dit tout

18 Janvier 2021, 07:21am

Publié par Thomas Joly

En juillet dernier, la généticienne Alexandra Henrion-Caude a accordé une interview à TVLibertés particulièrement remarquée. En ce début d’année 2021, l’heure est à la mise à jour. Un an après le début de la crise du Covid, où en sommes-nous réellement ?

Alors que les médias multiplient les controverses avec des médecins en situation de conflit d’intérêts, le vrai débat scientifique a lieu loin des caméras. Alexandra Henrion-Caude revient pour TVLibertés sur les données dont on dispose à ce jour, sur les grands sujets qui occupent – et inquiètent souvent – les Français.

À noter que cette vidéo a été censurée sur la plateforme Youtube.

Source : http://tvlibertes.com

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LREM tente de réintroduire en douce le vote par correspondance pour les prochaines présidentielles

18 Janvier 2021, 07:16am

Publié par Thomas Joly

Les élections américaines ont montré toute la fragilité qui pèse sur un système démocratique dans lequel les votes par correspondance ont fait basculer les résultats d’une élection qui semblait acquise au président sortant Donald Trump après des heures de dépouillement. Alors qu’au matin du 4 novembre 2020, Trump était en tête dans la course à la Maison-Blanche, des millions de votes par correspondance prétendument acquis à Joe Biden, nous avertissaient les médias depuis de longues semaines, restaient à dépouiller. Or, la pandémie du Covid-19 a largement assoupli les règles du vote par correspondance et de son contrôle aux États-Unis puisque seuls dix pour cent des États ont demandé un justificatif pour pouvoir avoir recours au vote à distance, ce qui a considérablement augmenté les risques de fraudes, le retard dans le dépouillement et provoqué, surtout, une crise de confiance sans précédent envers le système démocratique américain. D’autant que le candidat Joe Biden avait lâché un inquiétant lapsus pendant la campagne électorale, déclarant avoir mis en place « la plus extensive et inclusive organisation de fraude électorale de l'Histoire de la politique américaine ». Nous connaissons tous la suite de l’histoire. Les accusations de fraude électorale ont été balayées à grands coups de renfort médiatico-politique malgré des soupçons difficiles à démontrer, mais le mal est fait : des millions d’Américains ne croient pas les résultats d’une élection démocratique. La crise de confiance s’est durablement installée à la maison blanche, avant même l’installation du 46ème président des États-Unis.

Cette expérience aurait dû susciter la méfiance de la classe politique française. En novembre 2020, un spécialiste du droit électoral résumait ses craintes vis-à-vis du vote par correspondance dans Le Figaro : « c’est un système qui permet totalement la fraude, car vous n’êtes sûr ni de l’émetteur, ni du récepteur », arguant qu’il était impossible d’empêcher d’éventuels candidats malveillants ou leurs soutiens de récupérer le matériel de vote dans les boîtes aux lettres ou auprès des électeurs les plus fragiles, ni de contrôler les opérations postales d’acheminement, le stockage des votes en mairie. Pourtant, ses perspectives semblent avoir suscité l’intérêt de certains parlementaires de la majorité présidentielle séduits par ce potentiel outil de transfert de souveraineté du peuple vers ses élites : un vote par correspondance imposé par les élites, mais présenté comme plus démocratique, dont les modalités laissent place à peu de transparence et de contrôle.  Ce sont ainsi huit députés, dont sept appartenant au groupe LREM, qui ont déposé un amendement à l’article 2 d’un projet de loi permettant d’étendre la possibilité, pour l'élection présidentielle de 2022, de voter par correspondance à toute personne inscrite sur une liste électorale. Pour justifier leur étonnante proposition après la crise de confiance provoquée par cette modalité de vote outre-Atlantique, ces députés invoquent, dans « un contexte sanitaire incertain », la nécessité de rendre possible le vote par correspondance qui « paraît à la fois simple, logique et important ». Pourquoi cette poignée de députés s’embarrasserait-elle d’arguments étayés pour justifier le bouleversement de notre système démocratique alors qu’une simple affirmation péremptoire peut suffire à convaincre la majorité présidentielle ?  L’amendement prévoit par ailleurs que « la liste des électeurs admis à voter par correspondance n’est pas communicable », ce qui facilitera évidemment les contrôles et vérifications en cas de soupçon de fraude électorale.

Des chercheurs du MIT ont analysé la possibilité d’utiliser des technologies très fiables, comme la blockchain, pour sécuriser les votes par correspondance. La conclusion de l’auteur principal du rapport, le professeur Ron Rivest, est sans appel : « Je n'ai pas encore vu de système de blockchain auquel je ferais confiance pour voter à l'échelle d'une région, et encore moins d'une élection présidentielle ». Si la blockchain ne peut pas sécuriser les votes par correspondance, comment le bulletin de vote en papier le pourrait-il ?

L’élargissement du vote par correspondance bouleverserait notre système démocratique. Il nécessiterait donc un large débat public voire un référendum, mais fait l’objet d’un amendement déposé en toute discrétion. « Plus d’autorité pour plus de démocratie ». Tel pourrait être le slogan de la Macronie pour justifier les mesures privatives de liberté qui s’enchaînent depuis de longs mois, entre confinement, couvre-feu, fichage des opinions et restrictions de libertés individuelles.

Grégory Roose

Source : http://valeursactuelles.com

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Vins et spiritueux : taxes américaines ou taxes françaises ?

18 Janvier 2021, 07:02am

Publié par Thomas Joly

L’été dernier, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire rappelait, pour la énième fois, qu’il n’y aurait aucune hausse d’impôts. Mais quid des taxes ?

En ce début d’année 2021, les relations commerciales franco-américaines demeuraient tendues, notamment en ce qui concerne le litige Airbus-Boeing. À ce titre, la filière « vins et spiritueux » hexagonale a été très fortement impactée, avec des droits de douane de 25 % sur la quasi-totalité des boissons alcooliques françaises, à l’exception notable du champagne.

Selon la FEVS (Fédération des exportateurs de vins et spiritueux), la filière représente plus de 150.000 emplois directs, 12,7 milliards d’euros d’exportations (2019), soit un excédent commercial net de 3,7 milliards d’euros (le deuxième, après l’aéronautique). C’est aussi plus de 5 milliards d’euros de chiffre d’affaires lié au tourisme, 9,1 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France, ainsi que 17 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour les entreprises en aval de la production alcoolière (tonnellerie, verrerie, chaudronnerie…).

Encore une fois, le gouvernement français a annoncé soutenir pleinement l’industrie alcoolière tricolore. Mais comment ? Là est la question !

Ce qui est sûr, c’est que, malgré les annonces gouvernementales, les vins et spiritueux, taxés plus sévèrement sur le marché américain (premier marché, en volume, pour le cognac [3,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires, dont 98 % à l’export]), sont aussi taxés plus sévèrement sur le marché français, en ce début d’année 2021. Comment soutenir les alcooliers à l’international en les taxant un peu plus sur le marché national ?

Sans entrer dans le détail de toutes les taxes inhérentes aux boissons alcooliques comme les accises, les cotisations de Sécurité sociale et la TVA à 20 %, qui prend dans son assiette les taxes inhérentes aux alcools, les boissons alcooliques ont pris, cette année, entre 1 centime et 30 euros l’hectolitre. Il serait fastidieux de détailler ici l’assiette des taxes pour les alcools, dépendant de la catégorie de chaque boisson.

Sur une bouteille, cette augmentation semble indolore pour les bières, cidres, poirés et hydromels, qui de toute façon sont bien moins impactés par les mesures de rétorsion américaines. C’est également le cas des vins tranquilles et vins mousseux, qui prennent un peu moins de 0,1 centime par bouteille de 75 cl, eux bien plus impactés par le litige Airbus-Boeing.

A contrario, c’est une augmentation, proportionnelle à la quantité d’alcool pur, pour les spiritueux. Désormais les taxes débutent à 6,668 € (hors TVA 20 %) par bouteille de 70 cl à 40°.

En France, une bouteille de spiritueux est achetée, eu moyenne, à 13 € les 70 cl. Avec 20 % de TVA et 6,668 € de droits, les accises et cotisations de Sécurité sociale représentent 51 % du prix de la bouteille, hors TVA 20 %.

Alors, même avec 25 % de droits de douane sur le continent américain, cela reste loin des 51 % du prix de la bouteille à 13 € qui est imposé en France. Le continent américain demeure intéressant pour les alcooliers français, mais voilà 25 % de marge en moins !

Alors, que va faire le gouvernement pour aider plus de 150.000 Français ?

Adrien Hoffmann

Source : http://bvoltaire.fr

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Israël : 17 % des malades du Covid hospitalisés ont été vaccinés

17 Janvier 2021, 15:26pm

Publié par Thomas Joly

Le site communautaire Europe-Israël, reprenant des informations de la télévision israélienne i24News, souligne que 4.500 personnes ont été infectées par le Covid après avoir reçu le vaccin.

Parmi ces personnes, 375 ont été hospitalisées. 244 l’ont été dans la première semaine suivant leur vaccination, 124 au cours de la deuxième semaine et 7 plus de quinze jours après avoir reçu le vaccin.

Selon le Docteur Sharon Elrai-Price qui dirige les services de santé publique au ministère israélien de la Santé, 17 % des patients hospitalisés en ce moment en Israël avaient reçu une première dose du vaccin anti-Covid avant de tomber malades.

Israël est le pays qui a vacciné le plus de personnes à ce jour. Sur ses neuf millions d’habitants, deux millions ont déjà reçu une première dose du vaccin Pfizer. Et paradoxalement, le gouvernement israélien annonce que l’épidémie n’y a jamais affecté autant de personnes.

Source : http://medias-presse.info

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Il y a 30 ans commençait la première agression contre l'Irak

17 Janvier 2021, 15:08pm

Publié par Thomas Joly

Il y a trente ans, le 17 janvier 1991, débutait l'opération « Tempête du désert ».

Après des mois de mensonges, de manipulations et de tromperies, l'armée américaine, hélas avec le renfort de nos troupes, se ruait sur l'Irak laïque, rempart arabe contre l'islamisme, écrasée sous le feu technologique des bombes et des missiles US.

La première guerre d'Irak commençait. La seconde acheva le travail de déstabilisation de la région avec pour notre Europe les conséquences que l'on sait.

C'est l'honneur du mouvement national français d'avoir, dès l'été 1990, pris position unanimement contre cette folie.

Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France

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« Thomas Joly répond à vos questions » - N°10 - 16 janvier 2021

16 Janvier 2021, 20:53pm

Publié par Thomas Joly

Sujets abordés : Présidentielles 2022, la censure sur les réseaux sociaux, le lynchage de Donald Trump, QAnon, la dictature sanitaire, la vaccination contre le Covid, des personnalités de droite sympathiques, Jacques Chirac, l'acharnement thérapeutique, l'euthanasie, le don d'organes, l'unité d'action face à la folie sanitaire, le rôle du Parti de la France, l'hommage à Roger Holeindre le 30 janvier prochain.

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« Le concept de réchauffement climatique est une absurdité »

16 Janvier 2021, 20:12pm

Publié par Thomas Joly

 

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Rassemblement à Caen contre la dictature sanitaire

16 Janvier 2021, 20:11pm

Publié par Thomas Joly

Ce samedi matin, malgré la pluie, quelques amis du Parti de la France se sont rassemblés devant la préfecture du Calvados pour dénoncer les mesures liberticides prises au nom de la lutte contre la pandémie de Covid-19.

Les sujets abordés lors de l’allocution étaient :

  • Pourquoi se rassembler devant la préfecture ? Parce que c’est le siège du représentant local du gouvernement.
  • Est-ce excessif de parler de dictature sanitaire ? Non, les mesures prises par le gouvernement n’ont rien à voir avec la santé mais avec le droit de circuler librement et le droit de travailler.
  • Pouvons-nous avoir une influence politique alors que plusieurs milliards d’être humains son concernés par ce genre de mesures ? Si le cirque médiatico-politique est planétaire, il n’en demeure pas moins que ce sont les dirigeants français qui décident de ce qui se passe en France. Edouard Philippe, par exemple, n’était pas un demi-dieu intouchable venu d’une galaxie inconnue, mais un Français, un Normand, un gars du Havre, arrivé au pouvoir par le seul jeu politique national. Nous pouvons donc avoir tout pouvoir sur ce qui se passe à l’échelle de notre nation si nous ne lâchons pas le combat politique.
  • Sommes-nous des complotistes ? Aujourd’hui, il suffit de contredire Emmanuel Macron ou de se livrer à un travail d’enquête pour être qualifié de complotiste. Ce terme est devenu vide de sens tant on y met toute personnalité et toute idée qui ne sont pas validées par la bien-pensance.
  • Sommes-nous réduits à l’impuissance ? Ce n’est pas parce que le gouvernement essaie de nous sidérer et de saper le moral des Français que nous devons nous laisser persuader que nous ne pouvons rien faire. Il ne tient qu’à nous d’être des hommes droits, libres et fiers, ou de lamentables serpillères.
  • Que propose le Parti de la France pour sortir de cette situation ? Le Parti de la France propose que les scandaleuses décisions politiques prises pendant cette crise dite sanitaire soient abolies, et que le sujet du Covid-19, comme celui de toutes les maladies, soit pris en charge par les médecins, les cliniques et les hôpitaux selon ce qui s’est toujours fait jusqu’à mars 2020 : prévenir /soigner / rassurer / traiter / remettre sur pieds.

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Dans la famille Duhamel-Pisier-Kouchner, je voudrais la peau du beau-père

16 Janvier 2021, 13:16pm

Publié par Thomas Joly

Il est toujours malaisé de railler les histoires de familles, tant ces dernières dissimulent parfois des cadavres en leurs placards. Pourtant, celle formée et recomposée à base d’Olivier Duhamel, de Bernard Kouchner et des sœurs Évelyne et Marie-France Pisier n’est pas tout à fait une famille comme les autres, ayant exposé sa vie privée dans le domaine public tout en se présentant en parangon de vertus démocratiques.

Aux Duhamel, les leçons de républicanisme, aux Kouchner celles d’humanisme, aux Pisier celles de féminisme : soit la gauche de progrès dans toute sa splendeur médiatique. C’est dire si, aujourd’hui, tout ce joli petit monde tombe de haut. À l’origine, nous rappelle Le Point de ce jeudi 14 janvier, il y a les Pisier : Paula, la mère, le fils Gilles et surtout Marie-France et Évelyne. Le père ? Un fonctionnaire vichyssois, resté à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie. Les filles, respectivement âgées de neuf et douze ans, ont déjà été initiées par leur génitrice aux mystères et coquineries de la sexualité. Nous sommes en 1953 : maman est en avance sur son temps.

Évelyne Pisier est la première Française à décrocher une agrégation de droit, tandis que sa cadette devient égérie de la Nouvelle Vague. Au salon des Pisier, on reçoit beaucoup. Entre autres, l’infernal couple formé par Sartre et Beauvoir, François Truffaut et Jean-Luc Godard. Marie-France se met à la colle avec Daniel Cohn-Bendit et Évelyne avec… Fidel Castro. Et Violaine de Montclos, du Point, de citer, non sans malice, un camarade d’alors : « Castro sonnait Évelyne quand il voulait. […] À Paris, elle emmerdait tout le monde en donnant des leçons de féminisme, mais à Cuba, elle était vraiment le prototype de la femme soumise. » On espère que Bernard Kouchner, avec lequel elle refait sa vie et auquel elle donne trois enfants, ne reprend pas à son tour le flambeau du macho tropical d’opérette.

Quant à maman Pisier, elle se remet ensuite en couple avec son pétainiste de mari. Il se suicidera en 1986 ; et elle, deux ans plus tard, sans qu’il faille forcément y voir rapport de cause à effet. Dans la foulée, Olivier Duhamel entre en scène et épouse Évelyne, ex-madame Kouchner, pour le pire et le moins bon, à en croire La Familia grande, livre vengeur de Camille Kouchner auquel il doit sa récente descente aux enfers.

En attendant, la smala mène grand train, invitant chaque été les représentants les plus éminents de la République des lettres et du microcosme médiatico-politique dans la villa varoise de Sanary-sur-Mer. Là, rappelle Violaine de Montclos : « Si vous n’étiez pas de gauche, vous étiez bannis. » La lecture du brûlot de Camille Kouchner est, à ce titre, édifiante. Au bord de la piscine et du court de tennis, tout le monde est évidemment féministe, à condition toutefois que les femmes acceptent de coucher avec le premier homme venu. L’une refuse d’être troussée en plein sommeil : elle sera écartée de cette communauté dans laquelle on s’indigne qu’une jeune fille puisse être encore vierge à treize ans.

Celle qui, alertée par ses nièces et neveux, tente d’y remettre bon ordre, c’est Marie-France Pisier. Mais Évelyne, sa sœur, jusque-là bien aimée, préfère prendre la défense de l’ogre, son mari Olivier, celui qui viole régulièrement Victor, son beau-fils, tout en baratinant Camille, sa belle-fille. À force de ne point être entendue, Marie-France glisse peu à peu dans la dépression. On la retrouvera, le 24 avril 2011, au fond de sa piscine, gavée d’alcool et d’antidépresseurs.

Évelyne est, elle aussi, tombée dans la bouteille après avoir rompu avec sa sœur qui voulait enfin faire éclater la vérité, avant de rendre l’âme, le 9 février 2017.

Olivier Duhamel, lui, est toujours là, dans l’état qu’on sait. Sa vie n’est, aujourd’hui, plus que champ de ruines. C’est la fin d’une époque, celle de l’arrogante bourgeoisie mitterrandienne et, pour une fois, on ne regrettera pas le bon temps d’avant.

Nicolas Gauthier

Source : http://bvoltaire.fr

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Rassemblement contre la dictature sanitaire samedi 16 janvier à Caen

15 Janvier 2021, 07:56am

Publié par Thomas Joly

Suite à l’énième annonce improbable du gouvernement, qui nous assigne désormais à résidence douze heures par jour, il est temps de rassembler les Français qui se tiennent encore debout et refusent la transformation de la France en un goulag géant.

Nous manifesterons donc notre opposition à la dictature sanitaire devant le siège du représentant calvadosien du gouvernement : la préfecture de Caen.

Rejoignez-nous nombreux à ce rassemblement afin d’envoyer ce message le plus fort possible : nous ne laisserons pas Emmanuel Macron et sa bande nous ôter nos libertés !

Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France

Lieu et horaire : écrire à hiroutbrunopdf@gmail.com

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Stanislas Guerini au pays des pochetrons

15 Janvier 2021, 07:51am

Publié par Thomas Joly

On connaissait l’effet, ou plutôt le double effet Kiss Cool. Une expression entrée dans le langage courant dans les années 90 et empruntée, comme souvent, au monde de la publicité. Une action provoque un effet attendu et un second, plus inattendu. Allusion aux bonbons Kiss Cool qui rafraîchissaient l’haleine (premier effet, garanti sur facture) et qui, par ailleurs, provoquait une sorte d’euphorie – enfin, c’est la pub qui l’affirmait. Le double effet Kiss Cool peut être positif comme négatif. On parlera du deuxième effet Kiss Cool des indicateurs de performance dans un séminaire d’entreprise très sérieux, viennoiseries et jus d’orange à volonté. Comme on pourrait, aussi, parler de l’effet Kiss Cool de la suppression de la taxe d’habitation, effet que les propriétaires ne tarderont pas à vite ressentir. Un effet pas très cool. Bref, l’effet Kiss Cool peut être mis à toutes les sauces. Mais ce n’est pas le sujet d’aujourd’hui. Quoique.

Aujourd’hui, nous voudrions parler d’un autre effet qui vient de sortir : « l’effet apéro ». L’apéro, c’est bien connu, c’est sacré, en France. Champagne entouré de créatures de rêve perchées sur des talons de quinze, whisky entre hommes dans de confortables fauteuils club, pastis par temps bleu sous les pins du camping, petit blanc au coin du zinc alors qu’il pèle dehors, doigt de porto chez la grand-mère qui a fait 95 ans le mois dernier. L’apéro réussit ce que Giscard échoua à faire et que Macron ne réussira sans doute jamais, sauf peut-être contre lui : rassembler deux Français sur trois. L’apéro est un fléau… universellement français.

C’est Stanislas Guerini, en charge du service après-vente de la politique gouvernementale, puisque délégué général de La République en marche, qui a bien vu le problème, au regard de la lutte contre le Covid, « virus social », selon ses propres mots, mercredi soir, sur BFM TV. L’intérêt du couvre-feu à 18 heures ? C’est de « contrer l’effet apéro, si je puis dire », explique le député de Paris. Car c’est bien connu, des millions de Français, chaque soir, à la sortie du turbin, comme autrefois l’ouvrier parisien, vont se pochetronner et boire leur paye au lieu de rentrer sagement à la maison pour se jeter sur la banquette et regarder Hanouna. Vous me direz que les cafés, débits de boissons et autres bars à vin sont fermés depuis des semaines. Mais les Français sont incorrigibles et pleins d’imagination pour contourner la patrouille. Sitôt l’ordinateur mis en veille, ils sortent du tiroir de dessous ou de l’armoire à produits d’entretien les bouteilles d’alcool et le paquet de cacahuètes ouvert depuis trois semaines (passons les détails) et improvisent des after apéro. L’alcoolisme et son cortège de misère sociale, comme on disait jadis lorsque les ministres portaient des lorgnons et la rosette à la boutonnière… Avec le couvre-feu à 18 heures, c’est pas la même limonade : tu fermes ton ordinateur, tu dis bonsoir de loin aux collègues et tu rentres chez toi. Point barre. Ou, plutôt, point de bar.

Donc, « l’effet apéro », fini.

Maintenant, le tout est de savoir si la suppression ou, tout du moins, la limitation de l’effet apéro, avec un couvre-feu à l’heure des poules, ne va pas entraîner quelques effets secondaires, autrement dit Kiss Cool : embouteillages à la sortie des agglomérations, par exemple. Pas très grave : tout seul dans sa voiture, on ne risque pas de contaminer ou d’être contaminé. Ou bien, autre exemple, transports en commun bondés à l’heure du thé. Pas grave non plus, car il paraît que ce n’est pas dans les transports en commun qu’on se contamine le plus…

Georges Michel

Source : http://bvoltaire.fr

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« Je ne veux pas mourir ! » : Mélenchon fait une crise de panique après avoir oublié son masque

15 Janvier 2021, 07:46am

Publié par Thomas Joly

Sa personne a beau « être sacrée », Jean-Luc Mélenchon est bien fébrile face au Covid. Alors, jeudi 14 janvier, en conférence de presse, le député LFI des Bouches-du-Rhône a tout bonnement paniqué en s’apercevant qu’il avait oublié son masque.

« Oh non, ce n’est pas vrai ! C’est des micros ? C’est quoi cette histoire ? », a d’abord pesté l’élu en découvrant les caméras présentes pour l’occasion. Puis est venue la frayeur d’attraper le Covid-19. « Mais attendez une seconde, oh, lala je n’ai pas de masque ! », s’est-il exclamé, avant d’en remettre une couche : « Je ne veux pas mourir à cause de vous ! »

Source : http://valeursactuelles.com

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Journal de Bord de Jean-Marie Le Pen - N°603

15 Janvier 2021, 07:45am

Publié par Thomas Joly

Sujets abordés : les événements aux États-Unis, la persécution de Donald Trump, l'erreur stratégique de la dédiabolisation, le bavardage et le manque de sang-froid du Président de la République française, Joe Biden et Kamala Harris, le rôle de la France dans la fondation des États-Unis, « Minute » de 2001 : « Pourquoi Le Pen a raison », l'hystérie de l'entre-deux tours en 2002, conseils de lecture.

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