C'est samedi à 18h et ce sera retransmis en direct sur la chaîne Youtube d'Henry de Lesquen (le lien vers la vidéo sera posté ici même).
Pour ceux qui veulent venir voir le débat sur place, rendez-vous au Carrefour de l'Horloge, 4 rue de Stockholm, Paris 8e. PAF de 5€, le débat sera suivi d'un pot.
1– Remarquons d’abord que cet argument s’inscrit dans une stricte logique économique. À supposer qu’il soit vrai (nous démontrerons que ce n’est pas le cas), il devrait être mis en balance avec d’autres facteurs et d’abord avec les conséquences nuisibles de l’immigration en termes d’identité, d’éducation, de sécurité ou encore de budget.
Il en va de même pour les descendants d’immigrés non européens dont le taux de chômage cinq ans après l’entrée dans la vie active est deux fois plus élevé que celui d’un Français de souche (voir Immigration la catastrophe, que faire, page 46).
Quitte à garder le slogan « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire », il serait donc plus juste de l’adapter et d’affirmer « les nouveaux immigrés font le travail que les Français et surtout les immigrés plus anciens et les descendants d’immigrés ne veulent pas faire. »
3– En fait, la réalité est la suivante : l’entrée de nouveaux immigrés, même réguliers et surtout clandestins, fausse le marché du travail.
L’arrivée d’une main d’œuvre précaire, au départ peu exigeante et souvent clandestine, biaise la concurrence et tire les salaires à la baisse. Ce qui décourage les anciens résidents en France de prendre ces emplois.
Ceci vaut notamment dans les secteurs de l’hôtellerie/restauration, du bâtiment et des travaux publics, du contrôle et de la sécurité ainsi que des services à la personne.
4– Nuançons toutefois ce propos. Cette fuite des Français de certains métiers concerne bien davantage les grandes villes que la France périphérique. Cela s’explique par les surcoûts immobiliers dans les grandes métropoles et le fait que les classes populaires de souche ont été refoulées très loin des centres villes. Ainsi le profil du personnel hospitalier et des soignants en EHPAD n’est pas le même en province et dans les grandes métropoles. Et ce alors même que dans les grands ensembles à forte population immigrée l’aide sociale et les trafics assurent souvent des revenus substantiels.
5– Ceci étant, le recours à une main d’œuvre étrangère – clandestine ou non – n’est pas une fatalité. Bien au contraire il apparaît que les employeurs n’ont pas toujours le libre choix de l’embauche. SOS Racisme a réalisé un test sur les recherches en personnels des entreprises de bâtiment et des travaux publics et déplore que 45 % d’entre elles (45 %, ce n’est pas rien !) auraient aimé pouvoir discriminer à l’embauche selon l’origine en excluant les candidats de type non européen. Preuve s’il en est que l’africanisation de ces métiers n’est pas inéluctable.
Les particuliers cherchant des aides ménagères ou à domicile se heurtent à la même difficulté d’orientation de leur recrutement. Une difficulté contournée par le personnel offrant ses services et précisant parfois « Français » ou « Dame portugaise ».
6– L’argument selon lequel « les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire » est encore plus faux pour les métiers du contrôle et de la sécurité. Il y a encore 20 à 30 ans, beaucoup de jeunes Français de souche ayant poursuivi des études modestes trouvaient des débouchés comme agents de sécurité. L’idéologie « anti raciste » les a progressivement exclus de ces métiers. Pour une raison simple: en cas de conflit entre un agent de sécurité et une personne contrôlée et refoulée c’est la règle du « deux poids, deux mesures » qui s’applique :
l’agent de sécurité européen en conflit avec un Africain ou un Maghrébin sera souvent présumé « raciste » par les médias et les juges.
a contrario, c’est le quidam européen en contentieux avec un agent de sécurité africain ou maghrébin qui risquera d’être présumé « raciste ».
Pour les employeurs, le choix est donc vite fait ! Sans parler du fait que recruter les membres d’une bande de racaille peut servir de police d’assurance…
Dans ce secteur, il est particulièrement faux de dire qu’on ne trouve pas de Français de souche pour travailler puisqu’ils sont exclus de fait de l’accès à l’emploi !
7– Ajoutons que les politiques publiques ont pu créer des pénuries artificielles de main d’œuvre : on pense en particulier à la médecine et à la chirurgie dentaire.
Difficile d’affirmer que personne ne veut être médecin hospitalier ou dentiste, mais le numerus clausus organisé par les gouvernements successifs a créé des pénuries artificielles.
Recréer une dynamique du travail français
Voilà qui permet d’affirmer que recréer une dynamique du travail français est possible par un ensemble de mesures :
une dissuasion réelle du travail clandestin par un strict contrôle aux frontières et la fermeture administrative des entreprises employant des clandestins ;
l’abrogation de la loi Pleven pour rendre aux employeurs le libre choix de leur personnel et recréer un marché d’emploi pour les autochtones ;
et ce dans le cadre de la préférence nationale rétablie dans la Constitution ;
la révision du code des marchés publics pour y imposer la préférence nationale à l’emploi et la traque des sous-traitants indélicats.
Cet ensemble des mesures produira mécaniquement une réévaluation de ces métiers (hôtellerie, restauration, sécurité, aides ménagères, aides à la personne, bâtiments/travaux publics) par l’amélioration des conditions et des relations de travail comme par la hausse mécanique des salaires par le jeu de l’offre et de la demande. D’autant que la diminution des coûts sociaux et médicaux du fardeau de l’immigration devrait permettre une baisse des charges sociales.
Enfin les parcours scolaires devraient accompagner ce mouvement en revalorisant les métiers manuels et de force. Par une réhabilitation de l’apprentissage, de l’enseignement professionnel et de l’exercice physique.
Scandaleuse condamnation de Cassandre Fristot à 6 mois de prison avec sursis et 2.400 € d'amende aux vautours associatifs pour une simple pancarte dénonçant l'oligarchie cosmopolite impliquée dans la tyrannie sanitaire mondiale.
Encore une fois, il s'agit d'une décision judiciaire purement politique, faisant fi du droit.
Le Parti de la France réitère son soutien à Cassandre Fristot et lui apportera prochainement une aide financière.
#Zemmour qui met en sueur Marlène #Schiappa et la presse de gauche parce qu'il s'amuse avec un fusil au salon #Milipol. Ce n'est pourtant qu'un avant-goût avant la publication du sondage le donnant à 21 %, à deux points de Macron, l'éleveuse de chats s'écroulant à 13.
« Au procès des attentats, la colère d’un père haineux. » C’est le titre d’un portrait de Patrick Jardin (notre photo), père inconsolable de Nathalie, 31 ans, assassinée au Bataclan, du quotidien vespéral. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il ne se laisse pas vraiment aller à l’empathie envers son sujet, qui pourtant aurait toutes les raisons du monde de la mériter. Devant le tollé suscité par cette indécente titraille, Gilbert Collard mais aussi l’écrivain Jacques de Saint-Victor l’ont dénoncée, le quotidien l’a retitrée en catastrophe, c’est devenu « La colère sans limites d’un père ».
Pour la journaliste auteur de l’article, c’est la haine, expression d’un gauchisme revendiqué, qui est sans limites.
Patrick Jardin est en effet une mauvaise victime : il a perdu sa fille criblée de balles lors d’un massacre de masse à matrice islamiste, mais la journaliste retient plutôt qu’« à rebours de la plupart des parties civiles, dont la douleur ne déborde pas dans le champ politique, l’insondable tristesse de Patrick Jardin alimente un militantisme d’extrême droite ancien et virulent ». À ce père meurtri d’une douleur qui ne passera jamais – comment peut-on se remettre de la mort d’un enfant – mais qui, au lieu d’assouvir une vengeance personnelle, s’en est remis à la Justice, Le Monde décoche ses flèches empoisonnées l’une après l’autre : « Divers mouvements réactionnaires avaient érigé le père de Nathalie en icône anti-islam, un rôle qu’il assume sans problème […] Ses comptes sur les réseaux sociaux, régulièrement signalés, sont très souvent bloqués. » Le plus grand tort de Patrick Jardin ? « Patrick Jardin vote FN, puis RN, depuis cinquante ans. » Une petite dose de reductio ad hitlerum, ça ne peut pas nuire à la démonstration, n’est-ce pas ?
Jusqu’à l’argument massue, l’assignation à résidence fasciste 2.0, qui s’appelle aujourd’hui complotisme, particulièrement en vogue depuis dix-huit mois : « Il a refait cent fois l’enquête, passe tout son temps sur Internet, se laisse gagner par le complotisme. » Sans complexe et sans limites, l’article se conclut par un jugement moral que l’on trouvera, et c’est un euphémisme, particulièrement déplacé : « La “mauvaise victime”, érigée en martyre par la droite de la droite, est en roue libre, enfermée dans sa haine. »
Il y a quelques heures, Patrick Jardin réagissait sur Twitter : « Suite aux fausses informations publiées par l’immonde : une plainte en diffamation a été déposée ce matin je n’ai jamais fait de politique je n’ai jamais fait parti d’AFO [Action des forces opérationnelles, NDLR] et ils ont utilisé une photo de moi sans mon autorisation. »
Le Monde n’en est pas à son coup d’essai avec Patrick Jardin : dans un article du 28 septembre 2018, les auteurs le dénonçaient pour connivence avec « le gotha de l’activisme d’extrême droite ».
Mais la vérité oblige à dire que la journaliste du Monde ne prétend pas vraiment à la même objectivité envers le père du terroriste Samy Amimour. De ce père de terroriste qui, lui, n’est pas haineux mais « presque brisé », elle dresse sur i>Télé un portrait incroyablement complaisant, quelques jours seulement après l’attentat du Bataclan : « Un citoyen du monde, il a énormément voyagé, c’est un lettré, il s’intéresse au cinéma, c’est quelqu’un de cultivé, qui parle plusieurs langues, plusieurs dialectes, quelqu’un de très ouvert sur le monde avec qui j’ai pu boire une bière (sic). »« C’est pareil pour sa mère qui est une militante féministe très active dans les milieux culturels berbères. »
C’est pourtant Azdyne Amimour qui déclarait, dans les colonnes de20 Minutes, à l’occasion de la sortie d’un livre co-écrit avec le père d’une des victimes du Bataclan, Georges Salines, et contre lequel Patrick Jardin s’est maintes fois insurgé : « J’ai l’impression que les parents de victimes et les rescapés sont comme moi, ils veulent comprendre, s’informer. Je considère que je suis également une victime, tout comme mon fils qui a été manipulé. Ça peut arriver à n’importe qui. » Indécente manipulation de la vérité… Mais pour la journaliste du Monde, Azdyne Amimour, à la différence du méchant Patrick Jardin, coche toutes les cases du camp du bien. Et sinon, l’islamo-gauchisme dans la presse française, c’est un fantasme d’extrême droite ?
On nous l’affirme : l’augmentation du coût de l’énergie, c’est la faute des Chinois (qui nous ont déjà refilé le Covid-19), des Russes (évidemment !), des Américains… bref, des autres.
Creusons un peu.
Le dispositif des certificats d’économie d’énergie (CEE) date de 2005. Les fournisseurs et distributeurs, appelés « obligés », doivent permettre aux consommateurs de réaliser des économies d’énergie. Ces économies sont quantifiées en certificats d’économie d’énergie délivrés par l’État. Pour répondre à cette obligation, les fournisseurs ont trois solutions : payer une surtaxe à l’État, réaliser eux-mêmes des économies d’énergie ou s’acquitter en achetant des certificats d’économie d’énergie sur un marché, la bourse Emmy, où les consommateurs d’énergie les vendent. Marché fort lucratif.
Mais d’où, finalement, sort l’argent ? Devinez ! Les producteurs gagnent à vendre moins et plus cher pour continuer d’acheter leurs certificats sur le marché, en continuelle augmentation. Ils répercutent cette flambée sur leurs prix, donc sur les consommateurs et, corrélativement, diminuent leur production. Plusieurs associations ont alerté le gouvernement de cette hausse du prix des CEE. L’État reste silencieux. Sans doute pour la même raison qui, profitant de leur naïveté, laisse croire aux écologistes que le salut est dans les énergies renouvelables. Or, qu’en est-il ?
La superficie de la France est de 63 millions d’hectares. Complètement recouverte de panneaux, dont le meilleur rendement est de l’ordre de 20 %, l’énergie totale produite serait de l’ordre de 32 térawatts. Or, le total de la production d’énergie nucléaire est de l’ordre de 360 térawatts.
En Allemagne, au début des années 2000, la transition énergétique était censée apporter aux régions de l’ex-RDA la prospérité économique. Selon la Confédération des syndicats allemands (DGB), en une seule année, 30.000 emplois ont disparu, avec 30 milliards d’euros de faillites. L’Allemagne a dépensé 24,3 milliards d’euros au-dessus des prix du marché en tarif de rachat d’énergie renouvelable, en 2017. Lorsque le temps est couvert, c’est la Pologne, avec ses centrales au charbon, et la France, avec ses centrales nucléaires, qui alimentent l’Allemagne.
En France, selon l’enquête réalisée par Michel Gay, auteur du livre Vive le nucléaire heureux !, la « route solaire » inaugurée par l’ineffable Ségolène Royal, en 2016, n’atteignit jamais que la moitié des 767 kWh journaliers prévus initialement. Amérique, Allemagne, Espagne, Danemark, Australie : partout, dans le monde, les énergies renouvelables constituent un gouffre financier.
La cause en est leur régime variable, nécessitant des renforcements de secours sous la forme de centrales au gaz, de barrages hydroélectriques, de batteries au lithium… On peut changer les lois humaines, pas celles de la thermodynamique.
En France, à l’horizon 2022, elle dépassera 10 milliards d’euros, directement prélevés sur les factures. Mise en place, début 2000, pour soutenir et développer les énergies renouvelables, la CSPE a augmenté de… 650 % ! Vous avez bien lu. Soit environ 16 % de la facture moyenne d’électricité, d’après la Commission de régulation de l’énergie. CSPE encore insuffisante pour le développement des énergies renouvelables, au coût entre deux et dix fois plus élevé que celui du nucléaire installé.
D’après Michel Gay, l’électricité nucléaire coûte environ 4 centimes par kWh (avec le démantèlement et la gestion des déchets), l’électricité d’origine solaire entre 80 et 100 centimes d’euros par kWh, soit 20 fois plus.
Mais la prospective verte serait incomplète sans la voiture, naturellement électrique ! Lorsque les véhicules thermiques ne seront plus commercialisés, avec un parc estimé à 15 millions de véhicules, le besoin sera de 34 térawatts, soit la consommation annuelle de l’Irlande ou du Danemark.
« Sauvons la planète ! »« L’Énergie est notre avenir », etc. Le véritable objectif ne serait-il pas de faire semblant d’agir en magnifiant le renouvelable tout en laissant prospérer les augmentations jusqu’au seuil de l’insupportable ? Alors le gouvernement rejouerait le développement du nucléaire, à l’instar des nations du monde entier. Au nom de l’opportune lutte contre le CO2, supposé coupable du réchauffement (gaz non toxique, pourtant 150 fois plus élevé au crétacé et dont les plantes se nourrissent), la marche forcée vers le tout électrique, c’est bien la marche forcée vers le nucléaire.
De 2001 à 2021, une affaire invraisemblable secoua la ville de Châteauroux. Suite à un banal collage d'affiches nationalistes sur les lycées, un juge d'instruction local à l'imagination débordante, appuyé par quelques journalistes locaux en mal de frissons, inventa un rocambolesque complot armé visant à renverser la République mené par un groupe d'adolescents prétendus néo-nazis qui agissait dans le chef lieu de l'Indre. Inutile de préciser que tout cela relevait plus des boniments de fin de banquet que d'autres choses. Cependant, plusieurs dizaines de militants furent inquiétés, voire emprisonnés... pour rien. Vingt ans après le début de cette affaire (qui entre temps fut reprise par un autre juge), le verdict est tombé en avril dernier : non-lieu !
Francis Bergeron, directeur du quotidien Présent, a suivi cette affaire depuis le début. Il vient de publier aux Editions Dualpha un livre sur ce scandale politico-judiciaire. Il nous dévoile aujourd'hui les dessous de ce drame qui a sali la réputation de nombreux Castelroussins.
Depuis le mois de janvier, « 9720 demandes de retrait de contenus en lien avec le terrorisme auprès des grandes plateformes d’internet comme Facebook et Twitter » révèle France Inter. Cécile Augeraud, chef de l’office central de lutte contre la cybercriminalité précise à nos confrères que ce chiffre correspond à une « hausse de 219 % ».
Dispositif mis en place en 2009 par le gouvernement, le site PHAROS (Plateforme d’harmonisation, d’analyse, de recoupement et d’orientation des signalements), est rattaché à Nanterre, à l’office central de lutte contre les cybercriminalités. Il permet aux citoyens de signaler les faits de pédophilie et pédopornographie, racisme, antisémitisme et xénophobie, d’incitation à la haine raciale, ethnique et religieuse, d’arnaques financières et enfin de terrorisme ou apologie du terrorisme. 54 agents issus de la police ou de la gendarmerie y travaillent jour et nuit pour traiter les signalements et traquer les contenus suspects. Ils alertent aussitôt les services compétents (Police nationale, Gendarmerie nationale, Douanes, Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes, Interpol). Une enquête est alors ouverte sous l’autorité du Procureur de la République.
🔴 En cette semaine d'hommage à #SamuelPaty nous souhaitions rappeler la responsabilité des réseaux sociaux dans cet ignoble assassinat.
👉 #Pharos est la plateforme de signalement de contenus en ligne incitant à la haine ou à la violence. Voici ses coulisses. pic.twitter.com/puQf3sRByp
Cette hausse vertigineuse de la cybercriminalité n’a rien de rassurant d’autant que, d’après les enquêteurs, il y a « des cas chaque jour ». Toujours selon France Inter, « les opérateurs s’exécutent quasi systématiquement » et une nouvelle loi européenne prévoit d’ici l’été prochain que cela soit obligatoire en moins d’une heure. Des milliers de signalements sont effectués, les profils sont surveillés par les services de renseignement. Pour autant, est-ce en raison des lenteurs du système administratif, et/ou au manque de moyens financiers et humains ? Ce système n’a pas encore permis, selon nos confrères, de déjouer des attentats, ce qui peut laisser insinuer un doute sur son efficacité.
À plusieurs reprises, les messages diffusés sous différents pseudos par l’assassin de Samuel Paty avaient été signalés sur la plateforme du ministère de l’Intérieur, trois mois avant la décapitation du professeur. Mais, écrit France Inter, « leur traitement n’avait pas donné lieu à une identification plus approfondie et à des vérifications sur le terrain par un service de renseignement ou de police. »
Face aux menaces toujours plus nombreuses et au climat de haine actuel, à la défiance de nos compatriotes vis-à-vis de la justice, ils sont 9 Français sur 10 à la trouver trop laxiste, combien de temps encore nos dirigeants vont-ils rester dans l’aveuglement ? Pour paraphraser Clémenceau et son célèbre « si vous voulez enterrer un problème, nommez une commission », la sécurité des Français appelle peut-être moins la création de plateformes ou de commissions que de nouveaux moyens alloués aux « Brigades du Tigres » sur le terrain.
Décapitation de #SamuelPaty : bilan 100 % positif pour les islamistes. Les professeurs n'osent plus aborder l'Islam en classe qu'avec bienveillance, nos gouvernants pleurnichent encore un après dans l'inertie la plus totale.
Sujets abordés : l'Église catholique au cœur de la tourmente, le secret de la confession, l'explosion de l'insécurité liée à l'immigration, l'anniversaire des batailles de Lépante et de Poitiers, la réalité du Grand Remplacement, la Pologne qui réaffirme sa souveraineté juridique, Emmanuel Macron déjà en campagne, l'augmentation des prix des matières premières.
La reine Adélaïde, Robert le Pieux, Saint Louis, François Ier, Louis XVI : de nombreux personnages de l’Histoire de France, et non des moindres, ont honoré de leur visite cette ville des Yvelines, jadis propriété de l’abbaye de Saint-Denis, à deux pas de Versailles. Pour marquer la victoire aux élections municipales, ce dimanche 11 octobre, d’Ali Rabeh (Génération.s), Trappes a reçu, ce week-end, une autre visite, celle de Benoît Hamon, ancien ministre, candidat malheureux à la présidentielle de 2017, venu célébrer une victoire. La sienne ou presque, celle du candidat qu’il soutenait. Il pose sur les réseaux sociaux aux côtés du nouveau maire de Trappes, largement élu dès le premier tour par les 35.000 habitants. On les appelle les « Trappistes ». Jean-Luc Mélenchon (LFI), Julien Bayou (Verts), Nadia Hai, ministre délégué à la Ville originaire de Trappes, ont également aussitôt félicité l’heureux élu.
À l’annonce des résultats, le mouvement Génération.s d’Hamon basculait dans le délire. « Ali Rabeh diffamé, Ali Rabeh injurié, Ali Rabeh défié, mais Ali Rabeh plébiscité », clamait, sur Twitter, Benjamin Lucas, le coordinateur national de Génération.s, s’inspirant des mots du général de Gaulle lors de la libération de Paris. En fait de libération de Trappes, Rabeh a été réélu, ce dimanche, « face à une droite zemmourisée et clientéliste », assurait-il sur les réseaux sociaux. La précédente élection de Rabeh à la mairie avait été annulée, en août dernier, le candidat n’ayant rien trouvé de mieux que d’imprimer son effigie sur des masques distribués aux habitants, aux frais du contribuable. Face à Rabeh, son opposant Othman Nasrou essuie une cuisante défaite : il ne recueille qu’un peu plus d’un tiers des voix. Le représentant de la droite « zemmourisée et clientéliste », selon Rabeh, est en réalité un proche de Valérie Pécresse, assez peu sectaire pour avoir conclu une alliance avec l’ancien maire PS Guy Malandain. Un attelage rarement observé en France, mais Trappes est à part. On s’y dispute ferme.
Les opposants de Rabeh n’ont eu de cesse de dénoncer ses pratiques. Intimidations, menaces, pressions : Rabeh n’a pas fait la vie facile à son opposant, selon le second. Dans Le Monde du 16 septembre 2021, Othman Nasrou assurait : « Nous ne sommes plus dans un débat entre la droite et la gauche mais entre la République et le clientélisme. » Une vieille tradition locale. En 2018, Marianne accusait la mairie, alors tenue par Guy Malandain, de financer, par exemple, les locaux de la principale association musulmane de la ville qui abritait aussi une école coranique ouverte aux enfants dès trois ans. Trappes, ville de Jamel Debbouze et d’Omar Sy, est l’une des villes françaises dans lesquelles on a enregistré le plus de départs vers les groupes de combattants salafistes d’Irak et de Syrie.
Dans cette cité où le professeur devenu médiatique Didier Lemaire enseigna longtemps la philosophie, les écoliers n’ont pas toujours l’air faciles. Lemaire exposait, dans Le Point, son sentiment d’insécurité et expliquait qu’il partait travailler la peur au ventre dans ce qu’il considère comme « un territoire perdu de la République ». Le territoire n’est pas perdu pour tout le monde, en tous cas pas pour Benoît Hamon.
Chaque jour, nous compulsons la presse, nous consultons les réseaux sociaux. Les faits divers se succèdent, l'horreur nouvelle remplace l'indignation de la veille, le mauvais rêve se substitue au cauchemar. Le prêtre égorgé dans sa paroisse est oublié pour la jeune femme violée jusqu'au décès qui sera oubliée pour une autre jeune femme traînée jusqu'à en être déchiquetée par une racaille en voiture. Et la chaîne de l'inqualifiable se perpétue de jour en jour. Il y a aussi les attentats islamiques, les dessinateurs trotskistes traités à la kalachnikov s'estompent doucement de notre souvenir pour l'inqualifiable attentat du Bataclan, un jeune professeur décapité dans une rue française pour avoir blasphémé sur ordre du pouvoir par le biais de l'éducation nationale prend finalement l'émoi en attendant un autre acte de guerre musulman sur notre territoire. Et c'est ainsi chaque matin depuis des années, au point que notre cerveau, notre cœur en sont désensibilisés, que l'anormal est devenu une normalité, nous nous sommes dit qu'il ne fallait pas s'habituer et parce que l'être humain sait survivre, il s'habitue à tout, nous nous sommes habitués à notre grand dam.
Il y a les faits divers largement nourris par la diversité que les médias s'acharnent malgré tout à nous vendre comme une chance, il y a les attentats islamiques, il y a la quasi-systématique corruption des politiciens quasi-impunie.
Il y a aussi la folle mentalité judiciaire qui envoie de vrais opposants politiques devant les tribunaux quand ce n'est pas en prison pour délits d'opinion et qui relaxe à tour de bras les racailles d'origine étrangère. Certes parce qu'ils ont déjà rempli les prisons, mais aussi pour répondre à une idéologie associative de gauche qui arrange dans le même temps le pouvoir marchand international. La justice est impitoyable avec l'autochtone, surtout s'il est hétérosexuel, de droite et homme. Elle est aussi d'une paroxystique complaisance avec l'étranger ou celui ayant des papiers français, mais d’origine étrangère. C'est un constat sur le long terme et la multiplication des affaires qui est dressé ici, non un état d'âme qui pourrait fausser le jugement.
Parfois, on ne ne sait pourquoi, une injustice de la justice retient notre attention plus qu'une autre, nous émeut plus qu'une autre. C'est le cas d'une décision pénale assez récente qui reste en travers de la gorge, jugez plutôt :
Claude Gorsky, un ancien militaire à la retraite, harcelé par un voisin maghrébin dealer, délinquant, agressif par qui il était régulièrement menacé depuis quatre ans se fait une fois de plus invectiver par la racaille qui le menaçant avec une pelle le traite de sale Polak. C'est la fois de trop, il prend une arme et lui tire dessus à plusieurs reprises, son voisin décédera plusieurs jours plus tard à l'hôpital, non de ses blessures, mais d'une rupture d'anévrisme (n'a t'elle pas pu être provoquée par un sevrage, ce qui n'est pas si rare ?). La sœur se plaint dans les médias, SOS Racisme sentant le goût du sang blanc court pour se repaître, les journaux influencent la cour et les jurés pour une aggravation de la peine sous couvert de racisme parce que quelques SMS écrits sous l'émotion par un des fils étaient disgracieux envers l'origine de l'importun aujourd'hui décédé. Monsieur Gorsky sera condamné le premier octobre 2021 à la peine ahurissante de vingt-cinq années de réclusion. On tenait enfin un blanc meurtrier qui avait tué un immigré ou descendant d'immigré alors que c'est habituellement l'inverse - nous disposons de centaines d’occurrences attestant nos dires. Il fallait la peau du blanc ! L'avocat général, l'avocat de SOS Racisme se sont déchaînés, la presse avait sonné l’hallali, la curée au blanc était lancée. Ils se sont réjouis de la condamnation folle qu'ils avaient obtenue en exprimant qu'il fallait que ça serve d'exemple. Blancs, je vous en conjure, ne perdez jamais votre sang froid aussi pénible soit votre cohabitation avec vos voisins, les autres peuvent, ils seront condamnés avec légèreté, pas vous, le message est clair, vous n'avez pas le bon teint. Le racisme à votre endroit ne sera pas retenu, pourquoi ? Mais parce que !
Nous ne disons pas qu'il n'aurait pas dû être condamné, nous disons que sa peine disproportionnée est éminemment politique, raciste.
Cet homme va probablement mourir en prison, il a eu un geste condamnable certes, mais d'exaspération, il est sorti de ses gonds après quatre ans de voisinage auprès d'un voyou exubérant et pas inquiété pour son comportement ou ses trafics. Quatre ans à être persécuté par une petite racaille sans éducation sûr de son impunité, quel être humain- aussi équilibré soit-il- n'aurait pas perdu son calme en vivant cette torture ? Nous croisons tous de ces crapules exogènes dans notre quotidien, nous voyons en quelques minutes subies comment ils parviennent à faire bouillir intérieurement. Cette société devient invivable à cause notamment de leur comportement asocial. Aussi, sans excuser, demander l'impunité, nous comprenons tous que cet homme au passé exemplaire n'en pouvait plus. A l'inverse de SOS Racisme, l'association qui ne nous aime pas, qui ne nous veut pas de bien, nous pensons que ce monsieur ne méritait pas une sanction avec des circonstances aggravantes, nous pensons, au contraire, au regard du calvaire qu'il a vécu patiemment pendant des années, que son cas aurait mérité les circonstances atténuantes.
Ludovic Lefebvre - Délégué du Parti de la France pour Paris